Date: Sat, 1 Feb 2014 19:40:46 +0000 (GMT) From: Adelard Dore Subject: Bons baisers d'Alabama 6 Bons baisers d'Alabama 6 S.V.P. : Nifty apprécie que vous envoyez un don. Cela contribue à la poursuite de cette expérience. Petit déjeuner avec grand service À Lafayetteville, j'ai retrouvé ce petit parc avec ce fameux chêne d'Évangéline dont m'avait parlé Charly dans son entrevue. Ce fut une belle émotion. Même si ce chêne est bien plus une légende qu'une réalité et Évangéline une héroïne de roman plus qu'un personnage réel, la cristallisation d'un moment important de l'histoire de la Nouvelle-France est toujours inscrite au pied de ce chêne. Ce n'est donc pas impunément ni sans frisson qu'on s'en approche. À Bâton-Rouge, je suis allé dans un bar gay fréquenté presque exclusivement par des Noirs, situé dans une allée obscure d'un quartier industriel. Je ne suis pas resté longtemps. L'atmosphère me faisait craindre le pire. C'était assez louche. Il y avait toutefois des Noirs superbes et j'aurais donné beaucoup pour baiser avec plusieurs d'entre eux, mais pas au prix de ma vie tout de même! De retour dans mon Motel 6 (chaîne hôtelière du Sud des États-Unis offrant des prix modiques), je n'avais d'autres plaisirs que ceux que je m'offrais à moi-même. Mais, depuis ma conversation avec Charles et Antoine, je ne voyais plus cela comme un pis aller, mais comme un grand plaisir à découvrir ou à redécouvrir peut-être. La remontée du Mississipi, avec la voiture que j'avais louée, fut un des trajets de voyage les plus passionnants de ma vie. La visite de ces demeures de planteurs, la plupart étant de véritables merveilles architecturales et paysagères, me comblèrent de joie. La plupart de ces demeures, sont aujourd'hui converties en musée et quelques unes, en Bed-and-Breakfast (gîtes). Les plus impressionnantes sont sans doute Destrehan Manor à Destrahan, l'Hermitage à Darrow, The Myrtles à St-Francisville, Shadows-on-the-Teche à New Iberia, Houmas House à Burnside et l'incontournable splendeur d'Oak Valley à Vacherie. Toutes celles que je viens de nommer sont en Louisiane, mais il y en a autant, sinon plus encore, dans l'État du Mississipi autour de Natchez. C'est cependant à White Castle en Louisiane, que je me suis payé le gîte de Nottaway. Une somptueuse demeure néo-classique à colonnes blanches carrées de style monumental (les colonnes englobant deux étages) avec des balcons de fer forgé courant autour de chacun des deux étages, les colonnes géantes venant couper les balcons entre les fenêtres hautes à carreaux. J'ai choisi la chambre avec vue sur le fleuve. Décor un peu victorien avec lit à colonnes de bois massif, commodes recouvertes de marbre, lampes en métal ouvragé avec abas-jour de verre fin, tapis moelleux et une petite table à déjeuner à quelques mètres du pied du lit avec deux chaises Queen Ann de chaque côté. C'est là que je devais avoir ma belle surprise! Au moment du petit déjeuner, après une nuit merveilleuse dans cette splendide chambre que j'avais occupé malheureusement seul, mais dont j'avais tenté de profiter le mieux possible à partir des conseils de mes copains de branle de la Nouvelle-Orléans, je vis entrer dans la chambre un chasseur Noir, en livrée blanche, mais avec pantalon noir qui portait dans ses bras un plateau en argent contenant des assiettes de fines porcelaines et des ustensiles d'argent dans lequel trônait un panier de brioches, croissants et toasts et des petits bols de cristal contenant des confitures aux fruits divers. Le chasseur était d'une telle beauté, c'était comme une apparition. Je ne l'avais pas vu au moment du dîner de la veille. Il ne devait travailler que de jour. À son invitation, je me suis installé à table pour prendre mon petit déjeuner mais non sans le regarder assez intensément pour qu'il sente le besoin de dire : « Monsieur a-t-il besoin d'autre chose? On dirait qu'Il veut me demander quelque chose? » « Oui!, lui dis-je avec un sursaut qui semblait me ramener à la réalité. Je voudrais savoir...et je fis une longe pause en ajustant mon plus beau sourire...combien de fois on a dû vous dire que vous étiez très beau? ». Il éclata de rire en faisant voir ses magnifiques dents blanches et son extraordinaire bonne humeur et ajouta : « À vrai dire, on me l'a dit souvent, mais jamais un client que moi-même je trouvais beau ne me l'a dit. Vous êtes le premier! » Quel charme! Et quelle gentillesse! J'étais séduit. Je lui dis que j'étais ravi qu'il me trouvât beau et j'ajoutai que je ne savais pas comment faire pour que nous puissions partager nos beautés communes sans déranger son service aux chambres. Il rit encore de bon cœur à ma remarque. Et il ajouta d'un air moqueur : « Monsieur est-il toujours aussi entreprenant avec le Service? » « Non, répondis-je, mais quand Dieu fait le service et passe près de moi, je ne peux pas résister à l'idée de lui faire une petite...prière et de lui demander une grâce! » « Je ne crois pas être Dieu, me dit-il, et même que j'en suis sûr, mais je peux vous accorder une grâce. Vous êtes ce matin le seul client de la Maison, les quelques autres ont quitté beaucoup plus tôt. La patronne ne verra pas du tout d'un mauvais œil que je reste un peu pour vous entretenir des `charmes' du Mississipi. Il me suffit de la prévenir. Je reviens tout de suite. » Sur ces mots, il sortit et je n'arrivais plus à croquer mon petit déjeuner. Mon cœur battait la chamade. C'était un garçon d'environ vingt ans, plutôt court de taille, mince mais avec des traits incroyables. Toute sa figure était dessinée comme au crayon fin. Tout était parfait : le nez, les yeux, les oreilles, les joues, le menton, les lèvres, rien ne pouvait être modifié d'un degré d'angle ni d'une ligne. Et la peau! Il semblait avoir une peau de satin bleu à cause des reflets de la lumière du matin sur son teint d'ébène. Comment allais-je faire pour obtenir plus que des histoires de la Louisiane? Il revint cinq minutes plus tard, souriant et ajoutant qu'il avait obtenu une demi-heure de sa patronne pour s'entretenir avec moi des endroits à voir dans la région. Je lui dis que le seul endroit que j'espérais découvrir c'était celui qui était présentement dans ma chambre. Il sourit encore, mais plus timidement cette fois-ci. Il constata que je n'avais pas touché à mon déjeuner. « Monsieur n'aime pas ce qu'on lui a servi, me dit-il? » « Non! Non, dis-je, c'est que...justement...j'allais commencer... mais mon café est un peu refroidi...Il me faudrait du lait chaud...et je ne veux pas vous faire redescendre. » « Je peux vous en donner du mien », dit-il, cette fois-ci avec un trémolo dans la voix. « Je veux bien, dis-je, mais où cachez-vous donc votre pichet? » Il s'avança près de la table et répondit : « Ici! » en déboutonnant la braguette de son pantalon noir. J'avais le cœur qui me débattait et qui me criait : « Laisse-moi sortir de ma cage! » (Hi! hi!) Il baissa son slip parfaitement blanc et sortit un magnifique `pichet' couleur ébène aux reflets bleus et lustrés. Il le pointa vers ma tasse, décalotta le `couvercle' et fit jaillir le goulot rose et mauve qui contrastait avec le noir de la `poignée'. J'ai bien failli perdre conscience tellement j'étais excité. Je me suis reculé dans le fond de mon fauteuil Queen Ann, et, tout en défaisant le cordon de mon peignoir (je savais que je ne portais rien d'autre en dessous), j'ai regardé fixement le beau morceau de queue qu'il me montrait. Il eut l'air satisfait de ce que je révélais sous mon peignoir car ses yeux s'écarquillèrent et son sourire disparut quelques secondes pour ajuster sa vision à son excitation. Il ne correspondait pas au mythe qui veut que tous les Noirs aient une grosse queue. La sienne n'était pas petite, loin de là, mais elle était normale `supérieure' si je puis dire, de 17 cm environ. Mais c'était un fort calibre, large et soutenu par une belle paire de couilles qui semblaient dures, tendues, pleines de crème pour mon café et toutes recouvertes d'un duvet noir et frisé. Il laissa tomber complètement son pantalon et s'appuya sur le bord du lit en fléchissant un peu les genoux. J'ai reculé mon fauteuil. On se trouvait face à face, lui debout, moi j'étais assis devant lui. En silence, on commença à se masturber en se regardant. Il semblait apprécier beaucoup mes mouvements et tentait, le croyais-je, de les imiter. On avait le même rythme en tout cas. Et nous étions deux droitiers dans la branlette. Il saisit en même temps que moi sa poche dans la main gauche et caressa ses couilles avec amour et attention comme si c'étaient des bijoux précieux. Je soulevais les miennes avec la pointe de mes doigts pour leur donner du volume et les rendre plus agréable à regarder. Il se masturbait en tournant son poignet lentement durant quelques secondes puis l'agitait de haut en bas rapidement encore quelques secondes et, doucement dégageait tout le gland jusqu'au bout, en poussant son poing vers son ventre, pour le remonter doucement encore vers le sommet en le cachant dans son prépuce. Wow! Quel spectacle! Je tâchais de me rappeler les leçons de Charles et Antoine et je me suis mis en frais de lui offrir un spectacle de qualité comparable au sien. Après quelque temps, il me demanda si je voulais d'autre confiture pour mes toasts, qu'il pouvait m'en offrir des siennes, de sa propre fabrication (Home made, comme il disait). J'opinai dans le sens affirmatif. Mais je ne savais pas vraiment ce qu'il entendait par là. J'ai compris vite quand je l'ai vu se retourner, se baisser, écarter les fesses et me montrer un cul à mourir d'envie (to die for) comme on dit en Anglais. « La confiture est au fond du pot » me dit-il en reprenant son rire initial. J'ai avancé mon fauteuil, et avec mes mains qui remplaçaient les siennes, j'ai écarté ses fesses et j'ai commencé à bouffer les confitures qu'il m'offrait. En réalité, il était très propre. Même qu'il sentait une eau caractéristique de celles qu'on trouve souvent dans les climats chauds, toujours parfumée aux fleurs exotiques, ayant des relents capiteux et riches comme l'encens. Mais au-delà des fragrances de cette eau, il y avait cette odeur caractéristique des Noirs, profonde et ténébreuse, terriblement sensuelle et cochonne, et celle plus intime de la sueur naturelle personnelle de sa craque de cul. Que c'était bon cette confiture! Je m'en serais fait des provisions si cela eut été possible. Après quelques minutes de ce traitement, la face repue de ses parfums intimes, je me suis reculé un peu, juste à temps pour qu'il ait lui-même le temps de se retourner et de venir éjaculer sa crème dans ma tasse de café. Mon `traitement' lui avait donc plu beaucoup; ce qu'il me confirma par la suite. Voyant mon désespoir parce qu'il avait terminé son déjeuner avant moi, il prit la tasse, la porta à ses lèvres et bu quelques gorgées avant de me la tendre. J'ai vidé le reste jusqu'au fond. Il souriait toujours. « Je vois que Monsieur aime son café très chaud » me dit-il en riant. Mais le mot est plus drôle en Anglais quand `chaud' se dit `hot', ce qui est équivoque sexuellement. En disant ces mots, il monta sur le lit et prit la position du chien, tout en me montrant son cul. Il tourna la tête dans ma direction et ajouta : « Il reste sans doute des confitures au fond du pot. Monsieur peut peut-être venir les chercher avec sa belle et dure cuillère. Je me ferai un plaisir de les lui offrir » Le spectacle était fascinant! Dans cette chambre d'un autre âge, avec ce garçon d'une autre race, dans ce domaine où souffraient et mouraient jadis des centaines d'esclaves, voilà qu'il y avait ce jeune homme d'une rare beauté qui m'offrait son cul à défoncer. Comment refuser cela...ce n'était d'ailleurs pas mon intention. Je me suis placé derrière lui et je l'ai enculé lentement en jouissant de chaque millimètre de conquête. Il râlait. J'émettais des plaintes de bonheur. Sa patronne serait donc contente. Il n'avait négligé de me montrer aucun des coins pittoresques de `sa région'! La demi-heure était une réussite totale. Juste caresser la peau de son dos et de ses reins pendant que je l'enculais, c'était suffisant pour me faire jouir. Il me fallu donc peu de temps pour me rendre au bout du pot de confitures. J'ai sorti à temps pour ne pas tout gâter avec ma crème. Mais son dos reçut une avalanche de foutre qui emplit le creux de sa colonne vertébrale. Il semblait ravi de son service et ...du mien. Il se rhabilla vitement avant l'arrivée des femmes de chambre. Il se donna un coup de brosse et vérifia son allure dans une glace avant de poser sur ma bouche un tendre et profond baiser. J'ai glissé dans sa main un pourboire proportionnel à la qualité de son exceptionnel service. Il ria en disant : « Je vois que Monsieur a bien aimé son déjeuner; il a bu tout son café et mangé toutes ses confitures » Il éclata de rire de nouveau et sortit. Je suis resté quelque temps à respirer son odeur sur mon corps, sur mes doigts, sur ma queue. Le goût de son sperme mêlé au café sur ma langue était divin. Doucement, car il le fallait bien, je me suis décidé toutefois à prendre une douche, à me rincer la bouche, à m'habiller et, enfin, à partir. J'ai repris la route vers Natchez. J'ai vu d'autres belles demeures. Devant chacune d'elles, je croyais revoir mon beau chasseur de Nottaway. À chaque fois que j'entrais dans une chambre de l'une d'elles et que je voyais les magnifiques décors, il me semblait le revoir, le cul en offertoire, au milieu des grands lits à baldaquin. Après deux jours à Natchez, j'ai décidé de redescendre vers le Sud jusqu'à Biloxi où d'autres surprises sudistes m'attendaient. À suivre...Épisode 7 : Mon soldat de Biloxi Alexandre