Date: Sat, 5 Jul 2014 23:33:53 +0200 From: exesxes Subject: VITE FAIT BIEN FAIT Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre deux adultes mâles consentants. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex between two consenting male adults. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes exes@cledro.net Nifty a besoin de vos dons pour publier mes histoires. Nifty needs your donations to publish my stories. http://donate.nifty.org/donate.html ---------------------- VITE FAIT, BIEN FAIT Le temps est superbe pour cette croisière le long des côtes grecques. Même si la moyenne d'âge des passager dépasse largement le mien, je prends du bon temps à découvrir le pays vu de la mer. Nous nous approchons de la Turquie en longeant la Thrace. Aujourd'hui je n'ai pas envie de crapahuter pour visiter des ruines semblables à toutes celles que j'ai déjà vue. Alors avec quelques passagers fatigués, nous allons nous balader dans une charmante bourgade. Le soleil de l'après-midi est brûlant et nous décidons de nous asseoir à une terrasse ombragée pour nous rafraîchir. Quelques tables plus loin, un petit groupe de locaux discute gaiement. Ce sont de jeunes hommes à la carrure impressionnante et aux visages virils. Un de nos compagnons qui s'y connaît nous explique que ce sont des lutteurs traditionnels qui font des tournois vêtus d'épaisses culottes de cuir et le corps enduit d'huile. J'ai de la peine à détacher mes yeux de ces hommes aux corps superbes et aux visages si mâles. L'un d'eux accapare plus mon attention. Son cou de taureau relie un visage massif à son corps bien charpenté. Comme les autres une barbe de quelques jours assombrit ses joues, ses oreilles sont décollées et la gauche est complètement déformée. Ses sourcils, plus larges que sa moustache, surmontent des petits yeux rieurs qui illuminent son visage. Une épaisse chevelure noire complète le tout. Il me semble qu'il s'est aperçu que je le regarde ce qui me force à détourner mes yeux. Comme il est placé en face de moi, chaque fois que je jette un regard furtif vers lui, il s'en aperçoit. Il me semble même que ses yeux se font plus enjoués quand nos regards se croisent. Je commence à être mal à l'aise car il me plaît beaucoup et je ne sais pas comment réagir. Finalement je remarque que, tout en discutant avec ses copains, le mec n'arrête plus de me regarder et mon c?ur bat de plus en plus fort. Heureusement qu'aucun de mes compagnons de voyage ne s'est aperçu de mon trouble. Soudain l'homme se lève. Il est vêtu d'un T-shirt d'un bleu passé assez près du corps qui met en valeur son teint basané et d'un bas de jogging gris clair usé et fatigué par les lavages. Il contourne sa table et passe devant la nôtre pour se diriger à l'intérieur de l'auberge. Au passage, il me décroche un clin d'?il et de la main me fait un signe discret. Mon c?ur bat dans ma gorge et mes yeux se voilent. Après une minute, je me lève en disant à mes compagnons que je dois aller me soulager. Quand je suis à l'intérieur, je vois le mec au fond de la pièce devant une porte qui me fait signe de me dépêcher. Il ouvre sur une sorte de grande cour dans laquelle sont stockées toutes sortes de choses. Il se dirige vers de grandes piles de caisses et de bidons devant un grand mur sans fenêtre puis me fait signe de passer entre deux amoncellements pour arriver dans une sorte de cachette. L'homme me fixe avec un air mi-fâché, mi-amusé. A voix basse mais d'un ton assez autoritaire il me débite des phrases auxquelles je ne comprends rien. Je lui fais signe que je ne parle pas sa langue alors son visage se détend et il retrouve son sourire rieur. Les paroles étant inutiles, il pose ses deux grosses mains sur mes épaules et me pousse sur mes deux genoux. Puis il baisse son jogging, sous lequel il ne porte rien, pour me faire découvrir une superbe bite non circoncise qui pend flasque devant une belle paire de couilles. Une épaisse toison aussi noire que ses cheveux couvre son ventre. Sans plus attendre je prends son chybre en bouche et découvre le goût salé de sa transpiration en même temps que mon nez se remplit des effluves de sueur de mâle qui émane de ses poils. Mes mains caressent ses fesses rebondies et poilues mais il les repousse vivement et remonte son jogging pour les recouvrir. Il me faut moins d'une minute pour le faire bander. Son pieu prend rapidement de l'ampleur dans sa bouche et j'écarte de temps à autre ma tête pour voir son gland rose sortir de son prépuce. Je le suce avec application sur toute la longueur de sa hampe tout en faisant rouler ses couilles dans mes doigts. Il geint doucement en retenant son jogging sur ses cuisses massives. Au bout d'un moment il repousse ma tête pour me faire signe qu'il veut me pénétrer. Mais je refuse étant donné l'inconfort du lieu et le peu de temps que nous avons. Alors ses deux grosses mains saisissent ma tête au niveau des oreilles pour l'immobiliser et il se met à me baiser la bouche avec ardeur. Je fais de gros efforts pour ne pas suffoquer et me concentre sur le plaisir de sentir sa belle bite aller et venir dans ma bouche tandis que ses couilles viennent frapper mon menton. A l'étroit dans mon slip, ma queue me fait mal à force de bander mais ma position ne me permet pas de me toucher. D'ailleurs il faut peu de temps au mec pour se bloquer avec mon nez bien enfoncé dans ses poils. Il retient son souffle pendant que son chybre agité de spasmes déverse un flot de foutre dans ma gorge. Il s'y est enfoncé tellement profondément que je n'ai même pas besoin d'avaler, son gland déverse tout directement dans mon oesophage. Quand il se retire, je presse sur sa bite pour lécher avec gourmandise les dernières gouttes qui sortent de son noeud. Puis je lève la tête. Le gars m'adresse un grand sourire et me dit à voix basse quelque chose que je ne comprends pas mais que je devine être gentil. Je me remets sur pied, pendant qu'il remonte son jogging et arrange sa queue encore un peu gonflée. Rapidement une tache sombre apparaît là où sa bite forme une bosse. Je la lui montre et il me sourit en haussant les épaules. Il sort rapidement de notre cachette et s'en va sans se retourner. Quand je rejoins ma table mes compagnons s'étonnent de tout le temps que j'ai pris. Je leur explique que l'endroit n'est pas facile d'accès et plutôt malpropre. Ca les décourage de s'y rendre et j'en suis content puisque je ne sais même pas où se trouvent les toilettes de cet établissement. Tout en continuant à discuter avec ses potes, le type me fixe sans cesse avec les mêmes yeux rieurs qu'avant. Lorsque nous nous levons pour retourner sur le bateau, je le voir me faire un clin d'?il avec un demi-sourire complice. Je ne sais pas son nom, je connais juste le goût de son sperme?