Date: Tue, 25 Feb 2014 16:11:53 +0100 From: exesxes Subject: DECOUVERTE Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre un jeune adulte et un enfant. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex games between a young adult and a child. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes@cledro.net --------------------- Découverte C'était il y a bien longtemps, j'avais 7 ans, c'était les vacances. Comme mes parents travaillaient, ma grand-mère venait me garder dans la journée. Elle habitait un petit studio à l'autre bout du village c'est dire qu'elle préférait venir dans la maison avec jardin de mes parents. Je ne me souviens plus comment ça s'est passé mais j'ai été pris d'une terrible crise de saignement de nez. Affolée, ma grand-mère avait appelé le médecin qui lui avait répondu de m'amener tout de suite. Mais elle n'était pas motorisée et le médecin était dans la ville à côté. Elle s'est souvenue que Loïc, le fils aîné de nos voisins, avait un copain Paul qui possédait une moto. Il était midi, Loïc était donc chez ses parents. Elle est allée le voir et a parlé avec lui, puis Paul est arrivé sur son engin. Comme elle avait peur de "cette machine infernale", elle a demandé à Loïc de m'accompagner chez le médecin. Loïc était un grand adolescent de 17 ans, costaud avec un visage tout rond et un sourire jovial surmonté d'une petite moustache naissante, le tout couronné de cheveux noirs tout raides. Il était apprenti boucher. Paul avait le même âge mais il était grand, mince et rouquin avec des grands yeux bleus. Il faisait son apprentissage de mécanicien. On m'a placé entre les deux et, pendant que je tenais un gros mouchoir sur mon nez. Pour que je ne tombe pas, Loïc faisait barrière avec ses bras en tenant Paul par les côtés. Bien que j'étais assez frêle, j'étais un peu serré entre les deux gaillards. Tous les deux compressaient mes cuisses entre les leurs. Leur taille me forçait à écarter les jambes au maximum et du coup mon short étroit me serrait très fort. La chaleur des deux corps pressés contre le mien me faisait du bien. Paul a fait vite et nous sommes arrivé chez le médecin. Loïc m'a soulevé de la moto pour me poser par terre. Il a eu un temps d'arrêt en voyant que mon petit sexe tout raide faisait une bosse sous mon short collant. D'un geste rapide, Loïc a réajusté mon short pour me donner une allure plus décente, ce qui m'a procuré un frisson de bien être. Sans en parler, Loïc m'a conduit chez le médecin et, comme un grand frère, il m'a tenu la main pendant qu'il cautérisait mon nez et me faisait une piqûre. Pendant ce temps Paul nous attendait dehors. Pour le retour, je n'avais plus à tenir le mouchoir ensanglanté et Loïc m'a dit de me tenir à Paul tandis que lui-même passait ses bras autour de ma taille pour me serrer contre lui. Je dois dire que je me suis laissé aller avec délices. J'étais bien contre la poitrine musclée de Loïc. Sa chaleur m'envahissait et provoquait une nouvelle bandaison dans mon short. Lentement ses mains sont descendues vers mon ventre, puis plus bas et j'ai senti ses doigts palper doucement ma braguette. Du coup ma petite verge est devenue dure comme du bois. Doucement il a pressé mes fesses contre lui et j'ai senti quelque chose de dur et long entre ses jambes. Quand nous sommes arrivés à la maison, Loïc est descendu prestement en premier et je l'ai vu bouger son pantalon pour cacher une grosse bosse à l'avant. A nouveau il a rectifié discrètement mon short pour cacher la bandaison qui déformait ma braguette et il a mis un doigt sur sa bouche pour me recommander le silence. Paul est resté sur sa moto, le moteur en marche tandis que ma grand-mère remerciait les deux jeunes gens avec reconnaissance. Elle les a invité à prendre quelque chose. Paul a décliné car il devait retourner à l'atelier et Loïc est entré car la boucherie ouvrait plus tard. Pendant que ma grand-mère lui offrait du jus de fruit et des gâteaux, Loïc n'a pas tari d'éloges sur mon comportement brave chez le médecin. En réalité j'avais eu très peur et très mal et j'avais broyé dans mes doigts la main que Loïc m'avais tendue. Ensuite Loïc a parlé avec moi, montrant un réel intérêt pour le petit garçon que j'étais. Quand je lui ai parlé de ma passion pour les maquettes, il a demandé à les voir. Comme elles étaient dans ma chambre, il m'y a accompagné. Ma grand-mère étant restée en bas de la maison, Loïc en a profité pour me tenir dans ses bras contre lui. Je n'ai pas cherché à me dégager, j'étais si bien avec ce grand jeune homme si affectueux. Nous avons parlé des maquettes sans changer de position. Cette fois j'ai senti dans mon dos cette chose dure et longue que j'avais déjà perçue sur la moto. Je n'avais plus de doute : Loïc bandait ! A cette pensée, mon c?ur s'est accéléré. Pendant quelques minutes nous n'avons pas changé de position. Tandis que je parlais, Loïc me serrait de plus en plus fort et il bandait de plus en plus dur. Il a eu un petit grognement en crispant ses mains sur ma poitrine puis il m'a demandé où étaient les toilettes. Pendant que Loïc se soulageait, je suis descendu voir ma grand-mère. Elle était contente qu'un garçon "si bien" s'intéresse à moi. Quand il est apparu, j'ai vu Loïc mettre discrètement un doigt sur sa bouche pour me demander le silence. Je ne comprenais pas bien pourquoi mais je commençais à l'admirer et je ne voulais pas le décevoir. Le soir, dans son compte-rendu à mes parents, ma grand-mère a brossé une image idéale du charmant petit jeune homme et de son copain qui m'avaient amené chez le médecin. Mes parents connaissaient Loïc en tant que voisin et aussi apprenti boucher mais n'avaient jamais beaucoup échangé avec lui. Ils ont donc décidé d'inviter leurs voisins pour un barbecue le dimanche suivant. Cette rencontre allait être une fête pour moi. Je pourrais revoir Loïc pendant un bon moment. Le jour venu, j'ai attendu avec impatience que la cloche de l'entrée sonne. Enfin il était là ! J'avais envie de lui sauter dans les bras mais la présence de ses parents et de son petit frère Martin m'a intimidé. Les adultes se sont salués et congratulés puis tout le monde est sorti dans le jardin. Loïc se tenait près de moi mais n'avait aucune démonstration d'affection. Ca m'a terriblement déçu. Agé de 15 ans, Martin était tout le contraire de son grand frère, mince, frêle et un peu prétentieux, il semblait bouder. Le repas à peine terminé, Martin a argué de "plein de devoirs chiants" pour demander à ses parents l'autorisation de retourner dans sa chambre. Pour Loïc, ça a été comme un signal. Il m'a demandé à revoir mes maquettes et nous sommes montés dans ma chambre. Mon c?ur battait à se rompre, j'avais retrouvé celui qui m'avait accompagné chez le médecin. Avec mes 7 ans, il m'était impossible de définir ce qui me procurait une telle émotion chez Loïc. Sa seule présence me mettait en émoi et sa proximité accélérait mon rythme cardiaque. Il n'a pas pris le temps de regarder mes maquettes. Loïc est allé à la fenêtre d'où on pouvait voir la table des parents dans le jardin puis il m'a attiré à lui et m'a pressé contre lui. Je sentais son odeur et sa chaleur m'enveloppait. J'ai entouré sa taille de mes bras et suis resté collé contre lui. Il respirait fortement. En peu de temps, sa bite s'est mise à grossir. Elle enflait contre mon ventre plaquée contre sa braguette. - Tu veux me faire plaisir, demanda-t-il d'une voix rauque. - Bien sûr. - Tu ne diras jamais rien à personne ? - Euh? non? pourquoi ? - C'est un secret entre toi et moi. - Oui mais c'est quoi ? Ces précautions me faisaient comprendre instinctivement que Loïc et moi allions faire quelque chose de répréhensible. Ca m'excitait d'autant plus que le jeune homme était devenu mon idole. Il s'écarta de moi et ouvrit sa braguette tout en surveillant les parents par la fenêtre. Je tremblais de tout mon être. Avec peine il sortit une queue d'une grosseur que mon jeune âge ne pouvait pas imaginer. - Touche-la, me dit-il. Timidement j'y ai posé un doigt. - Mieux que ça, tiens-la dans ta main. Je me suis mis à bander aussi fort que lui quand j'ai pris à pleine main ce chybre dont mes doigts faisaient tout juste le tour. Loïc respirait de plus en plus fort. Il était inquiet et regardait sans cesse par la fenêtre. Brusquement il a pris ma main dans sa grosse pogne et l'a serrée en la faisant aller et venir le long de cette tige toute chaude à la peau si douce. Ca n'a duré que quelques dizaines de secondes avant qu'il ne mette son autre main en creux devant son gland devenu violet et luisant. Un liquide blanchâtre a jailli pendant que Loïc retenait son souffle. Tout de suite après il est allé dans la salle de bain et j'ai entendu l'eau couler. Quand il est revenu, Loïc avait un air inquiet. - C'était quoi ? lui ai-je demandé - Ca s'appelle jouir, répondit-il dans un souffle - Oui mais c'est quoi qui a coulé ? - Je t'expliquerai mais tu gardes notre secret, c'est promis ? - Oui Loïc, je te le promets. - On recommencera, tu veux bien ? - Quand tu veux, l'ai-je assuré d'un ton décidé. Rassuré, le garçon a pris un de mes modèles et s'est assis sur mon lit. Il l'a regardé longuement avant de me poser des questions. Je me suis approché de lui et lui ai passé la bras autour du cou pour lui répondre. Loïc s'est dégagé gentiment en m'expliquant que nous ne devrions pas nous montrer aussi proches devant nos familles. Je n'en comprenais pas bien la raison mais venant de Loïc, tout était forcément juste et vrai. Loïc me fit remarquer quelques erreurs de montage. Quelques instants après, la porte de ma chambre s'est ouverte et ma mère est entrée. Elle a dit à Loïc que ses parents partaient et ils voulaient savoir s'il comptait rester avec moi. Loïc s'est levé et m'a fait une sorte de clin d'?il en me disant : - C'est promis, je viendrai demain pour t'aider, j'ai le temps, la boucherie est fermée. Je n'ai pas compris le sens de sa phrase mais j'ai approuvé. Puis il est sorti et ma mère m'a demandé ce que nous avions fait. Sans me troubler, je lui ai dit que nous avions parlé maquettes et qu'il avait trouvé des malfaçons dans ce que j'avais assemblé. Cela a satisfait ma mère qui m'a demandé de descendre prendre congé des parents de Loïc. Comme convenu, Loïc est revenu le lendemain après-midi. Ma grand-mère l'a accueilli avec plaisir et nous sommes montés dans ma chambre. Loïc m'a demandé de sortir toutes mes maquettes et de les poser partout dans ma chambre. Une question me brûlait les lèvres et j'ai attendu d'avoir terminé pour la poser. - C'est quoi qui est sorti de ta bistouquette ? - C'est du foutre, a répondu laconiquement Loïc. - C'est quoi ? - C'est ça qui fait les bébés. Hormis le plaisir de bander, la sexualité ne m'avait encore jamais effleuré. Maintenant j'étais en plein dedans. En peu de temps, j'avais découvert que ça faisait bander Loïc de se serrer contre moi (et moi aussi !), que celle de Loïc est bien plus grosse que la mienne et enfin qu'il en fait sortir un liquide qui fait les bébés? Loïc me souriait, je devinais qu'il avait autant envie que moi de me tenir sans ses bras. Je me suis approché de lui et il m'a tenu en reculant jusqu'à la porte. Il s'y est appuyé pour me presser contre lui. J'étais aux anges, sa chaleur m'envahissait, son odeur de jeune mâle me tournait la tête, ses muscles puissants me serraient dans l'étau de ses bras. Comme la veille, sa bandaison est montée rapidement. Une grosse barre se dressait entre le haut de mon ventre et le bas du sien. Lentement Loïc m'a repoussé et a ouvert sa braguette. Il en a sorti un gourdin tendu et frémissant. Je ne pouvais plus en détacher mes yeux. - Tu aimes, me demanda-t-il ? - Elle est grosse, furent les seuls mots que je trouvais en réponse. - Montre moi la tienne. Intimidé, j'ai baissé mon short et mon slip pour lui montrer une petite queue tendue qu'il a caressé du bout de ses doigts en me faisant frémir de plaisir. - Elle est belle, avait-il dit en la prenant dans sa grosse pogne. Ses doigts sont descendus sur les deux petits ?ufs de moineaux qui me servaient de couilles. Cette caresse était sublime, elle me transportait aux anges. Jamais une main ne m'avait procuré autant de plaisir. Ma queue était devenue si raide et dure qu'elle me faisait presque mal. Loïc me caressait doucement, sa main recouvrait tout mon sexe. Il soufflait très fort. Puis il s'est mis à genoux pour regarder mon sexe de plus près. - Comme c'est beau, répétait-il en caressant mon bas-ventre lisse, tu n'as pas un seul poil. Son autre main, allait et venait sur sa bite dont je pouvais voir les veines palpiter le long de la hampe. Loïc semblait fasciné par mon sexe et le regardait avec des yeux de braise. Il passait et repassait une main sur mon sexe tendu à mort pendant que son autre main allait et venait de plus en plus vite sur le sien. Soudain il a retenu un grognement et il a lâché mon sexe pour mettre sa main en creux devant son gland tout gonflé. Comme la veille, des jets d'un liquide blanc en sont sorti. Au bout de quelques secondes, Loïc s'est relevé et m'a montré ce liquide visqueux. - Ca c'est du foutre, on dit aussi du sperme. Sent comme ça sent... J'approchai mon nez et reculai très vite tellement cette odeur, proche de celle de la javel, était forte. Loïc continuait à tenir sa main à la hauteur de mon nez et je m'en suis rapproché timidement. Je ne savais pas encore que cette odeur allait me poursuivre toute ma vie. Puis Loïc est allé à la salle de bain en me demandant de bien aérer la pièce. Quand il est revenu, il a démonté une de mes maquettes et en a étalé les pièces. Grand bien lui en a pris parce que ma grand-mère est entrée dans ma chambre pour voir ce que nous faisions. - Vous êtes bien silencieux, a-t-elle remarqué. - Je me concentre, avait marmonné Loïc. - Vous descendrez quand vous voulez pour le goûter. - Oui, merci madame, avait répondu Loïc. Bien que ça ne nous procurait que du plaisir, je devinais inconsciemment que ce que nous faisions devait être caché aux adultes. Je venais de réaliser à quel point ma relation particulière avec Loïc devait rester secrète. Quand ma grand-mère est redescendue, Loïc m'a gratifié d'un grand sourire et d'un petit bisou sur la joue. J'en ai rougi de plaisir. Nous nous sommes concentrés sur ma maquette jusqu'à l'heure du goûter. Loïc a décliné l'invitation de ma grand-mère pour rentrer chez lui en me promettant de revenir bientôt. Loïc était revenu deux ou trois fois par semaine et chaque fois, il me caressait le sexe en se masturbant. Il était devenu très dépendant de ce jeu sexuel. Moi ça me procurait un plaisir indescriptible. Je me donnais totalement à lui et le laissais faire ce qu'il voulait de moi. Seule l'anxiété d'être découverts gâchait notre plaisir. Ses visites étaient devenues normales pour ma grand-mère et mes parents. Ils étaient même contents que je m'entende avec cet adolescent qui savait si bien s'y prendre avec moi. Un jour ma grand-mère a dû aller à sa banque dans la ville voisine, elle a demandé à Loïc de me grader tout l'après-midi. C'était ce qui pouvait nous arriver de mieux ! Juste après le déjeuner, Loïc est arrivé et ma grand-mère est partie prendre le bus. Comme Loïc connaissait les horaires, nous avons attendu pendant un certain temps pour être sûrs qu'elle ne reviendrait pas. Tout joyeux, Loïc m'a demandé de me mettre nu. Malgré notre intimité, cela m'a un peu gêné mais je lui ai obéi. A peine déshabillé, j'avais déjà en érection complète. Loïc a aussi retiré ses vêtements. Il avait pris les devants car il ne portait qu'un t-shirt et un pantalon sans sous-vêtements. Son corps était couvert de petits poils aussi noirs que ses cheveux. Je me souviens que ça m'avait beaucoup impressionné. Sa bite entourée d'un buisson noir semblait encore plus grande que quand il la sortait par sa braguette et ses couilles qui pendaient bas étaient énormes par rapport aux miennes. Loïc m'a renversé sur le lit et s'est allongé près de moi. pour la première fois, je sentais son énorme queue toucher mon corps. Ca m'a donné la chair de poule. Pendant une éternité, Loïc m'a caressé, palpé, massé tout en répétant : - Tu es si beau? tu me plais? J'ignorais la portée de ces mots mais ils étaient doux à entendre. Plus Loïc me touchait, plus sa queue devenait dure. A un moment elle s'est mise à émettre des gouttes d'un liquide clair. - Ton foutre sort déjà, lui ai-je fait remarquer. - Non, c'est autre chose. - Quoi ? - C'est parce que tu m'excites. Je connaissais le terme mais dans le sens du mot agité. Loïc m'expliqua que c'est ce qui arrive quand on a un très gros plaisir au sexe. J'étais flatté de lui procurer tant de plaisir. Soudain, sans me prévenir, Loïc s'est penché vers mon ventre et a pris ma queue dans sa bouche. Un grand frisson m'a parcouru. Je me suis raidi et je l'ai laissé faire. Sa langue a couru tout autour de ma petite tige, elle est descendue sur mes couilles, est passée entre mes cuisses pour remonter sur mon ventre. Ca m'a chatouillé et j'ai ri en me tortillant. - Tu aimes ? demanda Loïc. - Oui, c'est bon. - Tu veux me le faire aussi ? Cette question a freiné mon enthousiasme. L'idée de prendre dans ma bouche cet énorme machin d'où sortait sa pisse, son foutre et ce liquide bizarre me dégoûtait un peu. Loïc a vu mon hésitation et m'a fait remarquer qu'il l'avait fait avec moi. Cette remarque et la crainte de lui déplaire a eu raison de mes réticences. Je me suis penché vers lui et j'ai regardé de près cette bite raide, dure et grosse qui palpitait au dessus de son ventre. Lentement j'ai ouvert la bouche et je l'ai refermée en aplatissant ma langue pour ne pas le toucher. Loïc a eu un profond soupir. Lentement j'ai bougé comme j'ai pu et, sans me rendre compte, ma langue a touché le chybre de Loïc. C'était doux malgré la dureté du membre, le gros gland remplissait toute ma bouche d'enfant. Loïc gémissait doucement en se passant les mains sur le visage. Maintenant je n'avais plus de répulsion et les gémissements de plaisir de Loïc m'encourageaient. A un moment donné, il a soulevé ma tête. - Arrête un moment, j'en peux plus? - C'est pas bien, m'étais-je inquiété. - Si? si? mais c'est trop bon, je veux que ça dure? Je ne comprenais pas ce qu'il entendait par là. Il m'a suggéré de lécher ses couilles, ce que j'ai fait avec un plaisir non dissimulé. Leur odeur de sueur et le goût légèrement salé sur ma langue m'excitait énormément. Ma queue plus raide que jamais battait dans le vide. A nouveau Loïc gémissait et grognait de plaisir. Lentement je suis revenu sur son membre. Il n'a rien dit, il a juste retenu son souffle. Puis tout s'est passé si vite que je n'ai pas eu le temps de réagir. Des jets chauds et épais ont jailli dans ma bouche. Loïc avait raidi tous ses muscles et râlait à pleine gorge en retenant ma tête sur son sexe. Au bord d'étouffer je n'ai pu qu'avaler précipitamment ce qui remplissait ma bouche. C'était visqueux avec un goût indescriptible. J'en ai presque eu un haut le c?ur. Lentement Loïc s'est détendu et a pris ma tête dans ses mains. Il m'a attiré vers lui et m'a dit simplement : - Merci ! Son visage était radieux et ses traits détendus. - Tu ne sais pas le plaisir que tu m'as fait ! a-t-il repris. - Ah bon, m'étais-je étonné en essuyant mes lèvres du revers de la main. Le goût de son foutre remplissait ma bouche et son odeur forte hantait mes narines. Ca ne me rebutait plus. Et même, l'idée me plaisait car j'avais reçu et absorbé quelque chose de Loïc, quelque chose de très intime qui scellait parfaitement notre secret. Loïc me caressait en me serrant dans ses bras. Je me suis abandonné sur lui et nous sommes restés un certain temps à savourer ce câlin. Puis Loïc m'a repoussé en disant qu'il fallait que nous retrouvions un aspect normal. Il m'a proposé d'aller me rincer la bouche mais j'ai refusé en disant que je voulais garder le plus longtemps possible la saveur de sa jouissance. - Je t'aime, me dit Loïc avec un grand sourire. - Moi aussi je t'aime, ai-je répondu en écho. - Maintenant on pourra faire beaucoup de choses ensemble. - Tout ce que tu veux, l'ai-je rassuré. A son retour, ma grand-mère nous a trouvé affairés autour d'une nouvelle maquette et nous a offert un délicieux goûter qui a définitivement ôté de ma bouche le goût du plaisir de Loïc. Nous avons trouvé plein d'astuces pour nous isoler et nous procurer mutuellement du plaisir. Je ne jouissais pas encore dans le sens éjaculatoire du terme mais l'extase que me procurait Loïc en s'occupant de moi était tout aussi intense. Notre complicité sexuelle n'a rien perdu de son intensité avec le temps, nos familles étaient devenues amies et ne voyaient aucun inconvénient à notre entente, au contraire, ils favorisaient nos moments d'intimité sans se douter un instant de ce que nous en faisions. Quand il a eu 22 ans, Loïc a trouvé un travail dans une ville éloignée. Il est venu de moins en moins souvent rendre visite à ses parents. Nous nous sommes écrits pendant quelques temps, puis notre relation s'est éteinte, sans amertume, ni regrets. Depuis ce temps je garde dans mon c?ur toute ma reconnaissance à cet adolescent qui, il y a quarante ans, m'a fait découvrir le plaisir du corps et qui m'a permis de m'épanouir dans ma sexualité.