Date: Mon, 6 Dec 2010 22:45:36 +0100 From: exesxes Subject: Robert et Brutus (French) DISCLAIMER: This story is a work of fiction and contains descriptions of explicit sexual acts of boy having sex with an adult and also with a dog. It contains graphic scenes of sex between an underage boy and an adult male as well as with an animal...If this type of content offends you or you are under the age of 18 do not read it. If it is illegal to read such material where you live or if you find the topic distasteful the please leave now. This story is the property of the author. It can be downloaded for personal reading pleasure or sending to friends, but if you wish to repost them at your own site, please contact the author for permission. If you enjoy the story or if it evokes memories of your own, please let me know. exes@cledro.net Robert et Brutus A 16 ans, je suis pensionnaire et, en tant que fils unique, je reviens travailler à la ferme avec mon père pendant les vacances d'été. Le premier jour, à table mon père me dit qu'il y a trois mois il a engagé un aide-fermier dont il est satisfait et qu'il souhaite le garder longtemps. - Tu vas voir l'Robert, y s'en vient manger à table avec nous. La porte s'ouvre et Robert entre. La trentaine, jeans, bottes, des biceps à faire péter sa chemise. Je suis impressionné. Après s'être lavé les mains, il vient s'asseoir à coté de moi. Il sent la sueur, la vache et le foin. - Comment ça va, fiston ? Je suis insulté, je mesure 1m77 pour 75kg, je ne suis pas si fiston que ça. Il parle avec mon père de l'ouvrage à faire. Puis nous avons mangé le reste du repas en silence. Quand il a fini, Robert dit qu'il y a une vache à passer au taureau. - Moi j'dois aller en ville. Fred va t'filer un coup d'main. Avant de se lever de table mon père me dit qu'il a acheté une paire de bottes neuves pour moi. Je monte dans ma chambre pour me changer et redescend mettre mes bottes. Robert m'attend dehors avec Brutus le gros beauceron de mes parents. Nous sommes allés jusqu'a la grange en silence. J'observe Robert. Il est bâti... des épaules larges, des cuisses puissantes. Nous sommes entrés dans l'étable. - Hé Fred, t'aimerais en avoir une paire comme l'taureau ? Il part d'un éclat de rire. Je suis gêné. Robert continue : - L'taureau va être content. Y va fourrer un bon coup ! Je regarde Robert faire les préparatifs pendant que Brutus nous tourne autour et nous regarde travailler. Le gars me dit alors: - Passer une vache au taureau ça m'fait bander et l'Brutus aussi, tu vas voir ça... Il dit vrai, à voir la bosse dans ses jeans. Ça commence à me travailler à force de l'entendre parler crûment comme ça. Avant la pension, des fois quand j'allais à l'étable, je me branlais. Une fois avec un copain on s'était branlé et on avait juté sur nos bottes. J'avais aimé ça. Il sort le taureau de l'enclos et l'amène lentement. Brutus l'accompagne en remuant la queue. La bosse dans le jeans de Robert a encore grossi. Je tiens la vache dans le box et plus le taureau approche plus il est difficile à contrôler. Il renifle la vache et la monte d'une trait. Un grand coup de queue et c'est fini. Machinalement je regarde Brutus, il se lèche son gros pénis entièrement sorti. Maintenant je sens que je bande aussi. Robert ramène le taureau dans son enclos. Je m'apprête à partir quand Robert me dit: - Fiston tu bandes.... Sors ta queue on va s'branler... Sans ouvrir sa ceinture, il sort la sienne. Je suis impressionné par sa belle tige - Sors la tienne Fred ! Je ne veux pas. Il s'approche. Intimidé par ce gaillard si attirant je n'ose pas bouger. Il dégrafe mon jean, fait sauter les boutons et sort ma queue toute raide qui frissonne au contact de sa grosse main. - Branle-moi, fiston. Brutus nous regarde pendant que son gros pénis bat la mesure. - Y voudrais aussi une femelle l'pauvre mais y en a pas dans l'coin. Je prends son chybre brûlant en main et commence un va et vient. Brutus reste assis, son gros pénis rose encore sorti. Robert devient de plus en plus excité et il se met à me triturer la queue. - Suce-moi, Fred. Je ne veux pas mais il me pend la tête derrière la nuque et la baisse jusqu'à sa teub. Il me la fourre dans la bouche. Un petit goût de salé se répand sur ma langue. C'est bon. Robert soupire de plus en plus fort et sa morve de queue est plus abondante. Je sens qu'il est proche de venir et je ne veux pas l'avaler. - Suce plus fort ! Merde ! Il me tient la tête et commence à venir. Son sperme chaud se répand dans ma bouche. Il grogne et soupire. Il me force à tout avaler jusqu'à la dernière goutte. Je vais pour me branler quand il me dit d'enlever complètement mon jean et de remettre mes bottes. Je suis nu comme un ver et je bande dur. Robert, lui, n'a pas débandé. Il entasse quelques bottes de foin et pose une bâche par-dessus. - Penche toi sur là d'ssus. Il plonge ses gros doigts dans la boîte de graisse à traire et il commence à me fouiller le cul. Je sens une douce chaleur m'envahir et je ne peux m'empêcher de m'ouvrir de plus en plus. - Fiston, t'es prêt à t'faire monter. Il crache sur ses doigts et se lubrifie la bite. Il appuie son gland sur mon anus et lentement sa queue se fraie un chemin. Je veux me dégager mais je suis tenu comme dans un étau par ses deux mains puissantes. Il commence ses va et vient et je sens sa queue me labourer le cul. Une vague de plaisir monte lentement. Brutus s'est déplacé pour nous mieux nous regarder. Son gros nœud est de nouveau complètement dehors et tendu. - Ouaih l'chien tu vois, moi j'ai trouvé des fesses à bourrer... mais toi y t'restera plus qu'à t'la sucer... Je me rends compte que c'est la première fois que je me fais sauter et que j'aime ça. Robert me tient fermement et ses coups deviennent de plus en plus puissants. Son ventre fait des grands "flop-flop" en frappant mes fesses. J'en veux. Je me pogne. Ma queue bave de plus en plus. Je suis proche de venir. Sans que je puisse me contrôler, je m'entends dire : - Oui ! Mets-la moi à fond ! Et en disant ça je décharge à grands coups. Je suis devenu une bête. Je râle de plaisir en me faisant défoncer par une brute. Quand j'ai fini, Robert sort sa queue pour m'asperger les fesses et le dos d'une décharge aussi abondante que la première fois. Après une bonne douche, je me couche. Le lendemain matin durant la traite. Robert me dit avec un sourire en coin qu'il y a une autre vache à passer au taureau... Toute la matinée, je me sens bizarre, à la fois heureux et impatient de ce qui va arriver et anxieux du fait que j'y prends du plaisir. Heureusement les travaux de la ferme m'occupent l'esprit et m'empêchent de me faire du cinéma. Le midi, après le repas, Robert me fait signe de le rejoindre. Pendant que je sors de la maison j'entend ma mère dire à mon père qu'elle aimerait qu'il la conduise ne ville pour faire quelques courses. Voilà qui va nous laisser le champ libre. Robert a déjà préparé le box pour la vache lorsque je le rejoins. - T'as pas l'air bien dans ton assiette, fiston, me dit-il d'un air narquois. Brutus qui est à ses côtés semble se réjouir de ce qui va se passer. Mon père vient nous dire qu'il va en ville avec ma mère pour l'après-midi. D'une même voix, Robert et moi leur souhaitons bonne route. A peine la voiture partie, Robert amène la vache. Pendant que je l'attache, il revient avec le taureau. Sa braguette est déjà gonflée. - Crac... crac... y vont faire ça plus vite qu'nous ! Une grosse barre soulève sa braguette et moi je sens une gêne dans mon slip tant ma bite est gonflée. Comme la dernière fois, Brutus regarde la saillie avec son pénis à demi sorti. C'est à croire qu'il se rend compte de ce qui se passe et qu'il y prend plaisir. Une fois les animaux remis dans leur étable, Robert revient en sifflotant. Il a déjà ouvert sa braguette pour donner de l'espace à sa grosse bite. En un tournemain nous remettons les bottes de foin comme la veille. - Fout toi direct à poil, Fred ! lance Robert, ça nous f'ra gagner du temps. N'écoutant que mon plaisir je lui obéis. Une fois à genoux sur la bâche, Robert vient à moi avec son chybre et ses grosses couilles sortis par la braguette ouverte pour que je le suce. Il n'a pas besoin de stimulation pour l'avoir dur comme du bois et il me dit. - Vas y fiston, mouille la moi bien... Rageusement il me bourre la gorge avec son mandrin pendant que Brutus jappe de plaisir à côté de nous. Ce chien est vraiment spécial. Robert m'enfonce son vit jusque dans la gorge, ce qui me fait suffoquer et tousser. Pendant que je reprends mon souffle, Robert va s'enduire les doigts de graisse et revient à moi. - Fous-toi en place que j'te monte comme l'taureau. A genoux, le ventre posé sur une botte surélevée, je sens Robert me passer ses gros doigts calleux sur l'anus. L'un d'eux me pénètre pour me graisser le boyau. Sa peau rugueuse mais bien graissée me titille l'anus. Puis il s'écarte pour se lubrifier le chybre. Soudain je sens un poids se jeter sur mes reins et j'entends l'haleine de Brutus dans mon dos. Ni Robert, ni moi n'avons le temps de réagir. Le gland humide du chien me tamponne les fesses en les arrosant de petits jets chauds. - Ben... qu'est-c'tu fais l'chien ? Lance Robert. - Il trouve pas l'trou, dis-je en riant. Robert s'agenouille et guide le gros dard de Brutus dans mon anus. Il me pénètre d'un coup. A côté de la bite de Robert, le pénis de Brutus ne me fait pas mal mais il va et vient bien plus vite que le gars. Peu à peu les mouvements se ralentissent mais par contre je sens le vit de Brutus devenir de plus en plus gros. Le chien cherche à se pousser le plus profondément possible en me serrant fort la taille avec ses pattes de devant. Robert s'est mis devant ma tête en m'ordonnant : - Suce moi, Fred, pendant que l'chien t'baise. Putain, ça m'fout une d'ces triques ! D'office il me plante son chybre dur dans la bouche et il le fait aller lentement mais profondément dans ma bouche. Je sens Brutus bouger de moins en moins vite. Son vit me distend l'anus et la pression que ça exerce sur ma prostate m'excite terriblement. - Putain qu'c'est chaud... putain qu'ça m'excite ! répète Robert sans cesse. Ma queue est tendue au maximum et je sens quelque chose couler lentement de mon gland. Je suis tellement excité que je dégage une de mes mains pour me branler. - Te touche pas fiston ! ordonne Robert. Reste excité pour moi... Brutus est maintenant immobile. Son pénis me distend l'anus et me fait presque mal. Je le sens bouger doucement en s'allongeant dans mon boyau. Il halète calmement dans mon dos et quelques gouttes de bave viennent s'écraser sur ma peau nue. - Il est en train de t'remplir d'son jus, me dis Robert en allant et venant très lentement dans ma bouche. Y va t'en mettre plein l'fion. Brutus reste sur mon dos pendant un long moment puis je le sens se remuer. Son pénis sur-gonflé me fait mal quand il tire dessus mais en même temps il me presse sur la prostate et fait couler encore plus de bave de ma queue raide. Finalement le chien se dégage de mon dos et se place le cul contre le mien tout en restant bien fiché en moi. Robert est maintenant immobile, il regarde Brutus collé à moi. Cela dure une dizaine de minutes puis soudain Brutus sort de mon anus avec un gros bruit de sucion. Immédiatement je sens un liquide chaud me couler le long des couilles et dans l'intérieur des cuisses. Robert à bondi derrière moi et s'écrie : - Putain fiston, ça t'coule du cul comme une fontaine ! Sans crier gare, il le plante son gros mandrin dans le cul et commence à me ravager le boyau. Le massage intensif de ma prostate me rend de nouveau comme fou. En faisant de l'équilibre, je tend une main vers ma queue presque douloureuse à force de bander. Robert continue à me labourer le cul en râlant : - Putain, Fred, qu'est-c'qu'y t'a mis ! T'as l'cul plein d'sa jute... ça glisse bien... Son ventre fait des gros "flop-flop" en tamponnant mes fesses pendant que son nœud me ravage l'intestin. C'est plus que je ne peux en supporter. Après quelques minutes de cette cadence, mes couilles se vident d'un coup, à gros jets qui viennent s'écraser bruyamment sur la bâche. Robert sentant les convulsions de mon anus se bloque au plus profond de mon cul en grognant : - Putain j'peux plus ça r'tenir... Ouaiiiihhhh... A son tour il me remplir le boyau de son foutre bien gras et bien chaud. Il reste un moment planté au plus profond de moi avant de ressortir d'un coup. Mon anus en reste tout ouvert en laissant couler de longs filets blancs que Brutus vient lécher de sa grosse langue chaude. Je mets un certain temps à pouvoir me redresser. Mon anus est douloureux, mes genoux me font mal malgré le foin et je sents les griffures de Brutus sur mes côtés. Robert, lui, a déjà remis sa bite dans sa braguette et nous regarde. - Ben mon gars, t'en, a pris plein l'cul c'tte fois... Va vider tout ça et t'laver avant l'retour d'tes vieux. Lorsque je suis revenu de la salle de bain avec une démarche de canard, mes parents étaient de retour avec plein de courses. Pendant que nous rentrions toutes les provisions, ils nous annoncent qu'étant donné que Robert et moi nous nous entendons si bien, ils ont décidé de prendre quelques jours de repos en nous laissant garder la ferme. Je vois le regard de Robert briller. Quand mes parents sont rentrés, il me dit tout de go : - Putain, fiston, j'vais vachement m'éclater avec toi et l'Brutus aussi... Effectivement, cette année je vais passer des sacré bonnes vacances !