Date: Tue, 3 Jun 2014 13:53:48 +0100 (BST) From: Adelard Dore Subject: Big Apple 4 Big Apple 4 Jamais deux sans quatre Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html Quand nous nous sommes quittés ce jour-là, Stephen était particulièrement nerveux et tendu. Il me demanda un autre rendez-vous. Je le lui accordai d'autant plus volontiers que j'avais bien hâte de connaître la suite. Mon employeur, croyant que j'en avais fini avec Stephen, faisait un peu pression sur moi pour que je prenne quelqu'un d'autre. « Il y a beaucoup de demandes » me lança-t-il comme pour que j'accélère les choses. Premièrement, je me sentais lié à Stephen et je ne voulais pas l'abandonner au milieu de son récit ni le forcer à se révéler plus vite que sa capacité psychologique le lui permettait. Deuxièmement, j'étais très curieux de connaître la suite d'autant plus que toute son histoire et les détails qu'il osait me livrer, me faisait bander au maximum et, lors de sa dernière visite, il n'était pas sorti que je me précipitais tout nu dans mon fauteuil pour me branler en ayant en tête les tas d'images qu'il y avait installées. Il revint le jeudi suivant. Après les salutations d'usage et mes questions sur son état général, il a poursuivi son récit. ... Le lendemain de cette soirée avec Danny et Eddy, c'était Colombus Day, donc congé aux USA. Les garçons se levèrent vers 11 heures. Stephen était debout depuis longtemps. Il avait mal dormi. Il était plongé dans une profonde réflexion, vautré sur le canapé du salon quand les garçons descendirent pour déjeuner. Avant de poursuivre son récit, et pour que je puisse vraiment imaginer ce qu'il avait vécu, il me dit qu'il fallait qu'il me décrive les deux garçons et me montre une photo. La photo avait été prise après une victoire sportive. Les deux garçons arboraient un large sourire et se tenaient par le cou, serrés l'un contre l'autre comme le font généralement tous les grands vainqueurs sportifs. Elle révélait l'extraordinaire beauté de leur figure et de leurs épaules, mais pour le reste c'est l'imagination qui devait prendre la relève. Stephen me décrivit donc chacun comme une merveille complémentaire l'une de l'autre. Comme je l'ai déjà dit plus haut, Danny était un grand châtain assez clair (17 ans) aux yeux noisette. Il avait les cheveux un peu bouclés, des lèvres sensuelles bien que plutôt minces ainsi que des paupières fines avec de longs cils fins. Il avait un nez grec, droit et long, mince à la racine et plus large à la base. Des narines qui vous donnaient envie de les introduire où vous savez. On l'entendait respirer comme s'il cherchait toujours à vous posséder par son nez. Il était déjà grand (six pieds) et large d'épaules. Ses fesses, rondes, fermes et longues comme de magnifiques mangues étaient perchées haut sur ses jambes qui n'en finissaient plus de s'allonger. Il avait un air général qui ressemblait à l'acteur Heath Ledger, récemment décédé, qui avait joué le rôle d'Ennis dans Brokeback Mountain. Mais il était beaucoup plus jeune que Heath bien sûr et un peu moins costaud. « Tu imagines, me dit Stephen, ce que cela peut faire bander de se masturber devant un mec pareil ». Quant à Eddy, il était un peu son contraire mais aussi attirant. Il était brun foncé aux yeux verts (ce qui est très rare) avec de larges sourcils longs et épais qui lui donnaient un air un peu italien. Le teint était foncé. La tête plutôt oblongue et mince avec des lèvres minces et serrées qui lui donnaient un air timide. Mais son air général était vif et amusé, ce qui rétablissait l'équilibre et mettait de l'humour dans son regard un peu sévère et intimidant. Il était plus petit que Dan et plus filiforme, mais tout de même assez grand et musclé pour jouer dans une équipe de basketball. Lui, il avait les fesses serrées et longues, rabattues sur elles-mêmes de sorte qu'il fallait bien les écarter pour apercevoir le « saint des saints ». Tous les deux avaient une queue magnifique. Dan n'était pas circoncis; Stephen s'y était personnellement opposé. Il avait un morceau d'athlète de 18cm environ qu'il tenait admirablement et très érotiquement dans sa main droite en se branlant. Le prépuce était très facilement rétractable et il adorait s'amuser à le descendre et à le remonter. Une grosse paires de couilles pendaient lourdement dans un sac tressé de plis profonds mais conservant toute sa douceur comme certains fruits tropicaux qui ont l'apparence d'être durs et rugueux mais qui se laissent caresser comme des pêches. Et tout ça rendait une odeur de lait de bébé, un peu caillé, surtout derrière la poche entre les couilles et le cul. C'était intoxiquant. Y goûter, c'était en prendre immédiatement l'habitude. « Et je ne vous parle pas de son cul », me dit Stephen. Il dégageait une somptueuse odeur de cave où vieillissent de grands vins et d'où remontent des fragrances de cépages et de tonneaux de chêne. Dans un cul profond comme le sien, on voudrait y mourir, à tout le moins s'y saouler ». Eddy avait une queue plus courte, mais très respectable, me dit Stephen, au-dessus de la moyenne tout de même. Elle était plus large que celle de Dan et elle était circoncise. Elle était terminée par un gros gland rose aux reflets mauves qui lui donnait l'impression d'être chaude voire brûlante. « On n'avait qu'une envie, me dit Stephen, c'était de la bouffer et de la lécher jusqu'à ce qu'elle crache tout son jus ». « Il savait aussi très bien s'en servir et se masturbait la main ouverte sous la hampe comme pour faire plus homme. Elle était aussi prolongée par un large sac contenant de belles couilles serrées. Mais la poche était lisse, sans poil et foncée, presque noirâtre. Elle sentait le musc et les parfums plus capiteux comme le patchouli parfois. Son cul était sombre, entouré de poils noirs et conservait toujours, même après la douche, l'extraordinaire variété des parfums d'un comptoir d'épices du Caire. Il y avait au menu du cari, de la coriandre, du curcuma, du macis, et tout cela baignait dans un fumet de citronnelle ». ... La description de Stephen me rendait malade d'envie. Je voulais à la fois qu'il cesse de m'en parler car j'en bavais et je voulais qu'il ne s'arrête jamais jusqu'à ce qu'il me les ait amenés pour ma parfaite satisfaction tant visuelle qu'olfactive, tant tactile que gustative. ... Donc, quand les garçons descendirent pour déjeuner ce fameux matin de Columbus Day, ils étaient enjoués malgré les cernes d'une nuit plutôt courte. Stephen n'osa pas leur demander à quoi ils avaient occupé leur temps entre sa sortie de la chambre la veille et leur chute dans le sommeil. Il se doutait trop bien de leurs jeux et il ne voulait ni paraître trop indiscret, ni devenir jaloux de leurs plaisirs. Ils mangèrent comme si tout était normal, comme s'il ne s'était rien passé. Puis, ils montèrent se doucher et s'habiller et redescendirent lui annoncer qu'ils allaient chez Eddy. Ce dernier portait un petit sac sous le bras qui parut étrange à Stephen. Mais il ne pouvait tout de même pas lui demander ce qu'il emportait avec lui dans ce sac. Stephen passa le reste de la journée à faire des comptes et un peu de ménage. Vers 16 heures, le téléphone sonna; c'était Peter, le père d'Eddy. Comme il n'y avait parlé qu'à de rares occasions, Stephen sentit son cœur descendre dans ses talons. Il était certain que les garçons avaient parlé. Mais, le ton de la voix était plutôt rassurant. Peter sentant le malaise de Stephen insista pour savoir si tout allait bien. Devant une réponse positive, il poursuivit la conversation et fit rapidement sa proposition. Les garçons l'avaient convaincu, disait-il, que ce serait chouette d'aller passer le dernier week-end d'octobre, soit celui de l'Halloween, dans les Catskills. On pourrait louer un petit chalet et savourer les derniers beaux jours de l'automne. Les garçons n'avaient vraiment jamais eu de vraie vie de famille. Ils se sentaient comme des frères, Pourquoi ne pas leur faire cette joie de se retrouver pour un week-end, chacun avec son papa. Ils avaient maintenant 17 ans et bientôt, ce genre de plaisir familial ne serait plus possible. Ils auraient leurs affaires de cœur et...Et puis, c'était leur idée après tout! Cette dernière phrase sentait le complot, mais comment Stephen pouvait-il faire part à Peter de ses appréhensions sans lui révéler son « horrible » secret. Mieux valait jouer les innocents. Il accepta donc en vantant les mérites de cette idée originale; mais il tremblait de tous ses membres. En fait, les garçons avaient bâti tout un plan. Au cours des deux semaines à venir, Eddy se sentant ragaillardi par les succès de son copain Danny avec son père, avait décidé d'arriver à ses fins avec son propre père. Le week-end aux Catskills serait l'apothéose de son triomphe ou plutôt de leur triomphe. Le soir même du Colombus Day, après le départ de Danny, Eddy décida de jouer une première carte importante. Quand son père, Peter, lui souhaita la bonne nuit, Eddy résolut de retarder son sommeil par une branlette bruyante qui ne pourrait pas ne pas déranger voire exciter son père. À peine était-il allongé qu'il commença de se masturber en faisant de longs et profonds gémissements. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il perçoive ceux, non moins intenses, de son père. Il le laissa s'abandonner à son plaisir, mais contrairement à ce qui était devenu une habitude entre eux depuis longtemps, il se leva et se dirigea droit dans la chambre de son père. Peter fut saisi d'effroi quand il vit son fils, tout nu et bandé, devant lui et qui venait le surprendre au milieu de sa branlette en allumant brusquement la lumière. « Eddy! Qu'est-ce que tu fais là? Tu sais qu'on n'entre nulle part sans frapper! Vas t'en!» Mais non seulement Eddy ne partait pas, il avançait vers le lit et venait s'allonger à côté de son père. Ce dernier avait eu le réflexe de couvrir son sexe bandé de son slip. « Mais qu'est-ce que tout cela signifie? » lança fortement Peter. « Cela signifie, répondit Eddy, que le mensonge a assez duré. Je sais que tu te branles quand je me branle et vice versa. Ça t'excite d'imaginer ce qui se passe dans ma chambre quand tu entends mes gémissements et moi aussi ça m'excite de t'entendre gémir quand tu te masturbes. Alors j'en ai assez des images. Je veux du vrai. Je veux te voir te branler devant moi ou plutôt avec moi. » Et, terminant ces paroles qui avaient terrifié la figure de Peter, Eddy arracha le slip qui couvrait le sexe de son père et le porta à ses narines. Pétrifié Peter ne bougeait pas. « Cela m'est déjà arrivé d'emprunter tes slips sales dans le panier à lessive pour me branler en sniffant le fond pour tenter d'y trouver des restes d'odeurs de ta queue ou de ton cul. Mais je n'en ai jamais eu un qui les avait contenus aussi récemment. Wow! C'est super trippant! » Finissant ces paroles, il lança à son père son propre slip qu'il avait apporté dans sa main en ajoutant : « Le mien aussi a été porté toute la journée. Ça va te donner un avant-goût » un sourire large et malin remplissait sa figure. Il prit aussi la chance de lancer, sans n'en rien savoir : « Toi aussi d'ailleurs tu as déjà `emprunté' mes slips sales pour te branler, n'est-ce pas? » Rouge de honte et d'excitation, Peter opina de la tête. Eddy gagnait. « Alors, tu dois comprendre et partager mon plaisir. Allez! On se branle ensemble! » Et il empoigna sa queue de sa main gauche en fixant des yeux, un peu refermés, celle de son père. Lentement Peter porta sa main à son membre et tenta de reprendre sa masturbation là où il l'avait laissé quelques minutes plus tôt. Il ferma les yeux un certain temps histoire de s'habituer à ce qui se passait réellement dans son lit. Puis, temporairement tranquillisé, il les ouvrit pour jouir du spectacle que lui donnait son fils Eddy. Les deux compères se regardèrent finalement, tantôt les yeux braqués sur leur sexe, tantôt sur celui de l'autre. Parfois, Eddy reprenait le slip de son père et le portait à ses narines. « Tu ne devrais pas faire ça, Eddy. Il n'est pas très propre. J'ai travaillé toute la journée dans le jardin et je n'ai pas pris de douche ce matin. J'allais en prendre une quand je t'ai entendu gémir. Alors j'ai décidé de t'accompagner dans une branlette avant d'aller me laver. Mon slip sent sûrement très fort et moi aussi d'ailleurs », conclut Peter. « C'est pour ça que ça sent si bon », ajouta Eddy. « Pendant des années, j'ai été fasciné par ton cul. Quand tu te penchais pour travailler dans le jardin ou pour réparer quelque chose, je me postais derrière toi et je t'examinais en rêvant d'y mettre mon nez et...ma langue », ajouta-t-il après une seconde d'hésitation. Peter apprenait tout à coup des choses qu'il ne soupçonnait pas du tout et il s'apercevait que cela, au lieu de le choquer, l'excitait terriblement. Il bandait de plus en plus fort quand Eddy lui parlait. Tout à coup, sans que Peter eût pu prévenir le geste, Eddy se pencha et prit une bonne partie de la queue de son père dans sa bouche. La surprise, mais aussi la rareté de cette sensation qu'il n'avait pas éprouvée depuis quelques années, empêchèrent Peter de le repousser. Il se laissa sucer par son fils et allait de surprise en surprise en constatant que l'odeur de son prépuce ne semblait pas le déranger, même au contraire. Il s'abandonna davantage quand il décida de porter à ses propres narines le slip qu'Eddy lui avait tendu et que son fils avait porté aussi toute la journée. Il entrait dans le monde des `mille et une nuits' ne sachant pas encore que le cul de son fils était, comme je l'ai dit plus haut, un véritable comptoir d'épices du Caire. Peter appuya sa tête sur l'oreiller et se laissa aimer, le slip d'Eddy sur sa face. Il s'aperçut qu'Eddy changeait de position et se plaçait droit devant lui. Il sentit également qu'il écartait ses cuisses et se plaçait entre ses jambes. Il sentit enfin qu'il relevait ses jambes pour se mettre en position de prendre tout son sac de couilles dans la bouche. Il lui massait les couilles avec sa langue. C'était délicieux et Peter hurlait presque de plaisir. Il était si absorbé par ces sensations rarissimes qu'il ne protesta pas quand Eddy lui releva les jambes complètement et alla braquer son nez et sa langue tout près de son cul d'abord, puis carrément dessus et autour ensuite. Quand il sentit la langue sur son trou, il tressaillit enfin et fit le geste de le repousser. « Je ne suis pas propre Eddy! Je te l'ai dit tout à l'heure ». « Je m'en fous! Moi aussi je t'ai dit que j'adorais ton odeur et que je me compte chanceux que tu aies travaillé toute la journée sans avoir eu le temps de prendre une douche. Si l'odeur est super, le goût est incroyablement intoxiquant. Je passerais toute la nuit à te lécher. Je vais le laver avec ma langue. Le cul de Peter sentait effectivement très fort. Il dégageait une fragrance musquée et acide. Mais derrière cette forte odeur de sueur, se profilait subtilement, comme en filigrane, une mince odeur plus rance inidentifiable. Généralement, cette odeur suffit à repousser la plupart des « dégustateurs », mais Eddy était plus qu'un amateur. C'était un grand connaisseur, du moins en imagination, et cette nuance ne l'arrêtait pas, bien au contraire. Sa langue labourait le derrière de son père. Il fouillait le plus au fond possible, comme un voleur scrutant le fond d'un tiroir- caisse. Peter gémissait de plus en plus et de plus en plus fortement. Quand il sentit que son père était au bord de jouir, il mordit légèrement la lèvre de l'anus et tira sur les poils avec ses dents comme pour les arracher. C'était trop. Peter cria et lâcha de grandes giclées de sperme partout sur lui et autour de lui. Eddy se releva et, à genoux devant son père, l'éclaboussa de toute sa purée blanche en pleine figure. Le père n'eut qu'à ouvrir la bouche pour prendre sa « collation de nuit ». Après quelques minutes de repos, c'est Eddy qui rompit le silence : « Cette nuit, je dors avec toi. Pas question que tu prennes une douche! Je veux passer la nuit avec l'odeur de tes pieds sous les draps et celle de ton cul sur ma bouche. Et si durant la nuit, il te prend l'envie de lécher le mien, mon cul, ne te gêne pas. Je n'ai pas travaillé toute la journée et j'ai pris une douche ce matin, mais on m'a déjà dit qu'il sentait bon comme un comptoir d'épices ». Peter n'en revenait pas de l'audace de son fils. Il restait pantois. Il fit un léger signe affirmatif de la tête tout en souriant et lui souhaita une bonne nuit. Il éteignit la lumière. Après quelques minutes d'un lourd silence, Peter se tourna vers Eddy et lui dit doucement à l'oreille : « Merci! Il y avait longtemps que j'espérais ce moment, mais je n'en aurais jamais pris l'initiative ». Et, après une courte pause, il ajouta : « Si j'ai encore un peu faim cette nuit, j'irai peut-être goûter à tes « épices ». Puis, il déposa un baiser sur son front. Les jours suivants furent occupés par le travail et l'école. Les deux garçons continuèrent à planifier leurs opérations futures avec leur papa respectif tout au long des récréations et des heures de lunch. Danny était émerveillé de l'audace d'Eddy et de la rapidité avec laquelle il avait obtenu un si bon résultat. Il fallait poursuivre dans la bonne direction. Au cours des deux semaines qui suivirent les événements du week-end de Columbus Day, les deux garçons expérimentèrent quelques autres expériences sexuelles avec leur papa respectif et s'en racontèrent les détails les plus croustillants dès le lendemain à la récré. C'est Eddy qui avait du temps à rattraper et devait préparer son père pour le séjour dans les Catskills. Peter ne voulait pas qu'ils dorment ensemble toutes les nuits, malgré l'insistance d'Eddy. Il lui expliqua que cela était le propre d'un couple gay. L'expérience sexuelle qu'ils avaient partagée et l'immense amour qu'ils avaient l'un pour l'autre ne justifiait pas ce degré d'intimité. Eddy semblait très déçu. Peter, pour le consoler, dut lui promettre qu'à l'occasion ils pourraient bien faire quelques jeux sexuels ensemble mais en ne perdant pas de vue que la nature leur avait assigné un rôle qu'ils avaient déjà trop largement dépassé. Stephen et Danny, de leur côté, s'étaient encore amusés avec leur webcam. Décidément, Stephen aimait savoir que son fils le regardait faire ses « petites intimités » comme il se plaisait à nommer ainsi ses sessions de masturbation. Stephen apprit ainsi davantage le plaisir que son père éprouvait à se pisser dans la gueule, à sniffer ses chaussettes et à lécher ses pieds en revenant du travail. Il n'avait pas les pieds très sales car il travaillait à l'Université. Il portait souvent, par goût personnel plutôt que par habitude conservatrice, un costume et une cravate. Ses chaussettes étaient donc souvent en soie et absorbaient merveilleusement la sueur des pieds produite par le cuir des souliers. Cela faisait une délicieuse concoction qui le faisait bander. En somme, la webcam servait à initier Dan aux « pratiques » de son père sans que des explications fussent nécessaires. Une fois l'exemple donné et le jeu démontré, Danny n'avait plus qu'une seule envie, celle de partager ce plaisir singulier avec son père. Dès que Danny eut compris le fantasme que son père éprouvait à sniffer ses propres chaussettes, il participa entièrement à son univers imaginaire en lui proposant de le déchausser et de lui masser les pieds à son retour du travail. Il en profitait pour sniffer ses pieds et lécher ses orteils, aussi entre ses orteils et la plante de ses pieds. Stephen était au paradis. Surtout que Dan avait le tour de nourrir les fantasmes de son père avec des images complémentaires. Quand il déchaussa son père, il prit soin de porter les baskets avec lesquels il avait passé sa journée d'école et participé à ses cours d'éducation physique. Il savait que ses pieds sentaient fort et que les chaussettes sportives avaient gardé la plus grosse part de leurs fortes odeurs. Quand Dan vit que son père avait sorti sa queue et se masturbait de plus en plus vite, il enleva ses baskets, laissa temporairement le traitement qu'il donnait à son père et vint lui faire sentir ses propres pieds dans ses chaussettes sportives pleines de jus de pieds de jeune homme. Stephen avala les pieds de Danny comme un clochard gobant une tasse de soupe. Le père et le fils se branlèrent ensuite face à face sur le canapé, chacun ayant les pieds de l'autre dans la figure, satisfaits et super excités par la fantaisie qu'ils venaient de partager. De son côté, Eddy voulait réussir à prendre son père en vidéo au milieu de ses activités sexuelles personnelles...ce n'était pas évident d'y parvenir. Ce que Stephen ne savait pas, c'est que Danny avait enregistré sur DVD sa séance de branle avec la webcam quand Stephen croyait qu'il avait affaire à un inconnu, le fameux SUN. Eddy avait aussi installé sa caméra vidéo dans la chambre de Dan le soir où les deux garçons avaient convaincus Stephen de les rejoindre pour s'amuser à trois. La caméra et son contenu vidéo et une copie du DVD de la webcam étaient dans les mains d'Eddy; c'était ça le contenu du petit paquet qu'il avait sous le bras en quittant la maison des Bloomfield le lendemain de la fameuse nuit. Pour arriver à la ligne de départ de son copain Danny, Eddy devait réussir à prendre son propre père, Peter, sur vidéo. C'était le défi que s'étaient lancé les deux garçons. Le vendredi matin de la semaine suivante, Eddy annonça à son père Peter, avec un sourire qui en disait long sur ses intentions, qu'il souhaitait passer la soirée à la maison avec lui. Il arriva assez tôt de l'école cet après-midi là et mit en place un dispositif ingénieux pour parvenir à faire sa vidéo. Il installa la caméra sur une tablette élevée de la bibliothèque et la rangea entre des livres de manière qu'elle fût presque invisible à moins de porter une très grande attention à cette tablette. Il fit quelques essais pour s'assurer qu'elle était bien centrée en direction du canapé placé devant la bibliothèque qui couvrait tout le mur et servait aussi d'enclave pour la télé. Il avait caché sous le canapé du côté où il avait prévu s'assoir, le contrôle à distance, mince comme un carton d'allumettes, et avait finalement vérifié le fonctionnement du zoom. Quand son père arriva, il avait gentiment préparé le repas. Il ne restait plus qu'à le servir quand ils auraient faim. Si le père de Danny était professeur au NYCU (New York City University), le père d'Eddy travaillait pour une firme de courtiers en finance dont les bureaux étaient situés non loin de Wall Street, précisément Broadway et Broad Street, au cœur des affaires à Manhattan. Comme Stephen, le père de Danny, il travaillait en costume de ville. Quand il rentrait à la maison et déposait sa mallette, Eddy se sentait toujours sexuellement attiré par son père en costume. Il aurait voulu qu'il restât ainsi vêtu pour qu'il puisse lui baisser la fermeture-éclair de son pantalon, sortir sa belle queue de la braguette et le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule dans sa bouche. Eddy était bien décidé à ce que ce fantasme se réalise un jour. Aussi, ce soir-là, quand Peter entra, Eddy se précipita vers lui avant qu'il ne monte se changer et l'invita à s'assoir sur le canapé. Intrigué par cette nouveauté dans le comportement de son fils, Peter obtempéra sans résistance aucune. Quand il fut assis, Eddy activa habilement et secrètement la manette de la caméra-vidéo et se plaça à genoux entre les jambes de son père. « Qu'est-ce qui te prend aujourd'hui Eddy? » lui lança son père. « Tu veux que j'augmente ton allocation hebdomadaire? » lui dit-il avec un large sourire plein de bonté et de tendresse. « Non! répondit Eddy. Je veux simplement réaliser un de mes fantasmes. Il m'arrive souvent de penser à toi durant la journée. Je t'imagine alors sortant de ton bureau pour aller aux toilettes parce que tu n'arrives pas à te débarrasser d'une érection. Tu t'enfermes dans un cabinet. Tu caresses lentement la braguette de ton pantalon_ et en disant cela, Eddy caressait la braguette du pantalon de Peter_ tu baisses lentement la fermeture-éclair de ton pantalon_ et il la baissait en continuant de parler_ avec ta belle main aux longs doigts fins et minces, tu fouilles dans l'ouverture jusqu'à ton slip_ et il lui prit la main, en caressa justement les longs doigts, la porta dans l'ouverture de la braguette et la fit pénétrer à l'intérieur pour montrer à son père ce qu'il attendait qu'il fît_ tu caresses doucement ta queue avec tes doigts et tu la fais sortir par l'ouverture du pantalon_ en disant cela, il tirait sur le poignet de son père pour que justement il sortît sa queue par la braguette_ tu la regardes avec passion et excitation_ à ce stade de la mise en scène, Peter ne pouvait plus résister et se laissait totalement absorbé et guidé par les paroles d'Eddy_ tu la serres confortablement dans ta main et tu te branles en pensant que peut-être j'aimerais bien te voir faire ta branlette, que je suis peut-être moi aussi aux toilettes de l'école en train de me branler en pensant à toi_ Peter soufflait et soupirait très fortement_ tu arrêtes une seconde ta branlette, tu regardes tes doigts fins qui ont eu le privilège de toucher à ta belle queue_ Peter se demandait où Eddy voulait en venir_ tu sens tes doigts qui ont pris l'odeur de ton gland_ Peter s'exécuta sous le regard attentif d'Eddy en étant de plus en plus excité par cette extraordinaire mise en scène de son fils qui semblait correspondre effectivement à ce qu'il avait déjà vécu_ tu les lèches_ Peter lécha ses doigts_ et tu reprends ta branlette plus vite et plus fort ». Eddy avait le nez et la figure à deux doigts, c'est le cas de le dire, du pénis de son père et profitait de toutes les petites odeurs qu'il pouvait attraper quand ses mouvements créaient un petit vent porteur. On ne pouvait plus alors arrêter Peter. Il se branlait comme un malade devant la face rouge et le regard super excité d'Eddy qui vivait enfin son fantasme. Eddy se recula un peu pour voir son père éjaculer haut et loin tant l'excitation était grande. Le foutre s'allongea sur la cravate qui était peut-être foutue mais la branle était si extraordinaire qu'elle valait bien une cravate, même de grand prix. Après quelques minutes pour reprendre ses esprits, Peter regarda son fils avec un large sourire et dit : « Ouf! Je n'ai jamais joui aussi intensément en me branlant. Qu'est-ce qui t'as pris? Sais-tu que tu es un « petit cochon », mon garçon? » Eddy riait. « Le plus incroyable, c'est qu'il m'arrive à l'occasion de faire ce que tu viens de décrire. Comment tu as fait pour le savoir? » Pour toute réponse, il eut droit à un sourire. « Faudra maintenant que je m'occupes de toi », ajouta Peter. Un tel scénario mérite une grande récompense ». « Pas maintenant répondit Eddy, on va se détendre, dîner_ j'ai préparé le repas_ et après on passe la soirée ensemble. Tu auras retrouvé ta « forme » et je n'aurai rien perdu de la mienne, je te l'assure ». Mal à l'aise tout de même devant l'aplomb de son fils, Peter, inclina la tête en signe d'approbation. Il remit sa queue toute humide et dégoulinante dans son slip et le tout dans le pantalon, remonta la fermeture-éclair et se leva pour aller se changer. Eddy activa la manette et arrêta l'enregistrement de la caméra. Il avait réalisé la première partie de son document. Le repas préparé par Eddy, ce qui ne lui arrivait que très rarement et pas toujours avec succès, était cette fois-ci des plus succulents. Peter n'en revenait pas. Il trouvait tout à coup à la maison ce qui lui avait tant manqué depuis la mort de sa femme : amour, tendresse, caresses, sexe et toutes sortes de menus plaisirs comme celui d'un bon petit plat par exemple. Après tant d'années d'efforts et de responsabilités, il goûtait à la joie de se laisser bercer. Il se sentait coupable bien sûr, mais il n'avait pas le courage d'arrêter brutalement ce qui venait à peine de lui procurer tant de bonheur. « Il serait toujours temps » finissait-il par se dire. Il ignorait les subtilités de l'amour humain et ses pièges profonds comme des abysses. Le bien-être : voilà le mot magique qui nous fait perdre pied. Quand on se sent enveloppé comme dans un cocon moelleux par tout ce qui fait la beauté des jours et des nuits, la personne qui nous procure ce bien-être a beau ne pas être tout à fait notre genre, ne pas devoir être parfaitement la personne qui nous soit le mieux assortie, ne plaire à aucun de nos amis et parents, nous enfoncer même dans un isolement terrible et permanent, avec le temps, on ne peut plus la laisser. Il aurait suffi qu'Eddy soit constant dans ses attentions auprès de son père, il aurait remplacé sa mère. Après le dîner qui fut bien arrosé de vin blanc, car Eddy avait lu dans une revue que le vin rouge avait tendance à alourdir le consommateur et à diminuer son entrain sexuel, Eddy demanda à son père s'il avait des films pornos gays? Bien sûr qu'il en avait. Et Eddy s'en doutait car il lui était déjà arrivé d'entendre la vidéo de son père lors de leurs masturbations communes mais séparément dans leur chambre respective. Il avait cru reconnaître des voix d'hommes et rarement des cris de femmes. Encore une fois, il se rendait compte qu'il lui suffisait d'affirmer quelque chose qu'il subodorait dans la vie de son père pour que, jusqu'à présent, cela s'avère vrai. Il le supplia alors de mettre une de ces cassettes gays dans la vidéo du salon pour qu'il puisse la regarder ensemble. Réchauffé par le vin et la scène d'accueil de la fin de l'après-midi de même que par l'érection d'Eddy, franchement visible dans son jeans et qui ne se résorbait pas depuis son arrivée, Peter obtempéra non sans hésitation. Il se doutait bien à quoi conduirait cette projection regardée en commun. Il souhaitait grandement ce qui allait arriver mais le craignait en même temps. Après s'être laissé un peu supplier, moins par souci de montrer ses résistances que par l'extraordinaire excitation que lui apportaient les arguments et les supplications d'Eddy qui disait : « Allez! Dad! On va s'exciter sur des vidéos cochonnes. On va se branler ensemble, On va faire comme eux. On va se sucer le morceau. On va se lécher le cul. Tu vas goûter à mes « épices » et moi aux tiennes. Je vais même te laisser mettre ta queue dans mon cul. Je voudrais que tu me fourres avec ta grosse bite. Regarde comme je suis déjà super bandé! » Et en disant cela, il déboutonna son jeans, sortit sa queue toute bandée et dégoulinante de liquide pré-éjaculatoire. Il prit un peu de ce liquide sur ses doigts et vint le déposer sur la lèvre de son père. Peter craqua. Il monta dans sa chambre et ouvrit le coffre cadenassé où il gardait ses précieuses « reliques » et redescendit avec deux vidéos. La première avait été tournée à New York même, dans Alphabet City, où vivait toute une communauté de Portoricains. C'étaient de beaux noirs portoricains qui se masturbaient seuls ou avec des copains. L'autre vidéo, c'étaient de tout jeunes hommes avec des hommes plus mûrs, genre Eddy et son père Peter. « Mmmmmm! » Ce furent les seules paroles d'Eddy en voyant la pochette de la dernière vidéo. Mais il choisit tout de même celle des Portoricains en disant à Peter : « On va d'abord regarder celle-là. Elle nous servira d'apéro ». Ils s'installèrent sur le canapé, Eddy prenant bien soin de s'assoir du côté où il avait caché la manette de la caméra. On mit la vidéo en marche et, dans un silence religieux, les yeux des deux hommes rivés sur l`écran, ils se laissèrent porter par la vue de deux beaux mâles portoricains, mulâtres, à très grosse queue, qui se branlaient ensemble, assis l'un à côté de l'autre, comme Eddy et Peter, en regardant eux-mêmes une vidéo mais, dans leur cas, sur le canapé d'une pièce poussiéreuse d'un flat de Lower East Side. La tension était forte dans le salon des Madison (c'était le nom de famille de Peter et Eddy). C'est toujours ainsi, qu'on soit seul ou avec quelqu'un d'autre, quand on active une vidéo porno et qu'on s'installe avec une envie folle de se masturber et qu'on sait qu'on va bientôt s'y mettre, la tension monte, la respiration se fait plus forte, le cœur fait des boums, les oreilles bourdonnent, la queue durcit et on bande très dur. Nos deux compères vivaient ces instants ensorcelants et aucun n'osait en briser la fascinante tension. Eddy toutefois, forcément plus entreprenant que Peter, se mit à se caresser et à regarder son père qui l'imitait. Il sortait la langue en direction de la bosse qui était maintenant évidente dans le short de son père. Peter, les yeux exorbités, fixait celle apparaissant dans le jeans de son fils. Puis, tout en ne lâchant pas cette fois les yeux de son père, Eddy déboutonna très lentement son jeans, le baissa jusque sur ses chevilles et se laissa glisser un peu sur le canapé de manière à ce que sa belle queue gonflée s'étende parfaitement de toute sa splendeur dans son slip. Peter ouvrait la bouche lentement les yeux fixés sur le slip. Eddy s'assura que son père ne détournait pas le regard de son slip et, dans un mouvement très rapide alla gratter sa cheville et en profita pour activer la manette de la caméra. Il reprit ensuite une position provocante sur le canapé. Il baissa ensuite lentement son slip avec les pouces dans les bordures et le rabattit sur son jeans à ses chevilles. Il retira son t-shirt et s'exposa ainsi tout nu devant son père, la bouche maintenant grande ouverte en pâmoison. Les yeux d'Eddy allèrent ensuite directement sur la bosse dans le short de son père. Ses yeux agissaient presque comme détonateurs. Peter ne pouvait plus différer davantage son abandon. Il se leva, baissa son short et son slip et enleva son t-shirt. Il était flambant nu devant son fils. Il se rassit et les deux reprirent leur confort en se masturbant lentement, les chevilles encore engagées dans les vêtements descendus. Ils ne voyaient plus la vidéo. Ils étaient fascinés par leurs manipulations génitales. Ils surveillaient et appréciaient les multiples nuances, souvent très subtiles, dans le tripotage de leur queue qu'ils avaient appris à connaître et à servir depuis leur enfance. Qui se grattait parfois une couille, qui grattait sous sa poche. Qui se branlait avec deux doigts sur le bout de la queue, sous le gland, qui à pleine main ou avec les deux mains à la fois. Qui augmentait la vitesse et serrait fort sa queue. Qui ralentissait le mouvement pour ne pas jouir tout de suite. Qui prenait sa poche dans sa main et la serrait, la manipulait, la chatouillait, qui léchait le liquide qui en sortait abondamment et qui s'en mettait sur les lèvres. Qui caressait son cul en relevant ses jambes, et qui sentait son cul sur ses doigts. Qui se pinçait les tétins. Qui caressait ses cuisses et son entrejambe. Mais les deux suaient, soufflaient, se regardaient attentivement, se scrutaient devrais-je dire, se mangeaient des yeux et tentaient de ne pas jouir trop vite...la soirée étant encore jeune. Avant qu'il ne soit trop tard et que l'éjaculation ne vienne trop vite, Eddy s'arrêta soudain et dit à son père : « On devrait mettre l'autre film. Mais, faisons une petite pause si tu veux, deux minutes, j'ai un téléphone à faire ». Il se leva mais laissa fonctionner la caméra. Quand il revint au salon, son père était toujours sur le canapé. Il avait démarré l'autre vidéo, mais il était à quatre pattes sur les coussins. Il avait la figure dans le coussin où le cul d'Eddy s'était déposé quelques minutes plus tôt. Il tentait vraisemblablement de saisir l'odeur de son fils sur le coussin qu'il avait déserté au moment où il est allé téléphoner. Cette pause et ce geste parurent très excitants à Eddy qui rebanda très vite et retomba dans la magie de la soirée. « Tu cherches la saveur de mes épices? » dit-il à son père, gêné d'avoir été surpris mais surtout rouge de honte devant ce fantasme qu'il découvrait devant la personne même qui en était porteuse. « Excuse-moi, Eddy! C'était trop tentant! Je n'aurais pas dû... » Mais Eddy l'interrompit pour le rassurer en disant : « Tu as vraiment bien fait car maintenant que j'ai découvert ta fantaisie, je vais pouvoir t'offrir mieux que mes traces sur un coussin. » Finissant ces mots, il se plaça debout devant le canapé, se retourna pour montrer son derrière à son père, se pencha, écarta ses fesses pour bien faire voir son trou et ajouta : « Bienvenu dans ma boutique, Daddy! Tout de toi est bienvenu : tes doigts, ta langue, ton nez et même ta queue. » Ces dernières paroles consolèrent Peter immédiatement qui cessa de regretter d'avoir été surpris par son fils à sniffer son coussin puisque cette petite perversion lui ouvrait la porte de mille de ses désirs. Il débuta son incursion dans le cul de son fils en le caressant avec ses doigts, doucement, lentement comme pour prendre conscience de l'immense chance qui lui était donné et pour ne pas brûler la progression de son plaisir puisqu'il avait fallu des mois, voire quelques années, pour que ce désir se construise, s'intensifie, se précise et devienne parfois très obsessif. Il allait défaire le mur infranchissable élevé au fil du temps entre son désir apparemment inaccessible et la réalisation présente de ce désir, en procédant étape par étape, pour tenter de jouir à chaque étape des fantasmes qu'ils avaient accumulés avec le temps dans sa mémoire. Ses doigts parcouraient les plis et les ourlets de l'anneau anal. Il tentait d'imprégner sa mémoire de la texture, de la forme générale et particulière, de chaque détail susceptible de représenter exclusivement le cul d'Eddy, de chaque nuance de ton dans le jeu des couleurs qui faisait de ce cul celui d'Eddy et de personne d'autre. Puis, il avança son nez pour en parcourir les fragrances_ son fameux comptoir d'épices_ qu'il rêvait encore plus de visiter que celui du Caire depuis que son fils l'avait mis sur cette piste. C'était comme sur le coussin mais en plus profond, en plus réel, comme un cinéma en trois dimensions. Les odeurs le firent trembler et frémir tant elles étaient riches, onctueuses, grasses et voluptueuses. Il n'aurait plus jamais cela. Quand il sentait son propre cul sur ses doigts parfois en se masturbant, il sentait sourdre en lui un « rush » d'excitation mais jamais avec une telle intensité. L'odeur intime d'Eddy était comme une sniffée de poppers. Puis, il avança sa langue avec un rituel semblable à celui de l'eucharistie. Il voulait toucher à ce trésor comme à un dieu. Il y goûta d'abord du bout de la langue pour en saisir les premières saveurs, celles qui reposaient le plus en surface. Puis, il creusa plus profondément découvrant à chaque coup de langue une saveur nouvelle ou une nuance subtile qu'il n'avait pas trouvée à la lippée précédente. Il enfonça finalement toute sa langue le plus profondément possible et le liquide qui s'étala sur ses papilles provoqua une réaction acide qui le faisait pénétrer comme dans l'antre aux secrets d'Eddy aussi merveilleux que celui d'Alibaba. Il avait la sensation que désormais, il ne pourrait pas être plus près de lui, même en l'enculant. Le pénétrer avec sa queue serait conquérir son espace interne, mais le pénétrer avec sa langue c'était envahir son cœur et presque sa mémoire. Il poursuivit un bon dix minutes cet extraordinaire plaisir qui semblait susciter le même agrément chez son fils, puis il lui demanda s'il pouvait l'enculer. Eddy répondit affirmativement mais, après avoir mystérieusement regardé sa montre, il demanda à son père s'il ne pourrait pas lui, Eddy l'enculer en premier. Il lui promit qu'il pourrait faire de lui ensuite tout ce qu'il voulait. Peter ne put résister à cette demande, même s'il lui apparaissait logique, dans son processus de découverte, qu'il le pénétrât d'abord. Presque à regret, Peter se mit à genoux sur le canapé, écarta ses fesses et pria Eddy d'y aller doucement car il n'avait vraiment pas l'habitude de cette pratique. Seul son propre doigt était allé là à l'occasion et, une fois ou deux, des copains de collège l'avaient visité, mais pour le reste, il était vierge. Eddy le prépara doucement et amoureusement avec sa langue. Il lubrifia ensuite abondamment sa queue et le cul de Peter et entreprit lentement de le pénétrer. Après quelques minutes difficiles à cause surtout de la grosseur de la queue d'Eddy, il finit par y pendre plaisir, puis devint envahi de plaisir, puis se sentit comme emporté au paradis et un univers s'ouvra soudain devant lui comme s'il venait de décoller vers l'espace. Il criait. Il émettait toutes sortes de sons nouveaux qu'il ne savait pas que sa voix puisse produire. Il était si intensément concentré sur ses sensations qu'il n'entendit pas s'ouvrir la porte principale de la maison, ni les bruits de pas vers le salon. Il ne remarqua pas davantage qu'une ombre nouvelle s'ajoutait dans le paysage du salon. Il prit lentement conscience d'une situation bizarre. Alors que les deux mains d'Eddy reposaient sur ses hanches pendant qu'il se faisait pénétrer, il sentit une autre main venir attraper son pénis pour le masturber. Il se retourna lentement pour voir comment Eddy pouvait réussir une telle manœuvre et il faillit claquer d'une syncope. Droit à côté de lui, complètement nu, le bras tendu tenant encore son pénis, se tenait Danny, le grand copain de son fils. Après une ou deux horribles secondes, Peter prit conscience que ce n'était pas un rêve. Danny était bel et bien là, tout nu. Cette vision l'arrachait douloureusement à son plaisir. Il ne voulait plus qu'une seule chose : qu'Eddy sorte de son trou. Ce dernier augmenta son emprise physique sur son père, le temps de trouver quelque chose à dire pour expliquer tout ça. C'est Danny qui parla en premier. « Calmez-vous, monsieur Madison, c'est juste moi. Eddy m'a raconté qu'il ait fait des choses avec vous. J'ai voulu en avoir la preuve surtout que je vous ai toujours trouvé très séduisant. C'est un honneur pour moi de faire quelque chose de sexuel avec vous. J'ai déjà fait bien des choses avec Eddy; mais avec vous ce n'est pas pareil. C'est encore plus excitant ». Il ajouta cette dernière allusion en faisant un clin d'œil à Eddy. Eddy continuait de pénétrer son père mais les mouvements étaient plus lents. Enfin, c'est Eddy qui se pencha sur le dos de son père pour lui parler dans l'oreille. « Dad ! Il ne faut pas le prendre mal. Danny et moi, on est conscient tous les deux que ta vie n'a pas toujours été jojo. On s'est dit qu'on pourrait peut-être te faire vivre quelque chose de très excitant. À trois, c'est encore plus chouette qu'à deux, n'est-ce pas? Ne pense plus à rien et laisse- toi aimer, mon daddy d'amour! » Danny s'approcha de nouveau et caressa le dos de Peter. « Vous êtes super beau, monsieur Madison. Il n'y a pas une partie de votre corps qui ne me fait pas `tripper' ! Si je vous plais un peu, vous pouvez me sucer si vous voulez. J'en rêve ». Peter était comme dans un cauchemar incompréhensible. Ses tempes battaient la chamade. D'une part, il se sentait trahi par son fils. C'était donc ça le téléphone si urgent! Il avait tant rêvé d'une soirée intime avec Eddy. Et voilà que cela se transformait en partouze et juste au moment où il se laissait pénétrer, juste au moment où il s'abandonnait. Ces pensées lui faisaient perdre son érection. Mais, en même temps, les paroles de Danny et d'Eddy étaient si douces et si généreuses qu'elles lui faisaient revivre les beaux moments de sa première jeunesse quand les filles lui faisaient tant de compliments à l'école et quand il remarquait comment plusieurs garçons le regardaient et avaient envie de lui. Sa tête faisait boum de partout, mais peu à peu la surprise s'amenuisait et la queue d'Eddy qui n'avait toujours pas quitté son cul lui rappela qu'avant l'arrivée de Danny c'était super bon. Il ne voyait plus pourquoi ça ne pourrait pas être bon encore un peu plus longtemps. Enfin, il jugea que cela pourrait encore être meilleur et, très lentement, il approcha sa bouche de la belle queue tendue de Danny et l'engouffra dans sa gorge. Ils baisèrent à trois durant une bonne demi-heure. Danny offrit son cul à Peter après la jouissance d'Eddy. Il lui dit clairement de le prendre fort car il méritait une punition pour s'être introduit chez lui sans sa permission. Ce genre de jeu de rôle ne déplaisait pas à Peter. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas baisé. Ce fut une grande joie de pénétrer la belle cave à vins de Danny. Il s'en donna à cœur joie en entendant le jeune souffler à toute vapeur en lui criant : « Encore! Plus fort encore monsieur Madison! ». Ce « Monsieur Madison » rendait la situation encore plus cochonne. Il se sentait un vieux satyre, bien qu'il n'eût que dans la trentaine avancé. Entendre également son fils Eddy lui dire toutes sortes de paroles cochonnes pendant qu'il pénétrait son meilleur ami, cela aussi ajoutait du piquant à la sauce, si je puis dire. « Allez, papa, fourre-le! Danny est une belle salope. Défonce-lui le trognon! Fais-lui sortir ta queue par la gorge ». Jamais Peter n'eut cru possible de participer à pareille orgie tant en paroles qu'en acte. Et pendant que Peter fourrait Danny, Eddy avait rebandé et enfonçait sa queue dans la gueule de Danny. « Mange-moi Danny, disait-il, ça va amuser papa pendant qu'il te fourre. » Rendu fébrile par toutes les émotions de la soirée, Peter ne pouvait pas se retenir très longtemps. L'odeur des deux garçons qui suaient à côté de lui et dont chaque mouvement transportait des effluves de queue, de cul, de poche qui a eu chaud et de sperme séché, tout cela le fit jouir avec éclat. Il sorti juste à temps du cul de Danny et éjacula sur son dos. En même temps, Eddy se vidait dans la bouche de son copain. Danny s'effondra sur le divan, écarta les jambes et prit sa queue dans sa main en disant : « À mon tour maintenant, j'ai bien mérité mon tour, non? » Les trois ont ri. Peter et Eddy vinrent s'assoir à côté de lui et pendant qu'Eddy l'embrassait à pleine bouche et lui caressait les seins, Peter le suçait et le masturbait. Il ne fut pas long à jouir. Eddy se pencha alors, glissa sa main sous le canapé, attrapa la manette de la caméra et appuya sur le bouton pour arrêter la machine. Il avait réussi la deuxième étape prévue dans leur plan et à peine en une dizaine de jours. ... Lorsque Stephen eut terminé le récit de la « grande séduction » de Peter par Eddy, il se retrouva profondément ému. Quand j'ai voulu qu'il s'exprime sur l'émotion que semblait lui susciter son récit, ses lèvres devinrent fébriles et il se retrouva au bord des larmes. Il me demanda un autre rendez-vous en précisant qu'il préférait attendre m'avoir tout raconté avant de parler de ses sentiments. Ce serait plus facile pour moi, dit-il, de mesurer à leur juste proportion les pensées contradictoires qui l'envahissaient. Je lui ai donc donné rendez-vous pour le samedi après-midi suivant; je ne voulais pas attendre toute une semaine avant d'entendre la suite. À suivre...Big Apple 5; Prochain épisode : Halloween aux Catskills ALEXANDRE