Date: Sun, 1 Jun 2014 22:35:54 +0100 (BST) From: Adelard Dore Subject: Big Apple 3 Big Apple 3 Tel père, tel fils Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html ... La conversation et « l'exercice » de la veille furent salutaires au sommeil de la famille. Le père comme le fils étaient partis pour dormir tout l'avant-midi si ce n'était d'une envie d'uriner devenue presque incontrôlable laquelle, par hasard mais heureux hasard, réveilla le père presqu'en même temps que le fils. Quand Stephen entendit son fils se diriger vers les toilettes, il s'y précipita, jouant un peu des coudes pour s'amuser comme s'il tentait d'y parvenir avant lui pour lui voler la première place. Les deux riaient de bon cœur quand Dan, jouant exagérément le rôle du fils soumis, lui indiqua, avec une grande révérence théâtrale, qu'il lui cédait la place. Mais Stephen n'avait pas seulement l'intention de devancer son fils. Il voulait satisfaire un autre fantasme qui l'obsédait depuis longtemps et dont la soirée de la veille lui facilitait la demande. Au lieu de s'installer devant le cabinet, il se glissa dans la baignoire, enleva son boxer de nuit et, bandé comme un arc, invita son fils à s'approcher du bain. Surpris et intrigué, Dan obéit. « Enlève ton boxer, mon beau Danny! Monte dans la baignoire et tiens-toi debout devant moi! » Dan, vraisemblablement très mal à l'aise obtempéra. Quand il fut debout dans la baignoire, tout nu et bandé aussi dur que son père par ses paroles et son geste, il entendit ce qu'il n'imaginait pas. « Daddy aimerait bien que tu lui fasses un autre plaisir. Je voudrais te voir pisser. À vrai dire, j'aimerais que tu pisses sur moi. Regardes-moi me branler pendant que tu me pisses dessus partout; sur les jambes, le corps, la figure et garde quelques bons jets pour ma gueule ». Dan était sidéré. Il savait maintenant que son père était pervers, mais il n'avait pas imaginé qu'il puisse aller jusque là et surtout avec lui. Il hésita, mais la demande était si tentante. Son cerveau de jeune homme lui faisait penser que jamais plus peut-être il n'aurait la chance de vivre une telle fantaisie. Il fit un effort mental pour tenter de perdre un peu l'érection qui l'empêchait d'uriner et, tout à coup, il sentit le jet monter vers la sortie. Avec un large sourire, il pointa sa queue en direction de la figure de son père et les premiers jets l'atteignirent sur les joues et les lèvres qui s'ouvrirent instantanément pour laisser entrer la liqueur dorée. Cette fantaisie originale et incongrue de la part de son père fit sourdre en lui le même fantasme qu'il avait peut-être déjà nourri et réprimé (il ne s'en souvenait plus) ou qu'il venait immédiatement de faire naître. Une seule chose était sûre, il voulait aussi goûter à la pisse de son père. Il le fit changer de place et exprima son désir de vivre l'expérience à son tour. Stephen était ravi et n'arrivait pas à croire que son fils était si doué pour apprendre les choses du sexe. Il se plaça au-dessus de lui dans la baignoire et, après un temps de concentration pour diminuer un peu son érection, il sentit monter le jet doré dans son pénis et le vit jaillir pour aller inonder la figure de Dan qui ouvrit aussi la bouche toute grande comme son père. Quand le jet ne fut plus que quelques gouttes isolées et que Stephen eut repris complètement son érection, super excité par la vue de son urine dans la chevelure de son fils, Dan, ultra excité lui aussi par son expérience, demanda à son père de se mettre à genoux devant lui, de se branler et de venir déposer sa semence sur sa langue. Dan goûterait à son sperme! C'était trop beau pour y croire! Dan n'avait pas fini d'exprimer sa demande que déjà Stephen était à genoux et, tenant avec tendresse la bouche ouverte de Dan sous la mâchoire avec sa main gauche, de la droite il astiquait sa queue. Il lui a fallu à peine une minute pour que quelques bonnes giclées de foutre viennent s'étaler sur la langue de Dan qui avala tout avant que le dernier jet fut complété. Les restes de son sperme s'étirant sur les lèvres de Dan, Stephen osa aller les lécher. Quand sa bouche toucha celle de son fils, les lèvres de Dan s'ouvrirent, sa langue sortit et la ligne de sperme restante fut partagée par le père et le fils dont les langues se mêlèrent en un profond et langoureux baiser rehaussé par des odeurs de pisse et de foutre. Quand les bouches se séparèrent, Dan, toujours poussé par la nouveauté de l'expérience, voulut en ajouter davantage et souffla à l'oreille de son père : « Dad! Laisse-moi jouer avec les lèvres de ton cul comme avec celles de ta bouche! Je veux mettre ma langue dans ton cul. J'en rêve depuis si longtemps. » Stephen se retourna et s'accroupit sur la figure de son fils en écartant bien les fesses. Il entendit Dan prendre quelques bonnes sniffées et il sentit ensuite ses lèvres douces et fraîches venir détendre les cerceaux de son anus. Sa langue chaude et vierge s'enfonça dans ses entrailles pour ajouter une autre saveur à celles qu'il avait déjà goûtées de l'intimité de son père. Comme Dan ne débandait pas, Stephen se pencha davantage et prit le pénis de Dan dans sa bouche. La langue du garçon s'enfonça davantage dans le cul de son père encouragée par succion qui s'exerçait de plus en plus sur sa queue. Stephen goûtait à la queue de son fils pour la première fois et elle était savoureuse de pipi et de liquide pré. Il l'entendit soupirer fort, quand, soudain, il sentit un flot de sperme chaud lui emplir la bouche. Dan avait joui dans sa bouche pour la première fois. C'était un fantasme qu'il n'avait jamais osé croire réalisable. Chacun des deux reprit son souffle temporairement et, en riant, Dan proposa de prendre une douche car, disait-il, « je crois que nous en avons besoin ». Les deux se mirent à rire et à se laver réciproquement. Après déjeuner, ils décidèrent d'aller faire des courses pour acheter tout le matériel électronique nécessaire afin de créer, dans chacune de leur chambre, une sorte de studio de webcam permanente afin de pouvoir se montrer l'un à l'autre leurs secrets intimes sans être sûr d'être vus. « Ce sera chouette et super cochon » avait conclu Dan emballé par cette suggestion de son père exhibitionniste mais aussi très voyeur. Ils trouvèrent leur matériel assez rapidement et dès 15 heures, l'installation était complétée. Stephen croyait qu'ils allaient pouvoir tout de suite en profiter en faisant un test. Mais Dan avait une autre idée en tête. Il voulait le faire attendre un peu et créer un effet de surprise. Il lui dit qu'il avait promis à son copain Eddy d'aller le voir durant la journée et qu'il dînerait sans doute chez lui avec ses parents. Il annonça à son père qu'il serait de retour vers 21 heures. De toute façon, le lendemain c'était congé pour tous. Il pouvait bien rentrer plus tard. Il lui dit aussi que vers cette heure là, Stephen pourrait commencer à s'amuser dans sa chambre en attendant qu'il arrive et qu'il se joindrait à lui à son retour. Ils feraient alors un vrai test de leur installation. Un peu déçu de ce délai imprévu mais compréhensible, Stephen accepta la proposition. Il lui restait cependant à occuper son début de soirée pour ne pas nourrir l'envie qu'il ressentait déjà de se masturber devant l'excitation à venir. Il téléphona à un copain de travail qu'il savait seul pour le week-end et lui proposa d'aller dîner dans une pizzéria des environs. Il rentra à la maison dès 20 heures. Il s'étendit sur son lit, nu mais conservant son slip blanc déjà très déformé par son érection anticipative. Assis confortablement, il regarda une émission de télé mais il n'arrivait pas à se concentrer. Il attendait. Il craignait surtout que Dan n'arrivât que beaucoup plus tard et que son désir ne se soit émoussé...du moins pour la soirée. Mais, peu après vingt et une heure, il entendit le bruit de la serrure de la porte d'entrée et des pas dans l'escalier. Il trouvait que Dan faisait plus de bruit que d'habitude. Il lui semblait que les pas étaient lourds, hésitants et trop nombreux pour le nombre de marches à parcourir. Mais, bon!, il fallait bien qu'il cesse toutes ces observations inutiles et tout ce quasi espionnage de son fils. Était-il en train de devenir jaloux? Il syntonisa tout de suite le poste correspondant à la chambre de Dan et ajusta sa webcam pour être bien en vue dans son propre lit. Il le vit entrer et se déplacer curieusement dans la chambre comme s'il évitait des mouvements trop amples. Il remarqua qu'il se gratta la braguette à plusieurs reprises en jetant un coup d'œil dans la direction de la caméra. Il se savait être vu, bien entendu. Après quelques minutes d'hésitation et toutes sortes de manœuvres qui semblaient inutiles, il ouvrit la télé tout en se grattant encore une fois le paquet. Il eut l'air presque surpris de voir son père étendu sur son lit à regarder la télé dans le simple appareil de son slip blanc. Stephen voyant son fils ouvrir la télé, reçu comme un choc d'excitation qui déclencha une érection et, comme son fils, il se prit à se gratter et à se toucher pour replacer les bijoux de famille gênés par l'érection imminente. Le regard de Dan semblait perçant et pointu, plein de concupiscence. En voyant son père se toucher, il amplifia son propre mouvement et entreprit de se caresser carrément le sexe qui durcissait dans son jeans. Le père faisait de même dans son lit. Dan recula pour donner une vue plus complète à son père et débuta un vrai striptease. Il détacha sa ceinture et déboutonna lentement la braguette de son jeans. Il ouvrit tout aussi lentement les pans de son jeans et le poussa vers le plancher. Il enleva son t-shirt et se masturba à-travers son slip tout en regardant fixement son père. Il tourna son derrière vers la caméra et passa son doigt dans la craque de son slip. Il le frotta à plusieurs reprises et vint ensuite sentir ses doigts. Il semblait cependant très gêné. Il regardait aussi régulièrement dans un coin de la chambre que la caméra n'arrivait pas à prendre. Était-il en train de vouloir modifier la place du mobilier pour créer une scène plus adéquate? En effet, dans le coin mort de la chambre, il y avait un fauteuil et peut-être voulait-il le rapprocher pour s'y assoir confortablement et profiter du show de son père? Puis, il sembla se raviser. Il alla s'assoir au pied de son lit et retira ses baskets. Il en sniffa l'intérieur à quelques reprises et les lança en direction du fauteuil invisible. Il s'installa confortablement dans son lit bien appuyé sur deux oreillers et regarda le spectacle de son père sur son écran télé. Stephen savait que c'était lui qui devait initier le show. Toute cette mise en scène était son idée. Il écarta donc le bord de son slip et fit sortir sa belle et grosse queue de son antre blanc. Il la regarda attentivement. Histoire de jouer pleinement le jeu qu'il avait mis en place, il lui fallait ne pas trop regarder les réactions de Dan car cela n'aurait plus l'air d'un acte de voyeur secret; le jeu serait un peu manqué. Il saisit sa queue à pleine main et entreprit une bonne branle en jouant du poignet et en la pointant en direction de Dan. Quand il jetait un coup d'œil en direction de son fils, il le voyait très attentif et comme aspiré par l'écran. Mais souvent, il regardait dans le coin mort comme pour ajuster sa propre contenance et éviter de regarder la caméra. Il retira son slip et se montra tout nu et super bandé à son père qui en bavait sur son propre lit. Stephen se comportait comme si le spectacle de Dan était un film porno qu'il regardait à la télé ou sur une vidéo. De plus en plus excité, il enleva son slip, en respira l'intérieur, le lécha aussi et le déposa à côté de lui sur le lit. Il releva les jambes et les écarta pour bien faire voir le sac qui contenait ses deux belles couilles. Encouragé par Dan qui lui faisait des signes approbateurs en relevant subitement le pouce, Stephen se laissa glisser sur le lit, releva les jambes et commença des caresses sur son trou tout en le mouillant avec ses doigts. Il faisait pénétrer son doigt avec un mouvement circulaire et l'enfonçait assez loin à l'intérieur. Après un bon moment de cet amusement, il fit signe à Dan qu'il attendait aussi un petit spectacle. Dan semblait hésiter et il avait toujours cette obsession de regarder vers son fauteuil. Enfin, il releva ses jambes et offrit à son père une belle vue de son paquet. Stephen se mordait les lèvres. Il voulut poursuivre son show et alla vers le tiroir de sa table de nuit. Il en retira quelques objets dont un gode et une bouteille de lubrifiant. Il enduisit son cul et le gode de lubrifiant. Il le pointa ensuite en direction de son trou déjà tout préparé par ses doigts humides. Il s'amusa d'un mouvement de vas et vient durant un bon dix minutes. Il le retira et le remplaça par une autre sorte de gode, plus mince, mais qui était relié par un fil électrique à une sorte de boîtier contenant sans doute des piles. Il introduisit cette tige de plastique dans son cul et activa la manette du boîtier. Des vibrations incroyables devaient sans doute exciter sa prostate car Stephen semblait se tordre de plaisir sur son lit. Il arrivait à oublier complètement qu'il était vu par son fils tant la sensation était forte et enivrante. Dan était stupéfait par le plaisir que prenait son père et de constater qu'il avait développé tous ces jeux durant des années sans qu'il ne s'en soit rendu compte. C'était une grande chance que son père ait décidé de lui faire profiter de tout ça. Inondé par son plaisir, Stephen ne pouvait plus retenir sa jouissance qui éclata partout sur lui et derrière sa tête. Il arrêta sa machine et il se laissa choir sur son oreiller en tentant de reprendre son souffle. Quand il revint à lui et regarda l'écran pour voir comment son fils avait vécu le spectacle; il faillit perdre conscience en voyant, allongé à côté de son fils, son meilleur ami Eddy qui était tout nu lui aussi et avait sans doute regardé le show depuis le fameux fauteuil dans le point mort de la chambre. Il avait ouvert tout grand les yeux de surprise et d'horreur juste à temps pour voir Eddy lever le pouce dans l'objectif de la caméra pour lui signifier son appréciation du show. Stephen eut un terrible vertige et presque une nausée. Non seulement avait-il enfreint la loi en vivant des expériences sexuelles avec son fils mineur, mais le meilleur copain de son fils avait été témoins de sa super session de masturbation en complicité avec son fils. Si cela se savait, il en prendrait pour au moins 10 ans! Qu'est-ce qui s'était donc passé dans la tête de Dan pour amener ainsi son copain à participer au jeu qu'ils avaient élaboré ensemble, son fils et lui? Au moment où il se levait pour enfiler vitement son jeans, il vit Dan lui faire un signe l'invitant à venir les rejoindre dans l'autre chambre, de l'autre côté du couloir. Il ne savait plus quoi faire, mais il savait qu'il devait y aller ne serait-ce que pour mettre les choses au clair ou tenter de les minimise, si cela était encore possible. Lorsqu'il entra, il fut accueilli par les deux garçons en train de se masturber lentement l'un à côté de l'autre. « Salut Daddy! » lui lança Dan. « On avait besoin de toi pour la suite ». Stephen voulut s'exprimer, mais sur quel mode, il n'en savait rien : la colère, la douceur, l'innocence????????? Il choisit, ou plutôt, il fut incapable de faire autre chose que de se taire. « Enlevez votre jeans Monsieur Bloomfield! Je veux revoir votre belle bite de très près » lui cria Eddy. Après une longue pause et un aussi long silence, Stephen obtempéra devant le sourire tout large d'Eddy et le commentaire presque cynique de Dan : « Je t'avais dit que mon père était super cochon et ultra exhib! Il adore montrer son sexe et la manière dont il s'en sert. N'est-ce pas, Daddy que tu aimes te montrer? » Résigné et presque paralysé, Stephen fit signe que oui de la tête. Les pensées se bousculaient à une telle vitesse dans sa tête qu'il restait muet et incapable de réaction sinon d'obéissance. « Montez sur le lit et mettez-vous à genoux devant moi monsieur Bloomfield. Je veux pouvoir sentir votre queue encore toute juteuse de sperme et la voir à cinq pouces de mon nez. » Lentement Stephen fit comme cela lui était commandé. Il éprouvait un immense plaisir à obéir à cette demande d'exhibition que, dans ses rêves les plus fous, il n'aurait pas pu imaginer. Eddy regarda longuement, tout en touchant délicatement la belle et grosse queue du père de son meilleur ami. « Mettez-la dans ma bouche, monsieur Bloomfield! Je veux la goûter et la sucer » dit Eddy. Stephen s'approcha de la bouche d'Eddy et profita de sa belle petite gueule. Voyant son père se faire sucer, Dan voulut en profiter pour revivre le plaisir qu'il avait eu à lui lécher le cul. Il se plaça derrière son père, écarta les fesses dures et longues qu'il admirait tant depuis son enfance et, pour la deuxième fois, y enfonça toute sa figure pour se perdre dans les odeurs et les saveurs rêvées. Stephen se sentait la viande dans un sandwich. Les deux garçons le bouffaient de chaque côté. Puis, Eddy se repoussa et lui dit : « À votre tour maintenant de me sucer, monsieur Bloomfield! Ma bite va exploser et je veux que vous goûtiez à mon jus. Il est super doux et presque sucré, n'est-ce pas Danny? » Stephen apprenait alors que son fils avait déjà eu des relations avec son copain et qu'ils s'étaient déjà sucés tout au moins. Stephen se pencha complètement pour prendre la queue d'Eddy dans sa bouche et il oublia alors, quoiqu'il continuât à en ressentir le plaisir, les mouvements de langue de Dan sur son cul. Il sentait bien que Dan avait remplacé sa langue par un doigt et ensuite deux doigts. Il sentit soudain une forte douleur et comprit que Dan le pénétrait assez rapidement sans lui donner le temps de s'y habituer. Il lâcha un cri, enfonça la queue d'Eddy au fond de sa gorge, retint son souffle et ses quelques larmes et accepta la soumission à son fils. Dan triomphait. De mouvements lents et langoureux au début, Dan finit par prendre du rythme et chevaucha son père comme un malade. Dans l'extase du moment, chacun soufflait, se lamentait ou criait « encore et encore », « mangez-moi jusqu'au fond de votre gorge, monsieur Bloomfield », « Vas-y Dan, fourre-le fort! Fais claquer ton ventre sur ses belles fesses! », « Mange bien Eddy, Daddy! Fais-le jouir! Et serre bien ma queue avec ton cul! Ah ouiiiiiii! ». Puis, un long gémissement parvint de la bouche de Danny qui se vida les couilles dans le cul de son père. Entendant la jouissance de son ami. Eddy vida les siennes dans la bouche de Stephen. Lorsqu'il lui lâcha la bite, de longs filaments de sperme dégoulinaient des commissures de ses lèvres. Il voyait bien que son fils lui avait joui dans le cul et qu'il était en train de finir d'avaler le sperme du meilleur ami de son fils. Mais dans quoi s'était-il donc embarqué? Après l'excitation du moment, il sentit la peur des conséquences de ce qu'il venait de faire. Comment pourrait-il désormais reprendre son autorité sur son fils et comment pourrait-il regarder Eddy dans les yeux? Et le père d'Eddy serait-il mis au courant? Se douterait-il seulement de quelque chose? Entendrait-il par hasard la conversation possible des deux garçons? Il se sentait perdu. Son cœur battait très fort lorsqu'il descendit du lit et voulut regagner sa chambre. « Une minute, lui cria Dan! Tu n'as pas éjaculé. Tu l'as fait tout à l'heure dans ta chambre. On a vu ça sur l'écran. Mais on veut voir ça de près, en mode réalité. » Stephen prétexta qu'il ne sentait plus très bien, qu'il n'avait plus qu'une seule envie celle d'aller dormir. Les deux garçons se levèrent rapidement et coururent à la porte pour la bloquer. « Pas question de sortir tout de suite, Daddy! On veut que tu te branles devant nous! Tu sortiras quand nous serons satisfaits du show! Vaut mieux nous exciter très fort si tu ne veux pas passer la nuit ici ». En disant cela, Dan verrouilla la porte de la chambre et lança la clé au fond de la tablette supérieure de l'armoire derrière des piles de vêtements. Il verrouilla aussi la porte de l'armoire et déposa cette deuxième clé dans un tiroir de son bureau parmi des tas d'objets; ce qui rendait la recherche de cette clé assez difficile. Stephen ne pouvait plus que se soumettre. De toute manière, il avait déjà perdu tous ses moyens, sa force et son autorité. Dan alla chercher le fauteuil dans le coin de la chambre et l'approcha du lit. Il invita son copain à prendre place avec une grande révérence comme un ministre devant son roi avant un grand événement. Il tira ensuite la chaise de sa table de travail et l'approcha également du lit. Puis, il se tourna vers son père : « Allez Daddy! Fais-nous plaisir et fais-toi plaisir aussi! Monte sur le lit et donne-nous un bon show! Joue cochon! C'est vrai que tu n'as pas tes jouets mais on va te dire ce qui nous amuse. Tu fais comme on te dit et on te libère après »! La queue dégoulinante de liquide pré-jus_ car malgré la honte, la gêne et la peur Stephen se sentait terriblement excité_ il monta sur le lit, se mit à genoux face aux garçons et se disposa à accepter son sort. « Commence par lécher le jus qui coule de ta queue Daddy! Montre-nous que tu adores ça, comme si tu en mangeais rarement! » En disant cela Dan se mit à rire comme à la fois pour se donner une contenance ( c'était la première fois qu'il donnait ainsi des ordres à son père et était obéi) mais aussi pour montrer à son copain que son père était un adepte de toutes sortes d'activités cochonnes et qu'il buvait son sperme et son liquide de queue tous les jours ou presque. Les deux garçons étaient mal à l'aise mais ils voulaient aller jusqu'au bout. Ils regardèrent Stephen lécher son liquide pré et sourirent de satisfaction davantage peut-être à la sensation d'être ainsi obéis par un adulte qu'à la vue même de l'acte pourtant très érotique qu'ils avaient devant les yeux. « Branle-toi en tenant ta queue avec le pouce et l'index, Daddy, ça va la faire bander très dur. »... « Ouiiiiii, c'est ça! Et continue de recueillir le liquide et à le bouffer. Bravo!.......... Tu nous excites! » Stephen se livrait aux ordres de Dan avec honte et passion. Il vivait ce qu'il avait voulu expérimenté durant plusieurs années. Mais, comme cela est souvent le cas dans la vie, la réalité ne ressemble jamais tout à fait à ce dont on a rêvé. Dans nos rêves, les choses arrivent comme on l'imagine sans contrainte involontaire. Dans la réalité, elles s'accompagnent souvent de tensions, d'imprévus et de circonstances si étranges qu'on reconnaît à peine les songes qu'on avait tant chéris. Stephen était aussi excité par la vue des deux garçons qui se branlaient devant lui, qui sur sa chaise, qui dans le fauteuil. Ils avaient les jambes bien écartées et les sacs de couilles reposaient sur le bois ou sur le tissu selon le matériau sur lequel ils étaient assis. De temps en temps ils soulevaient leurs couilles et les massaient histoire de les faire produire davantage de jus...du moins le croyaient-ils. Eddy eut soudain un fantasme suivi d'une demande : « Hé! Monsieur Bloomfield! Pourquoi vous ne vous retournez pas en vous mettant à quatre pattes. Dan a pu voir votre cul, qui m'a l'air merveilleux en passant_ je l'ai souvent admiré dans vos pantalons quand vous reveniez à la maison le soir après le travail ou quand vous travailliez dans le jardin_ alors quand il vous l'a bouffé et fourré tout à l'heure, moi je n'ai rien vu de ça car vous étiez en train de me manger. Je voudrais bien voir moi aussi ». La façon dont Eddy faisait sa demande était si douce, voire suppliante, que Stephen était presque rassuré. Il n'avait pas le ton autoritaire de son fils. Aussi crut-il sage d'obéir afin de ne pas provoquer de frustrations chez le garçon. Il croyait que si tout se déroulait comme ils le souhaitaient, ils seraient moins tentés de le dénoncer ou de le faire chanter. Il se tourna donc, écarta ses fesses avec ses mains et, avec son index mouillé de salive, il parcourait doucement le tour de son trou de cul. Après un moment de cet exercice, il entendit la voix d'Eddy : « Sniffez vos doigts, monsieur Bloomfield et regardez-nous quand vous les sniffez. Je veux voir comme vous adorez tout de votre cul. » Stephen s'exécuta et Dan ne put se retenir : « Wow! Daddy! T'es vraiment super cochon! Tu sens ton cul sur tes doigts! » Puis, après une courte pause, il ajouta : « Tu devrais les lécher! On voudrait te voir goûter à ton cul. Montre-nous comment tu trouves qu'il goûte bon! » Stephen enfonçait ses doigts dans son trou, les ressortait, les regardait, que dis-je les contemplait, et les léchait comme on lui avait demandé de le faire. Il avait toujours joui de son propre corps. Mais montrer qu'il en jouissait à ce point là devant deux jeunes hommes dont son fils, tout cela était presque au-delà du vraisemblable. Pourtant, c'était bien vrai! ... Stephen s'arrêta de parler quelques minutes. Il semblait plonger dans une sorte de monde à part. Puis, il me demanda un verre d'eau. Il était pâle. Avec une certaine hésitation, il reprit ensuite son récit. On aurait dit que la suite lui paraissait plus difficile encore à raconter. ... Après avoir pris toutes sortes de positions pour plaire aux exigences des deux jeunes, Stephen se retrouva allongé sur le lit, les jambes légèrement relevées. À genoux, de chaque côté de lui, son fils et son copain, se branlaient en le regardant droit dans les yeux. De leur main libre, ils venaient caresser sa poche, palper ses couilles, mettre un doigt dans son cul, pincer ses seins, passer sous son nez et sur ses lèvres le doigt qui était allé sur son cul ou autour de son pénis. Stephen s'abandonnait finalement à tout cela. Les deux garçons étaient au bord d'un autre orgasme. Il survint tout d'un coup presque sans indice. Voyant et sentant le sperme des garçons lui dégouliner sur le corps, Stephen ouvrit lui aussi les écluses et de puissants jets de foutre jaillirent de lui comme d'une fontaine. Les jeunes retombèrent sur le matelas et les trois se reposèrent quelques minutes. Eddy fut le premier à rompre le silence. « J'aimerais bien pouvoir m'amuser comme ça avec mon père. Je suis sûr qu'il a envie qu'on le fasse, mais il est trop coincé. » Le père d'Eddy était aussi un père seul avec son fils. Toutefois, sa femme n'était pas partie comme cela avait été le cas pour la mère de Dan. Elle était morte quand le garçon avait dix ans. Elle avait été emportée par un cancer du sein qui s'était généralisé. Peter, le père d'Eddy ne s'était jamais remarié et il avait élevé seul son unique garçon. Quelquefois, il avait ramené à la maison une copine de hasard et Eddy les avait entendus faire l'amour à-travers la cloison, mais Eddy avait surtout entendu les gémissements sexuels de son père (il avait reconnu les sons si caractéristiques) quand celui-ci était seul dans sa chambre. À l'adolescence, les copains du High School qu'il fréquentait lui avaient vite appris en quoi consistaient ces gémissements et les plaisirs secrets de la masturbation. Dès que son corps eut commencé à se transformer, Eddy a commencé à accompagner les gémissements de son père de ses propres manipulations génitales. Toutefois, comme il savait que la cloison était mince et lassait passer presque tous les sons, il se retenait pour ne pas faire de bruit. Un soir pourtant, curieux de savoir si son père répondrait à ses jeux comme lui répondait aux siens, il se branla en faisant des bruits qui ne laissaient aucun doute sur la nature de « l'exercice » qui les produisait. À sa grande surprise, il constata que son père s'était laissé séduire par sa « pratique » et l'avait accompagné sans prendre garde de son propre bruit. Pourtant, il savait fort bien que s'il pouvait entendre Eddy, Eddy devrait aussi l'entendre. Il avait peut-être fait exprès. Ces jeux durèrent des mois et Eddy devint de plus en plus curieux des pratiques solitaires de son père. Comment faisait-il cela? Avait-il des fantaisies comme les siennes? Se branlait-il devant des vidéos? Et si oui lesquels, de quel genre? Utilisait-il des gadgets comme des godes qu'il se mettrait dans le cul comme il avait déjà vu dans des revues prêtées par ses copains? Et puis, venait la grande question, la plus inquiétante mais aussi la plus excitante de toutes, son père serait-il vraiment intéressé à partager ses jeux sexuels avec lui? Le temps passait et rien ne progressait. Le père et le fils se branlaient parfois de conserve ou de concert. Eddy grandissait et il avait de plus en plus envie de voir ce qu'il entendait derrière la cloison de sa chambre. C'est au cours de cette période de sa vie qu'Eddy eut quelques expériences avec des copains de l'école et qu'il devint le grand copain de Dan. Ils avaient l'essentiel en commun; pas de mère et un père esseulé qui se branlait régulièrement. En plus, tous les deux vivaient avec un homme (leur père) qui était particulièrement beau et suscitait le regard et le détour des femmes dans la rue et parfois aussi des hommes, voire des jeunes hommes. Tout cela, ils l'avaient tous les deux constaté, en avaient parlé franchement et ouvertement et s'étaient juré de se confier les moindres détails de tout ce qu'ils apprendraient de la sexualité de leur daddy réciproque. C'est dans ce contexte qu'Eddy apprit avec ravissement les intentions certaines et ensuite les gestes clairs posés par le père de Dan en vue de partager sa sexualité avec lui ou, à tout le moins, de lui révéler la sienne en lui donnant un show. Apprenant cela, Eddy fut d'abord excité puis envieux. Puis, il devint sceptique. Et si Danny lui mentait en se racontant des histoires? Il exprima ses doutes à son copain qui s'empressa de le rassurer et, pour preuve de sa sincérité, lui offrit d'être témoins du grand show prévu ce dimanche soir là, les webcams étant installées pour leur premier grand test. Dan surmonta sa gêne et ses craintes par fidélité à son grand ami. Il fut convenu qu'Eddy entrerait silencieusement derrière Dan en lui emboîtant le pas pour ne pas éveiller de soupçons. Il devait longer le mur intérieur en entrant dans la chambre et s'installer dans le fauteuil qui était situé à un point mort par rapport à la webcam. Pendant le spectacle de Stephen, Eddy resta tout à fait silencieux, étouffé par les sensations qui se bousculaient en lui. Mais il ne résista pas à l'excitation de voir son meilleur copain se masturber devant lui pendant que son père lui donnait un show de cul. Il se déshabilla et entreprit aussi de se branler. Ce sont ces gestes qui attiraient l'attention de Dan vers le point mort du fauteuil durant la branlette ultra cochonne de son père. Eddy réussit à rester dans son coin et à assister silencieusement au spectacle. Mais quand il vit que Stephen avait atteint son point de non retour et que des jets de sperme giclaient sur lui et au-delà, il n'y tint plus et alla s'allonger sur le lit à côté de Danny mort de peur devant cette audace. Apaisé par son orgasme, Stephen tentait de reprendre ses esprits. Il ne savait pas encore, qu'une minute plus tard, il allait les perdre de nouveau en constatant la présence d'Eddy à côté de son fils. L'audace et la témérité d'Eddy permirent au courage de Danny de faire un gain important. Quand il vit que son père, abasourdi et givré par ce qu'il voyait, semblait malgré tout répondre à l'appel d'Eddy de venir les rejoindre dans leur chambre, il sentit une grande force l'envahir. Il comprit instinctivement que le gagnant de la prochaine manche serait soit son père soit lui. L'un des deux devait ou devrait se soumettre à l'autre. C'est le courage et la volonté qui triompherait, croyait-il. Il ne savait pas que son père était encore plus terrorisé que lui et que le poids des deux garçons pesait plus lourdement dans la conscience du père que le soi-disant courage, la volonté ou quelque autre vertu que le fils puisse nommer. « Tu voudrais avoir du sexe avec ton père? » insinua doucement Stephen à l'intention d'Eddy qui venait de déplorer que son père fut trop coincé pour jouer sexuellement avec lui. « Bien sûr! J'attends cela depuis des années. On se branle de chaque côté du mur; il m'entend et je l'entends, mais ça reste là ». « Dans ce cas, ajouta plus doucement encore Stephen, presque avec un air de perversion, il faudrait lui donner un signe assez clair que ça t'intéresse. » « C'est bien ce que je compte faire », répondit Eddy et il ajouta avec un air enjôleur : « J'ai des armes maintenant ». Stephen ne comprenait pas vraiment à quoi il faisait allusion. Pourvu que ce ne soit pas la révélation de ce qu'il venait de vivre! Ils causèrent encore quelques minutes de l'immense plaisir qu'ils avaient eu à partager ainsi leurs fantasmes et Stephen dut leur promettre de leur en faire voir d'autres, sans quoi ils ne l'auraient pas laissé sortir. Lentement, Danny alla récupérer les clés de l'armoire et de la porte de la chambre et Stephen put sortir librement. Il tenta de reprendre son autorité sur les jeunes en leur recommandant de ne pas veiller trop tard. Eddy lui demanda pour dormir avec Dan car il avait obtenu de son père la permission d'un « sleep over » (passer la nuit là). Stephen n'avait aucun moyen de s'opposer. Il leur souhaita une bonne nuit et gagna sa chambre dont la caméra était restée allumée. Il vit bien que Danny était monté sur une chaise tentant de joindre quelque chose sur l'armoire, mais il n'y porta pas trop d'attention. Il se sentait rompu et soulagé de voir qu'après tout, tout n'était peut-être pas si dramatique. Il eut peut-être mieux valu qu'il ne dormît pas! À suivre...Big Apple 4; Prochain épisode : Jamais deux sans quatre Alexandre