Date: Wed, 4 Jun 2014 13:04:42 +0100 (BST) From: Adelard Dore Subject: Big Apple 5 Big Apple 5 Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html Halloween aux Catskills Stephen arriva un peu en retard et, contrairement à son habitude, il était un peu négligé. Mal coiffé, jeans un peu crade, chemise qui sentait la sueur, sandales qui lassaient voir des ongles d'orteils un peu crasseux, mais le tout dégageait une odeur fantastique de testostérone; un vrai mâle en chaleur au sens propre comme au figuré. Il fallait me retenir pour ne pas lui faire des avances. Mais, je me rappelais que si j'avais droit aux fantasmes, je devais m'en tenir à un lien professionnel. J'avais suffisamment de raisons de croire qu'il se sentait trahi par son fils et son copain pour ne pas ajouter à ce sentiment déchirant de la trahison. Après un café que nous avions pris l'habitude de boire ensemble avant qu'il ne commençât son récit, il reprit naturellement là où il s'était arrêté lors de notre précédente rencontre. ... Le lendemain de la fameuse soirée où Danny était allé rejoindre Eddy pour répondre à son appel téléphonique, et avait participé aux jeux sexuels de ce dernier avec son père, Peter ne souhaitait plus du tout le week-end aux Catskills pour Halloween. Il sentait le piège. Il avait perdu confiance. Ni son fils ni son copain ne lui semblait désormais tout à fait sincère. Mais comment annuler sans donner une bonne raison à Stephen, le père de Danny. N'est-ce pas lui après tout, Peter, qui avait insisté auprès de Stephen pour que cette vacance « en famille » ait lieu? Stephen risquait de se questionner...et alors... Il craignait le pire. Aucun des deux pères ne savait, bien sûr, que l'un était aussi compromis que l'autre. C'était là la force des deux garçons. Mais ils avaient encore une autre force que les pères ignoraient toujours et qui les auraient bien plus dérangés s'ils l'avaient sue : les garçons possédaient les enregistrements de leurs ébats, tout seul d'abord, mais aussi avec eux, les deux garçons. Peter décida finalement de se laisser porter et, après une longue réflexion qui l'empêcha de dormir cette nuit-là, il décida de « faire contre mauvaise fortune, bon cœur », de risquer le tout pour le tout, de s'abandonner au sort et de poursuivre le projet des Catskills. Le lendemain de ce fameux vendredi, comme ce fut le cas après la nuit torride de Columbus Day, les deux garçons descendirent déjeuner tout sourire, planifièrent leur journée et allèrent prendre une douche ensemble. Ils descendirent ensuite embrasser Peter mais ce baiser, contrairement à l'habitude, n'était pas très chaste. Les langues sortirent de leur antre et fouillèrent la bouche de Peter abasourdi. Il était tellement sidéré par l'audace des garçons qu'il ne remarqua pas davantage que Stephen, deux semaines plus tôt, que Danny cette fois-ci (la fois précédente c'était Eddy chez les Bloomfield) s'en allait avec un petit paquet sous le bras. Peter passa le reste de la journée à planifier et organiser le fameux week-end Halloween dans les Catskills. Enfin, le fameux dernier vendredi d'octobre arriva. Chacun obtint la permission de quitter le travail ou l'école un peu plus tôt et l'autorisation de prendre le lundi de congé. Dès 17 heures, la fourgonnette de Stephen, avec ses quatre passagers, monta sur Gowanus Expressway, emprunta le tunnel Brooklyn Battery, puis, en direction nord, remonta le East River Parkway jusqu'au pont Georges-Washington. De l'autre côté du pont, on emprunta Palisades Parkway jusqu'au New York Thruway qui était la route directe vers les Catskills. À Kingston, la voiture se dirigea vers Woodstock où avait eu lieu, à la fin des années '60, le célèbre festival de musique rock qui devait presque changer le monde_ c'était là toute une prémonition_ et se dirigea droit vers le lac Cooper où était le chalet que Peter avait trouvé en location. Il passait un peu 20 heures. Faut dire que pour ne pas avoir à faire la cuisine en arrivant, ils s'étaient arrêtés dans une Aire de repos offrant un service d'alimentation rapide. L'excitation était grande tant chez les garçons que chez les deux pères, mais pour des raisons différentes. Chacun se faisait son scénario de ce qu'allait être le week-end. Les garçons espéraient la réussite de leur plan. Les pères souhaitaient s'en sortir avec rien de cassé, si je puis dire. Du moins en ayant sauvé l'essentiel à défaut de l'honneur et l'honneur s'il n'était pas déjà trop tard. Mais, comme Peter et Stephen n'avaient aucune idée de ce que l'un et l'autre avait vécu avec les garçons, ils pouvaient encore espérer un congé tranquille et agréable où il leur faudrait seulement éviter les pièges des lapsus. Sans consulter personne, mais cela semblait aller de soi, chaque garçon choisit sa chambre, chacune étant séparée de l'autre par une mince cloison de bois de pin. Comme il n'y avait que deux chambres, les pères conclurent que chacun dormirait avec son fils. C'était à la fois rassurant et inquiétant. Leur fils voudrait-il s'abstenir de sexe durant tout ce beau week-end? Sinon, ce serait fatal; les cloisons semblaient si minces. Malgré le fait que les brochures de location stipulaient qu'il y avait une télé et une vidéo dans le chalet, Danny avait tenu mordicus à apporter une autre petite télé qui avait un lecteur de vidéo intégré. « Ce n'est pas encombrant dans la wagonnette, papa » avait-il dit. « Et puis peut-être on voudra regarder une vidéo et les autres la télé ». Stephen n'avait ni résister ni ajouter de commentaires. La télé équipée fut déchargée avec les sacs. Le chalet avait deux chambres donnant sur une vaste pièce servant à la fois de séjour et de salle à dîner. Au fond de cette grande pièce, comme si cela eut été une addition au plan initial, il y avait une cuisine et une salle de bain. Le coin salon de la grande pièce était admirablement et chaleureusement aménagé. Un canapé était adossé à un mur et faisait face à une cheminée. De chaque côté de ce canapé, de manière à favoriser la conversation, il y avait un large fauteuil et de petits guéridons étaient disposés partout pour faciliter le dépôt d'un livre, d'un verre, d'un cendrier...Une vue de la cheminée était possible pour tous. Une large fenêtre en saillie occupait tout le mur de l'autre côté du canapé (de l'autre, c'était le coin à déjeuner) et offrait une vue magnifique sur le lac et tout à fait à l'abri des regards car le chalet était situé en plein bois, au bout d'un chemin privé. Toutefois, ce n'est que le lendemain qu'ils purent vraiment apprécier la vue. Il faisait déjà nuit quand ils étaient arrivés. Quand les installations sommaires furent complétées, les garçons offrirent un rhum coca à leur daddy. Il allait de soi qu'ils en préparaient aussi pour eux-mêmes. Toutefois, le rhum des jeunes ne contenait pas tout à fait la même chose. Ils avaient ajouté un comprimé et demi de Viagra broyé dans chacun des verres de leur père. Ils les invitèrent alors à s'assoir sur le canapé pour mieux apprécier le feu, disaient-ils, que Peter avait allumé. La conversation dériva assez vite sur le plaisir d'être là et de faire de ce séjour un moment inoubliable. Les garçons proposèrent alors de fumer un petit joint de mari avec leur père. Ils résistèrent d'abord. Mais les garçons leur rappelèrent qu'ils en avaient fumé souvent dans leur jeunesse, bien qu'ils fussent encore jeunes, et que la circonstance était spéciale, unique, merveilleuse et devait être inoubliable encore une fois. Et puis, c'était Halloween! On se ferait des peurs...Ils cédèrent. Surtout parce qu'ils en avaient vraiment envie et qu'ils croyaient que cela allait calmer les tensions qu'ils avaient vécues depuis quelques semaines. Le piège fonctionnait bien. Quelques minutes après le joint et le rhum coca (Cuba Libre), Danny alla récupérer sa télé qu'il installa sur une petite table juste à côté de la cheminée, donc en face de Peter, le père d'Eddy. Eddy, de son côté rapprocha la télé maison et sa vidéo intégrée de l'autre côté de la cheminée, donc en face de Stephen. Étrange «setting»; deux télés pour quatre personnes assises dans la même pièce. « Qu'est-ce que vous faites-là, demanda Peter étonné. On n'a pas besoin de télé ce soir et encore moins d'écouter des films. On a fumé un joint avec vous pour rire et s'amuser, pas pour s'emmerder devant la télé comme on le fait à la maison les soirs de pluie. On n'est pas venu ici pour ça! » « T'inquiète pas, papa, tu vas t'amuser et tu vas voir des chooooooses incroyables! » Ils mirent les vidéos en place mais ils jugèrent bon d'attendre un peu avant d'allumer les télés que la solution rhum-coca-mari-viagra fasse son effet. Il ne fallu pas beaucoup de temps avant qu'ils s'aperçoivent que Stephen d'abord, puis Peter ensuite, semblaient tout en chaleur et inconfortables dans leur pantalon. Une bosse y prenait de l'importance. Stephen serrait les poings et plaça l'un d'eux contre son pénis visiblement en érection comme s'il se sentait très excité et qu'il lui fallait à tout prix faire quelque chose pour calmer cela. Peter bougeait sans cesse sur le canapé et tentait de replacer l'intérieur de son pantalon. Le moment était venu. Eddy alluma les deux télés et démarra les projections. En regardant l'écran devant lui, Peter voyait tout à coup Stephen tout nu se masturbant, confortablement assis dans son fauteuil du sous-sol, faisant vraisemblablement une webcam avec un garçon (c'était le fameux Sun). Il faudrait peu de temps qu'il ne le voit plonger ses doigts dans son cul et y introduire un gode. Quant à Stephen, il voyait devant lui Peter, dans son costume de travail, boire les paroles cochonnes d'Eddy pendant que celui-ci défaisait sa braguette, lui faisait sortir sa queue et l'amenait à se masturber devant lui en jutant sur sa cravate de soie. Les pères virent aussi très vite, en jetant un coup d'œil à l'écran voisin, qu'ils étaient la vedette du show porno qui se déroulait devant l'autre. Ils étaient sidérés, bloqués, la bouche ouverte, sans voix. Les garçons riaient mais étaient néanmoins inquiets. La dose de Viagra, en plus de les alourdir, les rendait incapables de résister à l'excitation. Ils bandaient terriblement à regarder la performance sexuelle de leur voisin de canapé. Faut dire, comme je l'ai déjà mentionné, que tous les deux étaient très beaux et que s'ils avaient succombé aux charmes de leur fils, ils restaient davantage excités par ceux des hommes plus mûrs. Ils étaient si attentifs à l'écran, comme paralysés et coupés du monde environnant, qu'ils ne remarquèrent pas que les deux garçons s'étaient dévêtus et qu'ils avançaient complètement nus devant eux et super bandés. Ils n'avaient pas jugé bon de prendre du Viagra. Leur jeunesse leur semblait une garantie suffisante. Chacun se plaça devant le père de l'autre et entreprit de se branler les yeux droits dans leurs yeux. C'est Danny qui parla en premier : « Comment aimez-vous ma queue, monsieur Madison? Vous avez peut-être goûté à celle d'Eddy, et même à la mienne dans une vie antérieure_ dit-il avec ironie_ mais la mienne est maintenant encore disponible. Vous pouvez la prendre, la caresser, la sentir, la lécher et vous amuser avec elle. Elle ne fera que vous obéir. » Peter était rouge de honte, de gêne mais surtout de désir. Danny se pencha vers lui et ajouta : « Je pense que vous êtes tellement bandé que vous n'arrivez plus à la sortir. Je vais vous aider, monsieur Madison » Et, sans que Peter ne parvienne à bouger tellement le joint d'herbe le rendait incapable de réaction et tellement le viagra nécessitait un soulagement sexuel, Danny lui ouvrit le pantalon, le baissa, lui retira son slip, attrapa sa grosse queue bandée mauve tellement le Viagra faisait effet et le branla gentiment. Il se retourna ensuite vers Eddy pour voir où son copain en était avec son propre père. Sans dire un seul mot, suivant l'exemple de Danny, Eddy avait baissé le pantalon de Stephen et, à genoux devant lui, contemplait avidement cette belle « hallebarde » entourée de poils bruns et fous qu'il avait déjà tant appréciée le soir de la fameuse webcam. Cela n'était pas pour déplaire à Stephen qui, contrairement à Peter, plus discret voire secret, adorait se montrer et se masturber devant quelqu'un. Voyant Eddy, le bon copain de son fils, en adoration devant sa belle queue et toujours grandement « aidé » par le Viagra et le joint de mari, Stephen sembla s'abandonner à cette situation devenue irréversible. Il se laissa glisser sur le canapé, allongea les jambes, saisit sa bite et commença à l'astiquer, soulignant ainsi une première victoire des garçons. « Super! » monsieur Bloomfield, lança Eddy pour encourager son « beau-père ». « Montrez-moi ce que vous faites quand vous êtes tout seul dans votre sous-sol. Je veux tout apprendre », ajouta-t-il malicieusement comme s'il ne savait pas déjà tout. Mais Stephen, emporté par son fantasme et la pression insurmontable dans ses testicules causée par le Viagra, répondit plus que souhaité à cet appel de la curiosité adolescente. Il écarta plus largement les jambes devant Eddy. Il les releva en mettant ses talons sur le canapé de manière à lui bien faire voir son cul. Puis, il commença à en écarter les plis avec un doigt pour que toutes les couleurs de l'arc-en-ciel de son cul soient plus facilement visibles. Il était comme emporté par le Viagra comme on l'est souvent après une sniffée de « poppers ». Le cœur lui débattait à rompre et il ne pouvait plus arrêter les fantasmes de se bousculer dans sa tête. Il aurait donné un show devant dix mille personnes au Shea Stadium à Queens. D'une voix brisée par la tension et l'excitation, profonde et sensuelle au maximum, Stephen commença une sorte de délire sexuel : « Tu veux découvrir mon cul, Eddy! Parfait alors. Viens le regarder de près_ Eddy se mit à genoux entre ses jambes_ Regarde! Il est entouré de beaux poils qui sentent super bon. Mets ton nez dans le bosquet de mon cul, mon Eddy. Danny a adoré. Toi aussi tu vas aimer. Ta langue aussi est la bienvenue, mon Eddy. Dis-moi si mon cul sent aussi bon que celui de Danny ou peut-être celui de ton père? _ Eddy, étonné, ne croyant presque pas que la chance puisse lui être favorable aussi rapidement, plongea la face dans le cul de Stephen qui émit un grand râle quand les joues d'Eddy lui frôlèrent l'intérieur de la craque du cul. Eddy était aux anges. Le cul de Stephen avait une odeur mâle extraordinaire semblable à celle de son père. Stephen avait prit une douche le matin même, mais il avait travaillé toute la journée et avait conduit plus de deux heures jusqu'aux Catskills. Son jus de cul avait macéré dans le pantalon toutes ces heures. Il avait précisément ce qui plaisait tant à Eddy : juste assez d'odeurs pour nourrir ses fantasmes sans la saleté trop évidente qui les repousse. Le cul de Stephen était parfait. Eddy voulut partager ce plaisir avec son copain qui ne semblait pas avoir le même avantage avec Peter. Plus réservé et moins exhibitionniste que Stephen, tout en ayant cependant les yeux rivés sur la belle queue de Danny dont le gland jaillissait plein de liquide de son étui de chair translucide, Peter restait de marbre, bandé aussi comme une statue. Peut-être attendait-il une permission de son fils Eddy, car quand celui-ci lui dit : « Papa! Tu devrais profiter du beau morceau que t'offre Danny. Il est encore plus beau et plus juteux que le mien. Profites-en bien! C'est Halloween après tout (ajouta-t-il en riant) », il se décida à bouger et très lentement s'avança pour regarder de très près le « trésor » de Danny. Les yeux presque devant le méat, il se mit lentement à lui toucher, à le décalotter, à sentir puis à lécher le liquide abondant qui entourait le gland et il fit même claquer ses lèvres de satisfaction. Chez lui aussi, la drogue et le Viagra semblait commencer à faire un bon effet. Il regarda Danny droit dans les yeux en souriant un peu bêtement comme quelqu'un de niais, mais dans les circonstances, il était simplement « gelé » et il dit comme si cela était la révélation de l'année : « C'est bon! » L'autre garçon venait aussi de gagner sa première manche. Désormais enhardis par l'adhésion de leur papa respectif dans l'orgie « familiale » qu'ils avaient préparée, Danny et Eddy pouvaient maintenant se laisser aller à leurs fantaisies sans trop craindre de résistance ou pire un blocage définitif. C'est Eddy qui débuta la partouse car Stephen, plus exhibitionniste, semblait plus « embarqué » que Peter. Eddy, debout devant Stephen, pliait un peu les genoux et repoussait son torse vers l'arrière de manière à bien faire ressortir sa bite qui pointait en direction de Stephen. « C'est à votre tour maintenant, monsieur Bloomfield, de me demander de vous faire un show ». Entendant son fils prononcer ces paroles prometteuses, Peter se retourna et constata que son fils et Stephen étaient engagés dans un sérieux rapport voyeur-exhib. « Oh! Comme tu es cochon! Eddy » murmura Stephen. Puis, il se lança dans le jeu : « Branle-toi bien devant moi, Eddy. Joue un peu avec ta poche. Tire sur tes couilles et mouille-les bien avec ta salive._ et un peu plus tard_ gratte-toi derrière la poche, mon beau Eddy_ et encore un peu plus tard_ sens tes doigts maintenant Eddy! Ça doit sentir bon ton arrière de poche. Elle a fabriqué de la sueur et des odeurs durant tout le trajet jusqu'ici. Et puis, ça sent toujours bon l'arrière de la poche d'un jeune homme. Eddy souriait et faisait comme Stephen lui disait. Peter, ayant entendu la dernière phrase de Stephen, se sentit un peu vexé et décida de bien lui faire voir, sentir surtout, que l'arrière de la poche d'un homme plus mûr, ça sentait très bon aussi. C'était différent d'un jeune homme, mais c'était aussi délicieux. Pendant quelques secondes, Peter prit conscience de ce qu'il venait de penser et de désirer car un court instant la drogue cessa d'agir comme pour lui faire voir qu'il adorait la situation présente nonobstant les étranges sensations qui le parcouraient et qui ne semblaient pas normales. Son cœur battait anormalement vite. Eddy poursuivait toujours son show mais il avait reculé un peu comme pour devenir le centre d'attraction du groupe. Danny lui laissa la place et gagna son fauteuil, après avoir mis les vidéos sur « Arrêt ». Eddy se plaça donc au centre du salon et fit une splendide démonstration de branle qui amena tous les trois autres au bord de jouir. Peter n'en revenait pas de voir son fils aussi désinhibé. Il n'aurait jamais cru cela et son audace lui donnait le courage et l'envie de s'abandonner à son exemple. Eddy levait les bras, sentait ses aisselles et tentait de les lécher. Il jouait avec son nombril, faisait rebondir sa queue bandée sur son ventre et la faisait claquer dans sa main. Les trois spectateurs firent aussi calquer leur queue dans leur main à l'unisson. Eddy, se tourna, montra ses belles fesses beurre et glabres comme si elles étaient bronzées et les caressa longuement. Puis il se pencha, les écarta et montra son cul à toute l'assistance d'abord, puis il alla vers chacun par la suite, en n'épargnant pas son père de sa visite. Le cul presque dans la figure de chacun, il disait, en nommant chacun par son nom et en commençant par son copain Danny : « Allez, Danny! Regarde bien mon cul et caresse-le avec tes doigts. Je sais que tu l'as déjà fait, mais montre à nos papas comment faire. » Danny donna une vraie démonstration. Avec son index, il fouillait le cul d'Eddy et mouillait à plusieurs reprises son doigt pour mieux le faire glisser à l'intérieur. Il approcha ensuite son nez du bouton de rose et vint y cueillir de puissantes sniffées. Il criait : « Wow! Ton cul sent super bon, Eddy. Encore un coup!.... Un autre! » Ce faisant, il donnait le goût aux papas de se précipiter sur Eddy. Leur tour vint toutefois assez vite. Après Danny, c'est à son père Peter qu'Eddy alla faire sentir son cul. « Ah! Dad! Tu lui as déjà goûté à mon cul et tu avais adoré. Je suis sûr que tu attendais d'en prendre une nouvelle léchée. » En entendant cette phrase, Stephen eut alors la confirmation que non seulement lui-même avait eu des relations avec son fils, mais que Peter aussi en avait eues avec le sien. Cela eut pour effet de le détendre et de le convaincre de profiter pleinement de la situation. Il constata aussi que Peter ne se gênait pas pour enfoncer sa langue dans le cul de son fils. Puis, vint le tour de Stephen. « Je ne sais pas si mon cul sent aussi bon que celui de Danny, monsieur Bloomfield, mais allez-y à fond si vous voulez comparer ». Comme la précédente intervention d'Eddy, celle-ci donnait une preuve, à Peter cette fois-ci, que Stephen aussi avait déjà eu des relations avec son propre fils. Les deux pères étaient désormais au même niveau de compromission. Cela facilitait l'abandon aux plaisirs immédiats. Stephen qui avait eu l'occasion de jouir du spectacle d'Eddy, sauta tout de suite dans son cul et on entendait de longues et puissantes sniffées emplir le silence de la pièce. Stephen émettait des « AHHHH! AHHHH! » après chaque coup de nez, si je puis dire. Puis, sa langue creusa le fondement d'Eddy qui, à son tour, émit des « AHHHHHH! » interminables de plaisir. Quand Eddy eut terminé, il regarda dans la direction de son copain, pour ne pas dire son complice, et il lança : « À ton tour maintenant Danny! » et Eddy gagna le seul fauteuil inoccupé. Danny s'avança droit vers son père sous le regard extraordinairement attentif de Peter. Arrivé en face de lui, il se retourna et lui lança : « Tu voudrais visiter ma cave à vins, Daddy? » Peter était le seul à ne pas comprendre. Danny avait expliqué tout cela à Eddy qui lui avait déjà goûté de même que Stephen. « Oh! Oui » fut la seule réponse de Stephen qui plongea sa face dans la craque de son fils. Il ne fallut pas plus de quelques secondes pour qu'on entende des respirations profondes et le bruit de la salive mêlée à des essences qui était aspirée par une bouche avide et insatiable. Les autres le regardèrent goûter à son fils en se branlant et en attendant leur tour. En se dégageant de Stephen, Danny alla vers Peter en disant : « Peut-être vous voulez aussi tâter mon vin, monsieur Madison? Vous m'en donnerez des nouvelles. » Et il montra son cul à Peter qui ne permit pas une seconde avant d'y enfouir aussi sa face, terriblement excité par ce qu'il avait vu quelques secondes plus tôt. On entendait des « Mmmmm! Mmmmmm! Mmmmm! » de plus en plus fort. La voix mâle et profonde de Peter résonnait comme sortant d'une caverne. Danny était aux anges de se faire manger ainsi par le père de son meilleur ami qu'il désirait secrètement autant que son propre père. Retirant l'étreinte de Peter, Danny se présenta devant son copain et lui dit : « Viens Eddy, on va faire un show pour nos papas. Je suis sûr qu'ils se sont masturbés, chacun dans leur chambre en imaginant ce qu'on faisait ensemble quand on dormait dans le même lit. On va leur montrer enfin pour vrai ce qu'on faisait. Ce sera une partie de leur récompense pour ce beau week-end dans les Catskills ». Tout souriant, Eddy rejoignit Danny qui s'allongeait sur le tapis en face du canapé et ils débutèrent leur spectacle. Ils s'allongèrent d'abord l'un en face de l'autre et se firent une de ces pelles, comme dans les films érotiques. Les langues se cherchaient l'une l'autre et se fouillaient la bouche pour se trouver et s'entasser humides, baveuses, lourdes d'excitation et celle de Danny goûtait encore un peu le cul d'Eddy. Les garçons s'échangeaient leurs fluides. Les pères bavaient d'envie. Puis, les garçons se retournèrent de manière à faire un beau 69 et une impressionnante séance de fellation s'en suivit. On voyait bien que les garçons avaient une certaine habitude de leur corps. Il n'y avait pas de faux mouvement. Que du plaisir et que du style aussi. Chacun tenait la queue de l'autre à poing fermé à la base pour bien la faire gonfler et enfonçait la partie supérieure au fond de sa gorge. Elle en ressortait épisodiquement dégoulinante de bave et les glands étaient mauves de sang et de tension. Les langues fouillaient les méats, les ouvraient et les pointes de celles-ci tentaient d'écarter les côtés pour aller chercher chaque gouttelette de liquide à l'intérieur de ceux-là. Lentement, les langues lâchèrent les queues et attrapèrent les poches et les bouches bouffèrent les couilles, toutes ensemble d'abord, puis une à une en tirant sur chacune ensuite. Puis, chacun releva une jambe pour permettre à la tête de l'autre d'atteindre cette zone entre le scrotum et l'anus et une autre session de léchage s'amorça, du bout de la langue seulement cette fois-ci, par petits coups rapides pour chatouiller le périnée et susciter une envie folle de se faire pénétrer par la langue qui s'approchait doucement de son but. Finalement, les langues trouvèrent les trous de cul et la dernière séance de léchage consista en une sorte de patinage en règle des langues de chaque côté des fesses et sur les bords du cul. Les langues étaient comme des patineuses de fantaisie ou des skieuses faisant du slalom dans une piste étroite en serrant bien leur descente. Les pères se masturbaient de plus en plus fortement et hâlaient au bord de l'extase. Chacun avait sans doute rêvé de cela à quelques reprises sans le moindre espoir de voir réaliser ce fantasme. Mais maintenant, c'était vrai, réel, tangible, devant leur regard presque incrédule encore, abasourdis et terriblement excités comme ils ne l'avaient jamais été. Il y avait en eux un terrible démon qui semblait plus puissant que tout ce qu'ils avaient vécu jusqu'à présent comme poussée de testostérone. Cela dépassait les limites du normal. Il fallait qu'ils jouissent tout de suite; de toute manière, ils savaient qu'ils n'auraient aucune difficulté à jouir de nouveau dans quelques minutes. Stephen se leva d'abord, tout de suite suivi de Peter, et ils s'approchèrent des garçons. Ils se branlèrent à fond devant les garçons appliqués à leur jeu mais détournant quelquefois la tête vers eux pour bien jouir aussi de leur victoire. Ils sentaient qu'ils étaient au but. Et tout à coup, dans un grand râle montant des profondeurs d'un abîme, Stephen lâcha des flots de sperme sur le corps des garçons et, dans un râle aussi sauvage, Peter fit de même deux secondes plus tard. Inondés de sperme et surpris par l'abondance des giclées, les garçons se laissèrent tomber sur le dos, l'un à côté de l'autre et quelques coups de poignet suffirent amplement pour leur faire cracher leur jus très haut dans l'air comme une fontaine qu'on ouvre une première fois au printemps. Et pourtant c'était Halloween. Lentement, chacun regagna son canapé ou son fauteuil, la queue dégoulinante du sperme qui traînait sur les cuisses en longs filaments. Ils reprirent leur souffle durant un bon quart d'heure. Puis Eddy, avec un large sourire, proposa : « Messieurs, prendriez-vous un autre rhum-coca? Il était bien bon n'est-ce pas? » Les quatre éclatèrent de rire et c'est Peter, débarrassé enfin de sa gêne, qui conclut : « Oui! Oui, il était vraiment très bon ». Le rire reprit avec plus d'intensité et ne s'arrêtait plus. Autant les garçons que les pères s'étaient défaits de leur appréhension. Car il s'était passé ce que les garçons souhaitaient et avaient si habilement préparé; il s'était aussi passé ce que les pères désiraient mais craignaient qu'il se passât. Ils s'étaient aussi défaits de leur anxiété, mais temporairement seulement. Pour les jeunes, c'était assez définitif, mais pour les pères, elle allait revenir sous une forme plus subtile dans quelque temps. C'est d'ailleurs à cause de cette anxiété que Stephen avait demandé d'être reçu en consultation et cela me valait, à moi, la chance d'entendre cette merveilleuse histoire que j'aurais tant aimé vivre à leur place. À suivre...Big Apple 6 : Prochain épisode: Les lendemains d'Halloween Alexandre