Date: Thu, 13 Mar 2014 17:13:45 +0100 From: exesxes Subject: FATIO Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre un adulte et un adolescent consentant. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex games between an adult and a consenting teenager. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes Exes@cledro.net Nifty a besoin de vos dons pour publier mes histoires. Nifty needs your donations to publish my stories. http://donate.nifty.org/donate.html ------------------------- FATIO Personne ne connaît son vrai nom, on l'appelle Fatio sans savoir si c'est son prénom ou son nom de famille. Il n'est pas "tout à fait cuit" disent les gens mais en fait c'est un garçon élevé sans éducation. Ses parents ne s'en sont jamais occupés, le père boit et cuve tandis que la mère entretient le foyer en faisant des ménages toute le journée et la moitié de la nuit. Fatio doit avoir 13 ou 14 ans et il sèche l'école depuis ses 12 ans. Il passe la plupart de ses journées dans la rue mais il ne semble pas avoir de copains parce qu'il est toujours seul. Fatio aime passer sa journée assis sur une barrière pas loin de chez moi et regarder les gens passer. Quelques fois il me sourit sans dire un mot et je lui réponds par un sourire gêné. Il faut dire que son allure de petit voyou maigrichon et très précoce me trouble un peu. Il a déjà une ombre de moustache sous le nez, des grand yeux marrons et des cheveux noirs raides et plats qui lui tombent sur le front. Il porte éternellement un blouson de cuir fatigué et râpé et des jeans sans forme qui ont dû être lavés des centaines de fois. Ce qui m'a permis de constater avec surprise sous sa braguette un renflement assez volumineux pour un adolescent malgré l'ampleur du vêtement. Un soir je rentre chez moi après la nuit tombée. Au loin je vois Fatio appuyé nonchalamment contre le mur que je longe toujours pour arriver chez moi. Il me sourit et je vois sa main descendre clairement vers sa braguette et la prendre à pleine main. Son sourire se fige au fur et à mesure que je m'approche de lui. En même temps, sa main solidement fermée sur le contenu de sa braguette s'agite doucement. Dès que j'arrive à sa hauteur il me lâche : - Salut, toi ! - Euh, salut, - Tu rentres tard. - Et toi, qu'est-ce que tu fais là à cette heure-ci ? - J't'attendais. - Ah bon, ? Fatio n'a pas changé de position. Il me dévisage comme il ne l'a jamais fait. Sa main s'est immobilisée sur sa braguette. Un long silence s'établir entre nous pendant lequel je me sens très troublé car je crois deviner où veut en venir l'adolescent. - Tu regardes souvent mes couilles, lâche Fatio d'une voix traînante. - Euh.. ben, pas spécialement, - Moi ça m'plait d'voir que j't'excite, Cette déclaration me laisse pantois. Je ne doute pas que tout le quartier sait que j'aime les hommes mais comment cet ado solitaire a-t-il pu l'apprendre ? - Tu es fou, ! - J'te vois souvent rentrer avec des mecs et il y en a qui ressortent pas longtemps après. - Mais, ce sont des copains ! - C'est pas ce que j'entends dire. - Qu'est-ce que tu veux à la fin ? Pour toute réponse il retire un peu sa main et tient la base d'un superbe barreau sous son jeans. Je suis aussi gêné qu'excité mais je n'ose pas toucher de crainte d'un voisin ne voie mon geste depuis sa fenêtre. - Ca t'plaît pas ? Je voudrais répondre oui mais je me rends compte que je suis au bord du détournement de mineur. Ma raison prend le dessus et je me ressaisis en m'écartant. - Tu devrais rentrer chez toi, dis-je en m'éloignant. Lorsque j'arrive à ma porte, je me rends compte que Fatio est derrière moi. J'essaye de le repousser mais il me répond d'une voix de plus en plus forte et je crains un esclandre qui attirerait l'attention des voisins. A la fois honteux et excité, je le laisse entrer. Une fois à l'intérieur, Fatio n'est plus aussi sûr de lui. Il regarde partout d'un air embarrassé. Je me dis que je pourrais m'en tirer avec une limonade ou à la rigueur une bière. Le garçon danse sur ses jambes avec un air un peu embarrassé. Il refuse le verre que je lui propose et demande: - Maintenant on fait quoi ? - Mais c'est toi qui as insisté pour venir. Alors tu veux quoi ? - J'entends les autres raconter qu'c'est génial d'baiser. Mais, les filles elles veulent jamais d'moi et j'en ai marre d'me branler tout seul dans la cave. Toi tu baises avec n'importe qui alors pourquoi pas avec moi ? Il est vrai que mes rencontres sont plutôt hétéroclites et fréquentes mais je n'ai jamais donné dans la jeunesse. Je me trouve devant un dilemme terrible, déniaiser Fatio en faisant du détournement de mineur ou le renvoyer au risque qu'il fasse un esclandre et n'attire l'attention des gens du quartier. L'excitation qui monte en moi commence à me faire baisser la garde. Pour gagner du temps, je lui pose quelques questions. - Il y a longtemps que tu te branles ? - Euh, depuis deux ou trois ans. Au début c'était juste pour m'tripoter mais depuis qu'ça gicle, j'arrête plus. - Tu te branles souvent ? - Ouaih euh, trois ou quatre fois par jour. - Tes parents te disent rien. - J'leur dis pas, de toutes façons ils s'en foutent de c'que j'fais. - Et tu fais ça où ? - J't'ai dit, dans la cave. Des fois dans un buisson ou derrière un mur quand j'vois une nana qui m'excite. Une fois j'me suis même fait jouir dans mon froc en pleine rue, avoue Fatio avec un rire niais. Ce garçon est vraiment précoce et il semble même avoir une libido très développée. Pour ma part, je sens des mouvements dans mon slip qui m'indiquent que ça ne me laisse pas indifférent. Cependant je ne vois vraiment pas ce que je pourrais faire avec lui parce que je n'ai jamais initié personne et je ne me sens pas une âme de violeur. Fatio vient à ma rescousse en ouvrant subitement sa braguette et baissant un slip usé. Une queue massive et bien gonflée en jaillit. Comme il tire plus bas son pantalon, deux superbes couilles, grosses comme des ?ufs de poule, en sortent. Un duvet de poils tout fins couvre son ventre en dessus de sa bite qui est très large au milieu et se termine par un gland en pointe. Ma raison bascule. Je m'approche de lui et palpe son membre tout frémissant. Il ne dit rien et me fixe droit dans les yeux. - Tu veux m'faire quoi ? demande-t-il d'une voix blanche. M'est avis qu'il a aussi peur qu'il est excité. Tout doucement je le pousse vers un large fauteuil dans lequel il pose ses fesses dénudées. Je me mets à genoux entre ses jambes et sans un mot, je prends son membre en bouche. Tout son bas-ventre exhale une odeur de sueur mêlée à des relents de sperme. Ce qui a pour effet de m'exciter à mon tour. Fatio pousse un énorme soupir quand il sent ma bouche entourer son chybre. Il tremble de tout son corps et sa respiration devient saccadée. Pour faire durer le plaisir, je ne le suce pas avec ardeur, au contraire, je laisse mes lèvres glisser lentement le long de sa hampe qui me force à ouvrir ma bouche au maximum tant elle est large. - C'est bon, putain, c'est bon, répète Fatio en se tortillant légèrement. Moi aussi je trouve qu'il a une putain de bonne bite. Je descend le plus bas que je peux pour faire pénétrer son gland dans mon arrière-gorge. Le garçon n'y tient plus, il geint et se tord en se mordant les lèvres. Je lèvre la tête pour lui demander : - Alors, ça te plaît ? - Oh oui, putain, c'est génial ! Je vais pas tarder à jouir, - Retiens toi autant que tu peux, ça va être encore meilleur. Sur ce, je reprends mes va et viens buccaux le long de ce chybre hors norme tout en jouant avec ses couilles. Chaque fois qu'elles commencent à remonter, je les tire doucement pour retarder sa jouissance et aussi pour l'exciter. Fatio grogne de plus en plus fort. Il se tord en me suppliant de ne pas m'arrêter. Soudain il tente de repousser ma tête. - J'vais jouir, j'vais jouir, Je résiste et tiens ses couilles de plus en plus fermement. Le garçon râle à pleine gorge en larguant des paquets de foutre dans ma bouche. J'avale le tout en jouant de la langue sur son gland, ce qui le fait gigoter encore plus. Il a une petite voix d'enfant pour exprimer son plaisir par des râles qui vont en mourrant. Quand je lève la tête, Fatio a un sourire béat, puis il éclate de rire. - Putain que c'est bon ! J'avais encore jamais joui aussi fort. - Tu as encore plein de choses à découvrir dans ce domaine. Attend de grandir un peu. - Non, j'veux tout savoir maintenant, on continue, - Désolé, moi je vais me coucher. - Oh nooon, se désole-t-il. Je me lève avec une trique magistrale dans mon froc. Fatio s'en rend compte et me demande : - Tu t'branles pas ? C'est pas l'envie qui me manque mais comment va-t-il réagir. Finalement l'excitation est trop forte et je baisse mon pantalon et ma queue se dresse à la verticale. - T'es bien gaulé, constate-t-il. Flatté de ce compliment, je prend ma teub en main et commence à me palucher. Mais je suis trop excité par ce qui vient de se produire pour résister longtemps. Je me tourne pour ne pas arroser Fatio et lâche quelques fusées de sperme en soupirant. - Ouaih dis donc, tu gicles loin, remarque Fatio. La pression redescend en moi et je me sens coupable d'avoir cédé aux demandes de cet adolescent. Que va-t-il se passer ? Va-t-il en parler autour de lui ? J'en doute, vu le peu d'ami qui l'entourent. Mais ma gêne se transforme en crainte et je remonte prestement mon froc en enfilant ma queue encore baveuse dans mon slip. - Ca va être notre secret, notre grand secret, lâche Fatio dont la bite ramollie repose maintenant sur ses énormes couilles. Ces mots me soulagent un peu mais que vaut la parole d'un adolescent ? J'ai envie qu'il parte vite, que j'oublie ce qui vient de se passer mais Fatio semble se plaire à demi-nu chez moi. Il me demande un verre d'eau que je lui donne en lui suggérant de se réajuster. - Pourquoi, t'aimes pourtant bien voir ma bite et mes couilles, répond-il avec un clin d'oeil malicieux. Il se détend et je le devine même à l'aise dans cette tenue et chez moi. Il regarde autour de lui sans avoir l'air particulièrement intéressé. Puis lentement il se lève et remonte son slip et son jeans. Il a l'air heureux et détendu. - J'peux revenir demain ? me demande-t-il d'un ton presque suppliant. Mon esprit se brouille. Je veux lui répondre oui mais je n'oublie pas qu'il est adolescent et que je risque gros. - S'il te plaît, implore Fatio. J'dirais rien à personne et j'viendrai tard, comme ce soir. Ca me rassure de constater qu'il a aussi conscience du danger et qu'il cherche à éviter les ennuis. Alors je cède et le visage du garçon s'illumine comme devant un beau cadeau. Il me tape sur l'épaule. - J'voudrais bien devenir ami avec toi, t'es un mec bien, dit-il d'un ton solennel. Je lui rend sa tape et le pousse vers la porte. - A demain alors ? - A demain Fatio, va te coucher. - Pour sûr qu'j'vais faire des beaux rêves, Comme promis, Fatio revient le lendemain. Il est tendu quand je lui ouvre la porte. Son bonsoir s'accompagne à peine d'un sourire. Sans parler, il s'assied dans le fauteuil et ouvre son jeans, puis il penche sa tête en arrière et attend. Sa bite est encore molle. Je crois comprendre qu'il est travaillé par le fait de se faire sucer par un homme. Pour ne pas le cabrer, je reste silencieux et m'agenouille pour lui faire la pipe qu'il attend. En moins de temps que je ne le pensais, il se met à bander. Son chybre enfle toujours plus dans ma bouche. Je ne me souviens pas qu'il m'avait distendu la mâchoire à ce point. Tout le corps de Fatio est crispé, il soupire de plus en plus fort. Je veux le regarder mais il retient ma tête sur son sexe : - T'arrête pas, suce moi à fond ! Je lui déroule le grand jeu avec enveloppement du gland, langue autour de la couronne, massage dans l'arrière gorge. En même temps qu'il se tend de plus en plus, Fatio se laisse aller à râler plus fort que la dernière fois. J'ai l'impression qu'il se retient de jouir. Il faut que je le suce encore longtemps avant qu'il se mette à soupirer par saccades. A nouveau je tire ses grosses couilles vers le bas pour l'exciter un peu plus. - Putain, ouaih ! s'exclame Fatio Il lâche des puissants jets de foutre très liquides que j'avale goulûment. Ensuite je continue à le sucer jusqu'à ce qu'il me repousse avec des petits cris. Quand je relève la tête, je vois que le garçon est maintenant détendu. Un sourire épanoui illumine son visage. - Ca va mieux mec ? - Oufff, oui, murmure Fatio. - Qu'est-ce que tu avais quand tu es rentré ici. - Ben, euh, je savais pas si j'allais pouvoir jouir, - Pourquoi ? - Toute la nuit et toute la journée, j'me suis branlé comme un malade en repensant à hier soir. - Avec les couilles que tu as, ça doit pas demander longtemps à se recharger, Fatio me sourit maintenant qu'il est rassuré sur son potentiel sexuel. Je lui offre à boire et, comme la veille il reste la bite à l'air, comme si c'était normal. Il semble à l'aise et très libéré avec moi. Nous discutons un peu et j'essaye de lui faire parler de ses activités pendant la journée. Il n'aime pas trop se livrer et il reste très vague. Au bout d'une demi-heure il se lève et remonte son froc. - A demain ? me demande-t-il. - Oui, à demain Fatio. Rassuré, il me fait un grand sourire et se dirige vers la porte. Avant de l'ouvrir, il a une hésitation puis il se retourne. - C'est comme ça qu'on devient pédé ? demande-t-il avec un brin d'anxiété dans la voix. - Non, mon garçon, rassure toi, on ne devient pas pédé. Tu aimes jouir, c'est autre chose. Avec un demi-sourire, il ouvre la porte et s'en va sans se retourner. Fatio revient maintenant tous les soirs. Je finis par m'attacher à cet ado au point de ne plus ramener de mecs chez moi pour être plus disponible pour lui. Si les gens du quartier savaient qu'il prend son pied chez moi tous les soirs, Malgré la confiance qui s'est établie entre nous, Fatio n'a jamais voulu aller ailleurs que dans le fauteuil et surtout il a refusé fermement de quitter ses habits. Je l'accepte tel qu'il est et savoure la chance de pouvoir faire jouir un ado aussi simplement. Ado qui, par ailleurs, est assez excitant. Lui prend son plaisir naturellement et semble heureux de se faire sucer. Un soir, après qu'il se soit bruyamment vidé les couilles, au moment où je relève la tête pour voir son air satisfait, il me dit calmement. - La prochaine fois je veux t'enculer. Je suis surpris par cette expression si crue et lui demande comment lui vient cette envie. - Ben, maintenant que j'sais comment ça fait d'se faire pomper, j'voudrais savoir comment c'est quand on la met. - Tu sais qu' avec un homme c'est pas la même chose qu'avec une femme ? - Ouaih, j'me doute mais au cyber et aussi ailleurs, j'entends des mecs dire qu'ils la mettent dans l'cul d'leur meuf, alors ça, ça doit pas être différent. Je dois admettre qu'il a raison mais dans mon fors intérieur, je me dis que j'ai intérêt à bien me préparer pour être capable de recevoir un braquemard comme celui de Fatio. - Tu t'es déjà fait enculer ? me demande-t-il sans malice. - Bien sûr, lui dis-je sur le même ton. - Tu aimes ça ? - Ca dépend de comment le mec s'y prend. - Pourquoi ? Me voilà à lui donner un cours sur la façon de baiser avec un mec, Et lui m'écoute avec intérêt et me pose des questions comme un élève à son professeur. Etant donné il a toujours son jeans baissé, je vois que son chybre se met à frémir. - On ne va pas s'y mettre ce soir, lui dis-je pour lui ôter toute envie de passer à l'acte. - Non, mais ça m'excite, répond-il en se levant pour remonter son jeans. Rassuré, je m'apprête à le laisser s'en aller mais Fatio regarde autour de lui et ne donne pas l'impression de vouloir s'en aller. - T'as pas une piaule pour moi ici ? demande-t-il brusquement. - Tu rêves ! Tu es mineur et tu dois dormir chez tes parents. - Mais ils s'en foutent, mon vieux est toujours cuité et ma mère n'est jamais à la maison. - Ca ne fait rien, c'est la loi et tu dois rester chez tes parents. Fatio se renfrogne et s'en va avec un grognement en guise d'au revoir. Je commence à regretter d'avoir pris ce garçon sous mon aile. Maintenant il veut me baiser et habiter chez moi. Je ne me sens pas l'âme d'un beau-père incestueux. En attendant je me dis que je ferais bien de préparer mon cul à recevoir l'énorme mentule du jeune homme. Toute la nuit, je dors assez mal avec le plus gros plug de ma collection dans le cul. Au matin, j'ai l'anus endolori mais un peu plus souple que la veille. A mon travail, je reste songeur et bosse au ralenti. Le soir venu, je rentre vite pour continuer à exercer mon anus avant l'arrivée de Fatio. Quand il sonne à la porte, je suis assoupli, lavé extérieurement et intérieurement et bien graissé. Comme au premier soir, Fatio semble gêné et peu sûr de lui. Je le rassure avec un grand sourire et une accolade. Il ne s'assied pas dans le fauteuil et me demande : - On s'met où ? - Où tu veux, ici ou sur mon plumard. - Ici, répond Fatio en ouvrant son éternel jeans fatigué. Je ne le laisse pas s'asseoir et tombe à genoux pour une pipe qui le met en forme rapidement. Une fois qu'il est bien dur, je lui tends un flacon de lubrifiant. - Mets toi ça sur la bite pour que ça glisse mieux. Puis je me retourne vers le fauteuil et lui tends mon cul. Je ne juge pas nécessaire de lui mettre une capote puisque je suis son seul partenaire. Fatio s'agenouille derrière moi et je l'entend lubrifier son braquemard. Une fois qu'il se sent prêt, il pointe son gland sur ma rosette. Bien que je sois assoupli et ouvert, j'appréhende un peu la façon dont il va s'y prendre. Fatio est hésitant et il pousse son chybre doucement, comme s'il craignait quelque chose. Ca me donne le temps de me détendre et de le laisser entrer. Peu à peu, je sens l'énorme chose m'ouvrir tandis que l'ado soupire en murmurant : - Putain qu'ça serre, c'est bon, En fait, malgré mes exercices, une fois qu'il est arrivé à mi-parcours, je suis obligé de lui demander une pause. Il s'en étonne mais je ne lui répond pas, tout occupé à me concentrer sur le relâchement de mon muscle anal. Au bout d'un moment, Fatio reprend ses poussées qui se font de plus en plus fortes alors que je suis ouvert au maximum de mes possibilités. Il suffoque et grogne sous l'effort. Certainement que son pieu n'a encore jamais travaillé à ce point. Quand la partie la plus large de son pieu a passé l'anneau de mon cul, il se trouve propulsé contre mes fesses. - Mmmfff, . soupire-t-il. - Tu m'écartes un maximum, lui dis-je. - C'est génial, ma bite est vachement serrée. - Maintenant bouge doucement, que je m'habitue. Fatio se retire un bout et revient en place. J'ai l'impression qu'un plug bouge dans mon cul. La douleur qui me prenait tout le périnée s'estompe lentement. Sous le coup de l'excitation, l'ado a des mouvements brusques et je lui demande de man?uvrer son chybre avec douceur, pour que je puisse aussi prendre du plaisir. En fait je sens la pression contre mes glandes, ce massage intérieur est très excitant. Les énormes couilles de Fatio semblent être en plomb tellement elles frappent durement contre les miennes. - Ah, c'est bon, j'aime ça, , jubile Fatio en accélérant le rythme. Son massage interne me fait du bien aussi et, maintenant que mon cul est accoutumé à cette présence volumineuse qui dérange tout mon intérieur, je sens que ma bite prend du volume. Fatio a trouvé le rythme qui lui convient. Ses grognements me prouvent qu'il prend son pied à me bourrer le cul. Il s'est agrippé à mes hanches et me bourre allègrement le cul avec un grognement à chaque fois que son bassin vient heurter mes fesses. Il baise depuis un moment lorsque je l'entend grogner entre ses dents serrées : - Oh putain, ça vient, j'sens qu'ça vient ! Ses couilles doivent être remontées car elles battent moins fortement les miennes. Ses coups de reins sont de plus en plus saccadés, il se pousse au plus profond qu'il peut et reste immobile, sans respirer, pendant un instant avant d'exploser. - Ouaih ! Aaaaarrrgggghhhhhh, Mon anus distendu sent le braquemard du garçon se gonfler à chaque spasme de son plaisir. Immobile, il me remplit le boyau puis se détend. Il reste sans bouger, collé à mes fesses. - T'a jouis ? me demande-t-il. - Pas encore. - Branle toi. Avec plaisir je m'exécute et n'ai pas à me la secouer trop longtemps avant de larguer la purée à mon tour. - Oouch ! Tu m'la serre encore plus, c'est bon, grogne-t-il pendant que je me vide. Une fois que nous sommes tous les deux rassasiés, il se retire en laissant un grand vide dans mon boyau. Mon cul tente de se resserrer mais il laisse couler les paquets de foutre que Fatio a déchargé en moi. Le garçon s'est levé et contemple mon cul qui dégouline de sa semence. - Au moins tu seras pas en cloque ! constate-t-il avec un demi-sourire. Je me redresse et m'essuie avec la serviette sur laquelle je m'étais agenouillé. L'ado est debout devant moi, son chybre luisant et baveux encore un peu gonflé. Il semble satisfait de l'expérience. Comme à l'accoutumée, nous buvons un verre en discutant. - J'ai dit à ma mère que j'voulais habiter chez toi et elle m'a répondu qu'elle en avait rien à foutre, déclare Fatio en me regardant dans les yeux. - Ca ne change pas la loi, tu ne peux pas quitter ta famille comme tu veux. - Mais toi tu t'occupes de moi et tu m'parles normalement. Pas comme les autres qui racontent qu'je suis débile mental, Chaque soir, Fatio m'a demandé la même chose. Trois mois après, je cédais et je prenais contact avec sa famille et un avocat. Au bout de six mois de procédure il emménageait chez moi après que ses parents et moi avons signé une convention devant un juge pour enfants. D'un commun accord nous avons alors cessé toute relation sexuelle pour mener une existence quasi familiale. J'ai repris ma vie d'avant au hasard de mes rencontres et Fatio me traitait comme un fils très compréhensif. Il a pris de l'assurance, pour devenir un adolescent normal. Il s'est mis à sortit et un beau jour, il est revenu avec une copine.