Date: Thu, 20 Mar 2014 22:55:54 +0100 From: exesxes Subject: BOIS DE LA SOURCE Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre un adolescent consentant et plusieurs hommes adultes. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex between a consenting teen and several adult men. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes exes@cledro.net Nifty a besoin de vos dons pour publier mes histoires. Nifty needs your donations to publish my stories. http://donate.nifty.org/donate.html ------------------------- LE BOIS DE LA SOURCE José va sur ses quatorze ans mais à cause de son type méridional très prononcé et d'une légère ombre sur sa lèvre supérieure on lui en donne bien plus. Il y a deux ans que ses parents se sont installés à la campagne dans un petit village. Son père, ouvrier agricole et sa mère, femme de ménage à la mairie, ont de la peine à le "tenir". Non pas qu'il soit dur mais il aime son indépendance. José à découvert la jouissance à l'âge de douze ans. Les rares camarades auxquels il s'en est ouvert l'ont traité de cochon et se sont détournés de lui. Depuis il s'y adonne seul et sans retenue partout où il en a envie. Comme il aime beaucoup ça, il expérimente les plaisir du sexe. Petit à petit il découvre son corps d'adolescent. Poursuivant sa quête, José s'intéresse aussi à la morphologie de ses semblables. Donc un soir pendant ses vacances d'été, l'idée lui est venue d'aller sur l'aire d'autoroute appelée "Bois de la source" qui se trouve non loin du village. C'est une halte des plus simples avec son parking et ses toilettes. Et José espère y voir des choses qui l'intéressent. A la nuit tombante, José se faufile entre les raccords du treillis. Il se poste non loin de l'entrée des toilettes et regarde les hommes entrer et sortir. Vu l'heure tardive il n'y a pas beaucoup de trafic sur cette aire. Une ou deux voitures s'arrêtent. Chaque fois, José se glisse dans les urinoirs après que les conducteurs y soient entrés. Il en bande mais est déçu car il n'y a rien à voir, tous se cachent le sexe avec la main. Au bout d'une heure, José songe à rentrer et à se faire un petit plaisir en cours de route. Un gros camion arrive alors et à nouveau José se met à son petit manège. Comme les autres, le chauffeur cache bien son sexe et José en est encore pour ses frais. Au moment où le routier termine, un autre type arrive et se place juste à côté du camionneur. Les deux hommes échangent un bref regard et restent en place. José qui avait fait mine de partir se sent obligé de continuer le mouvement. Il sort de l'édifice et va dans les fourrés attendre que les deux hommes sortent. Quelques secondes après, il les voit passer devant lui en se parlant. Derrière l'bahut, on sera plus tranquille, dit le camionneur Pas comme ça en plein air.. . répond l'autre. Il y a plus personne et ça pue moins que les chiottes ! Oui mais quand même.. . Les deux hommes s'arrêtent à côté du camion stationné le long des fourrés qui entourent l'aire du Bois de la Source. Le chauffeur s'arrête et saisit l'homme par le bras tandis qu'il ouvre sa braguette. José a le c?ur qui bat de plus en plus vite. C'est la première fois qu'il va voir ce que peuvent faire deux hommes ensemble. D'où il est posté, José voit les deux types de profil. Le routier sort un membre bandochant de son pantalon et joue avec lui sous le nez de l'autre qui sort aussi sa queue. Pendant un moment, ils se masturbent en se regardant, puis le camionneur tend la main vers la bite de son partenaire. Celui-ci soupire et se laisse faire. De temps à autre José aperçoit la gaule de l'homme émerger de la main du camioneur. Au bout d'un moment, celui-ci appuye sur les épaules de l'homme pour le faire mettre à genoux. Sans résister, celui-ci se laisse faire. Suce ! dit le routier. Ce que José n'aurait jamais imaginé dans ses rêves les plus érotiques est en train de se réaliser sous ses yeux. Il est de plus en plus excité et sort sa queue raide de sa braguette. Le mec hésite un peu avant d'ouvrir la bouche. Une main plaquée contre sa nuque le force à s'éxécuter. Le gros morceau presse un peu sur les lèvres la tête suit le mouvement imprimé par la pogne qui le tient par les cheveux. Cela dure un moment, la bite de José est plus dure que jamais. Devant ses yeux, les deux hommes s'affairent, indifférents aux quelques voitures qui s'arrêtent de temps à autres sur le parking. Pendant qu'il suce le routier, l'homme se masturbe activement. Soudain la main qui lui tient la tête de celui qui suce le saisit par le bras et le soulève. Baisse ton froc ! commande le camioneur. L'homme s'exécute sans doute trop lentement car l'autre le bouscule : Allez, grouille.. . L'autre obéit et crache rapidement dans ses doigts pour les passer sur son cul. Le camionneur l'aide nerveusement. Très vite, l'homme est retourné et plaqué au côté du camion. Le routier se crache à son tour dans les doigts et se branle avec sa salive avant de se coller à l'autre. De profil, on voit sa bite fouille dans la raie de l'homme. José est au comble de l'excitation. Ce qu'il voit dépasse tout ce qu'il n'aurait jamais imaginé. Doucement.. . proteste l'homme. T'attends qu'ça, salope ! grogne le routier. Il pousse fortement pour tenter de pénétrer. L'homme râle un peu, puis pousse un cri étouffé. Les deux corps sont plaqués l'un à l'autre. José voit alors les fesses du routier se mettre en mouvement. Il n'en peux plus. Son c?ur bat la chamade, son bas-ventre bout comme une marmite sur le feu. Sa bite est tellement dure qu'il ne le sent presque plus dans sa main. Sans prévenir, elle explose et son jus de couilles jaillit loin devant lui. A côté du camion, les deux hommes continuent sans se douter qu'ils sont matés. Ah c'est bon.. . soupire l'homme. Tu vois que t'aimes, salope ! Oui c'est bon, tu m'défonces un max. Et j'vais t'remplir un max aussi.. . Le membre va et vient rapidement dans le cul du mec. Soudain le routier s'immobilise et grogne sourdement. L'autre se branle de plus en plus vite. Le camionneur se retire et rentre prestement sa bite dans sa braguette. A ce moment, l'homme soupire et jouit pendant que le routier le regarde en se rajustant. Quand c'est fini, il ouvre la portière du camion en lâchant : Salut mec t'es un bon coup.. . L'autre a juste le temps de se habiller que le moteur du camion ronfle. Quand le camion démarre et s'en va, l'homme se dirige vers le seul véhicule en stationnement et s'en va à son tour. José reste immobile un moment, puis quitte l'aire du Bois de la Source, très perturbé par ce qu'il vient de découvrir. Dans la nuit, José réfléchit à un objet correspondant à la taille d'une bite qu'il pourrait s'enfiler dans le cul. Pendant ce temps, il se travaille le cul avec les doigts. Au bout d'une demi heure, il peut s'enfiler deux doigts sans problèmes. Dès le lendemain, en cherchant ce qui pourrait l'aider, il tombe sur une caisse de vieux outils que son père avait relégué dans une boîte après en avoir acheté des nouveaux. Les manches lui semblent convenir. Muni d'un tube de crème et des instruments, il s'isole dans un coin pour se mettre au travail. En quelques temps il a le cul irrité mais il arrive à s'enfiler un manche de marteau sans problèmes. Pendant deux jours il s'essaye à s'élargir le cul avec ses instruments jusqu'à ce qu'il y arrive sans efforts. Il découvre que, quand il remue un manche à l'intérieur de son cul cela stimule son excitation sa queue se gonfle. José se met alors à se branler. Très vite, la sève monte et déborde. Les contraction de son cul sur le manche augmentent son plaisir. José comprends qu'il doit arriver à accepter une bite pour découvrir de nouvelles sensations. Cette idée le motive tant que dans les trois jours qui suivent il peut accepter un outil de la taille d'une bite sans trop de mal. Le soir même il retourne sur l'aire du Bois de la Source. Il traîne dans les toilettes en espérant trouver celui qui voudra de lui. Plusieurs hommes le regardent avec un drôle d'air mais ne s'attardent pas. Au bout d'une heure, le nombre de passages diminue tant que José se prépare à rentrer bredouille. Plus aucune voiture ne s'étant arrêtée depuis longtemps le garçon est reparti vers sa byciclette. Il m'a déjà enfourchée lorsqu'un bruit de véhicule attire son attention. José revient prestement vers l'édicule. Une camionnette s'est arrêtée et un type à l'allure de gitan en sort en se grattant les couilles. Jose entre dans les toilettes juste derrière le mec qui n'est pas trop surpris de le voir. Le garçon est trop ennervé par ses échecs précédents. Il se place délibérément à côté du type et essaye de voir son sexe sans trop se cacher. Le mec le laisse faire en jouant avec sa bite. Qu'est-c'qu'tu cherches ? Lui demande-t-il soudain. Euh.. . rien.. . Alors pourquoi tu m'mates comme ça ? .. . L'homme sort de l'édicule. José le suit et une fois dehors, le type lui demande : T'est seul ? Oui, j'habite dans le village là derrière. Tu veux voir ma queue ? Ouaih.. . Suis-moi. Le type, suivi de José se dirige vers l'arrière de la camionnette. Elle est vide, seule une pile de couvertures occupe un des coins. Le type referme la porte et s'adosse à une paroi. Les lumières des reverbères du parking apportent une vague clarté à l'intérieur de la camionnette. L'homme écarte les pans de son treillis et ressort sa bite. Elle est un peu plus grosse que tout à l'heure. José la regarde pendant que le type se la masse lentement. Il lève la tête vers la garçon et lui dit seulement: Suce ! Depuis qu'il a vu faire le camioneur avec un type, José sait ce que ça veut dire. Il s'agenouille et ouvre la bouche. Le sexe sent très fort la sueur et l'urine mais José se dit que ça doit être naturel chez les adultes. Il tente d'absorber aussi loin qu'il peut ce membre qui grossit de plus en plus. T'es une bonne suceuse, toi. Murmure le mec en passant sa main sur la tête du garçon. Sentant sa bite monter en même temps que son excitation le garçon cherche à ouvrir sa braguette et ralentit son action. Le gars le remet vite en place. J't'ai pas dit d'arrêter ! Sa mâchoire commence à lui faire mal. José n'en peut plus et lâche la bite du mec. Celui-ci ne l'entend pas de cette oreille et le remet en place sans ménagements. Le nez dans les poils du gars, José étouffe et se débat un peu. Enfin, le mec lui laisse du mou et il peu reprendre sa fellation. Le type grogne de plus en plus en ondulant du bassin. Visiblement José se débrouille assez bien. José s'est fait à l'odeur forte qui émane de la braguette du mec. Elle a même un certain effet aphrodisiaque sur lui. Après de longues minutes, le type repousse José et se redresse en s'ébrouant. Tu t'fais prendre ? J'veux bien essayer mais c'est la première fois T'es puceau ? Oui.. . T'as quel âge Seize ans, ment José. T'es trop jeune.. . Mais non, j'me mets déjà des trucs dans le cul Pas question ! L'homme change d'attitude. Il devient plus nerveux mais en même temps il semble excité. Il regarde le garçon en se tenant la bite dans la main. Son souffle est court, épais. Il doit réfléchir. Soudain il prend la nuque de José et le repousse à genoux en lui disant : J'préfère que tu m'suce à fond Mais j'ai l'cul bien ouvert, proteste José Discute pas ! L'homme a collé le visage de José dans sa braguette. Le garçon étouffe et se débat un peu puis, comprenant qu'il n'aurait pas le dessus, il ouvre sa bouche. L'homme lui enfile sa queue le plus loin possible en le faisant tousser et suffoquer. L'homme n'y prend pas garde. Il impose son rythme à la tête du garçon. Au bout d'un petit moment, il se raidit. Ses mains se crispent sur la tête de José. Sans que celui-ci s'y attende, il reçoit un puissant jet de foutre dans la gorge. Un second puis un troisième lui succèdent. La saveur fade et la viscosité du liquide le surprennent un peu. L'homme se crispe tant que le garçon étouffe. Il est obligé d'avaler les paquets de foutre qu'il gardait en bouche. Au bout d'un long moment, l'homme relâche sa prise et dit à José : Bon, t'as eu c'que tu voulais, petite salope, maintenant tu t'casses ! Etonné par tant d'agressivité, José n'ose pas protester. Il se relève et s'en va, la queue raide dans son froc. L'homme a dû se réajuster rapidement car la camionnette démarre et s'en va en trombe. José se rend dans les toilettes pour se rincer la bouche et remettre sa queue en place. Il est affairé devant le lavabo lorsqu'un type entre. Tout de suite, il dévisage José avec un air bizarre. Le garçon "sent" le poids du regard de l'autre et s'en trouve comme paralysé. Le type revient alors face au jeune homme et le fixe dans les yeux. José reste immobile. Le mec avance sa main et tâte la braguette du garçon. Celui-ci n'a pas complètement débandé et le type relance l'érection. D'un signe de tête, l'homme fait signe à José de le suivre et se dirige vers une des cabines. Sans réfléchir, le garçon s'y enfile. Le mec ferme la porte et se place devant José. Sans dire un mot, il le palpe et lui ouvre la braguette. José se laisse faire, il a été tellement excité qu'il a vraiement envie de jouir. Le type s'agenouille et suce José qui apprécie cette première pipe. Il se tord et soupire. L'homme s'écarte et murmure : Tu vas jouir ? Oui Alors attend. Il se relève, baisse son jeans et se retourne en crachant dans ses doigts. Un peu étonné, José le regarde passer ses doigts dans la raie de son cul et se pencher en avant. Vas-y baise moi, murmure le mec. José n'aurait jamais imaginé que ça allait lui arriver comme ça. Se souvenant de ce qu'avait fait le camionneur, José se crache dans les doigts et s'enrobe la queue de salive. L'idée de baiser un mec l'excite tellement qu'il a la queue dure comme une barre de fer. Il l'approche de la rosette du type et appuye. A son grand étonnement, le muscle résiste très peu et il se sent pénétrer dans le boyau. Un fort étranglement lui lamine la queue en l'excitant encore plus. Lentement il pénètre sans rencontrer de résistance jusqu'à ce que son bas-ventre touche les fesses du type. La queue prise dans l'étroit collier du cul du mec, José sent la douce chaleur du boyau. Ca l'excite terriblement. Il commence à faire aller et venir sa bite. C'est très excitant et il doit se retenir pour ne pas jouir tout de suite. Trop excité, trop jeune aussi pour pouvoir résister plus longtemps, José balance sa purée en poussant un grognement sourd. Le type contracte son cul, ce qui fait encore plus d'effet. José jouit beaucoup plus longtemps qu'il ne l'a jamais fait jusqu'à maintenant. Quand il reprend ses esprit, il sent que le type se branle. Dès que le garçon bouge, le mec lui demande de ne pas se retirer. Peu de temps après José sent les contractions de la jouissance de l'homme serrer sa queue mollissante. C'est encore un effet dont il ne se doutait pas. En quelques minutes, l'homme et le garçon se sont essuyés et ont réajusté leurs tenues. Ils sortent de l'édicule. Une fois à l'air libre, le mec dit : J't'ai encore jamais vu ici. Ca fait pas trop longtemps que je viens T'habites où ? Au village, là-derrière. Tu fais "ça" souvent ? Quoi ? Baiser.. . Non .. . c'était.. . la première fois. T'es puceau.. . mais t'as quel âge ? Seize ans, ment de nouveau José. Putain t'es mineur ! Oui, c'est grave ? Et comment ! Mais c'est vachement excitant.. . José se fait expliquer les problèmes des relations sexuelles entre adultes et adolescents. Il découvre qu'il n'a pas l'âge des plaisirs. En même temps, l'homme lui apprend qu'il apprécie énormément de s'être fait baiser par un jeune garçon encore puceau. Mis en confiance, il avoue son âge réel au type que n'en revient pas. Ils parlent encore un moment et l'homme donne toutes sortes de conseils à José et lui apprend la prudence dans le milieu des hommes où la perversion va souvent de pair avec la méchanceté. De retour dans sa chambre, José est tout aussi excité qu'en début de soirée. Il décide de se remplir le cul avec un objet et de se branler avant de s'endormir. Le lendemain soir José, plus excité que jamais retourne au Bois de la Source. Il a maintenant acquis plus d'assurance dans la manière d'aborder les hommes. Il essuye cependant plusieurs échecs qui le laissent sur sa faim et l'excitent encore plus. Il en est à son dixième insuccès lorsqu'il voit arriver un type qui le fixe immédiatement. José se place à côté de lui et lui montre sa bite à moitié bandochante. L'homme se branle en le regardant par dessus la séparation des urinoirs. José est tout emoustillé. Au bout d'un moment, le type fait signe à José de le suivre. Ils sortent des toilettes et se mettent dans un coin pour parler. Ils vont droit au but et l'homme questionne franchement José. Le garçon hésite sur la question de son âge et fini par avouer ses quatorze ans. Son interlocuteur ne semble pas des plus surpris. T'es une belle salope pour ton âge ! Pourquoi ? A cet âge on fait autre chose que de draguer des hommes. Moi j'aime ça Ah.. . t'es pédé ? J'sais pas mais les mecs m'excitent. Qu'est-ce que t'as déjà fait avec un mec ? J'ai sucé et j'ai aussi enculé un type. Tu t'es déjà fait mettre ? Non Tu dois avoir l'cul vachement serré. J'm'le suis travaillé pour l'ouvrir. T'es vraiment une salope ! L'homme va à sa voiture et revient avec une couverture. Il entraîne José dans le bois. A bonne distance du parking, il étend la couverture au sol et commence à palper le garçon. José se laisse faire en sentant sa bite se raidir. Très vite, l'homme sort sa bite et celle du garçon. Ils sont tous les deux très excités. Ils continuent un moment puis le type déshabille José qui ne proteste pas. Il est nu, la bite dressée et agittée de soubressauts. Quelques gouttes claires coulent de son gland. Le mec dit à José de s'étendre sur le dos. Il vient se mettre à genoux entre les jambes du garçon et baisse son pantalon. José distingue un sexe et des cuisses couverts d'un épais duvet de poils noirs. Le mec sort un tube de sa poche et se passe de la crème sur la queue et soulève les jambes de José. Le c?ur du garçon bat à se rompre, encore plus que lorsqu'il a vu le camionneur baiser avec l'autre homme ou que quand il a baisé son premier type dans les chiottes. Sa tête lui tourne et les sons lui parviennent comme assourdis. Le type passe les jambes de José sur ses épaules et se penche en avant. Il se retient d'une main et de l'autre guide son chybre vers le cul du garçon qu'il frotte avec de qui lui reste de crème sur les doigts. José à un soubresaut lorsqu'il sent le dard pousser fortement. Le mec le fixe droit dans les yeux et ne le lâche plus. Le cul du garçon ne résiste pas longtemps et s'ouvre lentement. Le gland passe en premier. José pousse un petit râle en le sentant à l'intérieur de lui. Le mec ne quitte pas son regard des yeux. Le garçon ne veut pas montrer sa panique et attend la suite. Lentement le chybre glisse dans le boyau de José. Putain, t'es étroit.. . L'écartement de son boyau commence à faire un peu mal à José. Soudain il pousse un cri bref en sentant une vive douleur dans son ventre. Le mec s'arrête de pousser. Qu'est-c'que t'as ? Ca vient d'me faire très mal. Ou ? Dans l'bide L'homme se redresse et saisit José par les talons. Il l'écarte de lui et regarde sa bite plantée dans le cul. Ouaih, j't'l'ai mise un bon bout. On fait quoi maintenant ? J'vais m'finir. Fais gaffe Promis. Sans attendre, le mec fait glisser les jambes de José le long de ses côtes et se penche en avant. Appuyé sur ses bras au dessus de José, il commence à lui limer le cul. Angoissé sur la suite des choses, le garçon se raidit un peu, ce qui a pour effet de lui faire mieux sentir les va et viens de la queue dans son cul. Le frottement l'irrite mais l'excite aussi. Il sent d'étranges gargouillis dans son ventre. Le type le bourre de plus en plus lentement. Putain c'que t'es serré ! T'aimes pas ? Si, mais ça va m'faire décharger tout d'suite. Ravis de l'aubaine, José se resserre encore plus. Le type commence à suffoquer. Son visage se contracte. Son souffle s'épaissit. Enfin, un profond râle monte, étouffé par ses lèvres serrées. José le sent bouger par petits coups secs dans son cul, puis s'immobiliser, tendu comme un arc. Pendant quelques secondes il reste immobile puis se laisse tomber sur le garçon de tout son poids. Etouffé, José s'agite un peu. Le frottement de sa queue sur le ventre du mec l'excite. Il contracte son cul spasmodiquement et remue son bassin pour faire bouger sa bite raide entre les deux corps. Le mec grogne un peu mais José est tellement excité qu'il a envie lui aussi de cracher son jus. Le frottement et la pression sur ses glandes ont été tellement forts qu'il ne lui faut pas longtemps pour sentir son plaisir monter. Il retient son souffle, jusqu'à ce que son sperme jaillisse. Les contractions de son cul sur la queue du mec lui font beaucoup de bien et augmentent son plaisir. D'autant plus que l'irritation a décuplé la sensibilité de ses glandes. Sentant les spasmes du cul de José, le mec se redresse brusquement. Tu jouis ? Oui.. . répond José ans un râle de bien-être. Le type se redresse brusquement et sa bite s'extrait d'un coup du cul du garçon dont la queue continue à cracher un jus épais. Bordel ! Quoi ? Ca va m'saloper mes fringues. Le type cherche son mouchoir dans sa poche et s'essuye en grommelant. José le regarde faire d'un ?il amusé. L'homme se calme rapidement et aide le garçon à se lever. Alors, t'es content d'être dépucelé ? Ouaih, c'est pas mal. T'as pas aimé ? Si, mais c'était court. Eh bien j'espère qu'le prochain fera mieux ! Un peu vexé, le type ramasse la couverture pendant que José ramasse ses vêtements. Sans l'attendre, l'homme s'en va après un bref salut. Par bonheur, le parking est vide et José peut aller jusqu'aux wc sans devoir se rhabiller complètement. Une fois dans l'édifice, il s'essuye avec le papier qu'il trouve. Puis il va au lavabo et se lave tranquillement le ventre et le cul. Sur le chemin du retour, son abdomen gargouille de plus en plus et il doit de s'arrêter pour évacuer le foutre du mec sur le côté du chemin. ******* Cette aventure a tellement plû à José qu'il fait un tour presque tous les soirs dans l'aire du Bois de la Source. Peu à peu, il se fait de plus en plus de types. Quelques fois même il s'en fait plusieurs à la fois dans le bois ou dans les véhicules si ceux-ci sont assez grands. Le mot a été très vite passé parmi les amateurs de mineurs et ceux-ci ont afflué sur le parking à la nuit tombée. Ainsi José s'est rôdé à tous les plaisirs en attendant l'âge de sa majorité.