Date: Sat, 28 Jun 2014 14:18:23 +0100 From: Adelard Dore Subject: Big Apple 17 Big Apple 17 Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles émotions grâce à toutes les histoires qui y sont racontées. Une contribution serait donc appréciée pour permettre à Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don à : http://donate.nifty.org/donate.html La soirée d'initiation Mark arriva 2è Rue une demi-heure avant l'heure prévue. Ricardo vint lui ouvrir. Il était mécontent de voir que Mark se présentait trop tôt. Il ne le laissa pas entrer. Il lui ordonna de revenir à 20 heures précises. Tout excité et extrêmement tendu, Mark décida d'aller marcher à pas rapides. Il se rendit jusqu'au petit parc devant l'église Saint-Mark-in-the-Bowery et revint d'un pas alerte vers Alphabet City. Il était moins trois minutes avant 20 heures. Il attendit jusqu'à 20 heures pile et sonna. Il ne voulait pas cette fois être accusé d'être en retard. C'est Ricardo qui revint ouvrir, vêtu cette fois encore d'une longue robe de chambre en ratine blanche qui faisait ressortir sa peau hâlée de mulâtre. Il était pieds nus. Il le fit entrer et le précéda vers une chambre à coucher vraisemblablement de garçons, la sienne peut-être, et lui ordonna de se dévêtir complètement mais en conservant son «jock strap». Il devait être pieds nus également. Ricardo assista à la scène de déshabillage et quand Mark fut nu sauf pour le «jock» qui, après deux jours d'abstinence de sexe, avait tendance à gonfler tout naturellement à la seule perspective que du sexe était en vue, Ricardo lui annonça qu'il devait lui bander les yeux et qu'il le conduirait à la salle des initiations. Mark demanda s'il était le seul initié, s'il y avait là des gens qu'il connaissait tels Rico, Felipe et les autres, si l'initiation durait longtemps...Ricardo écouta sans répondre pour dire finalement : « Si tu ne la fermes pas, tu vas te rhabiller et retourner chez toi sans jamais plus entendre parler de nous. Compris?» Mark se tut naturellement. Avant de le conduire au lieu désigné, Ricardo lui fit boire un verre d'eau sucrée mais qui semblait avoir un goût médicamenteux étrange. Il sut plus tard qu'il s'agissait d'eau sucrée effectivement mais qu'elle contenait un comprimé et demie de Viagra et une autre drogue qui multipliait les sensations. Il but anxieusement. Ricardo lui dit d'attendre une quinzaine de minutes sans enlever son bandeau. Quelqu'un viendrait les avertir du moment où ses futurs frères seraient prêts à le recevoir. Ricardo attendit avec lui pour éviter qu'il ne se sauve à cause de la peur ou lorsqu'il sentirait que l'excitation provoquée par la drogue le rendait complètement fou de désirs. Le temps d'attente écoulé, Ricardo, en le tenant par la main, lui fit parcourir un assez long couloir. Puis, il ouvrit une porte et le fit descendre dans un escalier, tout en prenant soin cependant de lui faire éviter une chute. Il le fit avancer dans une pièce dont il n'avait aucune idée de la grandeur et sentit qu'il semblait y avoir du monde. Combien de personnes ? Le cœur lui débattait très fort. Il regrettait presque de s'être laissé entraîner dans cette histoire. On le fit assoir sur une sorte de caisse en bois et on fixa ses mains derrière son dos avec des menottes. On écarta ses jambes et on fixa chacune d'elles avec des menottes de chaque côté de la soi- disant caisse en bois. Puis, il entendit une voix, la voix d'un frère de Ricardo peut-être, lui demander : «Pledge, tell us why you want to become a member of our Jack off Club? (Initié, dis-nous pourquoi tu veux devenir membre de notre Club de masturbation?) Mark était extrêmement gêné d'étaler ses fantasmes devant des gens qu'il ne voyait pas et dont il n'avait aucune idée du nombre, de l'âge ni de l'allure. Il commença par dire qu'il adorait les Portoricains et leur culture et que, depuis quelque temps, il avait expérimenté des activités sexuelles avec quelques uns et il en avait été très excité. Il savait qu'il bandait en disant ces paroles et sentait monter en lui une sensation toute nouvelle qui semblait transformer toute parole, toute respiration, toute sensation en pulsion sexuelle. « Sois plus explicite!» dit la voix. «Dis-nous ce que tu aimes le plus dans le corps des Portoricains!» La queue de Mark ne tenait plus dans le «jock»; elle poussait sur le tissu pour sortir de cette cellule. Mark se rendait bien compte qu'il offrait tout un spectacle à l'assistance. Il rougissait déjà de honte et il lui fallait en plus parler de cul. Il finit par dire qu'il aimait leur corps, naturellement et généralement musclé, la couleur de leur peau, leur façon de se déplacer, leur allure dégingandée. On lui demanda de préciser des choses sexuelles. Il finit par dire qu'il adorait leurs fesses et leur cul, la forme également «musclée» de leur queue, l'odeur de leur peau, la saveur de leur sperme. Cela parut suffire et plaire au leader (chef) de l'assemblée car il finit par dire : «Très bien!» Et il ajouta : « Tu dois nous dire maintenant clairement que tu désires entrer dans notre Club, que tu acceptes d'avance les règles de fonctionnement, que tu t'engages à garder silence sur les activités du Club et à secourir tout frère qui aurait besoin de tes services, même sexuels. Cependant, précisa-t-il, comme il s'agit d'un Jack off Club, les services exigés ne peuvent aller plus loin qu'une bonne branlette à un frère. Les autres services restent à la discrétion de chacun et ne sont pas exigés d'aucun membre. » Mark exprima clairement sa demande à la satisfaction du leader encore une fois qui termina en disant : « Au cours de ton initiation tu vas devoir apprendre à connaître intiment chacun des membres du Club. Es-tu prêt à les servir et à les laisser jouer avec ton corps. L'épreuve d'aujourd'hui risque d'être plus difficile que la vie régulière au Club. Veux-tu traverser cette épreuve?» Mark ayant répondu affirmativement à ces deux questions, il entendait la voix puissante du chef de l'initiation crier fortement : « Parrain! Enlève-lui le bandeau!» Mark comprit que c'était Ricardo qui l'avait recommandé, que c'était lui son parrain car c'est lui qui lui retira le bandeau. Mark faillit mourir de honte en se rappelant ce qu'il avait dit quand il vit le spectacle qu'il avait devant les yeux. Il était effectivement assis sur un cube de bois au fond d'un long sous-sol. À l'autre bout, une sorte de tribune soutenait deux fauteuils où trônaient vraisemblablement les deux frères de Ricardo. Et tout autour de la salle, étaient assis une bonne douzaine de Portoricains. Tous portaient, comme Ricardo, une longe robe de chambre de ratine blanche et étaient pieds nus. Il reconnut Rico, Felipe et José. Luis n'était pas là. Mais il reconnut aussi quelques «vedettes» qu'il avait déjà vues dans les vidéos pornos de Portoricains qu'il avait déjà visionnées chez lui et qu'il avait fait découvrir à Rico et à Ricardo. Ces deux là avaient vite dépassé leur maître. Ce soir, c'étaient eux les maîtres de Mark. Se voyant ainsi exposé dans son seul «jock strap» devant une assistance aussi attentive de beaux mâles en chaleur, Mark bandait. Sa queue poussait les bordures du jock pour sortir de là au plus vite. «Tu dois maintenant être exposé au regard de tes futurs frères, Pledge (Postulant) Mark! Que ton parrain te révèle à nous!» lança un des deux rois de la salle. Ricardo s'approcha de Mark avec un ciseau et coupa les bords du jock dont les élastiques cédèrent de tous côtés révélant ainsi sa queue bandée dans toute sa gloire. Ricardo arracha les lambeaux du jock et masturba lentement son «filleul» avec le pouce, l'index et le majeur pour s'assurer qu'il était bien au maximum de son érection, presque au bord de jouir. Se tournant ensuite vers le trône de ses frères, il annonça : « Maîtres! Le postulant Mark est prêt». Les «Rois» se levèrent suivis de toute l'assistance. De chaque côté de la salle, ils s'avancèrent et prirent un rang unique en direction de la caisse de bois sur laquelle Mark était « arrimé ». Lorsque le premier arriva devant le postulant, il ouvrit sa robe de chambre blanche et se montra à Mark tout nu `sous le manteau', bandé, le gland juteux et les couilles tendues. Il plaça son morceau sur la figure de Mark et dit : «Futur Frère, dans l'ordre que je te dis, tu dois sentir mon sexe, le lécher et le sucer.» Ricardo qui se tenait à côté de lui en tant que parrain ajouta : « Tu as une minute pour le sentir, deux minutes pour le lécher et deux minutes pour le sucer. Une clochette annoncera la fin de chaque étape. Tu dois être suffisamment ardent à tes trois exercices pour que ton futur frère se sente près de jouir. Mais tu ne dois pas le faire jouir.» Ce premier frère était la vedette de la vidéo que Mark avait présentée à Rico et Ricardo lors de leur première rencontre. Il n'eut donc aucune difficulté à le mener au bord de la jouissance. C'était un mâle fantastique : grand, musclé, athlétique, à la peau foncée et glabre, aux sourcils larges et épais, aux lèvres sensuelles, à la queue large et longue, presque mauve tant elle était brune et hâlée et il dégageait une incroyable odeur de poisson salé. À tour de rôle, Mark comprit que l'ordre suivait l'âge, les plus vieux se faisant servir en premier, Felipe et José furent les derniers mais non les moindre étant donné le grain que Mark avait développé pour José. Quand arriva le tour des «rois», les deux plus costaux de l'assistance soulevèrent la caisse en bois de Mark, le transportèrent au pied du trône et vinrent le déposer face contre les sexes des maîtres. Il reçut l'ordre de poursuivre avec eux ce qu'il avait fait aux autres mais dans une position très inconfortable cette fois. On le ramena ensuite au fond de la pièce. Sur l'ordre des maîtres, chacun laissa tomber sa robe de chambre blanche et la déposa sur le dos de sa chaise et, complètement nus, ils commencèrent à se masturber lentement. Le spectacle de tous ces beaux mâles se branlant à l'unisson, joint à l'effet du Viagra, poussait Mark au bord de la jouissance sans même se toucher. Il disait d'ailleurs : «Ça fait mal! Ma queue va exploser si on ne lui touche pas. Il faut que je jouisse!» Ses suppliques restaient sans réponse. Il regardait Ricardo et lui demandait de le détacher pour qu'il puisse se branler aussi. Rien ne se passait. Puis, sur l'ordre des «rois» ou des maîtres, une procession s'organisa, cette fois-ci dans le sens inverse de l'âge. José était le premier. Quand il arriva devant Mark, il se retourna, se pencha, écarta ses fesses et plaça son cul dans sa face. La consigne suivit immédiatement, donnée par Ricardo. «Tu as, encore une fois, une minute pour sentir, deux minutes pour lécher et deux minutes pour enfoncer ta langue dans le trou le plus loin possible. On doit entendre les plaintes et les gémissements des frères satisfaits de ton travail.» Le cul de José était tout un démarreur! Mark se souvenait combien il avait adoré le lécher. Il retrouva toutes les odeurs magiques qu'il n'avait pas oubliées. Il retrouvait la merveille rose et mauve entourée de jaune foncé et de brun qui lui avait fait pensé la première fois à une rivière d'or dans le Grand Canyon. La première fois, il y avait plongé son doigt. Y enfouir sa langue, c'était encore un privilège supplémentaire mais qui augmentait le supplice de Mark qui ne pouvait pas se toucher. Il sentit, lécha et pénétra de sa langue les culs de tous les assistants. Pendant ce temps, les maîtres se branlaient lentement accompagnant les frères qui revenaient de la «communion» du postulant. Quand vint leur tour, on approcha encore une fois la caisse de leur trône, mais ils descendirent toutefois de leur tribune pour venir se faire manger le cul par le novice. Quand tous eurent le trou parfaitement nettoyé par la langue de Mark, la branle collective reprit. Ensuite, ce fut Juan, l'ami du frère de Rico qui était là aussi, celui qui apparaissait sur la vidéo et que les jeunes avaient vite identifié, qui reçut, comme doyen, le privilège de se branler avec le postulant. Il s'approcha de Mark, le délia de ses liens, plaça une autre caisse de bois à un mètre environ en face de Mark et lui ordonna de se branler en lui donnant le meilleur show possible pour que l'assistance en profite. Il allait être son «dispenser» (stimulateur) et l'aider à se stimuler en se branlant lui-même devant lui. Mark n'eut pas de difficulté à donner un bon show à l'assistance. Il était complètement sous l'effet des drogues et comme envoûté par les gestes sexuels qu'il venait de poser. Sa tête bourdonnait des images et des odeurs de bites et de culs de mâles, tous plus beaux les uns que les autres et tous des fantasmes pour lui, amateur de Portoricains. En plus, il avait en prime devant lui, le mâle des mâles, la vedette d'une vidéo sur laquelle il s'était branlé tout seul des dizaines de fois. Bien qu'il regardât parfois au loin pour apprécier l'extraordinaire toile de fond qui s'offrait à lui, ses yeux ne quittaient pas Juan et sa belle queue qui se rendait lentement au sommet de sa grosseur et au bout de sa résistance à l'orgasme. Juan releva ses deux pieds et enfonça un doigt dans son cul. Mark l'imita mais il ne put se retenir longtemps devant le spectacle de son «dispenser». Lâchant un long cri presque sauvage, Mark gicla partout et quelques jets lui passèrent par-dessus la tête. Juan le suivit de quelques secondes. De partout alors des cris s'élevaient et une odeur de sperme frais envahit toute la pièce. Mark croyait que son initiation était terminée. Il n'avait franchi que la première étape. Dès que chacun eut repris à peu près ses esprits, Ricardo, le parrain de Mark, s'approcha de son pupille et lui banda les yeux de nouveau. Il lia ses mains derrière son dos encore une fois avec des menottes et le conduisit dans une petite toilette adjacente à la grande salle où ils se trouvaient tous. Ricardo demeura avec lui pour une raison bien précise. Il ne fallait pas que Mark puisse uriner même si après un tel orgasme il était naturel qu'il ait une forte envie de le faire. Il exprima d'ailleurs ce besoin à Ricardo qui répondit : « Tu n'es pas tout seul à avoir besoin d'uriner après un tel orgasme, mais c'est défendu à tout le monde de le satisfaire. » Puis, il se tut complètement. Mark entendait du bruit dans la grande salle comme si l'on transportait des choses ou changeait le décor. Enfin, une dizaine de minutes plus tard, Ricardo reçut l'ordre de ramener le postulant dans la salle. Il le conduisit vers le centre de la pièce et l'aida à monter, puis à s'allonger dans un grand bassin de métal, comme en fer blanc, le genre de bassin qu'on utilise dans le privé pour mélanger le béton. C'était du dur! Quand il fut allongé, Mark sentit que quelqu'un prenait place à côté de lui dans le bassin. Puis ce déplacement fut suivi d'un mouvement général dans la pièce et on lui enleva le bandeau. Il constata qu'un jeune Portoricain de 18 ou 20 ans environ était allongé tout nu à ses côtés et que tous les autres gars étaient debout tout autour du bassin. Les deux maîtres étaient au bout l'un à côté de l'autre. Ils étaient les seuls à porter leur robe de chambre blanche. L'un d'eux précisa aux occupants du bassin qu'ils étaient deux postulants ce jour là. Mark comprit alors pourquoi Ricardo était apparu contrarié quand il était arrivé une demi-heure plus tôt. Son partenaire en était à la phase première de son initiation. Son envie d'uriner avait atteint un point de douleur quasi insupportable puisqu'il avait dû attendre durant tout le premier service de Mark. Mark s'aperçut que Rico était le parrain de ce nouveau novice. L'un des deux maîtres ordonna alors aux deux garçons de pisser. Bandés et allongés, ils avaient de la difficulté à le faire. Aussi étaient-ils terriblement gênés de pisser sur eux devant tout le monde. Le maître annonça qu'on attendrait le temps nécessaire et que les frères apprécieraient qu'ils puissent se pisser dans la gueule quand le flot sortirait. Ils n'avaient qu'à ouvrir grand la bouche, la pression serait suffisante pour projeter le jet vers leur figure. «Les frères veulent vous voir boire votre pipi» conclut-il. Et il ajouta : « Plus ils apprécieront le spectacle, plus courte sera l'initiation. Plus vous les ferez jouir souvent, moins longtemps et plus légères seront les épreuves.» Ne sachant trop quand ni où cette soirée allait les mener, les deux garçons firent un effort surhumain pour débander un peu, malgré le Viagra, afin de pouvoir satisfaire les futurs frères. Le compagnon d'initiation de Mark qui s'appelait Enrico lâcha les soupapes en premier. Les mains liées l'empêchant de tenir sa queue, la pression dans la tige la faisait aller de tous les côtés. Il arrosait Mark et tout l'entourage. Il ouvrit grand la gueule pour attraper ce qu'il pouvait. Mais ses efforts, tout en se révélant extrêmement érotiques, n'arrivaient qu'à l'arroser davantage par tout le corps et à s'en mettre plein la figure tout en éclaboussant sans cesse son voisin Mark. Recevant le jet chaud et très fortement aromatisé de son voisin qui s'était retenu trop longtemps, et constatant l'excitation des compagnons qui entouraient le bassin et qui avaient repris leur branlette en émettant des mots cochons en leur direction, Mark parvint également à se soulager. Il fut surpris combien ce jeu était excitant. Pisser en étant couché, sans se toucher, en laissant la queue virevolter de tous les côtés au gré de la pression exercée par la vessie, Mark prit conscience que cela était très érotique pour les spectateurs mais aussi pour lui. Il se sentait éclaboussé par son urine qui se mêlait à celle de son voisin pendant qu'il tentait lui aussi de jouer cochon en essayant toutes sortes de contorsions pour parvenir à exercer un contrôle sur le jet afin de le diriger vers sa bouche. Il découvrait là un fantasme auquel il n'avait jamais songé. Mais la dimension excitante de la scène atteint son apogée quand des jets d'urine partirent de tous les côtés du bassin en direction de leur corps et principalement de leur figure. Tous les frères se soulageaient sur eux. Un des maîtres cria : « Buvez vos frères, Postulants! Enivrez-vous de leur liqueur dorée!» Les deux garçons se tordaient dans le bassin plein d'urine tentant d'éviter ou d'attraper, on ne pouvait plus le savoir, les jets qui fusaient de partout à la fois, comme le cycle puissant d'un lave-vaisselle. La scène était si sexuellement puissante que certains frères reprirent leur masturbation et finirent leur miction par un arrosage de sperme. Quand les dernières gouttes marquèrent la fin du jeu, le maître annonça que l'éjaculation de plusieurs frères démontrait que les postulants avaient bien accompli ce qu'on attendait d'eux. En récompense, il pourrait bénéficier de l'urine des maîtres. Chacun des deux maîtres se plaça à côté d'un postulant. Les jets reprirent dans le silence de la salle. Au milieu de la miction, les maîtres changèrent de côté afin que chaque postulant puisse recevoir chacun des maîtres. Puis, on conduisit les deux postulants dans la douche pour un bon nettoyage exécuté par les parrains car les deux avaient toujours les mains liées derrière le dos. Pendant qu'ils se faisaient laver, chacun des deux se demanda ce qu'allait être la prochaine épreuve. Ils commencèrent à imaginer son contenu quand ils virent que le nettoyage incluait un lavement rectal en règle. Malgré la crainte, la gêne et la honte d'être ainsi vidangé par autrui, le viagra faisant toujours effet, ils rebandaient. Après leur retour dans la salle et qu'on leur eût enlevé de nouveau leur bandeau, ils s'aperçurent qu'on avait fixé leurs poignets après des anneaux de «cheval allemand» (sorte d'équipement d'athlétisme pour faire des sauts). Leurs chevilles étaient fixées après des chaînes reliées à des anneaux coulés dans un petit bloc de béton pour empêcher de trop grands mouvements. Ils occupaient encore le milieu de la salle, le bassin précédent ayant été enlevé durant leur nettoyage. Encore une fois, la troisième partie de la cérémonie allait commencer par un mot d'un des maîtres. « Vos futurs frères sont satisfaits de vous jusqu'à présent. Si vous traversez courageusement cette troisième épreuve vous serez déclarés frères à part entière et vous aurez droit à votre récompense. Nous l'avons choisie spécialement pour chacun de vous d'après les informations que vos parrains nous ont fournies. Il vous faudra toutefois la consommer devant nous. Que la cérémonie commence!» On tira au sort le nom de deux frères qui allaient préparer les postulants. Deux magnifiques Portoricains affublés d'une barbichette ultra-sexée s'avancèrent vers les deux `victimes' liés aux anneaux. Ils se placèrent derrière chacun, leur écartèrent les fesses, plongèrent leur langue dans leur craque de cul, détectèrent la cible au fond de la vallée et entreprirent une sublime scène de léchage. Les langues larges, épaisses et juteuses de ces deux beaux mulâtres agissaient comme des langues de veau sur les trous un peu endoloris par la douche rectale. C'était le baume, la douceur de la soie, la chaleur du velours. Les deux postulants râlaient de plaisir. Les mâles enfonçaient leur langue le plus au fond possible. Ils raclaient les bords, suçaient les contours, faisaient des pointes de chatouilles tout autour des renflements. Eux aussi exprimaient leur plaisir par des soupirs et des respirations profondes. Quand les deux garçons eurent terminé leur boulot préparatoire, on tira encore au sort. Les deux désignés allèrent se placer devant les postulants et prirent leur queue dans la bouche pour la lécher et la sucer. On tira encore au sort. Deux autres furent désignés pour aller leur mordre les tétins et leur lécher les seins. On tira encore au sort pour connaître les deux autres qui iraient leur lécher les pieds. Enfin, ceux qui restaient se placèrent en ligne derrière les maîtres qui s'avancèrent majestueusement pour enculer les postulants dont le corps était occupé de partout. Les frères de Ricardo, les deux maîtres, avaient des machins plus que respectables. Il y avait de quoi terroriser les postulants. Les maîtres furent cependant cléments pour les postulants et couvrirent leur pénis de lubrifiant, tout en graissant bien le canal des postulants avant de les pénétrer. Bientôt, on entendit deux longs râles, comme des plaintes et des respirations profondes, qui semblaient venir des quatre partenaires. Bien sûr les postulants étaient au paradis des sensations. Ils étaient pénétrés chacun par un étalon portoricain tout à fait à leur goût pendant de d'autres beautés du genre les suçaient, leur mordaient les seins, leur léchaient les pieds et les chatouillaient derrière les genoux. Ils ne portaient plus à terre même au sens propre. Ils étaient soulevés par les lécheurs de pieds et flottaient dans un espace inidentifiable quasi « orgasmique ». Toutefois, une consigne secrète avait été donnée à tous : il ne fallait pas qu'ils jouissent. Les maîtres étaient les seuls à se finir dans les entrailles des postulants. Ce qu'ils firent avec un grognement digne de leur sexuelle majesté. Les suivants se lubrifièrent la queue et l'enfoncèrent dans le cul des postulants. Mais ils jouirent sur leur dos, au-dessus de leurs fesses. Quand la courte ligne fut terminée, ce sont les lécheurs de pieds qui lâchèrent leur cible désignée pour en prendre une autre après s'être lubrifié le fion. Puis, ce fut le tour des mordeurs de tétins, puis celui des lécheurs de bites et finalement ce fut le tour des lécheurs de cul, les préparateurs de la baise en série. Le dos et les fesses des postulants étaient couverts de sperme épais qui dégoulinait de partout. La craque de leurs fesses était inondée de gelée blanchâtre à l'odeur d'eau de javelle, piquante et acide. Dans la pièce, on aurait pu trancher au couteau l'odeur accumulée des mâles en sueur qui avaient déchargé leur foutre à pleine tasse. Les deux postulants étaient à plat sur leur «cheval allemand». Mais ils étaient toujours bandés. On les détacha. On les épongea un peu avec des serviettes pour enlever le plus gros de la pâte de sperme, puis on les assit de nouveau sur des caisses de bois comme à leur arrivée, mais cette fois-ci, l'un à côté de l'autre. Un des maîtres annonça qu'ils avaient franchi admirablement toutes les étapes et seraient désormais considérés comme des frères. Chacun alla les embrasser et les maîtres furent les derniers à leur faire l'accolade. Finalement, on leur annonça que le moment de leur récompense était venu. Juan, l'ami de Rico, celui qui était la vedette de la vidéo du Latin jerk off Club, fut désigné comme la récompense d'Enrico, le partenaire d'initiation de Mark. Le maître raconta à tous que Rico leur avait confié combien son « filleul » Enrico était amoureux fou de Juan et le désirait ardemment. Ils avaient donc décidé de le lui offrir en cadeau d'intronisation. On apporta un matelas au centre de la pièce et Juan et Enrico furent invités à baiser devant l'assistance. Cette fois-ci, Juan devait faire jouir Enrico. Ce dernier était aux anges. Il embrassait à pleine bouche son Juan, s'accrochait à ses hanches, l'entourait de ses jambes, le suppliait de l'enculer après qu'il l'eut sucé à son goût. Il lui passait la langue dans la craque. Juan était donc aussi très excité. Ensembles, ils finirent par convenir qu'il était temps d'arriver au bout. Ils prirent une position 69 et on sentait que les succions ne s'arrêteraient maintenant qu'à la jouissance. Celle-ci ne tarda pas et c'est au milieu des cris des acteurs et des applaudissements de l'assistance que les deux achevèrent leur jouissance chacun dans la gueule de l'autre. Le sperme coulait aux commissures des lèvres comme une divine bave. Puis, ce fut le tour de Mark d'avoir sa récompense. On le gardait pour la fin parce que sa récompense posait problème. En effet, Ricardo son parrain avait été envoyé pour tester les préférences du postulant. Il lui avait amené Luis. Ce serait donc celui-ci son cadeau. Mais Mark avait fait une entente secrète avec Luis qui contrevenait gravement aux règlements du Club. D'ailleurs, sans l'insistance de Ricardo qui affirmait que, sans Mark, plusieurs membres du groupe ne seraient pas là, on avait décidé de l'accepter au Club et de lui donner sa récompense. Mais, comme il avait tenté de flouer Ricardo, son parrain et protecteur, en donnant de l'argent secrètement à Luis, ce dernier devrait lui administrer une solide punition avant qu'il ne puisse recevoir son cadeau. On ramena donc un «cheval allemand» au centre la pièce et on lia de nouveau Mark aux anneaux. On alla chercher un fouet et une planchette qu'on remit à Ricardo pour qu'il corrige son filleul. Mark était terrorisé. Jamais il n'avait été battu, surtout pas fouetté. Il faillit s'évanouir, d'autant plus que le récit du maître avait montré toute la fourberie qu'il avait mise en place pour revoir Luis à l'insu de Ricardo. Le maître lui ordonna de recevoir son châtiment avec dignité. Il reçut dix coups de fouet. À chacun, il pensait s'effondrer. Une chance que son parrain n'avait que 16 ans. S'il se fut agi du colosse Juan, il aurait tombé dans les pommes dès le premier coup. Quand le fouet fut déposé, il reprit espoir mais le perdit quand il vit entrer Luis dans la pièce, vêtu d'un short en cuir noir et d'une casquette de cuir également noire, se saisir de la planchette et s'approcher de ses fesses. Le jeune garçon était tout sourire, ravi de la subite et imprévisible promotion de sa puissance. L'assistance riait. On aurait dit les spectateurs d'un cirque romain quand les chrétiens se faisaient bouffer par les lions. On entendait résonner les coups de la planchette, également limités à dix. Mark criait à chaque coup. Il finit par pleurer et dire : «Assez! S'il vous plaît! Jamais je ne referai cela. Promis!» Mais l'assistance n'avait compté que 7 coups. Il dut encaisser les trois derniers. Ses fesses étaient rouge sang sans compter son dos et ses jambes marqués par le fouet. On le détacha finalement et on l'allongea sur le matelas du centre. Luis s'approcha de lui et sa vision précédente de l'horreur se transforma comme miraculeusement en une apparition de la vierge. Luis lui indiqua qu'il devait baisser la fermeture éclair de son short de cuir pour découvrir sa jeune queue toute bandée. En tremblant, il obéit et baissa le short de cuir. Mais il lui laissa sa casquette qui l'excitait terriblement. Elle lui rappelait la domination que le jeune ado avait exercée sur lui. Il était bandé jusqu'à l'explosion. Ils se sucèrent mutuellement quelques minutes. Mais la vision de Mark était trop forte. C'est de celle-ci qu'il voulait jouir pour cristalliser définitivement le souvenir de Luis, vêtu de cuir, lui donnant la fessée. Il indiqua au jeune garçon qu'il souhaitait qu'il remette son short de cuir tout en le laissant ouvert sur sa belle queue toute bandée et qu'il se branle sur son cul rougi par les coups qu'il lui avait administrés. Le garçon trouva la scène proposée ultra bandante et il s'exécuta immédiatement. Mark se retourna, se pencha vers l'avant montrant son cul rouge à Luis et empoigna sa queue gonflée depuis au moins bonnes deux heures_ il avait perdu la notion du temps_ et il se branla, la tête tournée vers l'arrière, regardant la face de Luis dont les yeux étaient exorbités par la force de la puissance sexuelle que contenait la vision des fesses qu'il avait délibérément rougies à vif. Luis était excité comme seulement il l'avait été jusqu'à présent dans ses rêves les plus sordides du matin. Il sortait la langue en direction des fesses massacrées et appréciait son œuvre. Mark, de son côté, jouissait enfin de son « supplice » qui le faisait entrer dans un monde ignoré. De cet univers d'extrême soumission, il avait tout à apprendre. Quelques minutes plus tard, l'intensité particulièrement forte et quasi délirante de sa jouissance allait démontrer, à toute l'assistance mais à lui-même surtout, l'univers infini d'un autre type de plaisirs et la dimension insondable de ses possibilités. Quand tout fut terminé, chacun remit sa robe de chambre blanche et les parrains apportèrent à Mark et Enrico leur deuxième et dernier cadeau d'initiation : une robe de chambre blanche en ratine comme celles de leurs nouveaux frères. On sortit ensuite le rhum et les jus frais pour souligner la bienvenue des nouveaux. À suivre...Big Apple 18 : Prochain épisode : « Tu me tues, tu me fais du bien (Extrait d'Hiroshima, mon amour) ALEXANDRE