Date: Fri, 20 Jun 2014 19:14:53 +0100 From: Adelard Dore Subject: Big Apple 14 Big Apple 14 Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html Porto Rico, My Heart Devotion (titre extrait de West Side Story) J'étais encore sous le choc de ma dernière rencontre avec Andrew (Docteur Svihovic) quand le répartiteur me téléphona pour me proposer un autre candidat qui avait besoin d'écoute et d'une relation d'aide. Le répartiteur avait reçu d'excellents commentaires appréciatifs de mes interventions précédentes. Il était très satisfait de mon travail et se sentait suffisamment en confiance maintenant pour me proposer un client plus potentiellement susceptible de se retrouver en prison s'il ne mettait pas un terme rapidement à ses pratiques. C'était une sorte de pédophile (mais il aimait les ados, pas les enfants) qui s'appelait Mark Spencer. Il habitait Manhattan dans cette partie de l'East Village que les New-yorkais appellent Alphabet City parce que le nom des avenues suit les premières lettres de l'alphabet : Avenue A, Avenue B, Avenue C et D. Ce quartier, comme c'est aussi le cas pour East Harlem, est habité par de nombreuses familles portoricaines. Notre Mark adorait le physique des jeunes garçons portoricains à la peau beurre, mi noirs, mi blancs, mulâtres en somme, toujours très sensuels et sexualisant constamment et partout leur présence au monde. Un ami m'avait déjà dit que ces garçons portoricains étaient souvent des `pénis sur deux pattes'. Cette expression disait tout. Mark vivait au milieu d'eux. Il les rencontrait partout : au café du coin, au laundry (laverie), à l'épicerie, au gymnase de la 3è Rue et dans les squares environnants comme devant l'église qui portait son prénom : Saint Mark in the Bowery. Lorsqu'il traînait dans les boutiques de West 8th Street ou fréquentait les billards de Lafayette Avenue, notre Mark les voyait et les rencontrait partout ces beaux garçons. À 16 ans, ils avaient souvent l'air d'en avoir 18 ou 20 tellement leur corps était harmonieusement et singulièrement bien développé. A fortiori, quand ils avaient 13 ou 14 ans, ils paraissaient souvent en avoir 16; et c'était justement à cet âge que Mark les aimait le mieux. Ils traînaient les rues du matin au soir, même tard dans la nuit, faisant glisser leurs baskets usées, naturellement ou artificiellement pour le style, sur les pavés de Manhattan tout en se réchauffant, durant l'hiver, sur les grilles du métro d'où s'échappe toujours une sorte de vapeur grise à l'odeur de cave. Ils parlaient fort, se tenaient souvent en groupe comme s'ils tenaient à faire valoir la largeur de leurs culottes de `rappers' à taille très basse dont la fourche descendait parfois sous la hauteur des genoux. Ils portaient aussi presque tout le temps, soit un long coupe-vent aux manches démesurément longues ( en hiver)ou un t-shirt sale avec une inscription moralement douteuse ( en été), toujours trop long qui leur cachait aussi bien les fesses que la bosse, sans doute souvent gonflée, qu'ils devaient arborer dans leur pantalon taillé pour des géants ou des extra-terrestres. Mais c'était précisément cette allure et ces vêtements trop amples qui ne laissaient rien voir qui rendaient Mark complètement dingue. Il était prêt à tout, ou presque, pour aller voir ce qui se cachait là-dessous, malgré les grands risques que cela comportait. Il s'était déjà mis dans de mauvais draps à plusieurs reprises. Je m'étais figuré un homme gras et plutôt âgé, quand on m'avait parlé de Mark. Je fus tout à fait renversé de voir la porte s'ouvrir sur tout le contraire. Il paraissait environ 30 ans (il en avait 34). Il était assez grand, filiforme, mais musclé et solide. Il avait la mâchoire saillante et forte, très masculin de complexion générale, avec un duvet noir en guise de barbe qui attestait moins de sa négligence que de son désir d'afficher un certain genre, à la fois décontracté et loubard, tout pour être accepté de ses `victimes' et tout aussi pour devenir la leur. La première rencontre eut lieu chez lui. Il habitait First Street entre l'Avenue A et l'Avenue B. En entrant, ou peu après, il m'offrit une bière pour créer un cadre favorable à notre conversation. Tout de suite, je me suis rendu compte que j'avais changé de quartier. Le thé de Greenwich Village avait été remplacé par la bière de Lower East Side. Mais c'était sympathique et il était charmant. Il me semblait aussi très généreux. Il n'osait pas amorcer le véritable sujet de conversation et attendait un mouvement de ma part. Je ne fus pas long à dire : « Je suis tout à fait au courant des difficultés que vous causent vos désirs et que, malgré vos efforts, vous n'arrivez pas à vous contrôler. Êtes-vous prêt à m'en parler maintenant?» C'était tout ce qu'il attendait pour commencer son récit. ... Quand il était arrivé dans le quartier, il y avait déjà presque trois ans, il avait remarqué une impressionnante quantité de beaux garçons portoricains. Il avoua sans peine, un peu plus tard, qu'il était d'ailleurs venu chercher un logement dans ce quartier précisément parce qu'il savait que c'était le coin où il en trouverait beaucoup de ces jeunes portoricains. Il était poussé par un fort désir de les séduire et de les découvrir sexuellement. Dès les premières semaines qui suivirent son installation sur First Street, Mark avait donc commencé à parcourir le quartier à la recherche de beaux garçons. Un après-midi, dans un centre d'amusement de West 8th Street, il s'approcha d'un billard électrique où jouaient deux beaux jeunes portoricains. Il les observa quelque temps et leur offrit de leur payer quelques parties supplémentaires. Ils devinrent très vite copains pour la vie. Il les invita ensuite à boire une eau gazeuse dans un 7UP puis à venir fumer un petit joint de marihuana à son appartement. Les garçons croyaient rêver. Ils s'étaient fait un ami compréhensif et généreux. Arrivés chez Mark, les garçons enlevèrent leurs baskets et s'installèrent sur le canapé comme s'ils avaient une longue habitude de la maison. Quand l'effet du petit joint commença à se faire sentir et que chacun ressentit à la fois une bonne poussée d'hilarité et un titillement dans les couilles, effet fréquemment produit par le `pot', Mark leur proposa une vidéo XXX. Ils acceptèrent avec empressement se sentant enfin traités en adultes par un autre adulte. La cassette était ultra cochonne. Elle montrait deux amis racolant une pute dans la rue et la prenant l'un par le vagin et l'autre par le cul. Puis, assez rapidement au cours de l'exercice, la fille trouve le moyen d'amener les deux gars à se sucer. Puis pendant que l'un la pénètre, l'autre pénètre son copain. Les garçons étaient silencieux et complètement médusés. Ils bandaient sans doute très fortement dans leur froc trop grand. Mark les regardait et attendait le bon moment tout en ajustant sa queue dans son pantalon de manière à ce que les garçons n'aient aucun doute sur ce qu'il faisait. Puis, soudain, tout en détachant bruyamment sa ceinture et en baissant énergiquement sa fermeture éclair, il lança : « I don't know about you, boys, but these flicks are good for only one thing. I have to jerk off. (Je ne sais pas pour vous, les garçons, mais ce genre de film ne sert qu'à une seule chose. Il faut que je me branle).» Les garçons ouvrirent grand les yeux. Ils allaient, en plus de tous les avantages déjà accumulés durant cette rencontre, avoir la chance de voir la queue toute bandée de leur nouveau copain adulte, beau en plus, et pouvoir même assister à sa branlette. C'était le gros lot au Loto. Le pantalon et le slip aux chevilles, la queue bien en vue et tendue en direction des garçons, affaissé dans le fauteuil à côté du canapé, Mark se branlait mais le regard non pas sur l'écran télé mais en direction du canapé. Après deux ou trois minutes seulement, le temps pour les garçons de vraiment se faire à l'idée de ce qui leur arrivait, il ajouta : « Vous n'allez pas me laisser me branler tout seul. Allez! Vous m'accompagnez, non?» L'un des deux, Rico, le plus grand mais aussi le plus sexé, regarda son copain et dit : « Moi non plus, je n'en puis plus. Faut que je me branle! » Et les culottes trop vastes et le boxer furent rejetées sur les chevilles. Il empoigna son gros pénis de la main gauche et la branle commença. Ricardo, le plus petit, mais non le moindre, car il avait une gueule de rêve pour sucer, finit par suivre les deux autres et laissa glisser lentement à ses chevilles et son pantalon et son boxer. Sa queue, malgré le fait qu'il était plus petit que son copain, était encore plus longue, plus large et semblait aussi plus juteuse. Elle dégoulinait. Nos compères se branlèrent un bon cinq minutes quand Mark s'aperçut que la jouissance des garçons n'était plus très loin. Il hésita entre prendre tout son plaisir maintenant et risquer de les faire fuir par la peur, ou poursuivre simplement la branlette pour cette fois-ci et espérer les revoir pour d'autres fantaisies quand ils seraient plus à l'aise avec lui. Il décida finalement d'attendre. Il leur donna toutefois tout un show en se branlant de plusieurs façons et en mettant à l'occasion un doigt dans son cul. Les garçons étaient époustouflés et ne regardaient plus la télé mais le spectacle Live qu'ils avaient devant les yeux. C'était bon signe et cela confirma Mark dans sa résolution d'avoir attendu pour ne pas les effaroucher. Rico qui avait le tempérament plus audacieux et plus entreprenant que Ricardo s'aventura aussi à mettre un doigt dans son cul et à le caresser. Mark ne doutait pas qu'il y trouvât son plaisir à l'entendre gémir et dire combien cela était bon. Il exprimait sa satisfaction par des «wow! » suivis de nombreux : « Ahhhh! Fuck!» Ricardo était plus craintif de toucher à son cul devant des spectateurs. Mais il se palpait la poche et jouait avec ses couilles presque avec indécence. Il les soupesait, les caressait, les étirait et sentait l'intérieur de la main qui les avait manipulées. À ce rythme et compte tenu du jeune âge de ses partenaires, Mark comprit qu'ils ne tiendraient pas très longtemps. Il se leva, vint se placer droit devant eux, plia un peu les genoux pour garder l'accès de sa main à son cul et poursuivit sa branlette en les regardant dans les yeux. Les garçons atteignaient un point de non retour devant la position lubrique de Mark, situation que trois heures plus tôt, ils n'auraient pas pu imaginer. Presque en même temps, ils lâchèrent un grand cri et jutèrent partout devant eux et sur eux. Des giclées atterrirent également sur le ventre de Mark qui ne se gêna pas pour leur lancer sa purée sur la poitrine et même un peu sur la figure. Les garçons n'évitèrent même pas l'éclaboussure. Cela réconforta Mark qui leur sourit tout en bouffant devant eux le maximum de jus qu'il put récupérer tant de sa propre production que de celle des garçons ravis de voir un adulte blanc déguster leur crème portoricaine. Ils se remirent de leurs émotions respectives, burent un coca, causèrent encore un peu et, finalement, décidèrent de partir en se jurant de se revoir le lendemain en après-midi vers 14 heures chez Mark. Ce dernier espérait seulement qu'on ne lui fausserait pas compagnie, la nuit étant susceptible de raviver la culpabilité voire la honte. Mais le lendemain, un peu même avant l'heure convenue, Rico et Ricardo étaient au rendez-vous. Mark était content de ne pas les avoir poussés trop vite. Mais, en bons portoricains, non seulement n'avaient-ils pas paniqué de leur aventure, ils en voulaient une autre et entrèrent chez Mark avec cet air revendicateur qu'on perçoit souvent chez les ados, mais affichant, en plus, la sensualité des Portoricains toujours à fleur de peau. Une forte odeur de phéromone se dégageait de leur corps, à moins qu'il ne s'agisse d'un manque d'hygiène, l'un ajoutant souvent à l'autre le nécessaire pour provoquer la séduction. Mark leur proposa une sortie. Il voulait les amener à Coney Island ou dans les nouvelles arcades de la 125è Rue à Harlem. Mais les garçons semblaient préférer le canapé et la télé. Rico, le plus frondeur se permit même de dire en riant : «On pourrait regarder des films, tu en as de très bons, je crois. Plus tard, on pourra toujours aller sur Harlem ou à Times Square.» Mark comprit le message. Les garçons étaient encore super excités de leur expérience de la veille et ils voulaient s'assurer d'avoir du sexe avant toute autre activité. Quand Mark leur dit qu'il avait des vidéos provenant d'un Latin Fans Jack off Club (Club de masturbation pour les amateurs de Latinos) de New York, ils étaient complètement ahuris d'apprendre que cela existait et ils voulaient tout voir et tout de suite. Dès les premières images du premier vidéo, quand un beau mâle portoricain musclé et sensuel se présenta comme membre du Club et annonça qu'il allait nous montrer pourquoi il était devenu membre du Club, les garçons se raidirent dans tous les sens du terme. Quand la caméra se braqua sur la grosse queue bandée et juteuse de leur compatriote, les garçons se donnèrent des coups de coude d'autant plus hystériques qu'ils reconnaissaient là un ami du grand frère de Rico. «Wow! Pas possible! Unthinkable! (Impensable)» criait Rico comme un possédé. Mais oui! C'est Juan! Too much! (C'en est trop!).» Puis, tout à coup, il se referma et ajouta : «Et si mon frère était le prochain à se branler?» Ricardo dit : « Deux de mes frères se tiennent avec le tien. Je vais peut-être les voir aussi.» Ils étaient livides et terriblement excités. Juan termina très vite son boniment et entreprit une superbe branlette devant la caméra. Il montrait avec ostentation et satisfaction, le gros morceau de queue bandée qui se dressait entre ses jambes et le masturbait avec un plaisir, pour ne pas dire une passion évidente. On sentait qu'il adorait se branler devant des spectateurs. Les deux garçons avaient les yeux rivés sur l'écran et la bouche ouverte d'incrédulité et d'excitation. Il fallait que Mark profite de cette imprévisible situation. «Tu ne vas pas regarder le show de l'ami de ton frère, Rico, sans rien faire. Il faut l'accompagner. Même si ce n'est pas le copain de mon frère, je ne le laisserai pas s'amuser tout seul.» Ricardo jeta un coup d'œil sur Mark qui se déshabillait et qui, cette fois-ci, enlevait tous ses vêtements. Il le suivit presque automatiquement. Quant à Rico, il était toujours sous le choc d'avoir reconnu Juan, l'ami de son frère. Mais, détournant légèrement la tête, comme attiré par le bruit et le mouvement des vêtements qui tombaient par terre, il décida de suivre la conduite générale et se déshabilla également complètement. Nus, les deux garçons se rassirent soit sur le canapé et Mark sur le fauteuil. Ensembles, ils entreprirent une solide et vigilante masturbation, les yeux fixés sur le Juan de l'écran. «Ce qu'il a une belle queue, n'est-ce pas Ricardo! s'exclama Rico. J'aimerais bien en avoir une comme ça.» «Moi aussi, ajouta Ricardo.» « Mais elles ne sont pas mal du tout vos bites les amis, répliqua Mark. Je les mangerais avec beaucoup de plaisir.» Les deux garçons se regardèrent comme pour prendre une décision commune et Rico se retourna ensuite vers Mark pour lui dire : «Tu es notre invité. Tu te sers comme tu veux.» C'est exactement ce que Mark voulait entendre. Il se leva et vint se placer entre les jambes de Rico d'abord, plongea sa face dans son giron et attrapa sa queue avec sa gueule toute ouverte et baveuse. Rico trouva la sensation délicieuse et le démontra par un long gémissement appréciatif. Mark remonta lentement toute la hampe de sa belle machette avec sa langue juteuse et râpeuse dégustant chaque centimètre de ce beau portoricain qu'il rêvait de découvrir complètement depuis qu'il l'avait connu, c'est-à-dire la veille. L'intérêt de Ricardo allait de l'écran à la scène qui se déroulait tout à côté de lui. Il se branlait avec frénésie laissant lui aussi échapper des plaintes qui ne semblaient pas provenir d'une douleur mais de son contraire. Après plusieurs minutes à parcourir la queue de Rico, Mark changea de côté et s'attaqua à celle de Ricardo lequel manifesta sa reconnaissance par un sourire qui voulait dire : enfin! Ne voulant pas provoquer de jalousie entre les deux amis, Mark accorda autant de temps et d'attention au morceau de choix que lui offrait Ricardo. Et, histoire de lui donner aussi un service prioritaire, il osa aller plus loin. Sur l'écran vidéo, Juan avait joui comme un volcan. Son sperme avait glissé le long de sa main et de son avant-bras comme une coulée de lave après une importante éruption. Il était maintenant remplacé par deux autres portoricains qui, revenant d'une promenade tardive et infructueuse dans New York (ils n'avaient ramassé aucune fille), décident de se branler ensemble, l'un à côté de l'autre et découvrent tout à coup qu'ils peuvent ainsi avoir autant de plaisir qu'avec une fille. Il fallut peu de temps avant qu'ils ne passent à un stimulant 69 et que l'un n'en vienne à enculer l'autre. Les deux garçons fixaient de nouveau l'écran et jetaient, à l'occasion, un regard sur la situation dans la pièce où ils se trouvaient. La combinaison du virtuel et du réel présentait un mélange incroyablement puissant qu'ils goûtaient pour la première fois. Mark profita de ce temps fort pour relever les jambes de Ricardo et pour aller sentir et lécher l'arrière de son sac de couilles. Malgré sa surprise, le garçon ne résistait pas. Il regardait même son compagnon pour lui signifier que la sensation était délicieuse. Peut-être jaloux, Rico qui regardait la scène, s'écria en direction de Mark: « WOW! Super! Est-ce que tu vas lui lécher le cul aussi ? Je veux voir ça.» Et il vint placer sa tête directement à côté de celle de Mark à 10 centimètres du cul de son meilleur ami. Les odeurs personnelles de Ricardo emplirent le nez de Rico comme elles inondaient déjà depuis un moment celui de Mark. C'est Rico qui témoigna le premier de son plaisir à la satisfaction de Mark qui ne se sentait plus alors obligé de toujours prendre l'initiative. «WOW! Il sent bon ton cul, Ricardo! C'est bandant!» Puis, regardant dans la direction de Mark. «Tu devrais le lécher. Ça m'a l'air bon...et puis ce serait super cochon. Vas-y Mark, lèche le cul de Ricardo.» Cette invitation fut suivie d'une réponse instantanée. Mark plongea la face dans la craque de Ricardo et la langue dans son trou. Ça goûtait le super adolescent, le vrai petit mâle un peu négligé mais propre et qui passe ses journées et ses nuits à ne penser qu'au sexe. Mark serait resté là une éternité sans l'envie de Rico qui voulait, lui aussi, expérimenter cela, surtout que les gémissements de son copain, depuis le début du léchage, laissaient présumer d'une sensation particulièrement agréable et intense. La déception de Mark en quittant le cul de Ricardo fut compensée par la merveille qu'était celui de Rico (celui-ci était d'ailleurs son préféré). Avec le cul de Rico dans la face et la tête de Ricardo (les garçons avaient changé de place) à côté de la sienne, Mark passait, mais pour son plus grand bonheur, de Charybde en Scylla. Les garçons s'habituaient très vite à leurs nouveaux jeux. Ils y prenaient un intense plaisir, d'autant plus intense qu'ils suscitaient moins de culpabilité depuis qu'ils avaient vu l'ami du frère de Rico se masturber sur vidéo et qu'ils voyaient maintenant deux portoricains comme eux se sucer et s'enculer. Cela devait donc être assez normal puisqu'ils le voyaient sur vidéo. Étrange pouvoir de conviction des média technologiques! Ils se sentaient donc prêts pour bien des jeux qu'ils avaient jusqu'à présent considérés comme interdits. C'est ainsi que Rico ne résista pas à la tentation quand Mark lui dit que ce serait excitant s'il enculait son copain Ricardo. Ricardo rechigna d'abord un bon moment ne comprenant pas qu'il doive être le soumis alors que sa nature et sa culture de Portoricain le préparait davantage à être le dominant. Mais quand il comprit que chacun serait le «bottom» de l'autre à tour de rôle, il se laissa convaincre plus facilement. Ricardo se plaça donc au milieu du tapis, le cul en l'air, disponible au bon plaisir de son copain. Rico, fier comme un paon, la queue déployée comme un panache, prit sa place derrière Ricardo. À la proposition de Mark de préparer gentiment son copain en lui léchant le cul convenablement, il eut un certain recul. Ça le dégoûtait un peu. Mais quand Mark suggéra alors à Rico de le remplacer à cet exercice tout en lui disant bien tout ce qu'il perdrait de plaisir, il changea d'avis. Ricardo se mit à râler de plaisir en entendant les bruits de langue de son bon ami sur son trou. Quand Mark jugea que Ricardo était maintenant prêt, il invita Rico à faire son chemin dans son copain, mais tout doucement, afin que la douleur ne vienne pas décourager à jamais les deux garçons. Tout se passa très bien. Chacun «suait, soufflait, était rendu» pour pasticher une fable de La Fontaine. Au milieu de leur performance, Mark se glissa derrière Rico et lui lécha le cul pour le préparer à le recevoir. Puis, lentement, il glissa sa queue dans le garçon qui résista d'abord un moment, puis, de guerre lasse, se résigna à se faire envahir. Mark était au sommet de ses rêves. Il enculait un jeune portoricain qui enculait son copain compatriote. Son grand fantasme enfin réalisé! Il avait vraiment bien fait de déménager dans ce quartier plein de promesses. Son excitation était si grande que, malgré le fait qu'il était plus âgé que les garçons, il jouit le premier et inonda le cul de Rico de son foutre. La sensation d'être inondé de l'intérieur acheva les résistances de Rico qui inonda lui aussi les entrailles de son copain Ricardo lequel projeta son foutre sur le vieux tapis, surpris de lui créer de nouveaux motifs. Les garçons reprirent leurs sens et s'effondrèrent sur les coussins du canapé. Sur l'écran, on annonça que le prochain numéro serait celui des frères Luis et Pedro. Ricardo pâlit. Les noms étaient loin de lui être inconnus. Mais il faillit s'étouffer quand les premières images révélèrent ses deux frères. Il ne s'était jamais douté de rien. Rico cria à tue tête : « Hé Ricardo, mais ce sont tes frères! Ce n'est pas vrai; je rêve!» Il ne rêvait pas. C'étaient bien les frères de Ricardo. Deux beaux mâles, de vrais étalons, l'un de 19 ans et l'autre de 20 ans. Ils se ressemblaient presque comme des jumeaux. Ricardo était plus différent, même si un air de famille était indiscutable. Les deux garçons ne baisaient pas entre eux mais se masturbaient ensemble, l'un à côté de l'autre, après avoir pris la gageure à savoir qui giclerait le plus loin. Rico et Ricardo étaient devenus tout à fait silencieux et fixaient l'écran. Cette journée était pleine de découvertes au-delà de toute espérance. Les choses ne seraient plus jamais les mêmes pour eux. À la fin de la performance des frères, Mark éteignit la vidéo. «Je crois que c'est assez d'émotions pour aujourd'hui, n'est-ce pas les gars? Avez-vous toujours envie d'aller faire une ballade?» « Oui! Oui!» répondirent-ils ensemble. Ils avaient besoin de prendre l'air et de parler de ce qu'ils venaient de voir et la présence de Mark leur paraissait nécessaire pour décanter tout cela. Ils décidèrent d'aller marcher sur la promenade de Brooklyn Heights et de profiter du grand air pour faire le point et se préparer à revoir pour l'un ses deux frères aînés, pour l'autre l'ami de son frère ne sachant toujours pas si son propre frère n'était pas dans la même bande de vedettes porno masculines et portoricaines. Oh lala! Quelle histoire! Ils prirent conscience tout à coup que sans Mark, ils ne se seraient peut-être jamais aperçus de rien. Ils n'auraient peut-être jamais ressenti les extraordinaires sensations physiques qu'ils avaient vécues depuis deux jours. Ils étaient conscients qu'ils avaient une dette envers lui et ils se doutaient bien de la manière dont ils pouvaient la payer. À la fin de l'après-midi, ils se quittèrent en se promettant de se revoir le lendemain soir vers 20 heures. Entretemps, ils allaient tenter d'en savoir plus sur la bande de leurs frères. Ils retraversèrent tous les trois à pied le Brooklyn Bridge et se quittèrent à Bowery Place. À suivre...Big Apple 15; Prochain épisode : Une histoire de famille Alexandre