Date: Sun, 10 Nov 2013 17:17:23 +0100 From: exesxes Subject: On Sort Avec le P'tit Cette histoire est une fiction qui parle de sexe dans une ferme entre trois frères et un adulte. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex games in a farm between three brothers and an adult. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes Exes@cledro.net --------------------- Nifty a besoin de vos dons pour publier mes histoires. Nifty needs your donations to publish my stories. http://donate.nifty.org/donate.html --------------------- ON SORT AVEC LE P'TIT. 1- UNE FRATRIE UNIE Ca a commencé quand j'avais 12 ans, au début de l'été 1955. Mon père était mort à la guerre, juste avant ma naissance. J'ai deux frères aînés, Robert ou Robby qui avait 14 ans et Pierre, aussi appelé "le grand" avait 17 ans. Moi, je m'appelle Jean mais tout le monde me disait Jeannot ou "le p'tit". Nous vivions dans une petite ferme très isolée en pleine campagne. Au lendemain de la guerre, notre mère avait embauché un garçon de ferme nommé Pablo. C'était un orphelin réfugié espagnol qui devait avoir dans les 30 ans. Il suffisait bien pour s'occuper de nos trois vaches, nos deux chèvres ainsi que des quelques champs autour de la maison. Notre mère s'était réservé les volailles et le jardin. A cette époque il n'y avait pas beaucoup de distractions pour une famille de pauvres paysans. La radio et le journal étaient les seules choses qui nous reliaient au reste du monde. Mais dans ce milieu, on cessait très vite de croire à la cigogne, à la rose et au chou. Les animaux ne se gênant pas pour copuler au moment où ils en ont envie, quels que soient le lieu et les spectateurs. Pour ma part, je venais à peine de comprendre que la manipulation de mon sexe me procurait un certain plaisir. Cette découverte m'amenait à m'isoler pour me toucher plusieurs fois dans la journée. Un jour que j'étais seul dans la grange, je me suis mis à me caresser la queue sous ma braguette. Elle est vite devenue raide. Ensuite je me suis frotté à travers ma salopette contre ce que je trouvais. La sensation de la toile qui me frottait la tige m'excitait terriblement. J'aimais me mettre à califourchon sur la roue d'une machine agricole pour m'écraser la base de la queue et les couilles. Un impression d'extrême excitation envahissait mon bas-ventre. J'étais trop occupé pour me rendre compte que Robert était entré à son tour. Je ne sais pas pendant combien de temps il m'a regardé mais il m'a fait sursauter en me demandant : - Tu fais quoi comme ça ? Le choc m'avait coupé la voix et je n'ai pu sortir que quelques borborygmes. Mon frère avait l'air amusé autant que surpris. Il m'a regardé de haut en bas sans manquer de remarquer le renflement au niveau de ma braguette. Il m'a laissé retrouver ma respiration avant de me demander : - C'est comme ça qu'tu t'branles ? Le sens réel de ce mot m'était inconnu. Je l'avais bien entendu dans la bouche de mes frères et de Pablo mais j'avais compris que ça avait un sens péjoratif. J'ai regardé Robert sans savoir que lui répondre. Avec un petit sourire en coin, il m'a dit : - Avec la main c'est quand même plus pratique. Tu veux essayer ? J'ai répondu avec un signe de tête. Le fait qu'il ne se fâche et qu'il ne se moque pas de moi m'a mis en confiance. Robert m'a demandé de le suivre dans un coin reculé de la grange où la lumière du soleil passait entre les planches de la paroi. Il a ouvert sa salopette et j'ai vu la silhouette de sa bite. En voyant mon regard, Robert a écarté fièrement les bords de sa braguette pour me faire voir une belle queue semi-bandée. Nous ne portions pas de sous-vêtements, ma mère trouvait que ça faisait de la lessive inutile. Il faut dire qu'à cette époque dans les campagnes reculées, l'hygiène corporelle était un luxe. Nous n'avions pas de douches, ni de bain. Le matin on se passait rapidement de l'eau sur le visage pour se réveiller et le soir on se mettait la tête sous la fontaine pour se débarrasser de la poussière et de la sueur de la journée. Le reste du corps n'était lavé qu'une seule fois dans la semaine, chacun son tour devant une bassine d'eau chaude dans la cuisine. Robert m'a demandé de sortir la mienne qui était toute dure et arquée comme une banane. Il a pris sa bite en main et m'a dit de l'imiter. Puis il a commencé à se caresser la hampe. Sa queue est devenue de plus en plus dure. Je voyais les veines gonflées qui parcouraient sa tige. Contrairement à la mienne qui était très arquée, la sienne était toute droite. Je l'imitais en ressentant tout le plaisir que cette caresse me procurait. Je voyais Robert, les jambes écartées, le bassin rejeté en avant pendant que sa main parcourait sa hampe sur toute sa longueur. Nous avons caressé nos queues pendant un moment. Je sentais la mienne devenir de plus en plus dure. Robert a grommelé : - Mmm? ça vient ! J'ai fixé son gland devenu tout violet et luisant. Soudain une série de jets en on jailli pendant que Robert retenait sa respiration. Il était bien campé sur ses jambes écartées le dos rond, le bassin agité de petits coups secs, les yeux clos et se mordant la lèvre inférieure. Ce spectacle m'a mis hors de moi, mon c?ur battait à se rompre et le sang battait dans mes tempes. Ma queue est devenue dure comme du bois et une crampe m'a saisi le bas-ventre. Avec surprise, j'ai senti mes couilles se resserrer à la base de ma queue et une sorte de brûlure traverser ma queue. Trois jets clairs en sont sortis en provoquant une contraction de tout mon bas-ventre, pendant que mon corps tremblait. A peine j'avais repris mes esprits que mon frère m'a demandé : - C'est quand même mieux comme ça, non ? Dans un souffle je lui ai répondu que c'était le première fois que ça giclait de ma queue. Avec étonnement Robert a découvert que son petit frère venait de jouir pour la première fois et devant lui. Comme il me questionnait et que j'avais toute confiance en lui, je lui ai dit qu'avant je sentais bien cette sorte de crampe naître dans mes couilles mais, comme j'ignorais les conséquences, ça me faisait peur et que j'arrêtais tout. Il a bien ri et m'a dit que maintenant je pourrais me faire plaisir sans crainte et que nous pourrions même nous retrouver pour une bonne branlée à deux. Inutile de dire que j'ai peu dormi la nuit suivante. Robert, avec qui je partageais la chambre, a dormi comme un loir. Le lendemain je me suis réveillé avec de grand cernes sous le yeux et la mère me harcelait de questions pour savoir si je n'étais pas malade. - Arrête, c'est d'son âge ! a grogné Pierre tout en faisant un clin d'?il à Robert. Avec ses 17 ans, Pierre était presque un homme. Il était trapu avec de larges épaules et une belle tignasse aux reflets brun-roux et un torse qui se couvrait de poils de la même couleur. Ses mains étaient deux fois plus grosses que les miennes et prouvaient par leurs cals et leurs ongles abîmés qu'il était un manuel. Il prenait peu à peu les choses de la ferme en mains tandis que Pablo contrôlait tout comme un patron. Celui-ci parlait peu, à part sur ce qui concernait le travail. Malgré les vingt ans qu'il avait passé dans notre pays, il avait gardé un très fort accent espagnol. Ses parents étaient morts pendant la répression de 1934, alors une tante l'avait amené jusqu'à la frontière et l'y avait abandonné. Il avait grandi au sein d'une colonie d'émigrés espagnols, élevé par des inconnus qu'il s'était empressé de quitter dès sa majorité. Ma mère l'avait rencontré sur un marché et lui avait tout de suite inspiré confiance. Il faut dire qu'avec son air grave, son regards sombre, sa haute taille, sa peau très mate et son corps finement musclé, il avait quelque chose de rassurant pour une jeune veuve désemparée. Pendant la journée, j'ai guetté le moment où je me retrouverais seul pour aller me faire un petit plaisir dans la grange mais comme un fait exprès, mes frères ou Pablo me trouvaient toujours une activité. Finalement, après le repas du soir, j'ai décidé de sortir pour m'isoler dans le petit bois au bout du champ. J'étais à mi-chemin quand Robert m'a rattrapé en me demandant où j'allais. Bien entendu, il ne m'a pas cru quand je lui ai dit que j'allais me promener. Avec un clin d'?il il m'a demandé : - On va s'faire un p'tit plaisir dans l'bois ? J'ai dû rougir parce qu'il a éclaté de rire et m'a donné une grande claque dans le dos. - Fais pas c'te tête, y a pas d'mal à s'faire du bien? Sa nature joviale et décomplexée m'a détendu. Mieux, l'idée de pouvoir me branler sans arrière-pensée m'émoustillait, tant et si bien qu'en atteignant les premiers arbres, je sentais ma queue se durcir dans ma salopette. Nous sommes allés droit dans les fourrés et Robert m'a dit : - Ici on va être bien. Sors-la. En voyant que j'étais déjà en forme, mon frère à lâché un sifflement et a sorti la sienne qui commençait à prendre du volume. Sans un mot, nous avons commencé à nous caresser en regardant la bite de l'autre. Celle de Robert était bien plus épaisse que la mienne au repos et j'avais remarqué qu'il avait un grand prépuce qui couvrait son gland même quand il bandait. Il se la caressait lentement comme s'il voulait surveiller son gonflement. Par contre moi je bandais comme un jeune cerf. Ma queue arquée comme une banane avait un gland découvert tout rose et luisant. Le plaisir montait lentement et je m'évertuais avec acharnement à atteindre le point de non-retour. - C'est bon, hein Jeannot ? M'a demandé Robert. Ca fait du bien quand tu sens qu'ça t'prend les couilles, hein ? Profitant de l'expérience de mon aîné, j'ai fait attention au plaisir qui montait et me prenait le bas-ventre. Robert se mordait la lèvre inférieure et regardait ma main qui allait et venait sur ma queue toute dure. Sa bite était maintenant toute raide et pointait à 45 degrés hors de sa braguette béante. Son gland tout gonflé apparaissait et disparaissait de son prépuce charnu. Il avait sorti ses couilles qui tressautaient dans leur poche. De temps en temps il me souriait et je lui répondais de la même façon. A un moment donné, j'ai senti comme un électrochoc à la base de ma queue. J'ai eu juste le temps de lâcher un petit cri et une série de jets a fusé de mon gland tout luisant. - Putain, tu gicles bien ! a grogné mon frère A son tour il a lâché une série de jets blancs qui sont venus s'écraser tout près de mon foutre clair qui coulait le long des feuilles du buisson derrière lequel nous étions cachés. Nous avons secoué nos bites avant de les remettre dans nos salopettes en nous essuyant les mains sur nos cuisses. Les jambes un peu flageolantes j'ai suivi mon frère jusqu'à un tronc d'arbre mort sur lequel il s'est assis. Nous sommes restés un bon moment sans rien dire puis Robert m'a pris par les épaules en disant : - On y va ? Nous sommes rentrés dans la maison où Pierre et ma mère lisaient le journal pendant que Pablo écoutait la radio. Personne ne nous a rien demandé et nous nous sommes assis sans un mot pour lire jusqu'à l'heure de nous coucher. Ainsi Robert et moi avions pris une sorte d'habitude de nous retrouver de temps en temps pour une bonne branlette en commun. Ce qui n'empêchait pas, ni Robert, ni moi de nous branler en solitaire dans notre lit. Le fait de nous connaître si bien avait fait tomber toutes les inhibitions et chacun de nous prenait son plaisir sans être gêné par la présence l'autre. 2- ET DE TROIS ! Quelques semaines après nous étions en train de nous branler dans la grange quand la voix de Pierre a retenti derrière nous. - Ah, je vois ce que vous faites tous les deux quand vous partez ensemble ! Si Robert n'a pas bronché et a continué à se branler mollement, tandis que je me suis senti coupable et j'ai tenté de rentrer ma queue toute dure dans ma braguette. - Pas si vite ! a déclaré Pierre. Si tu te branles avec le Robby, tu peux le faire aussi avec moi. Ce dernier à eu un large sourire en à disant à son aîné : - Ben vas-y Pierrot, montre nous aussi comment tu fais, toi. Sans se faire prier, le grand a ouvert sa braguette et en a sorti un instrument tout mou mais bien plus épais que celui de Robert. Il s'est mis en face de nous et a commencé à se caresser lentement. J'étais fasciné par ce chybre qui correspondait au physique massif de mon grand frère. Il l'étirait dans ses doigts, faisant apparaître un bout de son gland. La grosse main de Pierre malaxait son membre avec puissance. Il avait les hanches larges et il avait écarté ses cuisses massives au bas desquelles ses grosses bottes lui donnaient une assise stable. Sa chemise bâillait sur son torse épais ombré par des poils touffus. Presque furtivement j'ai ressorti ma queue qui avait molli rapidement. Mais la vue des verges de mes deux frères aînés, m'a vite redonné de la vigueur. - Il en a une bien raide, a lâché Pierre à l'attention de Robert en donnant un coup de menton dans ma direction. - Ouaih et il gicle déjà bien, lui a répondu Robert. En silence, nous avons repris notre masturbation, en veillant à ne pas jouir avant les autres. Mes deux frères caressaient lentement leurs queues devenues raides. Celle de Pierre était épaisse tandis que Robert l'avait plus fine mais plus longue. Je voyais à leurs regards qu'ils appréciaient ce moment. A ce petit jeu, j'étais encore trop jeune et trop impulsif. Au bout de quelques minutes, je n'ai pas pu retenir un soupir annonçant ma jouissance proche. - Eh, attend nous ! a lâché Pierre. Mais c'était trop tard. J'ai envoyé quelques jets au milieu du triangle que nous formions. Quelques gouttes ont atterri sur les bottes du grand qui a eu un ricanement : - Me v'là baptisé par le p'tit? Mes deux aînés ont continué à se la secouer pendant un moment. Mon regard allait de l'un à l'autre pendant que je caressais doucement ma queue qui revenait au repos. Robby se mordait la lèvre inférieure en fermant les yeux. Sa main avait des mouvements saccadés sur une tige plus dure que jamais dont les veines saillantes gonflaient et dégonflaient au grès des aller et retours de sa main. Pierre avait les yeux rivés sur la bite de son cadet tout en se serrant son énorme queue à la faire devenir violette et luisante. Au bout d'un moment Robert a demandé à son frère : - Tu viens ? - Vas-y, moi j't'attends d'puis un moment. Robert a soupiré fortement et un long filet blanc a jailli de son gros gland, suivi d'une série de jets saccadés. Au même moment, Pierre a rejeté sa tête en arrière tout en grognant : - Putain ! Presque en même temps que son frère, il a envoyé sur le sol une série de jets drus qui faisaient un bruit mou en s'écrasant à côté des taches blanchâtres faites par Robert et moi. Pendant quelques secondes, la bite de Pierre a laissé couler des gros paquets tout blancs qui s'écrasaient entre ses jambes écartées. Ils ont repris leur respiration pendant une minute puis Pierre a rentré sa bite d'un coup de reins. Robert a secoué la sienne vigoureusement avant de la rentrer à son tour. Ils ont essuyé leurs mains luisantes de foutre sur leurs cuisses et se sont regardés en souriant. - Bon, maintenant pas de partie de branle sans moi ! A lâché Pierre avec fermeté. Robert a acquiescé avec un sourire et m'a pris par les épaules. - C'est bien qu'on puisse faire ça tous les trois sans se gêner, a-t-il dit en sortant de la grange. C'est ainsi que nous avions pris un rythme journalier. Comme Pierre avait une petite chambre pour lui tout seul près de la grange, il ne s'imaginait pas que Robert et moi avions nos petites habitudes solitaires pendant la nuit. Entre nous, il n'était pas question d'autre chose que de se donner du plaisir en même temps que les autres. Avec les conseils de mes deux aînés, j'ai appris à dompter ma passion et a réfréner mes envies de jouissance immédiate. Malgré nos rencontres si rapprochées, notre ardeur ne faiblissait pas. Quand, nous voyant sortir tous les trois, notre mère nous demandait où nous allions, invariablement Pierre répondait : - On sort avec le p'tit. Ca rassurait la mère de savoir que j'étais avec les deux grands. Un jour elle avait grommelé à l'attention de Pablo que "tous les trois ensemble ils font au moins pas d'bêtises". Ainsi, elle ne demandait pas d'autres explications. Pablo, lui, semblait totalement indifférent à tout ça. Au cours d'une de nos séances communes, Pierre dit à son frère : - C'est bien nos p'tites branlettes mais ça m'dirait bien d'avoir que'qu'chose de plus. Tout en caressant sa tige déjà raide, Robert l'a regardé avec étonnement. Moi je ne voyais pas du tout ce qu'il voulait dire. Pierre avait un sourire en coin et regardait fixement le second en mettant sa bouche en cul de poule. Au bout d'un moment Robby a semblé comprendre et il a demandé : - Mais qui?? Sans un mot, Pierre m'a désigné du menton. Je ne comprenais vraiment rien à ce manège. Robert semblait incrédule mais ne rajoutait rien. Lentement, Pierre est venu se mettre devant moi et m'a dit d'un ton très doux : - Jeannot, sois gentil, met toi à genoux. Je ne comprenais pas ce que ça voulait dire. Le grand a répété sa demande une seconde fois. Comme j'avais pleine confiance en mes aînés, je lui ai obéi. - Maintenant ouvre la bouche, a continué Pierre. Je ne comprenais toujours pas où il voulait en venir. Robert s'était rapproché de son frère et, le souffle court, a répété la même phrase. Lentement, j'ai ouvert ma bouche et avec effroi, j'ai vu Pierre rapprocher son gros gland rougeâtre de mes lèvres. L'idée de l'avoir dans ma bouche et la forte odeur qu'il dégageait m'ont révulsé. D'un coup j'ai reculé ma tête et le grand a eu un geste d'impatience. - Robby, met-toi derrière lui. Celui-ci lui a obéi et je me suis retrouvé coincé entre mes deux frères. Pierre est revenu à la charge et cette fois, je n'ai pas pu reculer ma tête. Son gland luisant et odorant avait une goutte claire qui perlait de son trou. J'étais révulsé à l'idée de prendre dans ma bouche l'organe par lequel mon grand frère pisse et jouit. J'en avais presque un haut-le-c?ur. - Nooon?. ai-je grommelé en sentant la bite de mon aîné toucher mes lèvres. Par derrière, Robert me caressait les cheveux tout en me tenant fermement contre ses jambes. Je sentais sa queue bandée toucher ma nuque. Pierrot a étouffé mes protestations en enfilant son gland dans ma bouche en me disant calmement : - Vas y Jeannot? suce moi ! Le c?ur battant, j'ai laissé le chybre du grand glisser sur ma langue. Passé le premier choc, j'ai trouvé ce membre plutôt doux et chaud sur ma langue. Par contre mon nez recevait les fortes effluves de sueur et de pisse émanant de la braguette de Pierre. Ce gros mandrin remplissait totalement ma bouche que je devais ouvrir toute grande pour ne pas le blesser avec mes dents. Pierrot remuait son bassin et je sentais ses grosses couilles taper sur mon menton. Derrière moi, Robert haletait, son chybre battait sur ma nuque. Je commençais à suffoquer parce que le grand envoyait sa bite de plus en plus profondément dans ma bouche. Ma bave coulait le long de mon menton. Mais en même temps ça m'excitait terriblement et ma queue était de plus en plus tendue dans ma salopette. Peu à peu, Pierrot a accéléré le mouvement jusqu'à ce qu'il me prenne l'arrière de la tête et immobilise son gland au fond de ma gorge. En étouffant à moitié, j'ai senti un flux salé et visqueux remplir ma bouche. Les paquets de foutre se succédaient à un tel point que j'ai été obligé d'avaler. Mon c?ur battait à se rompre pendant que la bite de Pierre palpitait sur ma langue. Il est ressorti parce que je toussais en manquant d'air. Je bavais et je râlais alors que le gland encore gonflé de Pierre était devant mes yeux. Les dernières gouttes de foutre s'en écoulaient. J'ai haleté pour reprendre mon souffle. Quand ça s'est calmé, Robby est passé devant moi et a poussé son aîné en disant : - Maintenant c'est à moi ! A nouveau, une verge sentant l'urine et la sueur s'est glissée sur ma langue. Je n'avais plus de mouvement de recul, mes deux aînés avaient vaincu ma résistance et comme ils étaient des maîtres pour mon éducation sexuelle, je leur obéissais. La queue de Robert était nettement plus dure et plus longue. Mais il faisait attention de ne pas me faire trop suffoquer. D'ailleurs je me tenais à ses hanches et pouvais ainsi éviter qu'il me pénètre trop profondément dans la gorge. Mes yeux, mon nez et mes lèvres coulaient pendant que le morceau odorant de Robby glissait dans ma bouche. Robert n'a pas fait aller et venir sa bite dans ma bouche pendant aussi longtemps que son frère. Après quelques va et viens, il a eu quelques coups de reins secs, puis s'est immobilisé en gémissant. A nouveau, des paquets de foutre ont envahi ma bouche et j'ai été forcé de tout avaler. Quand la bite de Robert s'est arrêtée de cracher son jus, il s'est retiré. Pierre m'a soulevé, il m'a tendu un chiffon ou un mouchoir et m'a dit : - Tiens, essuie-toi? Comme t'as été très gentil avec tes grands frères alors moi, j'vais t'faire un petit plaisir. Il a pris ma queue toute raide et s'est mis à me branler avec sa grosse main calleuse. Robert se tenait de l'autre côté et nous regardait. Le contact de sa main puissante m'excitait terriblement. Je sentais mes couilles remonter et mon bas-ventre se crisper. Il n'a pas fallu longtemps à Pierre pour me faire jouir. J'ai lâché une série de jets qui m'ont soulagé et ont fait retomber ma tension. Ensuite nous avons rentré nos bites et en nous éloignant, Pierre à dit à Robby. - C'est bon, maintenant on sait c'qu'on peut faire quand ça nous travaille? - Ouaih, a répondu Robert, j'pensais pas qu'c'est si bon de s'faire sucer. - Moi non plus, mais j'en avais tellement envie, a grommelé le grand. Il m'a pris par les épaules et m'a dit sur un ton quasi-paternel : - T'es un bon p'tit gars, tu sais faire plaisir à tes grands frères? J'avais 12 ans, eux 14 et 17? 3- JUSQU'AU BOUT A partir de ce moment, mes deux aînés ne se sont plus privées pour me solliciter seuls ou ensemble pour les soulager. J'avais fini par prendre plaisir à sucer ces queues vigoureuses et odorantes qui déversaient des flots de foutre au goût puissant dans ma bouche. Quelques fois ils me branlaient en guise de récompense ou je me masturbais pendant que je tétais leurs chybres. Ce rythme effréné avait considérablement augmenté ma production de foutre et je déchargeais presque autant que mes frères. Malgré le fait que je les soulage quelques fois dans la journée, ils m'entraînaient presque tous les soirs dehors en répétant comme toujours cette phrase devenue comme un code entre nous : - On sort avec le p'tit. Ce rituel du soir durant lequel nous prenions chacun notre plaisir sans gêne les uns vis-à-vis des autres était devenu quasiment un besoin. Nous étions dans la grange et nous nous sommes mis en place mais Pierre a eu une suggestion. Au lieu de me mettre à genoux, je pourrais me pencher sur une pile de bottes de paille et, de ce fait, soulager mes genoux. J'étais loin de me douter que mes deux frères avaient préparé leur coup. Pendant que, dans cette nouvelle position, je tétais la bite de Pierre, j'ai senti Robby ouvrir ma salopette et la baisser. Innocemment, j'ai pensé que c'était pour pouvoir me branler. Mais j'ai sursauté en le sentant passer quelque chose de frais et visqueux sur mon cul. J'ai voulu me relever mais Pierre m'a tenu fermement la tête en murmurant : - Calme toi Jeannot? c'est rien? bouge pas? Puis j'ai senti Robert se mettre tout près de moi, poser ses mains sur mes fesses et les écarter. Quelque chose de chaud a appuyé contre ma rosette pour y pénétrer inexorablement. J'avais compris que Robby me pénétrait. Sa queue me faisait mal tellement c'était gros par rapport à mon anus. J'avais beau me contracter le plus fort que je pouvais, je sentais le chybre de mon aîné m'ouvrir et me pénétrer. Quand le gland est passé, la douleur s'est faite moins vive. C'était une sensation nouvelle que de sentir quelque chose de gros et de chaud m'ouvrir le boyau. Plus ça pénétrait, plus je sentais une pression dans mon bas-ventre. - Putain, il serre fort ! A grogné Robert. - Respire, détends toi, m'a dit Pierre d'une voix grave. Si t'laisses aller, ça t'fera moins mal. Quand même, la douleur me faisait couler les larmes. Robby me donnait des petites claques sur les fesses pendant que Pierre, qui avait cessé de remuer sa tige sur ma langue, me caressait les cheveux. Peu à peu le chybre est entré profondément en moi et a commencé des va et viens. La douleur s'atténuait mais chaque fois que Robert me pénétrait à fond, cela provoquait un choc pénible dans mon ventre. J'entendais Robert suffoquer, comme s'il faisait des efforts. De temps en temps il marquait une pose avant de recommencer ses mouvements. Pierre était muet et regardait son cadet baiser leur petit frère? Les va et viens de la bite dans mon cul devenaient moins douloureux, j'avais cessé de guetter la douleur et je m'habituais à sentir mon frère me bourrer le fion. - Y s'détend, lâcha Robby. Mais putain qu'ça serre fort. Pierre n'a pas répondu et a recommencé à faire aller et venir sa bite lentement sur ma langue. Je ne savais plus que faire avec une queue qui allait et venait dans chaque trou. Je me suis remis à sucer le grand tout en essayant de me concentrer sur les mouvements du chybre de Robert dans mon cul. Au bout de peu de temps, il a commencé à haleter et à grogner. Ses coups de reins étaient plus lents et moins amples. Puis il s'est immobilisé en soufflant et grognant entre ses dents. - Vas y, largue tout. A dit Pierrot avec calme en sortant sa queue de ma bouche. - Putain ! C'est bon ! a grommelé Robert entre ses dents. Je ne sentais plus rien, mon anus endolori était comme insensible. Mon aîné haletait doucement dans mon dos sans bouger. Sa queue ne me faisait plus mal je la sentais se gonfler au passage du foutre. Quand il s'est immobilisé, j'avais juste l'impression que quelque chose de gros m'écartait le boyau. Doucement, Robby a sorti sa queue de mon cul. Pierre est allé vers lui et a pris sa place. J'étais vaincu, les grands m'avaient fait comprendre comment ils voulaient que je leur fasse plaisir. Quand Pierre a pénétré en moi, j'ai eu un sursaut. La taille de son chybre m'ouvrait encore plus mais je n'avais plus la force de resserrer mon anus et je sentais le mandrin du grand glisser inexorablement en moi. Il s'est arrêté à mi-course pour dire à son frère : - Putain, t'as raison, qu'est-ce que ça serre ! Il a repris ses poussées et le gros machin a pénétré jusqu'au bout dans mes entrailles. Quand ses hanches sont venues toucher mes fesses, j'ai senti un choc douloureux dans mon ventre qui s'est répété à chaque fois qu'il m'envoyait son chybre à fond. - Heureusement qu'tu l'as graissé dedans avec ton foutre, a-t-il dit à Robert, j'sens qu'ça glisse bien. Il était plus résistant que son petit frère et il m'a travaillé le cul pendant longtemps. Je l'entendais soupirer et gémir à chaque fois qu'il envoyait un coup de reins. La cadence lente au début s'est peu à peu accélérée. Tout mon bas-ventre n'était que douleur. Soudain, Pierrot m'a envoyé un grand coup de buttoir dans les fesses en grognant : - Han? Il s'est agrippé à mes hanches et j'ai senti ses ongles dans ma chair. Son mandrin était agité de spasmes dans mon cul. Ca ne semblait pas vouloir s'arrêter. Il est resté immobile un long moment puis est sorti de mon cul d'un coup de reins sec en s'exclamant : - Ouaih? c'était une bonne tirée ! Je suis resté immobile pendant que mes deux frères se félicitaient. Puis ils m'ont retourné lentement sur le dos en me disant des choses gentilles. Voyant ma queue toute flasque, le grand l'a prise dans sa grosse main et a murmuré : - Maintenant c'est moi qui vais t'donner du plaisir. Il a commencé à me branler pendant que Robert me caressait les couilles. Il ne m'a pas fallu longtemps pour bander à nouveau. La grosse main calleuse et sale du grand m'excitait terriblement. Je la sentais râper mon gland devenu sensible. Il me branlait consciencieusement en guettant un signe de plaisir sur mon visage. Robert jouait avec mes couilles qui remontaient de plus en plus. Il les étirait au maximum puis les caressait pendant qu'elles se resserraient à la base de la bite. Chaque fois qu'il les allongeait, ça augmentait mon excitation. La tension est montée dans mon ventre. En même temps je sentais quelque chose de chaud couler lentement hors de mon cul. Le plaisir est monté rapidement et quand mes burnes se sont contractées, les spasmes de mon anus endolori ont considérablement augmenté mon plaisir. Mon foutre a jailli sur mon torse et par-dessus ma tête. Mes deux frères souriaient en respirant fortement. Parallèlement les foutres mélangés de mes frères étaient expulsé par les contractions de mon cul. Une sorte voile noir est passé devant mes yeux pendant quelques secondes. Quand je les ai rouvert, j'ai vu les deux grands me sourire. Je suis resté sur le dos en haletant tandis qu'eux s'étaient assis près de moi en discutant. - T'avais déjà baisé ? Questionnait Robby. - Pas pour de vrai, grommela Pierre. - Ca veut dire quoi ? - Ben? j'ai essayé avec les vaches mais c'est trop large et aussi les chèvres mais elles arrêtent pas d'bouger? avoua le grand. - Ah bon? quand ça ? s'est étonné Robert - Ben la nuit, quand j'pouvais être tranquille, répondit Pierrot. - En tous cas maintenant, on a plus besoin d'ça puisqu'on a l'Jeannot. A ces mots, ils se sont souvenus de moi et se sont retournés pour me regarder. Le foutre avait coulé sur mes côtés et sous mon cul. Robert a pris un chiffon qui traînait par là et me l'a tendu pour que je m'essuie avant de me rhabiller. Maintenant mon cul me faisait horriblement souffrir mais les deux frères avaient l'air satisfaits et détendus. Mes premiers pas ont été douloureux. Mon anus me faisait si mal que je me demandais si j'allais pouvoir marcher normalement. Soutenu par mes deux frères nous sommes revenus à la maison. La mère a demandé pourquoi je boitais et ils ont répondu d'une même voix que j'avais glissé et que j'étais tombé violemment sur le derrière. La mère a repris sa lecture en grommelant que "les jeunes ne font jamais attention à rien". Devant son poste de radio, Pablo a levé un ?il pour me regarder d'un air amusé. Ma mine et la manière dont je me tenais debout devaient être ridicules car c'était la première fois que je voyais Pablo réagir comme ça. La douleur s'est calmée pendant la nuit et le lendemain je sentais juste que mon muscle anal était endolori. Mes deux aînés étaient étonnamment gais et cela déteignait même sur Pablo. En boitillant je vaquais à mes occupations sous l'?il suspicieux de ma mère. A un moment donné je me suis retrouvé près de Pablo qui s'est penché et m'a glissé en douce : - T'en fais pas, la première fois ça fait toujours mal? Il a disparu avant que je ne réagisse à sa remarque. Le soir, j'ai dit à mes frères ce que Pablo m'avait chuchoté. Ils se sont regardés avec étonnement. Pierrot a décidé qu'il allait demander une explication à Pablo sur le sens de ses paroles. Robert n'était pas très chaud et moi je me suis mis à craindre des représailles de la part du garçon de ferme. Robby et moi avons attendu devant la maison. Pierre est ressorti avec Pablo et ils sont allés discuter dans la grange pendant que nous restions le c?ur battant à l'attendre. Quand les deux sont ressortis, le grand est venu vers nous en souriant et Pablo nous a fait un signe de la main. Le garçon de ferme a révélé à Pierre que lui aussi avait joué aux mêmes jeux avec quelques garçons un peu plus âgés que lui dans groupe d'espagnols avec lequel il vivait. Il avait ressenti les mêmes douleurs que moi. Voyant notre complicité soudaine, et la façon dont je marchais, il avait deviné que mes deux frères m'avaient fait subir le même traitement que celui qu'il avait lui-même connu. 4- UN VRAI MAITRE Un jour, la mère a été appelée à se rendre au chevet de sa belle-mère qui était âgée et malade. Elle ignorait si la situation allait la retenir longtemps absente de la maison. Prise au dépourvu, elle a confié la ferme à Pablo et à Pierre, son jardin et ses volailles à Robert et moi en nous recommandant d'être sage et d'obéir au grand et à Pablo. Il n'y avait aucun doute sur le fait que j'allais obéir à mes deux aînés sur certains points? Une fois le soir tombé, comme d'habitude nous sommes sortis et Pierrot a dit presque machinalement à Pablo son sempiternel : - On sort avec le p'tit? Pablo s'est levé et a dit sur un ton sans réplique : - Je sors avec vous ! Tous les trois, nous nous sommes regardés interloqués. Nous ne pourrions pas nous livrer à nos petits jeux habituels si un adulte comme Pablo restait avec nous. Lentement nous sommes sortis de la ferme et avons attendu que quelque chose se passe. Sans se départir de son air sérieux, Pablo nous a demandé : - Vous faites ça où d'habitude ? Il m'a pris par les épaules presque paternellement. Aussi loin que je m'en souvenais, il n'avait jamais eu un tel geste d'affection à mon égard. Sa forte odeur de sueur fraîche m'a enveloppé et malgré la finesse de sa stature, je me suis aperçu qu'il avait beaucoup de force. Mes deux frères se sont regardés et on répondu presque ensemble : - Ben? où on veut? souvent dans la grange? - Allons y ! décréta Pablo sans me lâcher. Je devinais que mes frères étaient plutôt embarrassés tandis que la soudaine proximité de Pablo me flattait plutôt. Une fois dans la grange, nous nous sommes tous regardés sans vraiment savoir que faire. L'espagnol a détendu l'atmosphère en disant : - Moi j'ai envie de me faire sucer? Pierre et Robert sont restés immobiles, leur gêne était visible et la présence de Pablo ne les faisait pas se sentir d'attaque pour se lancer dans nos jeux coutumiers. Comme j'étais habitué à être utilisé pour le plaisir des autres (et le mien aussi), cette nouveauté me mettait plutôt en forme. Je me suis retourné vers le garçon de ferme et me suis mis à genoux. Il a ouvert sa braguette pour en sortir une belle tige, à moitié bandée. Comme pour mes deux frères, sa braguette laissait échapper une forte odeur de sexe et de sueur. J'ai ouvert la bouche en regardant Pablo. Il a approché son gland encore caché dans son prépuce de mes lèvres et les a caressées. Il a ensuite promené sa bite sur tout mon visage. Plus il jouait, plus il bandait. Finalement, son chybre très foncé et couronné par un gland luisant était aussi arqué que le mien. Il l'a glissé entre mes lèvres en murmurant : - Vas y doucement. Mes deux frères s'étaient rapprochés en se caressant la braguette. La scène les avait mis en forme. Le gland odorant de l'espagnol a pénétré sur ma langue, il le faisait aller et venir lentement, sans me l'enfoncer d'un coup comme mes frères avaient l'habitude de faire. De temps en temps, il ressortait sa bite pour m'en frapper le visage avant de la remettre dans me bouche. Peu à peu il a commencé à balancer ses hanches doucement en retenant ma tête. Imperceptiblement, le long chybre pénétrait plus profondément. Sans que je m'en rende compte, Pablo avait accéléré la cadence. En levant les yeux, je voyais que comme Robert avait l'habitude de le faire, il se mordait la lèvre inférieure tout en regardant sa queue aller et venir dans ma bouche. Soudain il s'est bloqué et a retenu sa respiration. Il est sorti brutalement de ma bouche et tout son corps s'est crispé. Son chybre était agité de soubresauts devant mon visage. - Putain ! s'est-il exclamé. - Ca va pas ? a demandé timidement Pierrot qui avait ouvert sa braguette et se masturbait lentement dans sa salopette. - J'ai failli venir, a répondu Pablo. - Et alors ? a demandé Robert. - Il faut faire durer, a expliqué Pablo dont la respiration était redevenue normale, - C'est ce moment qui est le meilleur, a-t-il continué, quand tu limes et que tu sens que ça monte doucement, ça fait du bien. Quand t'as lâché la sauce, c'est fini t'as plus rien. Sa queue était toujours aussi raide et il me l'a de nouveau enfilée dans la bouche. Il a recommencé à remuer doucement ses hanches. Mes deux frères nous regardaient avec les yeux écarquillés et avaient sorti leurs tiges raides pour se masturber. Pablo a recommencé à me baiser la bouche se plus en plus profondément jusqu'à ce qu'il s'arrête de nouveau. Il est ressorti tout aussi brusquement de ma bouche et j'ai vu une goutte claire couler du trou de son gland. Le garçon de ferme a sorti ses couilles qui me semblaient énormes. Elles ne pendaient pas comme les miennes mais étaient collées contre la base de sa bite. Pierre et Robert avaient cessé de se branler, leurs queues battaient au rythme du sang qui les gonflaient. A nouveau Pablo a remis son membre dans ma bouche, puis a recommencé à me l'envoyer de plus en plus profondément. Soudain il s'est crispé et a grogné : - Merde ! Il a tenu ma tête fermement pendant que son chybre se gonflait spasmodiquement sur ma langue. J'ai senti un goût salé remplir ma bouche pendant que des jets de foutre étaient projetés au fond de ma gorge et descendaient immédiatement dans mon estomac. Mon nez était enfoncé dans les poils noirs et drus de Pablo. Sa forte odeur de mâle en rut me remplissait les narines, je bandais comme un âne dans ma salopette. Le garçon de ferme est resté un long moment planté profondément dans ma gorge. Mes deux aînés nous regardaient la bouche ouverte, leurs mains immobiles sur leurs queues gonflées. Puis Pablo est ressorti lentement. De sa queue coulaient encore quelques gouttes. - Ouaih, c'était bon ! A-t-il lâché dans un souffle. Son visage était détendu et n'avait plus cet air grave que nous lui connaissions. Pierre et Robert n'en pouvaient plus, un liquide clair bavait de leurs glands gonflés et rougeâtre. Le grand s'est approché de moi en poussant doucement l'espagnol de côté. Il s'est planté d'un coup dans ma bouche et commencé à me limer. - Pas si vite ! lui a intimé Pablo. - J'en peux plus, a grommelé Pierrot, tu m'as trop excité. Soudain, Robert a poussé un petit cri. Une gerbe de son foutre est venue s'écraser contre ma joue pendant qu'il râlait doucement. Voyant cela, le grand s'est planté au fond de ma gorge et a lâché un jet continu de semence odorante et poisseuse. J'ai avalé le tout pendant que le sperme de Robby coulait lentement de ma joue. J'ai sorti ma queue douloureuse à force de bander et j'ai commencé à me branler pendant que le grand sortait de ma bouche et se secouait vigoureusement la bite. Pablo est venu me relever et a pris mon vit en mains. Face à moi, il m'a branlé lentement en observant mon visage. Chaque fois que mon visage se crispait, il s'arrêtait et me souriait. A la troisième fois, il n'a pas eu le temps de s'arrêter et l'ai lâché des paquets de foutre dans sa main qu'il continuait à remuer doucement. Ce frottement sur mon gland était insupportable et je me suis plié en deux. Pablo a continué aussi longtemps qu'il a pu. Quand je me suis redressé en reprenant mon souffle, Pablo s'essuyait la main sur sa cuisse et mes deux frères refermaient leurs braguettes. Il nous a regardé en souriant et nous a dit. - Merci les garçons, ça m'a fait vachement plaisir de jouer avec vous. Puis il nous a expliqué comment nous devions faire pour que notre plaisir dure le plus longtemps possible et nous a donné des petits trucs pour arriver à nous dominer. Mes deux frères avaient perdu toute méfiance à l'égard de l'espagnol et discutaient avec lui comme avec un copain. Nous sommes revenus à la maison comme des bons amis. Pablo nous a envoyé au lit en disant que ce genre de jeux fatigue et que nous devions reconstituer nos forces pour le lendemain. 5- LA REALITE A la mi-journée, j'étais en train de biner le jardin lorsque Pablo est venu me voir. Il n'avait plus l'air grave que je lui connaissais, au contraire, un sourire éclairait son visage basané. Après quelques échanges sur mon travail, il me demanda de le suivre pour me montrer quelque chose. Nous sommes entrés dans la cabane où ma mère rangeait ses outils et son matériel. Il s'est retourné face à moi, a pris ma main et l'a plaquée sur sa braguette. Son chybre était dressé et dur dans sa salopette. - Tu vois c'que tu m'fais? a-t-il murmuré entre ses dents. J'ai été surpris par cette entrée en matière mais flatté qu'il me fasse constater son érection. Il haletait devant moi, guettant ma réaction. Sa chemise largement ouverte laissait voir son torse lisse et basané luisant de sueur. Il n'a pas attendu une seconde de plus et a ouvert sa braguette pour en sortir un pieu tout gonflé et palpitant. Sans rien dire, il a pressé sur mes épaules pour que je me mette à genoux. Je n'ai pas résisté et j'ai ouvert ma bouche pour absorber cette mentule qui exhalait encore les effluves de la veille. Pablo a pris ma tête dans ses mains et m'a baisé frénétiquement la bouche. Je suffoquais et bavais, mon nez coulait et je n'arrivais pas à respirer. Le garçon de ferme m'envoyait son pubis velu dans le nez à chaque fois qu'il enfonçait son chybre dans le fond de ma gorge. Au bout de quelques minutes il a plaqué son ventre contre mon visage et a déchargé en grommelant : - Ouah? putain? ouaih? En dehors des spasmes de sa bite, je n'ai presque rien senti de sa jouissance car il envoyait son sperme directement depuis le fond de ma gorge dans mon estomac. Aussi vite qu'il a déchargé, aussi vite il a ressorti son vit luisant de ma bouche. Les dernières gouttes de foutre en coulaient encore quand il l'a rentré dans sa salopette. Je toussais et haletais en essayant de reprendre mes esprits. Pablo m'a relevé en me disant : - Tu m'excite trop, petit salopard ! Le sourire sur son visage m'indiqua que c'était un compliment. Quand j'ai pu parler, je lui ai fait remarquer qu'il n'avait pas pris son temps pour sentir le plaisir monter comme il nous l'avait enseigné la veuille. - J'en pouvais plus, a-t-il répondu, ça fait des années que j'avais envie qu'tu m'suces, j'en ai bandé toute la nuit. Nous sommes ressortis de la remise et Pablo est retourné à son travail comme si de rien n'était alors que moi, je sentais ma queue baver dans mon froc. Sa dernière phrase m'avait troublé. Ainsi, il me désirait en silence depuis longtemps? Après le dîner, Pierre n'a pas eu besoin de sortir son éternel prétexte, Pablo l'a devancé en décrétant : - Ce soir on va dans l'foin ! Pierre et Robert se sont souri. Leur méfiance de la veille face au garçon de ferme avait disparu. Au contraire, ils semblaient se réjouir de parfaire leurs connaissance dans le sexe en compagnie d'un tel maître. Nous sommes allés dans la grange et sommes montés par l'échelle. Une fois sur place, Pablo a découvert comment nous avons disposé les bottes de foin pour que ça soit le plus confortable possible. Il a sifflé entre ses dents : - Bravo les gars ! J'vois qu'vous vous êtes fait un bon p'tit coin? Coup d'chance que j'sois pas venu ici avant? Mes deux aînés avaient un sourire épanoui, comme s'ils avaient été félicités pour un bon travail. - J'pense qu'c'est le p'tit qui s'met là? ? a-t-il demandé en désignant la banquette formée par les bottes de foin recouvertes d'une bâche. Les deux grands ont acquiescé de la tête. Alors Pablo m'a pris pas le bras et m'a indiqué d'un coup de tête qu'il voulait que je le suce. Mes frères se sont approchés et n'ont rien perdu du spectacle. La grande bite de l'espagnol me plaisait assez. Même au repos elle était ferme et quand elle se dressait, elle devenait si dure que j'aurais pu croire qu'il y avait un os dedans. En peu de temps tout le monde bandait et Pablo m'a relevé pour me pousser vers notre construction en foin. Sans faire d'histoires, j'ai baissé ma salopette et je me suis couché sur le ventre. Le garçon de ferme a demandé : - Vous mettez quoi ? Vous crachez ? - Non, répondit Robert, j'ai gardé un fond de graisse à traire. - Vous avez tout prévu, sourit Pablo, alors vas-y Robby puisque tu sais y faire. Un peu gêné, le garçon s'est approché de mes fesses et a passé deux doigts chargés de graisse sur mon anus avant d'étaler le reste sur sa tige raide. En un rien de temps il a pénétré mon anus habitué à servir à mes frères et il s'est mis à me limer. L'espagnol l'a arrêté d'une main sur son épaule. - T'as pas encore compris ! J'vous avais dit qu'il fallait prendre le temps de sentir le plaisir vous prendre les couilles. Alors vas-y lentement? Pierrot nous regardait la bouche ouverte, son vit pointé hors de sa braguette. Pablo lui a fait signe de se faire sucer par moi. Comme la première fois, mes deux frères m'avaient embroché par les deux côtés. Pablo nous regardait et donnait des conseils ou des encouragements. - Là? ralenti? respire? sors si ça t'prend trop fort? Jamais Robert ne l'avait limé aussi longtemps et Pierre était sorti deux fois de ma bouche en soupirant très fort. Un liquide clair coulait de son chybre de plus en plus abondamment. Sans que je m'y attende, Robby m'a donné un grand coup de bassin dans les fesses et il est resté planté bien profondément en déchargeant. Pierre ne bougeait plus, seule sa queue battait l'air en cadence. - Tu sens qu'c'est meilleur ? demande l'espagnol à Robert. - Ouaih.. soupire ce dernier, c'était une sacrée bonne tirée? Quand Robert s'est extrait de mes fesses, Pablo s'est glissé à sa place. J'ai senti son chybre me pénétrer. Il était si dur et raide que je le reconnaissais sans peine. Il m'a pénétré lentement mais jusqu'au bout et ne s'est arrêté que lorsque son bassin a touché mes fesses. Son gland me faisait très mal en poussant tout au fond de mon boyau mais je n'osais rien dire. Après une courte pause Pablo a commencé à remuer. Ses va et viens étaient lents et appuyés. Pierrot avait remis son vit dans ma bouche mais ne le remuait pas. - Putain? haletait Pablo? tu l'as bien rempli ! Ca colle autour d'ma bite ! Pierre s'est penché et Robert s'est approché. Ils ont regardé le chybre que l'Espagnol avait à moitié sorti de mes fesses. En riant, Robby a dit : - On dirait qu't'as d'la sauce blanche sur ta bite? Plusieurs fois l'espagnol s'est arrêté pour respirer et a repris ses mouvements dont le rythme accélérait à chaque fois. Robert nous regardait, le gland baveux qui pendait hors de sa braguette. Pierre remuait lentement sur ma langue. A la tension de sa bite, je sentais qu'il était au bord d'exploser. Une ou deux fois il a tenté ses mouvements plus amples mais s'est arrêté immédiatement en soupirant. Soudain il a crié : - Merde ! Il a envoyé deux ou trois coup de buttoir dans ma bouche puis s'est immobilisé, écrasant ses poils odorants contre mon nez. A chaque spasme de son chybre, ma bouche se remplissait d'un paquet de foutre épais que j'avalais précipitamment pour accueillir le suivant. - Ouaih Pierrot, vas-y? fais-toi du bien, lui murmura Robby. Pablo redoublait ses coups de buttoir dans mon cul et quand le grand est sorti de ma bouche, c'est lui qui a déchargé en grognant. Mon anus écarté sentait sa bite se gonfler à chacun des passages de son sperme. Le garçon de ferme est resté un moment à haleter avant de ressortir lentement de mes fesses. Les trois garçons sont restés un moment à se regarder puis Pablo m'a relevé. Jamais on ne m'avait travaillé le cul aussi longtemps et je ne bandais plus. Mon anus tremblait en cherchant à retenir le trop-plein de semence qui voulait à s'en échapper. Le cul en compote, je me suis étendu sur le dos et j'ai attendu que mes aînés s'occupent de moi. Ce qu'ils ont fait comme d'habitude, Pablo les a bien conseillé en leur disant d'arrêter quand mon visage se crispait. Je n'en pouvais plus, je voulais jouir, une crampe me tenaillait les couilles, en même temps j'avais mal au cul mais à chaque fois que ça allait venir, le garçon de ferme les faisait arrêter. Soudain, sans que je le sente venir, un jet a jaillit sur mon torse. La délivrance a été une superbe récompense pour m'être donné à mes frères et à Pablo. Pendant longtemps, j'ai senti les crispations des muscles du périnée. Les spermes mélangés de Robby et de Pablo ont coulé de mon cul et se sont répandus sur la bâche sans que je puisse les retenir. Quand nous sommes rentrés à la ferme, Pablo m'a tenu fermement pas les épaules sans dire un mot. Sa chaleur et son odeur de mâle satisfait m'enveloppaient. Nous étions tous les quatre rassasiés et sommes allés nous coucher. Cette nuit-là, je n'ai pas entendu si Robert se faisait un plaisir supplémentaire tant j'étais fatigué. Le lendemain une lettre de la mère nous annonçait qu'elle allait devoir rester absente pendant un certain temps et nous donnait des instructions sur le travail à accomplir. Pablo et Pierre avaient pris la ferme en main tandis que Robby et moi les secondions du mieux que nous pouvions. Le soir nous nous retrouvions pour nous éclater dans des partouzes toujours plus chaudes. 6- EPILOGUE La mère est revenue au bout de deux mois après avoir enterré sa belle-mère. Nous étions tellement habitués à notre liberté que nous avons eu des difficultés pour arriver à continuer nos parties de jambes en l'air. Finalement Pablo a trouvé le solution et nous nous retrouvions tous dans sa chambrette en-dessus de l'écurie. Là, loin de la mère, nous étions tranquilles pour faire tout ce que nous voulions. Quand il a eu 20 ans, Robby s'est engagé dans l'armée. Pierrot s'est marié l'année suivante avec l'héritière d'une belle ferme que la mère lui avait trouvée. Ils ont eu trois beaux garçons. Pablo et moi sommes restés avec elle. Si la mère savait quelque chose, elle n'en a jamais rien dit. Quand elle est morte, Pablo et moi avons partagé la même couche et nous nous sommes aimés pendant près de cinquante ans. Le mois dernier, j'ai enterré Pablo. C'est pour ça que j'ai voulu me souvenir de tout ce passé.