Date: Wed, 12 Mar 2014 14:33:03 +0100 From: exesxes Subject: DESCENTE AUX ENFERS Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre trois adultes consentants. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex games between three consenting adults. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes Exes@cledro.net Nifty a besoin de vos dons pour publier mes histoires. Nifty needs your donations to publish my stories. http://donate.nifty.org/donate.html ------------------------- DESCENTE AUX ENFERS Ce samedi, il fait trop bon et j'en profite pour aller visiter un ami qui loge dans une des cités aux abords de la ville. Moi, j'ai pas trop l'habitude de ces coins-là. Je bande quand j'y pense car j'imagine tous les lascars qui traînent la dedans. Ça doit se vider les couilles à la chaîne dans les caves et les parkings. Mon pote, il crèche en haut d'une tour, au 15ème étage. Après avoir passé un bon moment avec lui, je le quitte et j'appelle l'ascenseur. En attendant qu'il arrive j'entends une porte qui s'ouvre et puis derrière moi des voix graves de mecs. Mon c?ur fait un bond : deux arabes, les cheveux presque rasés, l'un très mat et imberbe, l'autre avec une barbe de 2-3 jours, et très grand. Ce sont des bêtes, leurs muscles déforment leur survet. En me voyant ils se taisent et se pointent à côté de moi pour attendre l'ascenseur. Je sens leur odeur, un mélange de sueur et de virilité. On se retrouve vite dans l'ascenseur et j'appuie sur le bouton du rez-de-chaussée avant d'aller dans le fond. Eux me tournent le dos face à la porte. Au niveau du 10ème étage le plus grand a appuyé sur le bouton du deuxième sous-sol. Quand les portes se sont ouvertes mon étage, je me suis avancé pour sortir mais ils n'ont pas bougé et l'un d'eux a rapidement appuyé sur le bouton pour refermer la porte. Ils m'impressionnaient tellement, que j'ai rien osé dire. Les portes se sont refermées et l'ascenseur a continué à descendre. - Karim, j'crois qu'on a chopé une p'tite salope bien docile ! lance en se retournant le râblé à peau mate. Il a des yeux noirs transperçant. Et voila qu'il commence à se tâter le paquet à travers son survet. Il s'appelle Sofiane celui-là. Je commence à avoir la trouille et à regretter de pas avoir forcé la sortie. Je me sens gêné quand il sort sa queue, un morceau superbe, une queue bien droite, circoncise et qui semblait déjà dure comme du béton ! Elle est trop belle, je me mets à bander même si en vérité, je commence à m'inquiéter, je me fais pas souvent prendre et j'ai le cul serré. Dans mon fors intérieur j'espère qu'une bonne pipe saura les satisfaire. En moins de deux, Karim, le grand pas rasé, vient me choper par la nuque et me force à me mettre à genou devant le dard que Sofiane brandit fièrement. J'ai à peine le temps d'ouvrir la bouche qu'il me pousse la tête pour que ce pieux force ma gorge et s'y plante tout au fond. Mon front tape même le bas des abdos bien dessinés sous la peau mate de Sofiane. J'en ai les yeux qui pleurent. - Yéééé, j'ai les couilles trop pleines, je vais la gaver c'te gueule ! râle Sofiane. Karim m'oblige d'une main à des va et viens amples sur le chibre de son pote. J'en étouffe tellement il me boourre la gueule, mais je ne peux pas sortir un son. Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrent au deuxième sous-sol, il fait vachement noir et je ne vois rien. Je sens aux contractions de la queue de Sofiane qu'il ne va pas tarder à exploser. Ni une ni deux, Karim me tire dans les couloirs obscurs et me plante dans une cave bien glauque et qui pue la pisse et le sperme, avec juste une pauvre petite ampoule sale qui donne une vague lumière. Sofiane et Karim entrent eux-aussi et ferment la porte. - Maintenant, t'es tout à nous, mec. Tu vas voir comment on sait remplir et s'occuper d'une bonne salope. Karim attrape de nouveau ma nuque pendant que Sofiane m'arrache mon survet. Là, je ne me fais plus d'illusion pour ma rondelle ! Je suis à poil, penché en avant, le cul en l'air, bien maîtrisé par Karim qui est devant moi et me tient l'arrière de la tête. J'entends Sofiane cracher dans sa main pour masser son méga chibre, après il me lâche un gros glaviot sur la rondelle. Il glisse un doigt et se rend vite compte que je suis bien serré. - Putain, il est super étroit ! J'vais te l'élargir comme c'est pas permis? Tu vas voir ça Karim? Mon dard est tellement dur qu'il va creuser un tunnel ! Il a mis son gland sur ma rondelle, a bien attrapé mes hanches, et toc, d'un coup, il m'a déchiré le cul. Je n'ai jamais eu aussi mal, mais le cri de plaisir qu'a lâché Sofiane a couvert le mien. Une sorte de râle bestial. Je croyais qu'il m'avait enfilé jusqu'à la garde, mais non, il en restait encore à faire rentrer et un deuxième coup de rein lui a suffi cette fois-ci pour faire bien claquer ses couilles contre les miennes. Bien agrippé à mes hanches, Sofiane entame alors un mouvement de va et vient en se frottant le gland dans mon intestin? Karim l'encourage : - Vas-y, ramone bien ce fion, il aime ça, éclate toi, vide tes couilles dans ce ptit cul ! Moi, je commence à desserrer les dents et à gémir autant de douleur que de plaisir. Karim coince alors ma tête sous son bras. Je suis trop excité par ce pieu qui va et vient et par la prise de Karim. Je sens l'odeur de sa sueur à travers son jog. - Mon pote, il va se vider dans ton boyau. Ensuite, tu vas savoir ce que c'est qu'une bite de cheval ! dit-il en me tapotant le dos. Sofiane se met alors à redoubler de violence et d'amplitude. C'est une vrai bête qui me pilonne le cul, un marteau piqueur. Il redouble de violence et pose son front sur mon dos. Je sens alors son pieu plus raide que jamais. Une vraie poutre de béton me défonce le cul et j'entends Sofiane gémir. - Ouaih? j'viens? j'viens? j'vais jouir? ça fait trop longtemps? ouiii? Il est pris de convulsions et balance des bordées de sperme chaud dans mon cul en continuant de me pilonner pour être sûr de ne rien laisser dans ses couilles. Je sens le souffle épais de Sofiane sur mon dos. Quelques convulsions enfoncent encore sa queue dans mon cul trop rempli. Il se retire et lâche : - Il est trop bon son cul ! A toi de lui arracher les fesses maintenant, Karim. Ma p'tite pute, t'a encore rien vu ! Je suis maintenant un peu inquiet. Karim me lâche et se dresse de toute sa hauteur devant moi. Il passe son t-shirt derrière sa tête et je suis bouche bée devant son torse dessiné, ses pecs puissants et ses abdos tout durs. Il a le torse tondu sur une peau mate satinée. Il défait l'attache de son jog. A ce moment là, je remarque seulement la bosse de sa queue sous le tissu, et j'ai un vertige: ce n'est pas une bite qu'il a, c'est une batte de base-ball. En un mouvement, il baisse son bas de survet, et il montre une queue inouïe, bien longue, légèrement arquée vers le bas, nervurée de veines apparentes, et un gland rouge et gonflé. Elle aussi est en béton ! - Tu la vois bien ? Maintenant, tu vas la sentir, ma pine de cheval ! lance-t-il avec un rire bestial. Sofiane se place devant moi, la queue encore odorante de sperme et Karim prend sa place derrière. Il s'agrippe à mes fesses se cale bien au sol pour assurer ses appuis. Je ne suis pas tranquille et j'esquisse un mouvement pour abandonner la partie. Mais je suis à leur merci, et Sofiane me fait une clé aux bras pour me faire comprendre qui commande - Toi, tu bouges pas. C'est nous qu'on décide. Tu nous as suivi, alors t'assumes. Je n'ai pas le choix. Mon cul est encore ouvert du pieu de Sofiane. Mais quand le gland de Karim se présente sur ma rondelle, j'ai l'impression d'être encore vierge. Ses mains passent de mes fesses à mes épaules. Je le sens se pencher sur moi, ses abdos effleurent le bas de mon dos. Il prend de l'élan. Prévoyant, Sofiane, qui commence déjà à rebander devant le spectacle de la queue monumentale de son pote sur le point de me pistonner, me penche plus bas et m'enfourne sa belle bite dans la gueule. J'ai à peine le temps de réaliser que je sens la poussée de Karim. C'est énorme, il m'explose les fesses d'un coup! Heureusement que Sofiane m'a lubrifié le boyau au foutre. En deux poussées, je suis empalé par un tronc d'arbre prêt à se répandre ! Je ne peux même pas gueuler car le gland de Sofiane prend toute la place dans ma gorge. La suite est une succession de coups de boutoir qui écrasent à chaque fois mon nez dans les poils de Sofiane. Karim râle de plaisir en reculant ses fesses puis en allant se planter au plus profond de mon boyau. Le rythme s'accélère progressivement. - Ouaih, j'ai jamais pris un petit cul serré qu'celui-là. J'ai l'zob laminé? il va exploser ! Je me sens à la merci de ces bêtes. La force de Karim est sans pareille. Je suis empalé par un poteau. Karim grogne de plus en plus fort derrière moi. A chaque coup, je sens un énorme bloc entrer en moi et déplacer mes intestins. Toute son énergie est concentrée pour garder mon cul ouvert. La bite de Sofiane a regonflé dans ma gueule et me permet juste d'émettre quelques soupirs. Ils sont maintenant deux à râler. Je suis trop excité. J'ai la queue raide. Celle de Karim est tellement épaisse qu'elle m'écrase la prostate. Je ne me touche pas et pourtant, j'en peux plus? je sens quelques jets de spermes sortir de ma bite. Il m'a fait jouir sans me toucher la queue ! C'est ce moment que choisit Karim pour augmenter la cadence. Il commence à crier : - Oui? c'est trop? couilles trop pleines? pas joui? une semaine? ça vient ! Moi, je sens son pieu remonter encore plus loin et plus vite dans mon cul. - Ouaih? la queue m'brûle ! Elle va péter ! Maintenant, la souplesse naturelle de son dard a disparu. Et je sens à la raideur phénoménale de son chybre qu'il va bientôt m'inonder de jus chaud et dégoulinant. Karim hurle maintenant - Ca y est? je jouis? Super ! Mais quelques secondes après le début de sa jouissance, il se retire pour balancer de son énorme queue veinée à souhait huit énormes giclées de sperme brûlant qui arrosent mon dos, mes cheveux et atteignent même le ventre de Sofiane. Lui, continue ses va et vient dans ma gueule. Le sperme de Karim dégouline sur le ventre de Sofiane pour venir se répandre entre mes lèvres distendues. Je sens la queue brûlante et poisseuse de Karim glisser sur mes fesses et venir se planter à nouveau dans mon cul. A ce moment Sofiane se retire de ma bouche et m'inonde le visage de son foutre. Le piston de Karim me laboure de nouveau le boyau mais plus lentement tandis qu'il soupire d'aise. Pendant ce temps, Sofiane essuie son gland visqueux sur mon nez et mes joues. Mon cul, ouvert comme jamais, est tout tremblant de l'effort qu'il vient de faire. Finalement Karim et Sofiane me lâchent : - Putain, t'es un super vide couilles ! On te remplira encore et encore? - On en fera profiter les potes de la cité. Faudra nous obéir à chaque fois qu'on viendra te chercher chez toi, rajoute Sofiane. Ils se ressapent et je les entends se tirer dans le couloirs des caves en évoquant les noms d'une série dizaine de copains auxquels ils pensent: Momo, Pascal, Rachid, Kader, José, Farid, Adil, Eric, Manu? Moi, je mets bien dix minutes à me reprendre. J'ai mal au cul et je me rhabille comme je peux en planquant mon mouchoir dans le fond de mon slip. Quand je sors, il est déjà deux heures du matin. Je ne suis pas inquiété par les menaces de ces deux baiseurs. Je ne vois pas comment ils pourraient me retrouver. Mais, en arrivant à la voiture, je me rends compte que je n'ai plus mon agenda perso où j'avais fais la connerie d'écrire mon adresse?