Date: Thu, 6 Sep 2012 16:31:38 +0200 From: exesxes Subject: PREMIER MEC Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre un jeune homme et un préadolescent. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex games between a young men and a preteen. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I am open to any comments or suggestions. Exes Exes@cledro.net -------------------------- PREMIER MEC C'était il y a plus de quarante ans, j'avais fêté mes onze ans. Bien que vivant à la campagne, ma famille j'avais toujours été tenu dans l'ignorance des affaires du sexe. Chez nous, on ne parlait pas de "ça" et quand mes parents me voyait me lever le matin avec la queue raide à cause de l'envie de pisser, on me traitait de "petit cochon". Le sexe m'intéressait mais ne m'intriguait pas autrement et je n'en parlais pas avec mes camarades. Par contre, j'avais déjà conscience que la vue des mecs plutôt rustres et virils me faisait beaucoup d'effet. Nos voisins fermiers avaient embauché un nouveau garçon de ferme pour la saison. Il devait avoir juste passé dix-huit ans. Il a fait accélérer mon c?ur dès que je l'ai vu. C'était un grand jeune homme un peu rustaud, au visage ouvert et souriant. Son corps massif et charpenté remplisait bien ses vêtements de travail. Toutes les filles du coin ne parlaient que de lui et rougissaient quand elles le voyaient. Je l'ai croisé plusieurs fois dans la rue du village ou dans les chemins de campagne. Chaque fois il m'a salué et souri d'une manière qui me troublait durablement. Un jour, pendant les vacances d'été, je l'ai apperçu qui mettait de l'ordre dans la grange pendant que le fermier et sa famille étaient aux champs. Il faisait chaud et il avait ouvert sa chemise jusqu'au nombril. La vue de sa poitrine vigoureuse me faisait chanceler. Prenant mon courage à deux mains, je suis allé franchement lui parler. Je ne sais pas comment il m'a perçu en réalité mais ma compagnie semblait l'amuser. Il m'a dit qu'il s'appelait Peter. Nous avons parlé de banalités pendant qu'il travaillait. Soudain il m'a demandé de but en blanc : Pourquoi t'es venu me voir ? J'ai dû rougir de la tête aux pieds. Il a deviné ma confusion car il s'est retourné et m'a regardé d'un air amusé avant de reprendre ce qu'il faisait en sifflotant. Je ne savais ni que lui répondre, ni que faire. Je suis resté silencieux, à le regarder travailler. Dans mon short étriqué, ma queue avait des véléités de gonflement pendant que j'admirais ces bras vigoureux et ces cuisses épaisses. Peter s'est arrêté et m'a regardé : T'as perdu ta langue ? Mes pensées étaient brouillées et j'avais une terrible envie de fuir en même temps que de lui tomber dans les bras. Confus, naïf et sans malice, je me suis jeté à l'eau et lui ai dit tout de go qu'il me plaisait et que j'avais tout le temps envie de le regarder. Ce qui l'a laissé songeur un instant puis il a repris ses activités et la conversation est passée à d'autres choses. Au bout d'un moment, il m'a demandé de le laisser car il attendait le retour de son patron. En prenant congé de moi il a passé sa main sur ma tête en me disant d'un ton très doux : T'es bien sympa, toi. On se revoit quand ? Quand tu veux? ai-je balbutié en rougissant jusqu'à la racine des cheveux. Ce soir après le dîner vers la grange après la sortie du village, d'accord ? Bien sûr que j'étais d'accord. Je suis rentré chez moi comme sur un petit nuage. Enfin je vais avoir un ami comme j'en rêve depuis longtemps. Un beau garçon, grand et fort. Le reste de la journée s'est passé dans la joie. Dès la dernière bouchée avalée, je me suis glissé dehors en essayant de ne pas me faire remarquer par mes parents pour éviter les questions. Je me suis précipité jusqu'à la grange sans y trouver Peter. Un peu déçu, je me suis assis pour l'attendre. Il n'est arrivé par un autre chemin qu'au bout d'un bon quart d'heure. Toutes mes craintes se sont envolées quand il s'est approché de moi avec son beau sourire et m'a mis la main sur l'épaule. Peter a prétexté autre chose à faire pour expliquer son détour et m'a proposé d'aller se promener sur le chemin des bois. En cours de route il m'a posé beaucoup de questions sur moi, sur ma famille et sur l'école. Souvent il me tenait par l'épaule ou me caressait le dos. Cela me donnait d'agréables frissons. Quand je lui ai parlé de mes mauvais résultats, il m'a donné une tappe sur les fesses et ses mains s'y sont un peu attardées. A un détour du chemin, nous sommes allés voir une source dans un bosquet. Peter s'est approché de moi. Tout en parlant, il se tenait derrière moi, ses deux mains sur mes épaules. Nous regardions l'eau couler. Je l'ai senti se coller à moi petit à petit. J'étais si bien que je n'ai pas voulu bouger pour ne pas rompre le charme. Peter ne disait plus rien, il me serrait contre lui. J'entendais son souffle régulier et puissant. Son bassin s'appuyait fermement contre mes fesses. Il m'a serré de plus en plus fort. A un moment donné a eu un très léger soubresaut. Il a retenu son souffle puis m'a relâché progressivement. Sa respiration s'est calmée, il s'est râclé la gorge avant de me dire : Il faut rentrer maintenant? Devant mes protestations, il m'a expliqué qu'il valait mieux se voir moins longtemps et ne pas risquer de soulever des questions ou des interdictions de la part de mes parents. De tels argument étaient si justes que je n'ai pas protesté, devinant même que notre relation avait un petit goût d'interdit. Sur le chemin du retour, j'ai remarqué que Peter marchait d'une manière bizarre. En nous séparant près de la grange, un bref coup d'?il du côté de sa braguette m'a permis de remarquer une petite tache plus foncée sur son pantalon de travail bleu. Le lendemain soir, Peter et moi nous nous sommes retrouvés au même rendez-vous que la veille. Comme le temps menaçait nous ne sommes pas allés nous promener mais nous sommes rentrés dans la grange. Nous nous sommes assis sur de vieilles machines agricoles et nous avons parlé. Assez vite, Peter a fait glisser la conversation sur les choses du sexe. Découvrant que j'étais totalement ignorant, il m'en a appris plus que ce que j'aurais pu découvrir en quelques mois. T'as déjà vu une bite ? Ben? non, enfin? la mienne, oui? T'aurais envie, là, maintenant ? Ben? oui? ai-je répondu d'une voix faible pendant qu'une grande émotion me saisissait. Lentement, en me fixant dans les yeux, Peter a ouvert sa braguette. Il en a extrait une bite qui n'avait rien de commun avec la mienne. Elle était plus large, plus longue plus foncée, bref plus belle que la mienne. En plus, il avait un prépuce que mes parents avaient fait enlever chez moi depuis ma petite enfance. J'étais fasciné par ce spectacle et ne remarquais pas le regard perçant de Peter qui observait mes moindres réactions. Tu veux pas m'montrer la tienne ? Mécaniquement, sans détacher mon regard du sexe de mon copain, j'ai ouvert ma braguette et sorti une petite queue en train de bander. Mmmh? ça a l'air de te plaire? a remarqué Peter. La sienne qui sétalait mollement dans le creux de sa main prenait de plus en plus de proportions. Le prépuce s'ouvrait pour laisser pointer un gland luisant dans la pénombre. Touche-la ? dit Peter en prenant ma main. Mes doigts on caressé la peau fine et douce de sa bite. Je tremblais de tous mes membres. Pour me rassurer, Peter m'a attiré à lui. Ses doigts ont effleuré ma tige devenue toute raide. Un frisson a parcouru mon échine. C'était bon, mon ventre frémissait. Mes couilles devenaient dures en se collant à mon ventre. Tu as déjà joui? a demandé Peter doucement Je lui ai répondu que je ne savais pas de quoi il voulait parler. Alors il a pris mon sexe à pleine main et l'a serré pendant que son autre main allait et venait de plus en plus fort sur sa bite. Peter respirait pas saccades. Il se mordait les lèvres. Je me demandais pourquoi il avait une telle attitude. Sa main serrait mon sexe si fort que je n'osais pas bouger. A un moment donné il s'est contracté en me disant : Regarde, je jouis ! Un peu paniqué je me demandais ce qui allait se passer. Son visage était rouge et grimaçant. Mes yeux étonnés ont vu un jet blanc jaillir de son gland, puis un autre et encore un. Peter ne bougeait plus. Sa main était crispée sur sa verge devenue énorme et violacée. Des grosses gouttes coulaient toujours du gland pendant qu'il aspirait de grande bolées d'air. Pourquoi tu gémis comme ça, ça fait mal ? lui ai-je demandé intrigué par ses soupirs. Non, c'est parce que c'est trop bon quand ça gicle, a rétorqué Peter en essuyant sa main contre sa cuisse. Je ne comprenais rien à ce qu'il me racontait mais du moment qu'il m'avait assuré qu'il n'avait pas mal, pour moi tout allait bien. Peter s'est essuyé la queue puis l'a laissée pendre hors de sa braguette. Pauvre petit garçon qui ne connaît pas encore ce plaisir, a-t-il murmuré en serrant très fort ma queue toujours aussi raide. J'ai joué un moment avec sa queue pendant qu'il me caressait. Quand la sienne à commencé à se redresser, Peter s'est levé et m'a dit qu'il était l'heure de rentrer. Pour le lendemain, nous avons pris un rendez-vous dans le bosquet de la source. Avant de me quitter, Peter a juste mis un doigt sur ses lèvres pour me recommander le silence. C'était inutile. S'il avait connu mes parents, il ne m'aurait jamais fait cette recommandation. Ma nuit a été agitée, je revoyais en rêve ce que Peter avait fait. Ma queue est restée raide toute la nuit. Le lendemain j'ai cru défaillir lorsque ma mère m'a dit que je devais être malade et qu'il était préférable que je garde la chambre. Avec véhémence, j'ai prétendu être en bonne santé et j'ai joué au garçon occupé toute la journée. Le soir venu, je suis allé presque en courant vers le bosquet de la source. Peter y était déjà, assis sur un vieux tronc. Nous avons repris notre conversation là où nous l'avions arrétée la veille. Très intrigué, j'ai tout de suite demandé à Peter de refaire sa démonstration de la veille. Il a calmé mes ardeurs en me disant que ça viendrait mais sans précipiter les choses. Tu sais qu'tu m'plais, toi ? dit-il en me caressant les jambes nues et mes fesses à peine recouvertes par mon short. Toi aussi tu m'plais, lui ai-je dit en retour. Les mains de Peter couraient librement sur mes jambes et mes fesses. Cela me faisait un drôle d'effet, je frissonnais et en même temps je me sentais si bien. Lentement, Peter a défait les boutons de ma braguette et y a fait pénétrer ses doigts. Il s'est aperçu que je bandais autant que la veille. Tout aussi précautioneusement il a ouvert mon short pour le faire glisser sur mes genoux. Puis il a retiré mon slip. Ma petite queue s'est dressée en l'air. Ben dis-donc, elle est drôlement contente, s'exclama-t-il. J'sais pas mais en tous cas ça m'fait vachement du bien quand tu me caresses, lui ai-je répondu dans un souffle. C'est pour ça qu'tu bandes, ça veut dire qu't'es excité. Peter a caressé ma queue, mes couilles, ses mains ont passé entre mes jambes, ont cajolé mes fesses, se sont aventurées sur mon trou du cul puis sont reparties dans un parcours sinueux sur mon bas-ventre. Je commençais à me sentir euphorique, je soupirais les yeux fermés sous les caresses quand j'ai senti quelque chose de chaud sur ma queue. Peter venait de me prendre dans sa bouche. C'était encore meilleur que tout à l'heure. Ce contact et ceux de ses mains me rendaient presque fou. Peter n'arrêtait plus. J'ai passé ma main dans ses cheveux drus et courts, je me tenais à lui. Quand enfin il a arrêté, j'étais en plein nirvana. Il a attendu que je me remette et m'a dit : Alors mon garçon, tu aimes les pipes ? ?? Quand on suce une sueue, ça s'appelle faire une pipe, m'enseigna-t-il. Tu veux m'en faire une maintenant ? reprit-il tout de suite en se levant. A l'avant de son pantalon il y avait une grosse bosse. Il a ouvert son pantalon et l'a baissé avec son slip. Sa superbe queue s'est dressée devant les yeux émerveillés. Peter m'a dit de m'asseoir à sa place et qu'il se tiendrait devant moi. Juste devant mon nez, j'avais une grosse touffe de poils noirs de laquelle émergeait ce superbe sexe surmontant une paire de couilles qui étaient bien trois ou quatre fois plus grosses que les miennes. J'étais un peu inquiet lorsqu'il a approché son gland de ma bouche mais je me suis laissé faire. Mon c?ur battait à se rompre quand le gland de Peter a glissé sur ma langue. Caresse aussi mes couilles, ça fait du bien, m'encouragea Peter doucement, tu peux aussi passer tes mains sur mes fesses. Je me suis vite habitué à ce contact.La bouche grande ouverte, je tétais ce gland énorme qui rentrait à peine dans ma bouche pendant que je laissais mes mains courir sur les fesses et les cuisses velues de Peter. Ôte ton tee-shirt me dit Peter, on ne sait jamais? Quoi ? Si je te gicle dessus, tes parents le sentiraient? Je me suis retrouvé totalement nu dans le bosquet à sucer et pomper le dard de Peter. Il soufflait de plus en plus fort et respirait toujours plus bruyament. Ses mains me tenaient la tête et je sentais son bassin qui remuait. Je prenais goût à cette caresse bucale et j'essayais de faire pénétrer la queue de Peter toujours plus loin dans ma gorge. Ses couilles se contractaient sous mes doigts et ses fesses se raidissaient. Peter a poussé un petit cri et a voulu se retirer mais je m'étais agrippé à lui. D'un coup de rein brutal il s'est dégagé pendant qu'un jet puissant et odorant me cinglait le visage. Mmmmh? soupirait Peter pendant que sa bite dégorgeait entre mes jambes écartées. Quand ça s'est calmé, il m'a regardé et a eu un grand sourire heureux. Son sperme coulait de mon nez à mes lèvres. Le gout âcre et salé pénétrait ma bouche en même temps que l'odeur forte remontait dans mon nez. Je me suis essuyé avec le revers de la main. Peter m'a tendu son mouchoir en me rassurant : Tu sais c'est pas mauvais, tu peux même l'avaler? Devant mon regard incrédule, il m'assura que ça ne rendait pas malade et que c'était même très bon. Il est allé rincer son mouchoir dans la source et m'a consciencieusement lavé le visage et le torse sur lequel son foutre avait coulé. Ben, t'as vachement bien fait d'te déshabiller, a-t-il remarqué. Puis Peter m'a soulevé par les épaules et m'a serré dans ses bras, très fort et longtemps. Je bandais très fort contre son ventre. Nous sommes restés un certain temps comme ça, puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes retournés vers le village en bavardant. Cette fois Peter m'a donné rendez-vous pour le lendemain dans la grange de ses patrons. Nos rencontres devenaient régulières et j'y prenais autant de plaisir que Peter. Il était à son poste lorsque je suis arrivé. Nous n'avons pas perdu de temps en bavardage. Ce que chacun voulait c'était se faire plaisir et rien d'autre. Peter m'a entraîné dans le fond de la grange vers les bottes de paille. Nous nous sommes caressés un moment à travers nos vêtements puis il a baissé mon short pour être plus à l'aise. Le gros chybre de Peter se dressait fièrement hors de la braguette de son bleu de travail. Il m'impressionnait toujours autant. Sans qu'il me le demande, je me suis penché et j'ai commençé à le léchouiller. Ote ton short et fous toi là-dessus, me dit-il en étendant une bâche sur la paille Complètement à ses ordres, je lui ai obéi et je l'ai vu se placer à côté de moi sans même ouvrir la ceinture de son pantalon. Quand je lui ai demandé pourquoi, il m'a dit que c'était pour être plus vite prêt si quelqu'un venait. Sans se poser de questions, Peter s'est placé dans le sens inverse de moi et m'a dit que nous allions nous sucer l'un l'autre. Pour la première fois de ma vie, je me suis abandonné au plaisir du 69? Peter me faisait tant de bien que je ne voulais pas être en reste. J'ai sucé, léché, embrassé son sexe. J'ai joué avec ses couilles grosses et fermes, je les ai caressées et je les ai léchées. Nous avons passé un bon moment à nous donner du plaisir puis Peter s'est redressé et m'a demandé : T'es d'accord pour essayer aut'chose ? Tout ce que je venais de découvrir était tellement génial que j'étais prêt à tout pour prolonger ces moments. Peter m'a dit de me mettre à quatre pattes et de lui présenter mon derrière. Ce que j'ai fait en toute confiance. Il m'a tout d'abord caressé les couilles et la queue par en dessous. Il les a embrassées et prises en bouche puis ses lèvres ont effleuré mon trou du cul. Là, la sensation était différente. Totalement livré au plaisir, je ne me concentrais que sur la perception de sensations nouvelles. Peter a fait courir son doigt sur les bords de mon anus. Le chatoullement était très agréable. Puis le doigt s'est arrêté sur l'ouverture et a essayé d'y pénétrer. Incapable d'imaginer la suite, je lui ai dit en riant que même ma mère avait des difficultés à me mettre un supositoire sans l'enrober de crème. Vraiment?? dit-il l'air étonné. Alors attends moi? bouge surtout pas? Il a rentré sa bite dans sa braguette et s'en est allé en courant. En quelques minutes il a été de retour avec une boîte à la main. C'était de la graisse à traire dont il s'est enduit le doigt avant de recommencer à jouer sur le bord de mon anus. Peu à peu Peter a précisé sa pression et à fait glisser son index entre les bords serrés de mon cul. L'impression était fort désagréable et je le lui ai dit. Peter a poussé un grand soupir et s'est arrêté un moment sans pour autant retirer son doigt. Mon muscle anal s'est détendu un peu et Peter a pu recommencer, ça me gênait moins. Au bout d'un moment il s'est redressé et je l'ai vu passer de la graisse sur sa queue plus raide que jamais. Pris de panique je lui ai dit qu'il était trop gros pour ça, que jamais il ne pourrait en faire pénétrer le moindre centimètre. C'est c'qu'on verra, rétorqua Peter en me souriant. J'ai senti son gland s'appuyer contre mon trou du cul et pousser fortement. Pendant ce temps, le garçon jouait avec ma queue et mes couilles par dessous mon ventre. Soudain j'ai ressenti comme un craquement dans mon cul et un bout du gland m'a pénétré. J'ai poussé un petit cri que Peter a immédiatement calmé par une caresse sur mes fesses. Tu vois, le bout est déjà entré, constata-t-il. J'étais effrayé, mon c?ur battait à se rompre. Je ne savais plus s'il fallait continuer ou m'enfuir en courant. L'expérience précédente avait été si merveilleuse que je n'osais pas contredire Peter. Inexorablement, je sentais le dard de mon copain pénétrer en moi. Plus je poussais pour l'expulser, plus il entrait facilement. Soudain une vive douleur me a fait crier : Arrête, arrête ! Ca fait trop mal ! Peter m'a écouté et n'a plus bougé pendant un bon moment. L'acuité de la douleur a diminué lentement. C'est bon là, me dit-il t'en as pris presque la moitié. Il me semblait qu'il se retirait et cela m'a rassuré. Un instant après il m'a repénétré jusqu'au moment de la douleur. Alors je l'ai supplié d'arrêter pour aujourd'hui et que nous essayerions un autre jour. Peter n'a pas répondu tout de suite. Il m'a flatté la queue et les couilles jusqu'à ce que je bande de nouveau. A ce moment, il a dit d'une voix infiniment douce : Ca t'plaît quand même puisque tu bandes toujours. Laisse moi faire un petit moment et après on arrêtera pour aujourd'hui, d'accord ? Convaincu autant par l'argument que je bandais que par la douceur de sa voix, je l'ai laissé faire. Peter a repris ses lents mouvements dans mon cul en prenant garde de ne pas me faire mal. Soudain il s'est figé et a retenu son souffle. Son chybre ne remuait plus dans mon cul mais je sentais bien sa présence. Peter est resté un moment sans bouger et sans respirer. Puis il s'est retiré tout doucement en soupirant d'aise : Pfff? génial? Quand son dard s'est expulsé, j'ai entendu un petit bruit de suscion. En me retournant j'ai vu la bite de Peter, luisante et encore raide qui bavait quelques fils blanchâtres. Intrigué, je lui ai demandé ce qu'il avait. Ben, c'te question... grogna-t-il avec une moue de plaisir, j'ai joui ! J'étais muet d'étonnement. Il a osé cracher son jus dans mon cul. Pendant une seconde j'ai paniqué en me demandant ce qui allait arriver. Est-ce que ça allait provoquer quelque chose de particulier ? Est-ce que ça allait se voir ? Peter, à qui je l'ai demandé a eu un large sourire et m'a répondu en me tapant affectueusement sur l'épaule : Il t'arrivera rien mon lapin ! Ca risque juste de ressortir et tu auras aussi un peu mal au cul cette nuit mais c'est tout. Il a sorti son mouchoir et s'est essuyé le gland avec soin avant de rabattre l'énorme prépuce qui le recouvrait. L'air triomphal, il m'a regardé en me demandant : Alors, ça t'a plu ? Je lui ai avoué que la première partie avait été formidable mais qu'après, ça avait été plutôt douloureux. Tu verras, avec l'habitude ça ira mieux. Ah bon, parce qu'on va le faire souvent ? Ben oui, pourquoi, tu veux plus jouer avec moi ? Oui, mais quand tu m'mets ta queue ça fait trop mal? Peter m'a souri et il a passé son mouchoir sur mon cul en me disant de le mettre dans mon slip jusqu'au moment de me coucher. Il m'a expliqua qu'il valait mieux que j'essaye d'expulser ce qui restait avant d'aller au lit. C'est mon foutre, déclara-t-il fièrement, tu t'rends compte qu'tu vas garder quelqu'chose de moi dans ton ventre pendant un moment ? Je lui ai dit que je ne comprenais rien à ce qu'il me disait. Peter a rit aux éclats et m'a traité de puceau. Nous nous sommes réajustés et nous avons descendu l'escalier. J'avais très mal au cul et je l'ai dit à Peter. Il m'a répondu de marcher doucement pour rentrer chez moi. Même si tu as mal, tu diras rien à personne, me dit-il en me regardant droit dans les yeux, ça sera notre secret, rien qu'à nous, hein ? Je le lui jureai d'autant plus facilement que j'étais persuadé de recevoir la plus terrible correction de ma vie si je faisais la moindre allusion à ce que nous avions fait devant mes parents. Rassuré, Peter m'a donné rendez-vous le lendemain soir dans la remise au fond du jardin. Je suis rentré chez mes parents en boitant un peu. Si je n'avais pas été taciturne, personne ne se serait aperçu de rien. J'ai prétexté la fatigue et je suis monté dans ma chambre. Je suis allé aux toilettes. Le mouchoir avait des petites taches marron et dures et quelques traces de sang. J'ai un peu panniqué en entendant du liquide couler mais en y mettant un doigt, j'ai vu que c'était un liquide blanchâtre. J'ai aussi palpé mon trou du cul. Il était gonflé et sensible. Je me suis endormi en me promettant de ne plus laisser Peter me mettre sa queue dans le cul. J'ai eu du mal à attendre l'heure. Je n'ai presque rien mangé tellement j'étais impatient. A l'heure dite, Peter m'attendait, appuyé contre la parois. Une main dans sa poche. Elle remuait lentement. Alors, comment il va ton p'tit cul ? m'apostropha-t-il joyeusement. Je lui ai répondu que j'avais mal et qu'il ne me mettrait plus sa queue. Peter a prix un air navré et m'a dit qu'il comprenait et que ce soir nous allions trouver chose puisque j'avais été gentil avec lui. Il a sorti sa queue déjà toute raide et la mienne n'a fait qu'un bond dans mon slip. Le sexe commençait à prendre beaucoup d'importance dans ma vie. Peter s'est caressé un moment en me regardant puis il m'a demandé de baisser mon pantalon. Devant ma réticence, il a dû me jurer qu'il ne toucherait pas à mon cul. Peter a sifflé doucement entre ses dents en voyant ma petite queue raide et dur comme du fer. Il l'a caressée puis a flatté ce qu'il appelait mes "p'tites couilles de poulet". Sa grosse main un peu sale et rugueuse me faisait frémir. Il l'a passée entre mes cuisses en me forçant à écarter les jambes pour être totalement offert à ses carresses. C'était bon, mon ventre frémissait. Mes couilles devenaient dures en se collant à mon ventre. Vraiment, t'as encore jamais joui ? me demanda Peter Ben non? mais j'aimerais bien ! On va voir ça. Peter m'a attiré au fond de la cabane et s'est assis pour être à la hauteur de mon sexe. Il m'a fait enlever mes vêtements et écarter les jambes. Sans prévenir, il s'est mis à me sucer comme il l'avait fait dans la grange la veille. C'était terriblement bon. Pendant que sa langue s'activait, il a glissé quelques doigts vers mon cul. Le contact m'a fait me contracter. Du calme, détends-toi? me rassura Peter, j'te promets que j'te mettrai rien ce soir. Puis il m'a attiré à lui et m'a fait asseoir devant lui, dos contre son torse. C'était bon, je sentais la chaleur de son corps à travers sa chemise et son odeur de mâle pas lavé m'ennivrait. Contre mes reins, sa queue toute dure me rappelait son excitation. Ses mains s'occupaient de mon sexe. L'une me caressait la queue et l'autre jouait avec mes couilles. Les yeux fermés, je me suis laissé aller aux sensations que cela réveillait en moi. Soudain quelque chose s'est contracté dans mon bas-ventre et j'ai retenu mon souffle. Qu'est-ce que t'as ? demanda Peter Ca fait drôle. Où ? J'sais pas entre mes jambes, vers mes couilles et mon cul. Mais c'est très bien ça, murmura Peter Pourquoi ? C'est comme ça qu'ça commence? Il a continué à me secouer la queue comme il l'avait fait pour lui dans la grange la première fois. En même temps, ses doigts ont serré mes couilles. J'ai senti quelque chose gicler contre mes jambes. En regardant j'ai vu un filet clair sortir de mon gland. C'est ça jouir ? Non, a répondu Peter en se penchant pour regarder. Ca c'est ta queue qui bave, ça veut dire que t'es super excité. Il a continué à me branler pendant un moment en serrant mes couilles de plus en plus fort. Quelque chose a bougé en moi. Une sensation de crampe m'a pris la queue en même temps que le sang se vidait de ma tête. J'ai fermé les yeux et j'ai essayé de retenir mon souffle. J'ai dû avoir un moment d'absence car la voix de Peter m'a tiré de mon état second. Ca y était presque ! Quoi ? T'as pas découillé mais t'as pris ton pied? Ca fait ça quand on joui ? Non dix fois, cent fois mieux ! Peter a essoré ma queue qui bavait toujours quelques gouttes gluantes puis il s'est écarté pour s'essuier les doigts sur son gland plus gros et violacé que jamais. Il m'a fait pivoter pour être face à lui et il s'est branlé en caressant ma queue mollissante et en malaxant mes "petites couilles de poulet". Il ne lui a pas fallu longtemps pour envoyer une bordée de foutre contre mon ventre. Peter à continué à se branler tout doucement pour tout faire sortir de sa bite en massant ma queue et mes burnes avec son foutre qui coulait depuis mon ventre. Mon sexe gluant de son sperme se redressa vite tandis que mes couilles cherchaient à remonter dans mon ventre. Putain t'es d'nouveau en forme ! Ben? c'est bon c'que tu fais? Tu vas pas tarder à jouir pour de vrai. Après nous être consciencieusement essuyés avec les chiffons qui trainaient par terre, nous sommes sortis de la remise en nous donnant rendez-vous de nouveau dans la grange. Ma nuit a été très agitée, j'ai tenté de me branler comme Peter l'avait fait mais je ne suis arrivé à rien. Le lendemain, mes parents m'ont trouvé très mauvaise mine. Ma mère a même parlé de docteur mais je les ai assuré que je me sentais le mieux du monde. Ils se sont alors regardés avec un air entendu et n'ont plus rien dit. Peter avait déjà arrangé la bâche sur la paille et posé la boîte de graisse à traire en évidence. Malgré le reliquat de douleur, j'avais bien envie de lui faire ce plaisir puisqu'il m'en avait fait découvrir un. Nous n'avons pas perdu de temps en bavardage puisque nous savions tous les deux ce que nous voulions. Suce moi un peu, demanda Peter en se couchant dur le dos. J'ai bien volontiers rendu cet homage à son chybre en train de se gonfler. L'odeur de mâle négligé qui montait de sa braguette commençait à m'ennivrer et je l'ai sucé avec application. Bien entendu, je bandais comme un fou et Peter s'amusait à me caresser les fesses à travers le tissus tendu de mon short. Bon maintenant j'vais essayer de t'prendre sans t'faire trop mal. C'était le moment que j'appréhendais mais maintenant je sais que je peux lui faire confiance. Peter s'est mis à genoux et m'a couché sur le dos en me faisant lever les jambes le long de son torse. Il s'est massé le pieu avec la graisse à traire et s'est essuyé les doigts sur mon anus. Il a joué un peu à le caresser puis il a pris son chybre en main pour l'appuyer contre ma rosette. Détends toi? Mais? j'ai? Chhhht? Peter se concentrait pour ne pas me pénétrer d'un coup. Son n?ud poussait de plus en plus fort et je le sentais ouvrir inéxorablement mon anus. J'avais tenté de résister puis, avec un soupir, je me suis laissé aller. La chybre de Peter est alors entré de quelques centimètres. En voyant ma grimace, Peter s'est arrêté de pousser puis il s'est rajusté et a poussé lentement. Son dard glissait dans moi, je le sentais ouvrir mon boyau tout doucement. Il n'y a pas eu de vive douleur comme la première fois mais une crampe diffuse s'est répandue dans tout mes organes sexuels. Ca va ? Avec un soupir je lui ai fait un signe de tête. Peter comprenait que je me concentrais sur l'ouverture de mon cul. Au bout d'un long moment, il s'est arrêté pour se pencher sur moi en détendant ses bras. Une fine sueur couvrait son visage et son cou. Cette odeur m'a stimulé. J'ai risqué une main vers mon cul mais Peter l'a écartée avec un léger sourire. Toujours penché sur moi, il a continué à pousser. Instinctivement, j'ai noué mes jambes autour de sa taille. Cette position a dû me détendre les muscles car je l'ai senti pénétrer plus rapidement. Aaah? Qu'est-ce que t'as ? Je te l'ai mis bien profond cette fois. ? C'est bon ! T'as une rondelle d'acier? Une quoi ? Ton cul? il est étroit et il me serre très fort. Ca te fait mal ? Non, au contraire? c'est super bon? Peter s'est mis à bouger un peu. Ca me faisait un effet bizarre, mon ventre fluait et refluait comme la mer. Il me remplissait totalement avec son pieu puis il aspirait tout mon intérieur en se retirant. J'ai commencé à apprécier ce massage spécial. Peter avait l'air d'être parfaitement heureux bien qu'une sueur abondante coulait maintenant de son visage pour venir se répandre sur mon torse. Putain c'est bon? Peter s'est arrêté de bouger en soupirant comme s'il venait de faire une course de vitesse. Le visage baigné de sueur, il me souriait de toutes ses dents. J'fais une pause? Pourquoi ? Pour pas venir trop vite. Pas quoi ? Pour jouir le plus tard possible. Ca vient pas quand tu veux ? C'est pas possible? Ah ? T'as bien vu pour toi hier soir. C'est comme ça qu'ça fait ? Oui, tu verras. Quand ? J'sais pas ! Peter s'est remis à remuer dans mon cul. Ma queue se dressait dure comme une branche. De temps en temps, le tissus de la braguette de Peter la caressait et ça me faisait frissonner de plaisir. Mes petites couilles étaient presque rentrées à la base de mon ventre. Je sentais maintenant à chaque poussée lente et profonde de Peter que son bassin touchait mes fesses. Les poils sortis de sa braguette caressaient le dessous de mes couilles. Un sentiment de profond bonheur m'envahissait. Ah? oui ! Quoi ? Ca vient ! Tu jouis ? J'peux plus? Peter ne rajouta rien, il se laissa tomber sur moi et me serra dans ses bras vigoureux pendant que ses hanches étaient agitées de soubresauts. Son cybre profondément fiché dans mon cul commençait à me faire mal mais je devinais qu'il ne fallait pas gâcher ce moment si important pour mon partenaire. Peter s'est mis à haleter comme un animal et son bassin était agité de mouvements incontrôlables. Quand enfin il s'est détendu, il est sorti de mon cul dans un petit bruit de suscion et s'est laissé tomber à côté de moi en soupirant. Je suis resté sur le dos, les genoux remontés à attendre que Peter reprenne ses esprits. Ton p'tit cul est vachement bon. Tu aimes ? Ca oui, j'aurais jamais pensé que j'me ferais un gosse. Pourquoi ça s'fait pas ? Non jamais, il faudra surtout rien dire à personne. Pas d'risque, mes vieux me tueraient. Et moi? Soudain, j'ai senti un mouvement du côté de mon cul et quelque chose a coulé le long de ma raie. J'ai passé ma main et l'ai ramenée les doigts tous gluants. Peter a rigolé et m'a fait m'assoir sur les talons un peu plus loin. Avec force pétarades, j'ai expulsé son foutre dans la paille. Puis Peter m'a essuyé avec un chiffon en me demandant si je n'avais pas fait trop mal. En fait la douleur était plus diffuse et moins aiguë que la première fois. Allongé sur le dos à même la bâche, j'ai senti Peter se pencher sur moi et me prendre dans sa bouche. Ma queue ramollie s'est bien vite dressée au contact de sa langue. Sans s'interrompre, il m'a sucé pendant longtemps. Je sentais mes organes bouillir et un plaisir diffus s'installer dans mon ventre. J'aurais bien voulu ressentir le même plaisir que la veille mais rien ne venait. Peter ne s'est pas découragé et a joué de la langue sur tout mon sexe pendant longtemps avant de se redresser pour me regarder. J'aime beaucoup c'que tu fais avec moi. Moi aussi? Dans un grand élan de tendresse, je me suis jeté sur lui pour le serrer dans mes bras. Il a étouffé un rire en se laissant faire. Le contact de ma queue sur son pantalon m'a fait frémir et j'ai passé mes jambes autour de ses hanches en pressant mon bassin contre lui. Il a cherché à se dégager et là, j'ai senti le même plaisir que la veille. J'ai eu comme un moment d'absence pendant lequel mon anus s'est mis à frétiller. Une sensation d'intense plaisir m'a paralysé. Lentement Peter m'a écarté de lui. Ben mon gars? Quoi ? Regarde là. ? Il y avait une petite tache humide sur son bleu à l'endroit où ma queue le touchait et mon gland laissait s'échapper une autre goutte claire. T'est bientôt mûr pour jouir. Tu crois ? Ouaih, avec un peu d'exercice tu vas y arriver. Cette nouvelle m'a mis dans un état de joie qui est vite retombé quand nous avons entendu la voix de ma mère qui m'appelait au loin. Je me suis dépéché de me rhabiller et sans me préoccuper de mon cul endolori, je me suis hâté vers la maison. Demain ici comme d'hab, m'a souflé Peter. Il s'est allongé sur le dos pour me regarder partir. Il m'a fallu faire des prouesses de mensonges pour me dégager de l'interrogatoire sévère auquel j'ai eu droit. Ma mère m'a envoyé me coucher avec la promesse qu'elle me tiendrait à l'?il. Cet avertissement a été comme une douche froide et ma nuit a été moins agitée que la précédente. Me voyant de meilleure mine le lendemain, mes parents ont été réssuré sur mon état de santé et n'ont plus insisté. Dans la journée, j'ai vu Peter de loin. Je lui ai fait des grands signes pour lui dire que je voulait lui parler. Il a fait un détour pour venir près de moi. Je lui ai racconté le sermon auxuel j'ai eu droit la veille. Peter en a déduit que nous devrions être plus prudents et peut-être ne pas se rencontrer le soir même. J'en ai été tellement décu que mes larmes ont coulé. Maladroitement, Peter a cherché à me consoler en me disant qu'il viendrait près de chez mes parents et que nous discuterions un moment mais sans rien faire. Cette nouvelle m'a attristé pour le reste de la journée. Le soir venu, nous nous sommes retrouvés derrière un bâtiment derrière chez mes parents et Peter a eu pour la première fois un petit geste d'affection en me caressant la joue. A voix basse, il m'a expliqué que ce que nous faisions était très dangereux et que si mes parents apprenait quoi que ce soit, lui irait en prison et moi peut-être dans une maison de redressement. C'est ainsi que j'ai découvert que les mineurs n'ont pas droit au plaisir, du moins pas en compagnie d'adultes, même s'ils n'ont que quelques années de plus. Nous avons bavardé pendant un bon moment puis Peter a pris congé de moi en me donnant rendez-vous le lendemain dans la grange. Le lendemain, le c?ur moins léger que d'habitude, j'ai usé de ruses de sioux pour me rendre au rendez-vous. Je ressentais maintenant toute la culpabilité de nos actes. La vue de Peter m'a mis un peu de baume au c?ur et mon humeur s'est améliorée en sa compagnie. Nous avons encore eu un rapport fougueux au cours duquel Peter m'a pris avec autant de douceur et de prévenance que la veille. Mon cul s'est ouvert plus facilement et j'ai ressenti le même plaisir diffus dans tout mon bas-ventre. Nous avons adopté un rythme de croisière qui nous faisait nous rencontrer tous les deux ou trois jours. Cela suffisait au bonheur de Peter et au mien. Son dard me faisait de plus en plus de bien en me pénétrant. Au grès de mon assouplissement nous avons pu varier nos positions et de ce fait se rencontrer ailleurs que dans la grange de ses patrons. Un soir de la fin août, nous étions en pleine campagne, Peter s'était allongé sur le dos et je lui ai taillé une bonne pipe. Il faisait très doux sous le ciel étoilé Peter avait retiré son t-shirt et moi je m'étais mis tout nu. Son dard pointait fièrement en dehors de sa braguette. J'avais sorti ses grosses couilles pour jouer avec elles. Viens t'assoir sur moi. Tu crois ? Oui, et c'est toi qui bougeras pour moi. Cette idée m'a amusé. Nous nous sommes préparés mutuellement et je me suis placé à califourchon sur le corps de mon amant. Dressé sur mes genoux, j'ai ajusté son gland sur ma rosette et je me suis laissé descendre. L'impression est formidable, j'ai bien senti bien le pilon rentrer dans mon cul distendu par mes cuisses écartées. Peter souriait en croisant ses mains derrière sa nuque. C'est toi qui fait l'boulot? Une fois que mes fesses ont reposé sur son bassin, je me suis mis à bouger comme un cavalier sur sa selle. Le gros chybre de Peter me ramonait le boyau au rytme que je choisissait. Ma queue raide comme d'accoutumée s'est mise à projeter des gouttelettes. En me penchant en arrière, j'ai senti un plaisir profond envahir mon ventre. Peu à peu j'ai accéléré la candence jusqu'à ce que Peter m'immobilise les hanches. Stop ! Quoi ? Tu vas m'faire jouir trop vite? Mais ça m'fait du bien. D'accord mais attend un peu? A contre c?ur, j'ai cessé de remuer. Par contre ma queue restait toujours aussi raide et mêmême, elle était agitée de soubresauts cadencés. Ben dis donc, t'as pas besoin d'dire qu'ça t'plaît ! Ben oui? Regarde ta queue. Elle bouge. Tu vois c'qui coule ? Ah oui. Comme quand je jouis. Tu as senti qu'ça venait ? Non. Bon? maintenant on peut continuer. Je me suis remis à m'agiter sur le pieu de Peter profondément fiché en moi. A chacune de mes descentes, mes petites fesses venaient cogner son bassin. Peter a pris ma queue dans sa main pour me masturber au rythme de mes propres mouvements. Le plaisir que j'avais senti naître est vite revenu. Peu à peu j'ai senti ma bite se durcir et frotter plus fort contre la hampe de Peter à la base de mon anus. Chaque coup que je frappais contre son ventre raisonnait en moi. Peter serrait ma queue dure comme du bois dans sa grosse pogne. Une crampe est née dans mon entre-jambes. J'ai senti une jouissance sèche revenir. Peter a vu mon visage se crisper. Ouaih p'tit gars? Tu viens ! ? Vas-y, j'me retiens ! ? Prends ton pied ! Peter secouait maintenant ma queue à une cadence accélérée. Une pression fulgurante a pris naissance dans mon ventre. Elle a gonflé ma bite, m'a resserré le cul. Soudain, il y a eu comme une explosion. Quelque chose de brûlant traversait ma queue prise dans l'étau des doigts de Peter. Un jet blanc l'a atteint en pleine figure. Tout mon bas-ventre s'est tendu en une bienfaisante contracture. J'ai à peine senti Peter me lâcher la queue. Ses grosses mains ont agripé mes hanches et je l'ai entendu râler pendant qu'il vidait ses couilles dans mon boyau. Le ciel étoilé m'est tombé sur la tête. Lentement, j'ai repris mes esprits. Je me suis senti tout mou, en même temps un fourmillement envahissait ma queue et mes couilles. Ca y est ! T'as giclé ! Ah ? Ben tiens? tu m'en as foutu plein la gueule ! ? Et moi j'ai joui rien qu'de t'voir ! En effet, mon foutre coulait le long des joues de Peter. Il s'est essuyé d'un revers de main puis il a pressé ma bite mollissante. Quelques gouttes épaisses et blanches on coulé sur la boucle de son ceinturon. Son visage rayonnait encore plus que le mien. Peter était heureux d'avoir pu assister à ma première vraie jouissance. Il m'a soulevé pour se dégager. Mes jambes étaient devenues faibles et le fourmillement continuait dans mon bas-ventre. Maintenant t'es un vrai mec ! Tu crois ? Ouaih, tu peux gicler comme les autres. Nous sommes restés songeurs pendant un long moment . Le silence de la nuit absorbait le bruit de nos battements de c?ur. Enfin Peter s'est essuyé la bite et s'est relevé. J'ai remis mes habits après m'être vidé dans l'herbe et bien essuyé. Nous sommes rentrés sans dire un mot. Au moment de nous séparer, Peter m'a juste dit : Merci p'tit gars ! Pourquoi ? Une première jouissance c'est un super cadeau. C'est grâce à toi. Il m'a tappé sur l'épaule en me donnant rendez-vous pour le surlendemain. Jusqu'à la fin des vacances, nous avons continué nos parties de baise un peu partout dans les environs. Peu à peu mes jouissances sont devenues plus régulières et plus abondantes. Peter se montrait de plus en plus attaché. Je sentais que nos rencontres étaient devenues une drogue pour lui. En tous cas elles l'étaient pour moi. A la rentrée, mes copains de classe m'ont fait remarquer que j'avais changé. L'un d'eux m'a dit qu'il voyait une ombre de moustache sous mon nez alors qu'un autre a trouvé que mon "paquet" était plus gros... Ils n'avaient pas si tort, malgré mes onze ans je n'étais plus vraiment un enfant.