Date: Fri, 27 Jun 2014 02:07:25 +0100 From: Adelard Dore Subject: Big Apple 16 Big Apple 16 Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html La petite perle noire des Antilles Après cette torride session de sexe avec les quatre garçons, Mark commença à s'inquiéter parce qu'ils demeurèrent silencieux durant toute une semaine; pas de visite, pas de téléphone...rien. Les avait-il épouvantés par ses audaces? Avaient-ils trouvé mieux ailleurs maintenant qu'ils se sentaient plus à l'aise de `frayer' plus librement et de draguer sans doute plus ouvertement. Finalement, un après-midi, Ricardo se pointa à la porte de chez Mark avec un tout jeune garçon (Mark apprit plus tard qu'il n'avait que 14 ans), beau comme l'ange noir d'Ottobeuren (église baroque de Bavière dont un petit ange, très célèbre, est tout noir pour marquer l'universalité du message évangélique). C'était un joli garçon tout mignon, mais solide comme le sont souvent les adolescents Noirs. Il avait les yeux grands comme des billes de catégorie supérieure qui faisaient en sorte que son visage n'était que regard. Il semblait avoir la peau douce comme du satin et brune comme un hâle profond et tenace. Il était mulâtre comme la plupart des Portoricains, mais son jeune âge, faisait en sorte qu'on ne savait pas trop s'il allait faire un jeune homme Noir, Chocolat ou Café au lait. Il était plutôt petit mais son corps était déjà découpé juste ce qu'il fallait cependant pour mêler les perceptions à savoir si c'était un enfant ou déjà un homme. Il n'avait pas d'âge. Il aurait fallu voir sa carte d'identité pour être fixé. Mais ce qui fascinait le plus Mark, c'était le derrière de ce garçon. Il avait des fesses `bondissantes' dans son short et relevées comme si elles eussent été soulevées par un levier et maintenues haut et en place par une sorte de treuil invisible accroché à ses reins. Et tout ça se séparait au centre pour suggérer une craque splendide comme une vallée sauvage dont la forme supérieure formait un `Y' parfait. La barre du bas (du Y) s'avançait vers l'avant, et la partie inférieure formait un «i» d'écriture cursive, dont les côtés seraient arrondis exagérément comme deux pieds d'aubergine et dont le point sur le `i' servait à indiquer la direction du paradis. Au temps des Grecs anciens, il aurait été un éphèbe noir digne de faire parti du `cheptel' masculin d'Alexandre le grand que le grand Roi des Grecs aurait volé, bien sûr, au harem de garçons de son rival, Darius, Roi des Perses. Si le regard du garçon emplissait toute sa figure haute, sa figure basse n'était que lèvres sensuelles. Roses avec des reflets rouges et bleus, sa bouche cherchait à tout aspirer et à tout boire comme celle des nouveaux nés. Mark était sans voix. Son cœur battait à tout rompre. Il voulait plus que tout au monde parcourir ce trésor. Il voulait percer ce regard de télescope, scruter ses parties intimes et pénétrer cette bouche, large comme l'estuaire de l'Amazone, lui aspirer la bite comme si elle n'était qu'une pirogue. Il voulait vivre cette aventure sauvage à tout prix. Il ne savait pas encore que justement elle était coûteuse. Ricardo présenta son jeune compagnon à Mark. La merveille s'appelait Luis. Ricardo s'excusa de ne pas avoir donné des nouvelles plus tôt, mais il avait fait plein de choses entre copains...et ses frères avaient organisé une petite partouse pour Rico et lui. Ils se proposaient d'ailleurs de fonder un groupe spécial, un nouveau genre de Jack off Club avec soirées initiatiques. Il allait inviter Mark à ces futures rencontres. Mais pour l'instant, il avait des courses à faire. Il allait laisser son copain Luis avec lui pour qu'ils s'amusent un peu ensemble et il reviendrait le prendre dans une heure ou deux. La porte était à peine refermée derrière Ricardo que Luis lança : «Qu'est-ce qu'on fait? Il paraît que tu es très cochon. Ricardo m'a dit que tu aimais jouer avec ton cul. C'est vrai? » Mark était pantois. Il ne savait pas quoi répondre. Il opta pour une approche délicate : « Tu sais Luis, la plupart des hommes aiment jouer avec leur queue et parfois leur cul. Oui! Je l'avoue, j'adore me branler et surtout me branler avec un copain. Tu le fais toi avec des copains?» Pour toute réponse à sa question, Luis établit les conventions : « Pour jouer avec ma queue, lécher mon cul et se branler avec moi, c'est $50. Pour mettre un doigt dans mon cul, c'est $70. Pour m'enculer c'est $100. » C'était tout à fait nouveau et ça sentait le complot. Ricardo allait sûrement empocher une bonne part de cet argent et Luis allait de toute manière se sentir floué. Ainsi, l'extraordinaire aventure que représentait Luis risquait de s'avérer une expédition manquée dans la jungle. Le brigand Ricardo raflerait tout l'argent gagné par le «Bon Sauvage». Il fallait réagir vite et faire à Luis une contreproposition dans laquelle il se sentirait gagnant. Peut-être ainsi s'abandonnerait-il davantage et livrerait-il ses «trésors» au courageux aventurier Mark. Il eut tout à tout un éclair de génie. «Écoute Luis, comme je te trouve bien beau et super sexé, je vais te donner $200, mais ne le dis pas à Ricardo. S'il te demande ce que je t'ai donné, tu diras $70. Tu mettras l'argent dans deux poches différentes. » Luis devint tout sourire. Son visage s'illumina. Il avait tout compris et Mark n'avait pas besoin de lui donner de cours pour apprendre comment mentir; il vivait dans un monde où le mensonge était une vertu, un signe d'intelligence et de sagacité. Tout de suite, il dit : « On va dans la chambre ou on fait ça ici? » À $200 la passe, Mark préférait la chambre. Il fit passer Luis devant lui et le cœur sauta un bon quand il vit ses belles fesses massives et fermes bouger dans son short pendant la courte marche du salon et la chambre. Parvenu à la chambre, Luis ne savait plus ce qu'il devait faire. Même s'il affichait un air de sécurité et de certitude expérimentée, le cœur lui débattait et son innocence étouffée par l'audace menaçait sans cesse de refaire surface. Pour résumer la situation, on pourrait dire qu'il était à l'aise avec frayeur. Il désirait cet homme encore jeune et sexy, mais son inexpérience et son très jeune âge lui donnait des craintes féroces de ne pas pouvoir être à la hauteur de son partenaire. Il ne pouvait pas imaginer que Mark était si possédé précisément par le désir de son apparente innocence qu'il n'attendait rien de sa performance. Juste toucher, sentir, caresser, lécher, découvrir, c'était comme une audience privée avec la reine d'Angleterre. Cela, Luis était trop jeune pour le comprendre. Mais le fait même qu'il ne comprenait pas cela ajoutait à son charme, lui donnait l'air ingénu des vierges, l'audace des néophytes, la prudence des téméraires et la timidité des braves. Autant de grâces qui ne faisaient qu'augmenter son charme aux yeux de Mark...comme aux yeux de plusieurs d'ailleurs. «Qu'est-ce qu'on fait?» cria-t-il abruptement à Mark dès qu'il eut passé le seuil de la chambre. «Je veux te déshabiller moi-même» dit Mark. Il fit assoir Luis sur le bord du lit et commença par lui retirer ses baskets. Les chaussettes blanches étaient très propres. Il avait prévu le coup et avait prit soin de son hygiène. Il n'aurait pas voulu pour un lingot d'or être gêné par son odeur corporelle et provoquer un recul de Mark. Il ne le connaissait pas encore et ne pouvait pas savoir que cela lui aurait plu de pouvoir le sentir davantage au naturel. Toutefois, Mark apprécia les efforts de Luis pour paraître digne de lui et il l'aima tout de suite. Mark approcha les pieds et les chaussettes de Luis près de ses narines. C'était propre et ça sentait encore un peu le détersif. Mais, par delà les odeurs synthétiques, il y avait cette persistante odeur acide et sombre si caractéristique des pieds d'homme en général mais plus prononcée encore chez les ados en particulier. Mark enleva les chaussettes de Luis avec ses dents et entreprit de lui lécher les pieds. Malgré les terribles chatouillements, Luis semblait apprécier l'hommage. Puis, Mark enleva les nombreuses pelures de vêtements de Luis : le blouson à franges comme les trucs amérindiens, le kangourou à capuchon, le gilet en coton molletonné également avec un capuchon, le pull et finalement le t-shirt avec la tête de Bob Marley en vert, rouge et noir. Il découvrait une poitrine magnifique, glabre, hâlée avec des tétins redressés et durcis par l'excitation. Il dénoua la ceinture, baissa la fermeture éclair, retira le bleu jeans et découvrit une queue bandée au max qui agissait comme un mât de misaine dans la tente formée par son boxer. Il retira le boxer et la merveille apparut dans toute sa splendeur. Luis était comme le canevas d'un corps parfaitement découpé. On voyait bien que chaque muscle était saillant et découpé, mais il était encore trop jeune pour que tout cela prît du volume. Il était comme une fleur dont le bouton éclate et qui laisse apparaître toute la richesse des couleurs qu'elle étalera bientôt pour attirer les insectes. Les Grecs anciens auraient donné leur vie pour déguster ce corps, ne serait-ce qu'une seule nuit. Socrate aurait reprit du poison pour se le taper. Et tout cela dégageait une odeur générale sublime de jeune garçon, qui malgré la propreté certaine, restait évidente pour des connaisseurs. Il sentait le jasmin vieilli ou le lotus fraîchement cueilli. Il avait eu chaud sous ses tas de vêtements et le corps avait lâché quelques humeurs secrètes et rares. La belle queue pointue et solide de Luis indiquait à Mark le chemin qu'elle souhaite lui voir prendre. Il avança doucement sa bouche de ce morceau de roi, long à souhait malgré sa toute récente expansion caverneuse , mince, mais laissant voir des velléités d'élargissement futur incontestable, dure et solide comme un fruit vert, juteuse et glissante comme une glace au soleil, le soleil du désir et de l'excitation, rose tendre comme des myosotis au printemps. Quand Mark prit la queue de Luis dans sa bouche, celui-ci émit un long gémissement comme s'il attendait ce plaisir depuis le ventre de sa mère. C'était peut-être sa première fois...en tout cas, la première avec un homme mûr. De cela, Mark en était presque certain. Il le suça durant de longues minutes savourant chaque côté de cet illustre totem de corail, recueillant sur ses lèvres les sucs préparatoires à la saignée finale et berçant ses narines des effluves de lotus frais mêlés à la sueur fabriquée par l'intimité et par des désirs trop longtemps contenue sous le bleu jeans. Au milieu de ses spasmes d'excitation, Luis releva un peu le torse et observa Mark lui bouffer le cône de glace à saveur de pêche. Une sorte de prise de conscience de l'anormalité de cette situation le força à dire sur un ton qui ne laissait pas prise à une objection : « Moi aussi, je veux te voir tout nu! Montre-moi ta queue et ton cul!» Presque à contre cœur, Mark se détacha du pénis du garçon, se releva et se déshabilla complètement devant les yeux davantage exorbités de Luis, en autant qu'il fut possible qu'il y ait autre chose que des yeux dans cette figure et qu'ils puissent être autrement qu'exorbités. Luis se redressa pour s'assoir sur le bord du lit et agita son index par petits coups pour signifier à Mark de s'approcher. Il attrapa la queue de Mark dans sa main et la porta rapidement à sa bouche. Lui aussi voulait goûter au bonbon. Inexpérimenté mais naturellement habile, Luis trouva rapidement la façon de faire la plus commode et la plus agréable aux deux. Mark n'arrivait pas à croire qu'il se faisait sucer par un jeune garçon portoricain de 14 ans. C'était un fantasme qu'il avait toujours cru impossible. Après un bon cinq minutes de dégustation, Luis proposa lui-même qu'on s'allongeât sur le lit et qu'on prît la position 69. Mark était au bord de jouir et faisait des efforts considérables pour se retenir afin de ne pas rater le deuxième acte. Mark prit l'initiative de relever une jambe de Luis tandis que ce dernier lui léchait la bite à grands lippées juteuses. Il enfonça sa figure derrière le scrotum et avança sa langue vers sa craque de cul comme une couleuvre se glissant sous les fagots. Quand il toucha la cible, il entendit un bruit de raté dans les gémissements de Luis comme un moteur qui reprend son énergie à l'ajout d'un litre d'huile. Il parcourut ce qu'il se représentait comme le 8è cercle de l'enfer (en pensant au cercle des sodomites dans l'Enfer de Dante) et le trouva si délicieux qu'il comprit mal que Dante l'ait placé dans l'Enfer au lieu du Paradis. Aromatisé au gel de douche à saveur de concombre, le cul de Luis recelait une odeur de terre noire fumante et printanière enrobée de multiples saveurs d'agrumes qui le rendait piquant, épicé, doux-amer et humide comme un bouquet de fleurs arrangé à la japonaise où les couleurs, les textures, les formes et les parfums se complètent, s'équilibrent, s'harmonisent pour faire croire à la sérénité parfaite et donner envie de le regarder et de le respirer pour l'éternité. Quand Mark y introduisit son doigt, le moteur interne de Luis augmenta son ronronnement. Comment fallait-il interpréter ce nouveau bruit? Mark décida de ne pas s'en occuper. Peu à peu le ronronnement devint de plus en plus fort mais, c'était le cas de le dire, tout semblait cependant rouler dans l'huile. Les sons étaient soutenus et réguliers. Ils devinrent ensuite plus sourds et plus profonds, mais toujours harmonieux et ronds. Mark se redressa, tourna Luis de côté et pointa sa queue en direction du «bouquet japonais». Quand il tenta de le pénétrer, le moteur poussa un grincement terrible et, pour ne pas faire sauter la machine, il fallut à regret se retirer. «Pas ça!» dit Luis et il ajouta : « En tout cas, pas maintenant. Pas aujourd'hui! Je ne suis pas habitué. Je n'ai jamais fait ça! Une autre fois peut-être». Il avait ressenti la pénétration comme suffisamment douloureuse pour qu'il en arrêta l'exécution, mais étonnamment assez excitante pour qu'il en différât l'application. Il ne fermait pas la «porte» définitivement. Il ne voulait simplement pas de visiteur ce jour-là, la maison n'étant pas tout à fait en ordre pour « recevoir ». Mark était un peu déçu mais ravi d'entendre que tout n'était pas perdu, qu'un jour prochain, il aurait droit aux Champs Élysées. Luis se retourna et dit : «Montre-moi ton cul! Je veux me masturber en le regardant». Pour ne pas rater l'éjaculation de son ange portoricain s'il se fut mis à quatre pattes, Mark s'allongea sur le dos, releva les jambes et montra son cul à Luis. Ce dernier s'approcha de la craque de Mark, scruta attentivement les plis de la rose cachée, cracha sur le trou, y enfonça un doigt et attrapa sa propre queue avec sa main libre pour se branler. Mark contempla le spectacle du jeune garçon se branlant avec un doigt dans le cul qu'il lui offrait et commença à se branler à l'unisson. Les deux compères suaient, respiraient fort et gémissaient de plaisir quand ils furent rattrapés par l'extase. Ils crachèrent presque ensemble leur semence. Mark resta estomaqué de voir que son petit compagnon avait joui d'une abondante liqueur. Inutile de dire que Mark bouffa tout ce qu'il put du divin potage de Luis. Puis, les deux ensembles, ils se mirent à sourire et même à rire. Tout s'était donc bien passé et ils pourraient reprendre cette expérience plus complètement, prochainement peut-être. Tel que convenu, Mark glissa $130 dans la poche gauche du jeans de Luis et $70 dans sa poche droite. Il lui fit comprendre que maintenant qu'il savait où il demeurait, il pouvait bien venir sans Ricardo. Il n'aurait donc plus à lui remettre quoi que ce soit. Brillant et rusé, Luis comprit tout le bénéfice qu'il pourrait tirer de cette offre. Ricardo revint deux heures plus tard, tout souriant, et il repartit avec Luis. Ce dernier revint dès le lendemain après-midi et s'enquit de savoir s'il toucherait la même somme que la veille. Mark lui fit comprendre que la veille, c'était un cadeau d'intronisation mais qu'il n'était pas millionnaire et ne pourrait pas lui donner $200 par jour. Il lui offrit $50 quand il viendrait le voir et ferait des «choses» ensembles. Mais il devait absolument cacher tout cela à Ricardo. Le garçon, déçu dans ses plans de devenir riche en un an, finit par accepter cette offre qui valait tout de même mieux que rien du tout. Elle lui procurait en plus d'un bon pécule pour un jeune de son âge, un soulagement sexuel non négligeable; Mark était beau et jeune et lui était toujours en érection ou presque. Il revint deux fois au cours de la semaine et dès la troisième rencontre, Luis demanda à être enculé car, dit-il, il s'était préparé avec le vibrateur de sa mère et le lubrifiant de son frère. Toutefois, il voulut ensuite enculer Mark. «Comme ça, ce sera `fair' (équitable)» finit-il par conclure. Un peu plus de deux semaines après la première visite de Luis, Mark reçut un téléphone de Ricardo. Ses deux frères avaient fondé leur Jack off Club spécial pour Portoricains. Exceptionnellement, ils allaient accepter Mark, un Blanc, à cause de son intérêt pour eux et aussi pour le rôle qu'il avait joué en préparant leur jeune frère pour leurs jeux sexuels désormais devenus des jeux familiaux. Mark était invité à se présenter chez Ricardo, 2è Rue et Avenue B, le samedi soir suivant à 20 heures. Il devait cependant comprendre qu'il devait être initié. Tout ce qu'on exigeait de lui pour qu'il se prépare à son introduction au Club, c'est qu'il n'éjacule pas au cours des deux jours précédant la rencontre. Il devait aussi porter un «jock strap» sous son pantalon ou son jeans. Ricardo raccrocha quand Mark voulut savoir si Rico et son frère, Felipe et José et même Luis allaient être présents à son initiation. Cette nuit là, il ne dormit pas et tenta d'imaginer ce qui lui arriverait le samedi suivant. Il se masturba deux fois avant le levé du jour. Il lui restait trois jours avant samedi. À suivre...Big Apple 17 Prochain épisode : La soirée d'initiation Alexandre S.V.P. : Un commentaire serait grandement apprécié...