Date: Tue, 07 Jan 2014 18:44:07 -0500 From: Normand Doré Subject: Les mystères du Nil 10 Les mystères du Nil 10 Khan El-Khalili Khan El-Khalili est l'un des quartiers les plus agréables du Caire. S'ouvrant sur la grande place de la célèbre mosquée Al-Azhar, il consiste essentiellement en un souk gigantesque formé par de nombreuses ruelles commerciales souvent couvertes de tapis ou de voûtes de pierres ou de briques. On se croirait au moyen-âge en parcourant ces ruelles. Fantastique! Un extraordinaire dépaysement! Un café, très connu internationalement, s'ouvre sur la première ruelle de Khan El-Khalili. C'est le Fichaoui où se rencontrent écrivains, cinéastes et vedettes parfois. C'est là que Philip m'avait donné rendez-vous pour notre première rencontre depuis notre ballade mémorable sur le Nil (voir épisode 05 : une rencontre sur Éléphantine). J'étais très heureux de le voir arriver. Sa silhouette longue, sa chevelure blond roux et ses lunettes d'intello, tout cela lui donnait un air très sexé et les souvenirs de nos nuits torrides sur les bords du Nil ravivèrent mon désir sexuel général et mon désir de lui en particulier. Je me souvenais toutefois qu'il ne m'avait pas touché et qu'il avait préféré les jeunes garçons à notre maître d'équipage. Son cul dans son pantalon beige attirait constamment mon attention. Lorsqu'il était assis, je ne pensais qu'à ça. Je rêvais d'être transformé en chaise. Il me raconta les derniers événements de sa vie, fort simple en occurrence. Il buvait mes paroles quand je lui ai raconté ma croisière sur le Nil, mes aventures avec Brian et Alan, celles avec le felouquier, celui qui avait une big banana, mes branlettes et plus avec les deux frères employés de mon hôtel???.Il n'arrivait pas à comprendre que je puisse avoir tant de chance. Il avait tout à fait raison. Car, nonobstant le fait que j'étais plus dragueur et plus fonceur que lui, je devais admettre que j'avais aussi de la chance. Mes retrouvailles avec la rose du Caire (premier épisode de cette nouvelle) en étaient une preuve incontestable. Il manifesta un tel intérêt pour les deux frères que je résolus de les lui présenter. En effet, mon séjour en Égypte tirait à sa fin. Autant les deux frères que Philip tireraient un grand profit d'avoir des compagnons de sexe assurés. Philip habitait un joli appartement Shari ed-Doqqi à Doqqi justement, de l'autre côté du Nil, en face du Caire, une banlieue qui faisait désormais partie du Grand Caire et n'avait rien à voir avec nos banlieues dortoirs. À Doqqi, il y avait de grandes avenues, des boutiques, des cafés, des cinémas, des places très achalandées?. Les deux frères trouveraient chez Philip un lieu sécuritaire pour vivre leur sexualité, en plus d'un séduisant partenaire, et Philip aurait des compagnons de jeux. Il pourrait avoir enfin une alternative à la branlette. Ce serait mon cadeau de départ à Philip et aux deux frères de l'hôtel Windsor. En attendant, j'étais très excité à l'idée d'aller dans un hammam. Je me souvenais des descriptions de Fernando, le journaliste de Bilbao, et je voulais me retrouver au milieu de ces corps d'Égyptiens tendus entre la chasteté et la libération des tensions sexuelles. J'ai réussi à convaincre Philip de m'accompagner. La soirée du hammam ne fut pas ce que j'avais imaginé. Une dizaine d'hommes, la plupart pas très beaux, déambulaient sous la voûte sombre en pierres de la salle principale qui ressemblait au hall des anciens caravansérails de l'époque fatimide. Il y avait des cafards partout. La propreté était douteuse. Il y avait bien des caresses furtives et des approches discrètes, mais comme les contacts étaient en principe interdits, il ne se passait pas grand-chose. J'estimais avoir eu beaucoup d'audace de m'être servi de mes fantasmes anticipés du hammam pour séduire mon journaliste de Bilbao. Mais, faut croire que des pulsions autres que mes improbables suggestions avaient fait naître en lui des désirs neufs qui n'avaient rien à voir avec la sensualité du hammam. Peut-être, tard durant la nuit, la situation était-elle plus voluptueuse? Peut-être aussi est-ce le journaliste qui m'avait conquis, et non le contraire, en laissant pointer des voluptés plus suggestives que réelles? Je ne le saurai jamais. Mais tout le charme de l'amour et de la sexualité réside précisément dans le mystère. Si on savait vraiment ce qui se passe dans la tête de nos partenaires, peut-être le charme serait-il rompu et l'excitation s'éteindrait-elle? Allez savoir! Toutefois, comme dans le cas du journaliste de Bilbao, ma rose espagnole du Caire, le passage au hammam ne fut pas sans conséquences heureuses. En sortant de là, Philip m'invita chez lui à Doqqi. Il se faisait envoyer d'Angleterre du whisky écossais, denrée rare, voire introuvable, en Égypte. Ce serait chouette de prendre un verre au Caire. Surtout que nous étions en mai et qu'à ce moment de l'année, si les journées sont très chaudes, les nuits sont encore assez fraîches. Il y a un vent du désert qui se lève vers 22 heures. C'est un vent sournois qui court près du sol, qui semble venir de tous les côtés et qui vous fait frissonner. Un bon whisky serait un vrai remède à cette heure de la soirée déjà très avancée. Assis, pour ne pas dire callés, dans le canapé qui avait le confort d'un divan de sultan, Philip et moi entreprîmes une longue conversation très intime. Je lui demandai, et ma question n'était pas tout à fait désintéressée, s'il n'aimait que les garçons. Il me répondit qu'il n'en savait vraiment rien, qu'il restait tout simplement accroché à une aventure qu'il avait eu avec son neveu de 16 ans à Londres et que celle-ci venait le hanter continuellement, et qu'il cherchait sans cesse à la renouveler avec d'autres jeunes hommes. Les images de son neveu Harry étaient si fortes qu'elles emplissaient ses fantasmes et l'isolaient sans doute d'hommes plus mûrs avec lesquels il aurait sans doute aimé avoir des relations. Devant mes nombreuses questions, il décida de me raconter son histoire et je crois pertinent de vous la raconter maintenant, même si cela nous sort un peu de mon récit égyptien. Sa s?ur, son beau-frère et son neveu habitaient un pavillon de banlieue à mi-chemin de Londres et de Heathrow. Ils avaient planifié de faire un voyage d'un mois en Australie et ne voulaient pas laisser Harry (le neveu) tout seul à la maison. Philip apparaissait donc le candidat idéal pour prendre soin d'Harry. En effet, si Philip venait habiter le pavillon de banlieue, Harry pourrait continuer d'aller régulièrement à l'école et voir ses copains. Quant à Philip, comme il devait travailler tous les jours au Senate House derrière le British Museum, la maison de banlieue étant située à deux pas de la ligne de métro Piccadilly, il pourrait sauter dans le train chaque matin et se faire conduire directement à Russell Square tout près du musée. Cela le changerait aussi de son petit studio de Bloomsbury grand comme une cellule de moine. Harry était un garçon charmant et il avait toujours manifesté de l'affection pour son oncle Philip. Le troisième après -midi de leur cohabitation, Philip revint beaucoup plus tôt à la maison. En fait, il se sentait un peu responsable et voulait s'assurer qu'Harry ne manquait de rien et rentrait directement à la maison après l'école. Quand il entra, il ne fit pas de bruit et monta à l'étage pour voir si Harry était rentré. La porte de la chambre était ouverte et il vit Harry, tout nu, allongé sur son lit, les jambes relevées qui se branlait d'une main et s'astiquait le cul avec un doigt de l'autre. Il figea sur place. Incapable d'entrer bien sûr, mais incapable non plus de redescendre pour lui laisser son intimité. Philip était à la fois paralysé par la découverte de la sexualité de son neveu et paralysé aussi par le désir qu'il sentait sourdre en lui. Dissimulé sur le côté de la porte, il se savait néanmoins visible si Harry relevait la tête. Il envisagea aussi ce qui arriverait quand il aurait terminé sa branlette et se relèverait du lit. Il entendit les gémissements qui annonçaient l'orgasme et quand les jets de foutre furent propulsés sur le mur du fond, il redescendit lentement l'escalier espérant ne pas faire craquer le plancher. En bas, le c?ur lui débattait. Il fit semblant d'entrer et de faire du bruit comme pour prévenir Harry de son arrivée. Mais toute cette mise en scène ne lui paraissait pas sûre car il avait l'impression qu'Harry avait constaté sa présence. Pendant sa masturbation, il avait regardé quelques fois dans la direction de la porte, mais n'avait pas changé d'attitude ni modifier son 'exercice'. Quand Harry descendit de sa chambre, il salua Philip et lui parla de sa journée comme si rien ne s'était passé quelques minutes plus tôt. Mais Philip était mal à l'aise. Il cherchait ses mots, faisait des gestes gauches et tentait de préparer le souper en montrant une très grande fébrilité, ce qui n'échappât pas à Harry. «Ça va Philip? », lui dit-il en souriant. « Tu m'as l'air inquiet ou préoccupé? » « Non! Tout va très bien » confirma Philip sans conviction. Après souper, Philip se retira dans sa chambre et se hâta de se soulager par une longue séance de masturbation nourrie par des images et des fantasmes tout neufs. Le lendemain après-midi, il s'arrangea pour rentrer à la maison à la même heure que la veille. Il entra encore avec précaution, sans faire de bruit, et monta l'escalier, le c?ur battant la chamade. Il approcha lentement de la porte et vit Harry, tout nu encore une fois, mais debout devant le grand miroir de sa chambre qui caressait chacune des parties de son corps. Il mouillait ses doigts de salive et caressait ses mamelons quand Philip réussit à le voir par l'embrasure de la porte. Il descendait lentement ses mains le long de ses côtes, caressant ses hanches et ses fesses durant la descente, puis, jetant vers la porte un ?il en coin, il fléchit légèrement les genoux, projeta son ventre vers l'avant, empoigna son long et fort pénis dans sa main et débuta une bonne branle cochonne, lente et passionnée. Philip avait des haut-le-c?ur tant la scène l'excitait. Il n'osait pas sortir son pénis mais se caressait dans son froc. Craignant de se compromettre davantage si Harry se retournait brusquement, à regret, il se rendit dans sa chambre et ferma délicatement la porte. La tête pleine de toutes ces nouvelles images, il accompagna Harry dans ses plaisirs solitaires. Étourdi par ses sensations, Philip n'en entendit pas moins le craquement du plancher devant sa porte de chambre. Il crut d'abord à un bruit de hasard, mais le craquement se répéta à quelques reprises. Il se mit à genoux sur le lit, la face en direction de la porte pour mieux identifier la provenance des sons, et poursuivit sa branlette jusqu'à l'éjaculation. Il ramassa la plus grande quantité possible de sperme tombé sur ses draps et s'en servit comme apéritif. Puis, calmé par sa jouissance, il décida d'aller voir ce que pouvait bien être le bruit qu'il avait entendu. Il ouvrit la porte de la chambre. Rien. Mais quand il posa le premier pied hors du seuil de porte, il entendit le même craquement qui avait attiré son attention quelques minutes plus tôt. Il avança le deuxième pied, il entendit le même bruit. Il n'avait plus de doute alors que quelqu'un, en occurrence Harry, était venu devant sa porte. Mais, la porte était fermée; il n'avait pu rien voir. C'est alors qu'il remarqua que la porte était ancienne, très différente de celle de son appartement rénové de Bloomsbury. Elle comportait un large trou de serrure. Il referma la porte, se pencha pour regarder par le trou de serrure et, oh! Horreur!, il avait une vue imprenable sur son lit. Non seulement, Harry avait été témoins de sa masturbation, mais lui-même en se mettant à genoux sur son lit face à la porte, lui avait donné un billet de première loge pour assister à sa jouissance. Il était honteux, rouge, terrifié, ne sachant plus ce qu'il devait faire maintenant, mais, en même temps, il était terriblement excité et comme soutenu par une vague de nouveaux désirs indéfinissables qui se bousculaient dans sa tête à un rythme infernal. Il prit une bonne heure à se décider de sortir de sa chambre. Il tentait de se composer une attitude. Quand il arriva enfin dans le salon, Harry regardait la télé. Ils se souhaitèrent le bonjour et aucun ne fit allusion à l'arrivée de l'autre de l'école ou de Londres. Philip se servit une bière et apporta un coca à Harry. Ils regardèrent tous les deux la télé sans commentaire. Aucun ne semblait le moindrement intéressé par l'émission. Au cours du souper, la conversation se limita à des généralités. Comme le lendemain était un samedi, Philip voulut savoir ce qu'Harry souhaitait faire de sa journée. Il resta évasif en disant qu'il aimerait bien passer une journée tranquille à la maison à regarder des vidéos. Surtout qu'on annonçait de la forte pluie. Philip aussi manifesta son désir d'une petite journée bien calme en pyjama. Le frigo était encore suffisamment garni pour qu'on n'ait pas à sortir. Pour conclure cet échange sur leurs projets réciproques pour le lendemain, Philip résuma en disant : « Alors, ce sera une journée pyjama-télé-vidéo-lecture-canapé-popcorn!_ « and jerk off (branlette) » ajouta Harry. Philip devint cramoisi. Il n'arrivait pas à jauger l'audace d'Harry. Pour se donner une certaine contenance, puisqu'il sentait bien qu'Harry attendait une réponse ou un commentaire, il dit, sans trop réfléchir : « Peut-être bien! C'est vrai qu'à 16 ans, les pulsions sont fortes. » Avec un aplomb imprévisible, Harry lui répondit : « Et je suppose qu'à 30 ans, on se branle au milieu du lit et on bouffe sa décharge ». Philip faillit s'évanouir. Harry lui confirmait qu'il avait tout vu. Il ne lui restait plus qu'à avouer son « crime »! « Tu as regardé par le trou de la serrure? » demanda Philip. La réponse vint aussi très vite. « Oui! Et toi tu m'as regardé deux fois sur le bord de la porte. Tu t'es branlé parce que j'avais réussi à t'exciter. Avoue-le! » « Tu sais Harry, je ne suis pas fait en béton. Voir un beau garçon comme toi se donner du plaisir, affichant sa nudité et offrant un beau morceau de queue à regarder, il y a de quoi exciter un homme jeune comme moi. » « Ouais! Ouais! Ouais! » répondit Harry, faisant une sorte de moue comme si l'argument de Philip n'était pas très convainquant. Il se retira ensuite dans sa chambre et regarda seul sa télé et ses vidéos. Philip était malheureux. Il avait l'impression d'avoir fait une bêtise, mais où avait-il fauté? Quand il repassait dans sa tête les événements des derniers jours, il lui apparaissait qu'il n'avait rien à se reprocher sinon d'être rentré de bonne heure une deuxième fois espérant secrètement revoir Harry en action. La première fois, c'était un accident. Il passa la soirée seul à se morfondre et se coucha anxieux après avoir frappé délicatement à la porte d'Harry pour lui souhaiter une bonne nuit. Il reçut une réponse calme et douce avec l'assurance qu'il allait éteindre bientôt. Le lendemain matin, il pleuvait effectivement des cordes. Les deux compères se levèrent presque à la même heure et prirent leur petit déjeuner ensemble. Harry se précipita alors sur le canapé, ouvrit la télé et regarda les dessins animés. Il n'avait qu'un t-shirt et des pantalons en coton molletonné dont la souplesse laissait voir clairement ses formes. On pouvait très bien voir à quel point exact son pénis pointait dans le pantalon. Le tissu faisait une petite tente qui tantôt avançait en augmentant et se relevant, tantôt redescendait en diminuant et se rabaissant. Philip avait tout vu cela et sentait sa propre queue se dresser dans son pyjama. Il alla rejoindre Harry dans le salon et s'assit à côté de lui sur le canapé. En regardant parfois de côté, il pouvait voir la queue d'Harry se dresser de plus en plus souvent et demeurer bandée de plus en plus longtemps. Parfois, le jeune se redressait rapidement et arrangeait son morceau en plongeant rapidement la main dans son pantalon. Inutile de dire que Philip aussi était maintenant tout à fait bandé. Les mouvements qu'il avait fait pour 'arranger' lui aussi son appareil firent en sorte que le cordon de sa robe de chambre se détacha et il était facile alors de voir que le pyjama dressait aussi une forte tente sur le devant. Harry vit tout cela aussi sans doute. Au bout d'une bonne demi-heure de jeu, Harry plongea définitivement la main dans son molletonné et entreprit réellement de se masturber. Philip se mit alors à le regarder et à contempler le spectacle qu'il avait devant lui. La télé n'attirait plus du tout son attention. La tente dans son pyjama avait atteint des proportions impressionnantes et le gland allait bientôt sortir de l'ouverture de la braguette. Harry respira bien fort, baissa complètement son survêtement, enleva son t-shirt et, tout nu, regarda Philip droit dans les yeux et lui dit : « Qu'est-ce que tu attends? On avait dit une journée télé-canapé-vidéo et branlette. Allez! On se masturbe! Sors ta queue et branle-toi avec moi! » C'était comme un ordre. On ne pouvait pas ne pas lui obéir. Lentement, Philip ouvrit complètement sa robe de chambre, baissa la culotte de son pyjama et se retrouva bandé devant les yeux satisfaits et inquisiteurs d'Harry. « Fais comme moi, enlève tout » dit Harry. « Je veux que tu sois tout nu comme moi. Parce que tout à l'heure, je vais vouloir aussi voir ton cul ». Philip obéit encore une fois tout en n'arrivant pas à comprendre l'audace de son neveu qui, jusqu'à présent, avait toujours manifesté de la retenue, voire de la gêne à exprimer ses besoins et ses désirs. Tous les deux avaient cessé de regarder la télé et ils se masturbaient l'un à côté de l'autre en s'observant avec concupiscence. Au bout d'un moment, Harry se leva et se plaça devant son oncle en lui demandant de le sucer. Philip obéit encore, heureux de cette initiative qu'il n'aurait pas osé demander mais qu'il souhaitait depuis longtemps. Harry avait une belle queue, longue et assez large, tout à fait à maturité malgré ses 16 ans, du moins le semblait-elle. Elle était encapuchonnée dans un beau prépuce qui glissait sur le gland avec une incroyable facilité comme si tout baignait dans l'huile. En effet, Harry produisait beaucoup de liquide 'pré', ce qui rendait le tout glissant, reluisant et très agréable à manipuler. Une bonne odeur de gland se dégageait par moments de sa queue lorsque le prépuce était repoussé. Mais justement, ce la n'avait rien de repoussant; au contraire, cela excitait Philip énormément. Il avait toujours été fasciné par les odeurs des jeunes garçons. Elles lui rappelaient son adolescence quand les érections sont presque omniprésentes et qu'on n'arrive pas à arrêter le pré-jus de couler et de parfumer le gland mais aussi les sous-vêtements. Il se pencha tout naturellement pour sucer son neveu avec passion et de diverses façons pour lui faire ressentir le plus de plaisirs variés possible. L'autre le laissait lui faire plaisir. Philip prit aussi son scrotum dans sa bouche et lui massa les couilles avec sa langue. Harry gémissait. Puis, tout à coup, Harry se dégagea et ordonna à Philip de le suivre dans sa chambre où il le fit s'étendre sur le lit. Il se dirigea ensuite dans l'armoire et en sortit tout un faisceau de cordes. Philip était sidéré. « Qu'est-ce que tu veux faire avec ça » demanda-t-il à Harry. « En prévision de notre week-end, j'ai descendu du grenier des choses pour qu'on s'amuse, toi et moi. Tu ne regretteras pas d'avoir accepté de me garder » répondit-il en riant. Puis, il ajouta : «C'est moi qui va regretter mon gardien! ». Il lia les poignets et les chevilles de Philip aux quatre coins du lit. Philip ne résista pas et ne comprenait pas pourquoi il ne résistait pas. Puis, il banda les yeux de Philip. Celui-ci se débattit prétextant qu'il voulait voir ce qui allait se passer; voir faisait partie du plaisir. Harry répondit que c'est lui-même qui allait prendre son plaisir d'abord. Tant mieux si Philip y trouvait le sien. Il ne voulait pas être regardé pendant qu'il s'amusait. C'est la raison qui justifiait les cordes et le bandeau. Quand Philip fut bien lié et bien bandé, dans tous les sens du mot, Harry escalada le lit. Il se mit à genoux, les jambes de chaque côté de la cage thoracique de Philip et vint déposer sa queue et ses couilles sur la figure de Philip. « Tu vas me lécher la queue et la poche comme tout à l'heure et tu vas me dire régulièrement combien tu adores me bouffer. » Philip s'exécuta avec plaisir mais n'arrivait pas à parler. Il était bloqué par la gêne. Après un bon cinq minutes de léchage et de suçage, il reçut une bonne gifle. La joue de Philip devint toute rose. « Parle-moi! Dis-moi que tu adores me lécher! Demande-moi plus encore! Si tu restes silencieux, I will kick the shit out of you (littéralement : je vais te vider de ta merde, plus correctement, je vais te défoncer). » Philip était terrorisé. Jamais il n'avait perçu ce monstre caché dans son neveu. Il jugea prudent d'obéir. Timidement d'abord, sans conviction, puis s'abandonnant de plus en plus à son nouvel état d'esclave, puis, y prenant même plaisir, il finit par s'exprimer avec une réelle conviction, prenant un immense plaisir à demander des faveurs à son neveu. Il comprit même que le bandeau l'aidait à s'exprimer. L'obscurité rendait la situation anonyme et presque onirique. Il croyait rêver. « Donne-moi tes deux couilles à laver! », criait-il à Harry. « Fourre ta belle queue dans ma sale gueule! Fais-moi sentir le derrière de ta grosse poche!_ puis_ Fais-moi sentir et goûter à ton cul, Harry! » Les yeux bandés, il ne voyait pas l'émerveillement lisible sur la figure d'Harry. Il dominait son oncle et son corps devenait un objet de convoitise comme s'il était une grande vedette sportive ou de cinéma. Harry se retourna et vint planter son trou directement sur le nez de Philip qui respirait à grands coups. Philip était envahi par tous ses rêves érotiques d'ado en respirant les parfums profonds, épicés et sombres du cul de son neveu. Tous ses rêves passés se bousculaient dans sa mémoire ultra-excitée par les odeurs. Il criait : « Laisse-moi goûter à ton cul Harry! S'il-te-plaît! Je veux mettre ma langue dans ton cul qui sent si bon! » Harry le taquinait en insistant : «Dis-moi pourquoi et depuis quand tu veux goûter à mon cul? » Enivré par ses première audaces verbales, Philip respira fortement et lança : « Je veux mettre ma langue dans ton cul parce qu'il sent très bon et que j'en ai envie depuis_ il hésita_ longtemps. » La réplique ne se fit pas attendre : « Depuis combien de temps? » Autre hésitation, trop longue pour Harry qui lui administra une autre gifle. «Depuis au moins deux ans! » finit par admettre Philip. « Bien! » Et Harry lui donna son cul comme un cadeau. Après le grand léchage, Harry enleva le bandeau de Philip. Il détacha ses pieds mais ce n'était que pour changer de position. Il releva les jambes de Philip et lui attacha de nouveau les chevilles mais, cette fois-ci, tout près de ses poignets à la tête du lit. Philip avait donc ainsi le cul complètement offert au bon plaisir d'Harry. Et, en plus, il voyait tout cette fois. Avec un large sourire, Harry lui dit qu'il était temps maintenant de rendre les choses plus difficiles. Il ajouta qu'il avait envie depuis longtemps de voir et de lécher le cul de son oncle. « Même quand j'avais 10 ou 11 ans, je voulais voir ton cul de proche, Philip. Aujourd'hui, c'est mon heure! Mais, en plus, j'ai envie de le fourrer avec ma belle queue. Je ne me priverai pas non plus de le faire! » Il ria pour accompagner sa dernière phrase. Il mit du temps à lécher le cul de Philip. Il savourait chaque recoin enfonçant sa langue le plus loin possible. Philip hurlait de plaisir mais aussi de honte car il montrait ainsi à son jeune neveu à quel point il était pervers et avide de ses caresses. Il lui révélait aussi son intimité la plus secrète. Bien lubrifiée de salive, Harry montra sa queue à son oncle à deux cm de ses yeux et lui demanda de le supplier de l'enculer, de lui dire combien il souhaitait être sodomisé par lui. Rouge de honte et paralysé par la peur de recevoir une autre gifle s'il n'obtempérait pas, Philip se résolut à dire : « Je t'en supplie, Harry, met ta belle queue dans mon cul! Il y a longtemps que je veux que tu m'encules. » « Dis-moi ce que tu faisais en pensant à moi quand tu te branlais et que tu voulais que je t'encule » ajouta Harry? « Je me mettais un doigt dans le cul et j'imaginais que c'était ta queue. T'es satisfait là? Je te dis tout. » « Sûrement pas tout, ajouta Harry. Mais je te ferai bien cracher la suite un jour. « Parfois, je mettais un gode assez gros; là, c'était plus réaliste » termina Philip qui craignait une autre gifle. Il en reçu une tout de même et Harry ajouta : « Lèche-moi bien la bite car c'est avec ton jus de gueule que je vais t'enfiler mon morceau jusqu'au fond » La grossièreté d'Harry était nouvelle aux oreilles de Philip. Jamais il aurait cru que son neveu, si charmant, si doux, si sociable, si parfait à l'école puisse parler et se comporter ainsi. Mais ça l'excitait beaucoup, devait-il admettre. Harry, la queue dégoulinante de bave, se pointa à l'ouverture de Philip et força l'entrée avec une relative brutalité. Il le pénétra jusqu'à la garde. Philip serrait les dents pour ne pas crier. Finalement, très excité par son jeu qui réussissait très bien, Harry ne tint pas longtemps. Dans un cri qui ressemblait à un hurlement de jeune loup, il lâcha les résistances et une forte décharge de sperme se répandit dans le ventre de Philip, ce qui provoqua la propre jouissance de Philip qui , lui aussi, rendit presque l'âme dans un grand cri. Harry détacha ensuite son oncle après lui avoir fait dire combien il était heureux du jeu qu'il avait inventé, qu'il n'avait jamais joui aussi fort, ce qui était vrai d'ailleurs, et qu'il souhaitait ardemment reprendre ce jeu ou un autre selon le bon vouloir d'Harry. Philip promit tout par crainte mais aussi parce qu'il se sentait maintenant comme ensorcelé par Harry. Il savait que ce dernier pourrait lui faire faire presque n'importe quoi sexuellement. Mais cela, il ne le lui dit pas. Les semaines qui suivirent furent toute une aventure pour Philip qui devint presque l'esclave sexuel de son neveu. Quand les parents revinrent, Philip retourna à Londres et revit rarement son neveu. À chaque fois que l'occasion se présenta, c'était toujours comme s'il ne s'était jamais rien passé entre eux. Harry semblait être passé à autre chose. Philip, lui, demeurait accro. Il aurait tant voulu reprendre ses jeux avec Harry. L'offre d'aller étudier et travailler au Caire fut donc une sorte de libération. Mais, partiellement seulement, car il demeurait obsédé par l'idée de retrouver et de revivre ce qu'il avait vécu avec son neveu. Je comprenais mieux maintenant le comportement qu'il avait eu durant notre voyage en felouque. Tout s'expliquait. Je l'aimais bien ce Philip et toute son histoire me confortait dans l'idée de lui présenter les deux frères du Windsor. J'étais certain qu'ils embelliraient son séjour au Caire et même sa vie. Je conçus toutefois un plan avec eux pour faire de cette rencontre un grand moment pour Philip mais aussi pour eux. À suivre??..Prochain épisode : Une soirée à Doqqi ALEXANDRE