Date: Wed, 28 May 2014 19:50:12 +0100 (BST) From: Adelard Dore Subject: Big Apple 1 Big Apple 1 Le père dans l'objectif Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html Quelques semaines après mon retour d'Égypte (voir la nouvelle Les mystères du Nil), il me restait encore plusieurs mois de congé sabbatique avant de retourner au travail. Comme je rêvais depuis longtemps de vivre plusieurs mois à New York, j'ai décidé d'aller m'y installer. À six ou sept heures de voiture de Montréal, ce serait facile de rentrer si j'en avais envie et même de revenir chez moi pour quelques jours à l'occasion. La « Big Apple », comme les New yorkais ont coutume d'appeler leur ville, offre toujours au visiteur d'un jour ou d'un an des plaisirs incomparables et des émotions inoubliables. Je savais qu'à Manhattan j'aurais toujours quelque chose à me « mettre sous la dent». Toutefois, j'ignorais encore dans quelle fantastique aventure je m'engageais. Je ne savais pas non plus dans quel étrange bateau j'allais m'embarquer. Quelques jours après mon arrivée et mon installation dans un petit studio de Brooklyn Heights, j'ai lu, dans un journal, une curieuse annonce. On était à la recherche d'une personne intéressée à rencontrer des hommes entre 20 et 40 ans pour les faire parler d'une expérience sexuelle à laquelle ils accordaient une grande importance, laquelle marquait ou avait marqué leur vie et qu'il sentait le besoin de raconter à quelqu'un pour soulager leur conscience ou leur mémoire. Pour que cela fonctionne, il fallait qu'ils aient peu de chance de revoir cette personne par la suite. Comme je ne m'attendais pas à prolonger mon séjour à New York au-delà d'une date ultime prévue, je me suis considéré comme un candidat idéal, surtout que j'avais déjà suivi une bonne formation en « écoute active » et que j'étais capable de faire parler quelqu'un en le mettant à l'aise, lui donnant ainsi une sorte d'attention affectueuse. J'étais aussi finalement très curieux. J'ai passé l'entrevue haut-la-main et j'ai décroché le poste. Je recevais ou visitais les « clients » aux heures convenues avec eux. Je pouvais donc prendre des rendez-vous durant les week-ends ou en soirée sans nuire aux activités que je souhaitais faire à New York. Mon premier « client » était un homme de trente-neuf ans qui avait vécu une expérience exhibitionniste et qui ressentait le besoin d'en parler. Ma première réaction fut que ce serait facile étant donné qu'un exhibitionniste devait tout naturellement avoir envie de parler de lui et de se révéler. J'ai dû me raviser quand j'ai compris qu'il s'agissait d'un homme marié, divorcé toutefois (père monoparental), qui avait donné des spectacles à son fils de dix-sept ans et qui se sentait coupable de l'avoir fait. Il y avait autre chose encore que la fiche d'inscription ne révélait pas complètement. La première rencontre ne fut qu'une prise de connaissance. Il fallait que chacun se sentît à l'aise et ait commencé à développer une sorte de confiance avant d'aborder le vif du sujet. Il vint donc chez moi car il ne voulait pas prendre le risque qu'on pût entendre ses confidences. En ouvrant, je fus saisi par la grande beauté de ce mâle. Il faisait un peu plus de six pieds (1.80m), il avait les cheveux bruns foncés, les yeux gris-bleus d'une incroyable douceur et quelques poils noirs jaillissaient de l'ouverture de sa chemise bleue pâle montrant sa forte virilité malgré la douceur de la figure. Il avait de fortes mains et des pieds qui semblaient magnifiques, larges et longs, coffrés dans des baskets format ultra-large. Sa voix était chaude et terriblement sensuelle; elle vous enveloppait de chaleur et de force. Je me suis surpris à songer que je voudrais bien que ce beau spécimen me donnât un show avant de partir. Mais mon attitude devait être professionnelle et sans attente. J'ai appris qu'il s'était marié à 20 ans et que son fils était né deux ans plus tard. Déjà sa femme buvait et prenait ses distances du foyer. Après bien des efforts pour la comprendre et la convaincre de modifier son genre de vie, il finit par décider de se séparer et le juge n'eut pas de mal à lui accorder la garde de son fils. Il l'éleva de son mieux. Il engagea une bonne pour voir aux repas et au ménage. C'était une brave portugaise, habitant juste à côté de chez lui, et cela lui faisait plaisir de rendre tous ces services pour presque rien. J'ai aussi appris que sa vie sexuelle, durant l'enfance de son fils, se limitait à la masturbation et à quelques rencontres avec des filles d'occasion. Il avait toujours eu aussi une attirance vers les hommes, qu'il avait rarement satisfaite, et qui ne faisait qu'augmenter par le célibat et la masturbation. Quand son fils eu atteint l'âge de 15 ans, il remarqua sa forte transformation physique et constata, par les longs moments qu'il passait à la salle de bain ou aux WC, qu'il avait commencé lui aussi à se donner du plaisir. Un jour, presque deux ans plus tard, la domestique portugaise devant s'absenter pour des raisons familiales, Stephen (c'était le nom de mon client) qui était de plus en plus impressionné par le physique de son fils et qui se sentait attiré par lui, en profita pour aller jeter un coup d'œil dans la chambre de son fils et investiguer ses secrets. Il trouva sous le lit une chaussette qui devait vraisemblablement servir de « cum rag » (tissu absorbant le sperme après une branlette) car elle était toute empreinte de sperme séché. Il trouva aussi, sous une pile de vêtements, dans un tiroir, deux revues pornos. La surprise la plus grande fut de constater que les revues étaient des revues gays. On y voyait des gars se masturber, se sucer et s'enculer. Cette découverte produisit un double effet sur Stephen. Premièrement, elle éveilla en lui des désirs qu'il n'avait pas souvent satisfaits mais dont il avait souvent rêvé et, deuxièmement, elle lui donnait de bonnes indications sur l'orientation sexuelle de son fils. Après avoir parcouru les photos et respiré la chaussette servant de « cum rag », Il ressentit sourdre en lui, comme une vague de fond, véritable tsunami, l'idée, immédiatement obsessionnelle, qu'il devait séduire son fils. Au moins voulait-il exciter ses désirs sexuels par la découverte non seulement du corps mais de la sexualité de son père. Tout devenait maintenant une affaire de méthode voire de tactique. Dès la rencontre suivante, Stephen était plus à l'aise. Il me raconta comment il débuta les opérations. Comme il rentrait toujours à la maison une demi-heure environ avant son fils (Danny surnommé Dan) il lui était facile de mettre en place un certain « setting » (arrangement) pour faciliter ses buts. Le congé de quelques semaines, et qui avait débuté trois jours plus tôt, de la domestique portugaise allait peut-être lui faciliter les choses. Dès le lendemain de sa découverte du « cum rag » et des revues porno gays dans la chambre de son fils, en rentrant à la maison, il transporta son linge sale de sa chambre vers le panier à lessive situé près d'un placard juste au haut de l'escalier. Il prit bien soin de laisser tomber stratégiquement une des chaussettes qu'il avait portées toute la journée et son slip boxer, celui, bien sûr, sur lequel il était resté assis à sa table de travail également toute la journée et qui devait contenir un peu de ses odeurs intimes. Contrairement à son habitude, il passait souvent un jeans et un t-shirt après le travail, il enfila un survêtement en coton molletonné sans sous-vêtement pour mieux laisser voir ses formes. Il se déplaça devant le miroir de sa chambre pour vérifier les résultats et il vit clairement que le survêtement montrait le gonflement produit par son pénis. On le voyait ainsi se promener de droite à gauche et de gauche à droite selon les mouvements de la marche. Il espérait bien qu'on le verrait monter et descendre selon qu'il bande ou débande. Après avoir testé l'effet possible, il descendit au salon, alla se servir une bière, ouvrit la télé et attendit le retour de Dan. Après les salutations et les questions habituelles sur la qualité de la journée, Dan remonta l'escalier pour aller aussi se changer. Stephen entendit qu'il s'arrêta sur le haut de l'escalier comme s'il venait de découvrir quelque chose d'anormal. Le cœur de Stephen battait la chamade. Si Dan poursuivait son chemin, tout serait peut-être à recommencer. S'il ramassait les « reliques » de son père et les mettait dans le panier, tout était perdu. Mais s'il les ramassait et les amenait dans sa chambre, la première étape était franchie. Sans doute y eut-il un moment d'hésitation de la part de Dan. Puis, Stephen entendit la porte de la chambre de son fils se refermer complètement contrairement à leur manière habituelle de laisser les portes entrebâillées. Lentement, Stephen monta l'escalier pour jeter un coup d'œil sur le parquet du couloir. La chaussette et le boxer avaient disparu et n'étaient pas dans le panier à linge sale. Le cœur lui débattait comme s'il eut voulu sortir de la cage thoracique. Il imaginait l'usage que son fils était en train de faire de ses « trésors ». Il l'imaginait tout nu sur son lit avec le boxer ou la chaussette retournée sur la figure, prenant de grandes respirations tout en se branlant. Il ne se contenait plus. Il se dirigea vers sa propre chambre, laissa la porte entrebâillée, comme d'habitude, se plaça devant la grande glace de la porte du placard à côté de son lit, baissa son survêtement et découvrit sa belle queue toute bandée qui demandait d'être soulagée des pressions accumulées depuis plusieurs jours et par la situation actuelle. Il se masturbait lentement depuis plusieurs minutes quand il entendit la porte de la chambre de Dan s'ouvrir. Il eu envie de poursuivre sa branlette et de prendre le risque souhaité d'être surpris par son fils. Mais il ne voulut pas trop précipiter les choses et remonta son survêtement. Sa queue toutefois restait toute bandée et par conséquent très visible derrière le tissu. Quand Dan passa devant la porte de sa chambre, Stephen sortait de la sienne. Il était évident à lire l'expression sur la figure de chacun que chacun avait une bonne idée de ce que l'autre venait tout juste de faire ou de tenter de faire. Les deux rougirent intensément. Mais aucun ne fit la moindre allusion aux vêtements trouvés par terre qui auraient dû normalement prendre le chemin de la lessive. Mais Dan ne fut pas long à se remettre de sa réaction émotive, assez rapidement en tout cas pour dire à son père : « Eh! Dad! Il y a sûrement longtemps que tu ne t'occupes pas de toi! Il y a quelque chose dans ton survêtement qui crie `Au secours' ». Il se mit à rire en descendant l'escalier. Stephen était à la fois gêné et satisfait de la remarque de son fils. Gêné parce que c'était la première fois que Dan faisait un commentaire à connotation sexuelle concernant Stephen et satisfait parce qu'elle était la preuve qu'il n'était pas indifférent à sa queue bandée. Il restait toutefois perplexe et démuni quant à la démarche suivante à faire. Au cours du repas, la queue de Stephen dans son survêtement bandait et débandait à un rythme inhabituel. Quand la conversation portait sur les événements banals de la journée, Stephen débandait. Quand un moment de silence lui rappelait la remarque de Dan dans l'escalier et la disparition de sa chaussette et de son boxer, il rebandait. À chaque fois qu'il se levait pour aller au frigo ou à la cuisinière, il remarquait que le regard de Dan portait directement sur la bosse dans son survêtement. Ce regard ne faisait qu'en augmenter le volume tant le désir de provoquer son fils était excitant. Il remarqua aussi que Dan prenait une respiration lente et profonde à chaque fois qu'il s'approchait de lui pour le servir ou enlever un plat vide. Il comprit très vite que Dan tentait sans doute de retrouver sur son père l'odeur qu'il avait découverte plus tôt en sniffant son slip ou sa chaussette. Il remarqua aussi une bosse dans le jeans de Dan, mais la mode des pantalons très larges à taille basse ne permettait pas aux formes de bien se découper. Après le souper, Dan remonta à sa chambre pour étudier et Stephen s'installa devant la télé. Mais son esprit était ailleurs. Il n'arrivait pas non plus à se débarrasser de son érection. Il lui fallait faire quelque chose. Il remonta dans sa chambre et remarqua que la porte de la chambre de son fils était bien seulement entrebâillée comme d'habitude. Il entra dans la sienne, la laissa aussi entrouverte, alluma quelques bougies, vint se placer debout devant son miroir pour admirer son corps d'athlète et super sexé et lentement baissa son survêtement. Il souhaitait de tout son cœur que Dan se lève et vienne le regarder. Si Dan se plaçait dans l'embrasure de la porte, le miroir lui renverrait toute la scène sans être vu. Et même si Stephen décidait d'aller s'étendre sur son lit, le miroir couvrant toutes les portes du placard, donnait une vue complète de la chambre et du lit de Stephen. Dans tous les cas, il savait que son geste était très osé. En se penchant pour regarder ses propres pieds qui l'avaient toujours allumé sexuellement (il avait souvent passé de longs moments à les lécher), il vit un morceau de tissu dépasser du seuil de la porte du placard qui avait été légèrement ouverte. Il regarda et découvrit sa chaussette. Il se pencha pour la ramasser et sentit qu'elle était toute collée et encore un peu gluante. Son fils avait joui dans sa chaussette! Son cerveau faisait mille tours. Il n'arrivait plus à se concentrer et à voir clair. Mais l'excitation était trop grande. Il lécha la chaussette avec frénésie tant parce qu'elle avait conservé sa propre odeur de pied qui le faisait tant bander que parce qu'elle contenait le sperme de Dan. Mais surtout, la chaussette était la preuve que son fils qu'il excitait bien son fils et que tout ce qu'il pourrait lui montrer de lui-même, de ses plaisirs solitaires, de ses jouets sexuels, et plus il lui en montrerait justement, plus son fils en baverait de plaisir. Oubliant toute prudence, mais surtout excité par l'imprudence, il oublia la porte entrouverte. Il arracha son survêtement et son t-shirt et, totalement nu devant le miroir, il attrapa sa grosse queue et se branla avidement tout en respirant sa chaussette. Il y découvrait derrière l'odeur consistante et tenace du sperme, une odeur plus subtile de pénis de garçon. Dan s'était donc masturbé avec la chaussette sur sa queue. Il avait déchargé dedans puis, quand il était remonté pour étudier, il était venu la placer dans le placard pour être sûr que son père la verrait. Cela ne faisait nul doute. Stephen ne prenait même plus le temps de regarder son beau corps dans la glace. La sensation était trop forte et il avait trop attendu pour jouir. Il se branlait à grands coups et laissait échapper des ahhhh! ahhhh! ahhhh! Il oubliait qu'il n'était pas tout seul. Il pliait les genoux et, la face couverte de la chaussette, la branlette devenait frénétique. Envahi par ses sensations, il n'entendit pas le craquement du parquet dans le couloir. Lorsqu'il sentit monter la sève, il lâcha la chaussette et regarda droit dans le miroir juste à temps pour se voir jouir à grandes giclées sur la glace. Il regarda un moment les coulées de sperme puis se pencha pour en lécher une bonne partie. Il adorait bouffer son jus. C'est alors qu'il se rappela que la porte était entrouverte. Il entendit des pas rapides dans le couloir, puis la porte de la chambre de Dan se referma complètement, en laissant derrière elle un claquement sec qui se voulait certainement volontaire. Dan avait tout vu et il avait voulu que son père sache qu'il avait tout vu. Stephen ne dormit pas beaucoup cette nuit-là. Il se demandait comment il allait aborder son fils le lendemain matin. N'arrivant pas à trouver une façon de l'aborder, il décida de se lever une heure plus tôt, de faire sa toilette, de prendre son petit déjeuner en vitesse et, au moment de quitter la maison, du bas de l'escalier il lança à Dan : « Dan! Je dois être au bureau plus tôt ce matin. Il est l'heure de te lever. J'ai fait du café et il y a tout ce qu'il faut pour déjeuner ». Il entendit une voix étouffée par le sommeil lui répondre : « O.K.! Bonne journée Dad! » . Cette simple phrase le rassura. Pendant le reste de la semaine, aucun des deux ne fit la moindre allusion à ce qui s'était passé. Mais, la fraîcheur des relations n'était plus là. Une sorte d'ombre flottait dans la maison et un lourd silence régnait entre les courtes phrases nécessaires à la vie en commun. Stephen pensait parfois que, s'il avait retrouvé sa chaussette dans son placard, il n'avait toujours pas retrouvé son boxer. Il n'osait pas investiguer la chambre de Dan de peur qu'en déplaçant un objet par hasard il ne donne un indice de ses « perquisitions ». Le week-end s'annonçait difficile. Habituellement, le vendredi soir, Stephen profitait de l'absence de Dan qui visitait son bon copain Eddy, pour se payer une bonne soirée de branle avec ses vidéos ou avec sa webcam. Il s'était fait quelques copains de webcam avec lesquels il partageait de bonnes branlettes, confortablement installé dans son bureau du sous-sol où Dan n'allait jamais sans que cela ne fut explicitement interdit. En fin d'après-midi ce vendredi-là, Dan téléphona à Stephen pour lui dire qu'il dînerait chez son copain et qu'il ne rentrerait que vers 23 heures. Le champ était donc libre pour une soirée intime. Après un léger repas, Stephen décida de profiter de l'absence de son fils pour tenter de retrouver son boxer. Quelle ne fut pas sa surprise de voir, en entrant dans la chambre de Dan, le boxer qu'il n'avait pas espéré trouver facilement être franchement disposé sur le lit. Il le prit et, le cœur inondé d'espoir et d'excitations, le regarda. Il avait été utilisé comme « cum rag » à plusieurs reprises. Son fils avait joui dans son sous-vêtement plusieurs fois. Il y avait du sperme sec, très sec, moyennement sec et encore un peu collant sur toute la surface. Seule la place où avait frotté sa queue et celle de son cul était intact de sperme comme si Dan avait voulu protéger les effluves de son père de toute contamination. Stephen porta à son nez le boxer plein de décharge et sa queue répondit en se dressant toute dure comme un obélisque. Il l'emporta avec lui pour sa branlette du vendredi soir en se promettant bien de le remettre sur le lit de Dan avant son retour. Il descendit au sous-sol et ouvrit son ordinateur pour y lire ses courriels. Lorsqu'il accéda au site qui lui donnait accès à ses copains de webcam, il remarqua un message d'un nouvel intéressé. C'était un jeune homme qui disait avoir dix-sept ans, être châtain clair aux yeux noisette et avoir une belle queue de 18cm avec de belles couilles reposant dans une grosse et solide poche à la peau tendue. Le jeune homme qui disait avoir lu et vu son profil sur l'archive se montrait très intéressé à une bonne branle vers minuit ce soir-là. Stephen était très excité à l'idée de se masturber avec un beau jeune de 17 ans qui paraissait ressembler à son fils, mais à minuit Dan serait de retour, il n'aurait donc pas la même intimité. Aussi comment allait-il faire pour attendre jusque là après plusieurs jours d'abstinence et après avoir retrouvé son boxer plein du foutre séché de Dan. Il résolut de se masturber lentement avec le boxer tout de suite pour enlever ses tensions et pour faire en sorte que la branlette de minuit avec le jeune homme ne se termine pas après deux au trois minutes à cause de la trop grande pression dans ses couilles. Il voulait une branlette longue et cochonne avec le jeune. Il répondit donc affirmativement à l'offre de minuit. Il nota le surnom du jeune homme « SUN » (Soleil). « Le soleil de ma journée » murmura-t-il en guise d'image pour plus tard. Il mit une vidéo porno dans le lecteur et se branla lentement tout en sniffant son boxer et en léchant le sperme, sec par endroits et encore humide en d'autres endroits, de son fils. Quand il éjacula, il ramassa, par distraction, son sperme avec son boxer. Il prit conscience tout à coup qu'il avait oublié qu'il avait résolu remettre son boxer sur le lit de Dan. Son cœur fit double tour. Puis, il se calma et conclut qu'il allait suivre son plan initial. Car, si Dan remarquait que le boxer était au même endroit, il ne verrait peut-être pas la différence entre ses propres traces de sperme et les toutes fraîches de son père. Au contraire, si le boxer n'était plus là, le viol de la chambre serait plus évident. Il enfila un survêtement et un t-shirt, se servit une bière et alluma la télé en attendant que son fils arrive vers 23 heures et de rencontrer son partenaire de webcam à minuit. Quand Dan entra, il trouva son père devant la télé. Il le salua timidement comme c'était devenu la coutume depuis quelques jours et monta dans sa chambre. Contrairement toutefois à son habitude, Dan ferma complètement la porte de sa chambre. Comme il avait dit à son père qu'il était fatigué, Stephen conclut qu'il ne voulait pas être ennuyé par le bruit de la télé. Stephen descendit donc paisiblement dans son sous-sol et entreprit de rejoindre son nouveau contact vers minuit après s'être excité à regarder des photos érotiques sur des sites gays. Il allait donner un show de branle de substitution à un beau jeune homme châtain comme son fils sans avoir à vivre tout le stress de tenter de le faire avec son vrai fils. Quelques minutes avant minuit, il réussit à prendre contact avec le SUN en question, mais d'abord sans caméra. Ils clavardèrent quelques minutes, histoire de faire mieux connaissance. Sun lui apprit qu'il était fou des hommes dans la trentaine, grand mince aux cheveux noirs et aux yeux bleus. Il ajouta qu'il avait rêvé de lui dès qu'il avait vu son profil et qu'il s'était masturbé sur sa photo à quelques reprises. Stephen lui demanda aussi une photo. Elle arriva quelques secondes plus tard. C'était un garçon splendide : grand mince aux yeux pâles avec une figure d'ange mais à l'allure très masculine. Finalement, ils décidèrent de mettre les webcams en opérations. Mais Stephen fut surpris de ne voir que le bas du corps du garçon. Il était assis sur un fauteuil d'ordi, portait un short et un t-shirt mais on ne voyait pas sa figure ni son corps au complet. Le garçon déclara qu'il était plutôt timide et que,... pour une première fois... mais on verrait peut-être selon le déroulement de la rencontre...plus tard, si Stephen le provoquait beaucoup...il lui révélerait peut-être tout...que pour tout de suite, il devait se contenter de la photo et du plan de la poitrine aux pieds. Un peu déçu, mais nourri de l'espoir de le faire changer d'avis, Stephen pour sa part se montra au complet. Lentement, mais assez rapidement tout de même, les t-shirts sautèrent et le short, comme le survêtement se retrouvèrent sur le plancher. Sun demanda à Stephen de reculer son fauteuil pour qu'il puisse bien le voir et de se caresser la queue pour bien la faire se découper sur le tissu du slip. Stephen, voyant le slip déjà ultra bandé du jeune Sun, obéit à la demande avec la photo du jeune Sun sur le bureau et l'image de son fils Dan dans la tête. « Maintenant que je vois que tu es bien bandé, écrit Sun, enlève ton slip et montre-moi ta belle queue et ta grosse poche de couilles ». Stephen obtempéra encore sans protester. Il était excessivement excité de se montrer ainsi à un jeune homme et d'obéir à ses demandes. « Branle-toi! dit Sun et, une ou deux minutes plus tard, il ajouta : Mets tes talons sur le fauteuil, écarte bien les jambes et laisse-toi descende un peu sur le siège pour que je puisse bien voir ton cul ». Stephen était aux anges. Jamais il n'aurait pu imaginer que Dan lui demandât une pareille chose et c'est ce qu'il désirait. Sun lui offrait un palliatif à la gêne de Dan ou à sa résistance bien naturelle étant donné leur lien de parenté. « Écarte le pli de tes fesses et caresse bien ton cul » poursuivait Sun. Stephen se laissa aller et n'attendit bientôt plus les ordres de Sun pour lui donner un show. Il releva les jambes davantage, caressa le pourtour de son cul avec son index longuement et lentement, puis, il porta son index sous ses narines pour le sniffer et dans sa bouche pour l'humidifier. Sun poussait son corps vers l'arrière comme pour prendre son souffle devant ce geste excitant et inespéré et tapa sur son clavier : « Approche ton doigt vers la caméra comme si tu voulais me le faire sentir et ensuite, je veux te voir le lécher. » C'était tellement cochon que Stephen avait peine à croire qu'un jeune de dix-sept ans puisse être aussi pervers. Stephen s'exécuta selon le vœu de Sun puis, il se mit à genoux sur son fauteuil et enfonça un doigt, puis deux dans son cul et se laboura le trognon durant plusieurs minutes. Il voyait Sun se tordre sur son fauteuil quand il tournait la tête vers l'écran. Mais, curieusement, au grand dam de Stephen, Sun ne retirait pas son slip. Il se contentait de caresser sa belle bite à-travers le tissu. Il écartait les jambes et montrait son entrejambe, sa poche toute gonflée dans le slip, mais pas de chair nue en vue. Stephen sortit un gode de son tiroir et, après s'être bien lubrifié, se pénétra avec un râle de satisfaction. L'arrière des genoux sur les bras du fauteuil, le cul par en avant, il enfonçait le gode tout en regardant Sun sur l'écran. « À quoi penses-tu en ce moment? » lui demanda Sun. « À toi, répondit franchement Stephen, mais aussi à mon fils Dan auquel j'ai envie depuis longtemps de donner un show et que j'aimerais bien voir prendre son pied comme toi en me regardant faire. Mais, j'aimerais bien aussi pouvoir constater qu'il prend vraiment son pied en le voyant se branler...et toi aussi, j'aimerais que tu te branles. » « D'accord! » répondit Sun et il baissa son slip montrant une superbe queue bandée, longue et large, avec une touffe de poils brun clair autour et un beau gland gonflé. Il entreprit de se branler dès que le slip fut enlevé. « Bravo! cria Stephen. Montre-moi plus! » « Pas tout de suite, répliqua Sun, je veux d'abord te voir jouir ». Anxieux de voir la figure de Sun, Stephen modifia le rythme de sa masturbation en l'accélérant. Il retira le gode dans son cul, y planta ses doigts, puis enfonça de nouveau le gode tout en se branlant plus fort. Il lâcha le tout pour écrire à Sun qu'il était au bord de jouir. Sun aussi accéléra le rythme de sa branlette. Après une ou deux minutes, les deux étaient au bord de l'éruption. Stephen d'abord, mais Sun tout de suite après, ouvrit les écluses et des torrents de lave de sperme jaillirent autant du volcan de Stephen que de celui de Sun. « C'était super! » écrit Sun. « Oh! Oui », répondit Stephen qui remarqua une certaine ressemblance entre le boxer avec lequel Sun s'essuyait et celui que son fils Dan lui avait dérobé et dans lequel il avait joui en début de soirée. « Hé Sun, lui écrivit-il, le boxer qui te sert de « cum rag » est semblable à celui que mon fils m'a dérobé dernièrement! » « Vraiment! dit innocemment Sun. Et Stephen ajouta : « You are my sun! (tu es mon soleil) » en faisant un jeu de mot avec sun le Soleil et Sun le surnom de son partenaire de webcam. « Tu ne crois pas si bien dire, ajouta Sun, car « I am your son (je suis ton fils) » faisant à son tour un jeu de mot avec l'homophonie de sun et de son en Anglais. Et, en terminant d'écrire cette phrase, Sun recula son fauteuil pour que Stephen ait enfin une vue complète de celui qui venait de jouir, et Stephen reconnut Dan, son fils et le décor de sa chambre dans laquelle il s'était réfugié en revenant vers 23 heures. La photo transmise par internet était une fausse photo décrochée sur le net. En me racontant ces dernières phrases échangées entre lui et son fils après la branlette sur webcam, Stephen avait de la difficulté à respirer. Il semblait revivre ces événements dans deux sens. D'une part, il les revivait brutalement en les racontant pour la première fois à quelqu'un et, d'autre part, il semblait encore sexuellement excité comme le jour où cela s'était produit. On convint d'un autre rendez-vous pour le jeudi. À suivre... Big Apple 2;Prochain épisode : Le père sur la sellette ALEXANDRE