Date: Thu, 30 Dec 2010 19:20:37 +0100 From: exesxes Subject: Manuel (French) DISCLAIMER: This story is a work of fiction and contains descriptions and explicit scenes of sex between an underage boy and an adult male... If this type of content offends you or you are under the age of 18 do not read it. If it is illegal to read such material where you live or if you find the topic distasteful the please leave now. This story is the property of the author. It can be downloaded for personal reading pleasure or sending to friends, but if you wish to repost them at your own site, please contact the author for permission. If you enjoy the story or if it evokes memories of your own, please let me know. Exes exes@cledro.net Cette histoire est une fiction qui concerne l'initiation aux jeux du sexe d'un mineur par un adulte. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert à toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about the initiaton of an underaged boy to sex games by an adult. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes exes@cledro.net --- Mon ami Manuel Je viens d'avoir douze ans. Curieux des choses du sexe, je n'ai pas de copains avec lequel trouver des réponses aux questions que je me pose. D'ailleurs, étant d'une famille pauvre, n'étant pas un mordu de foot ou d'autres sports et ne pratiquant pas d'instrument de musique, je n'ai pas beaucoup de copains. C'est la période des vacances, mes parents, immigrés incultes des pays de l'Est, passent leur temps à travailler dur et n'imaginent pas s'arrêter pour se reposer. Livré à moi-même, je passe mon temps au hasard des rues et des parcs. En traversant un jardin public, je ne sais pas pourquoi mon regard est attiré par un type assis sur un banc. Il est quasiment allongé, le bout des fesses tout au bord du siège. Noir de cheveu et mat de peau, il doit être au début de la vingtaine. Il est vêtu d'un tee-shirt blanc et d'un bas de jogging gris. Ce qui me frappe est qu'il s'amuse à se caresser le ventre. Sous son jogging, une bosse singulière retient toute mon attention. Lentement, je me suis approché de lui, le regard fixé sur l'objet de mon intérêt, ce qui fait que je ne me suis pas aperçu que le type me regarde m'approcher. En passant devant lui, je n'ose tourner la tête et me dirige vers le banc suivant. Pendant de longues minutes, je reste à l'observer. Le mec fait l'indifférent et continue à jouer avec ses mains sur son ventre en glissant de temps à autre vers son sexe pour l'ajuster ou le rendre plus visible. Je suis terriblement troublé. C'est la première fois qu'une chose concernant le sexe me travaille à ce point. Je crois défaillir lorsque le mec me fait signe de venir vers lui. Pétrifié, j'attends qu'il me confirme cette invite. Avec un air agacé, il répète son geste d'une manière plus évidente. Comme un automate, je m'approche de lui. A travers le jogging, il moule très nettement la forme d'un sexe tout raide entre ses doigts. - Ca t'intéresse ? me demande-t-il simplement. - Euh... Prestement le mec baisse et relève la ceinture de son jogging. J'ai juste eu le temps de voir le bout d'un gland rose et gonflé sur un ventre poilu. La tête me tourne. Le type se redresse un peu et commence à me questionner avec un ton un peu sec qui m'impressionne. - T'as déjà vu la queue d'un mec ? - Non. - Tu veux en voir une ? - Euh... oui... - Ca te fait bander ? - Quoi ??? - Ca te fais gonfler la queue ? - Oui... euh... je crois... - T'as quel âge ? - Douze ans - T'as des poils aux couilles ? - Non - Tu veux voir ma queue ? - ... - Alors ?!? - Oui... Le type s'est levé et m'a fait signe de le suivre. En silence nous avons évité le centre ville et il m'a emmené dans la zone des HLM où mes parents habitent. Nous nous sommes dirigés à un bout de la zone et le mec s'est arrêté. - Tu vois l'bâtiment tout à droite, là ? - Celui qui a des plaques vertes ? - Oui. En bas à gauche, il y a une petite baraque en ciment. Tu la vois ? - Oui - Tu m'laisse cent pas d'avance et tu viens m'rejoindre dedans. Ok ? - Ok. Sans autres phrases, le type est parti. Le cœur battant, j'ai compté ses pas. Dans ma tête, tout chavire. Faut-il y aller ? N'est-ce pas un de ces détraqués dont on nous parle à l'école ? Que va-t-il me faire ? L'excitation de voir une bite d'adulte a eu le dessus et je me mets en marche. Le type disparaît dans la guérite. Des gens entrent et sortent de l'immeuble. Et si on me demande ce que je vais faire dans la baraque ? Je ralentis le pas. Les gens s'éloignent. J'accélère. C'est presque en courant que j'arrive à la porte. Le type est dedans, sourire aux lèvres. Il verrouille la porte derrière moi. - Pourquoi t'as couru ? - J'avais peur que des gens me voient. - Pourquoi ? - Ils m'auraient demandé ce que je fais là ... - Et t'aurais répondu quoi ? - J'sais pas... en tous cas pas que je viens voir la queue d'un type... - Pourquoi ? - J'sais pas... ça s'fait pas... non ? - T'as bien raison d'être prudent. Appuyé contre un caisson de ciment, le mec me regarde en souriant. Il se caresse ouvertement le sexe à travers le jogging. Je ne sais pas trop que faire. Le local exigu avait dû abriter des appareils électriques, il n'y a qu'une petite ouverture étroite et haute pour apporter de l'air de la lumière. Il moule sa queue raide sous le jogging et me demande: - Tu veux la voir ? - Ben... oui... - Ca t'excite ? - Oui... - La tienne est raide ? - Un peu. - Si j'te montre la mienne, tu me montre la tienne ? - Oui. Sans plus attendre, le mec baisse son pantalon. Une superbe bite se dresse au milieu d'une épaisse touffe de poils noirs qui remonte en s'éclaircissant sur son ventre. En dessous pendent deux couilles grosses comme des œufs. Sans que je ne m'en rende compte, le mec observe la moindre de mes réactions. Cette vision attise mon excitation et ma queue se durcit complètement. Me voyant mettre la main à ma braguette, le type me rappelle: - Alors, tu m'la montre ! Sans trop réfléchir ou réaliser, je baisse mon jean et mon slip et je relève mon tee-shirt derrière mon cou. Ma petite queue toute dure se dresse comme un crochet au bas de mon ventre glabre. Le type a un sifflement: - Putain ! Tu bandes dur... - Ben... ça m'fait des choses de voir la tienne... - Approche ! Je fais un pas. Il tend la main et me caresse les couilles. J'en frémis de plaisir. - Qu'est-ce que t'as ? - C'est bon... - T'aimes ? - Oui, ça fait du bien. - Touche la mienne. Totalement envoûté par la situation, je passe mes doigts sur la queue dure du mec. Sa peau est douce, chaude. Une odeur de sueur et de sexe monte vers mes narines. Le type masse mes couilles et la base de mon sexe. Je suis bien, j'ai envie que ça dure le plus longtemps possible. - Tiens-la dans ta main, caresse aussi mes couilles... Je lui obéis. Face à lui, je serre mes doigts autour de la hampe qui frémis dans ma main. Puis je passe aux couilles. Elles sont grosses et lourdes. Elles roulent sous mes doigts, comme si elles étaient dotées d'une vie indépendante. Le mec soupire un peu. Je le regarde. - Continue, c'est bon... - J'te fais pas mal ? - Non, au contraire... pourquoi ? - Tu soupires. - C'est parce que j'aime. Continue ! Le mec enserre tout mon sexe dans une main. Il joue avec mes couilles qu'il serre et fait rouler entre ses phalanges. Ca me fait frémir d'aise. De mon côté, je ne reste pas inactif. Mes doigts passent du membre aux testicules et reviennent. Je ne sais pas bien que faire pour lui plaire. Il soupire de plus en plus souvent. Un peu intrigué, je m'arrête. - Continue j't'ai dit... Je caresse les burnes avec une main et enserre la bite devenue encore plus dure. Soudain le mec me prend la main qui est sur sa queue et lui imprime des mouvements de va et vient le long de la tige qui durci encore plus. Peu de temps après, quelque chose de chaud vient gicler contre mon ventre. Un deuxième jet s'y écrase pendant que le type pousse un grognement étouffé. Mon cœur bat à se rompre. Il immobilise ma main. La sienne est crispée sur mon sexe plus raide que jamais. Le liquide blanc coule lentement vers mon sexe. Le type respire par petites saccades, les yeux fermés. Je le regarde ébahi. Lentement il rouvre les yeux. Le liquide arrive à la base de mon sexe, se faufile dans mon aine. Il le sent sur ses doigts. Il me lâche et secoue ses doigts. - Putain, tu m'as fait jouir ! - Ah...? - Ben oui, gicler, c'est jouir... - C'est quoi ? - Du sperme. C'est avec ça qu'on fait les bébés. - Et on fait ça comment ? - T'es encore trop jeune. - On en a à quel âge ? - J'sais pas, bordel ! J'm'en fous ! Tiens, essuie-toi. Il me tend un mouchoir avec lequel j'enlève les traînées qui coulent le long de mon ventre. Une odeur forte, à la fois javellisée et âcre monte à mes narines. C'est collant et poisseux. J'enlève ce que je peux. - Nettoie-toi comme il faut. Il faut pas qu'tes vieux en trouvent sur toi ! S'il savait à quel point mes vieux se foutent de moi. C'est tout juste s'ils me voient rentrer le soir et sortir le matin. Trouvant que je mets trop de mollesse dans le geste, le mec me prend le mouchoir des mains et me frotte correctement l'entrejambes. Une fois qu'il me juge séché, il me dit de me rhabiller. - T'as envie de revenir demain ? - Ouaih, dis-je spontanément avec un grand sourire. - Alors t'as aimé ? - Oh oui ! - Demain ici, même heure. Ok ? - D'ac. - Alors j'm'appelle Manuel. Et toi ? - Jean - Demain, tu entres sans hésiter. Pas de problèmes, il y a que moi qui ai la clé. Il me laisse sortir en me recommandant d'aller droit devant moi sans me retourner. J'ai eu une nuit agitée. Mes deux frères partageant la chambre avec moi, je n'ai pas pu essayer de me frotter la bite comme le mec a fait. Dans la journée, je traîne dans le jardin, mais je n'y vois pas Manuel. Dans l'après midi, je vais vers les HLM et à l'heure dite, je me dirige vers le cabanon. Personne en vue. J'arrive d'un pas normal mais mon cœur bat à se rompre. Inconsciemment, je sais que ce que nous faisons est réprouvé par la société mais la découverte de plaisirs du sexe m'attire irrésistiblement. Manuel est là, dans la même posture qu'hier. Il referme la porte. Il n'est pas rasé, ce qui lui donne un air encore plus inquiétant. - Salut Jean, murmure-t-il en passant sa main sur mes fesses. - Salut Manuel. - T'es en forme ? - Oui, et toi ? Pour toute réponse, Manuel baisse son jogging. Sa queue se dresse superbe en dessus de ses deux grosses couilles. J'ai compris que nous n'allons pas parler beaucoup. Manuel se met face à moi et me demande de baisser mon pantalon. Ma bite est en train de se dresser. Il la prend et la triture en me demandant de lui faire les mêmes choses que la veille. Mon corps est parcouru de frissons et je lui fais tout ce qu'il veut. Au bout d'un moment il s'écarte de moi: - Tu sais ce que j'aimerais ? - Quoi... ? - Qu'tu m'lèches le gland - Mais c'est pas propre ! - Pourquoi, j'me la suis lavée ? - Mais... tu fais pipi par là. Sans autre réplique il se baisse et prend ma queue dans sa bouche. Il la lèche et la suce. Il me mouille les couilles, les aspire et joue avec sa langue avant de revenir à ma queue qui frémit de se sentir dans cet espace humide et chaud. Un courant de bien-être parcourt mon sexe. Une sensation encore inconnue me saisit tout le sexe et fait grandir en moi une impression de plaisir total. - Et alors ? - C'est bon... tu fais d'ces choses toi... - Maintenant tu m'en fais aussi ! Je n'ai d'autre solution que de m'exécuter. Manuel passe sa main sur ma tête pendant que j'essaye d'absorber son gland. Je tiens sa bite à deux mains et ouvre la bouche toute grande. La nœud passe mais plus le reste. Je m'essaye aux couilles. Elles sont plus faciles à lécher mais elles roulent sous ma langue. Je reviens à la queue. Au bout d'un moment Manuel écarte ma tête et me dit: - On va s'mettre autrement que j'puisse te faire des bonnes choses. Il me fait déshabiller complètement et pose mes habits sur la petite niche contre laquelle il s'était s'appuyé la veille. Il enlève aussi son tee-shirt et le pose par dessus. Puis il me soulève de terre pour me déposer sur les habits, dos à lui. Je m'allonge, les jambes en l'air et la tête qui pend dans le vide, juste devant le ventre de Manuel. Sa bite est à la hauteur de ma bouche. Il s'approche et je n'ai qu'à ouvrir les lèvres pour le recevoir. Pendant que je le suce, il joue avec ma queue et mes couilles. Pour me faciliter les choses, je dois tenir son chybre dans une main pendant que je me retiens à sa hanche de l'autre. Manuel fait courir ses doigts sous mes couilles. Ils jouent sur la base de ma queue et se faufilent vers mon trou du cul. Ils le caressent et essayent de s'y glisser. Je me raidi mais Manuel avance un peu pour m'empêcher de parler. Il mouille mon cul avec un paquet de salive et continue à essayer de faire entrer son doigt. Malgré ma résistance, je sens la phalange s'insinuer dans mon muscle serré. Je me crispe. - Ts, ts, ts... détends-toi. Pense à bien m'sucer l'gland. Je m'efforce de faire ce qu'il dit. Le doigt bouge dans mon cul. Ca me fait un peu mal mais j'essaye de ne rien dire pour ne pas fâcher Manuel. Une de ses mains caresse ma queue redevenue molle et mes couilles pendant que l'autre pousse le doigt plus loin en avant. Manuel doit faire des efforts pour avancer son doigt dans mon cul. Je l'entend soupirer de plus en plus fort. Sous ses caresses, ma queue a repris de la vigueur. Mon cul ne me fait presque plus mal. Je sens le doigt qui bouge à l'intérieur. Soudain Manuel se met à grogner et son sperme fuse dans ma bouche. Je tente de me retirer mais il s'est trop près pour que je puisse me libérer. Le liquide remplit ma bouche. Je voudrais cracher mais je ne peux pas. Je suis forcé d'avaler cette crème épaisse au goût acre et doux à la fois. Manuel bouge lentement ses hanches dans un mouvement de va et vient. Très occupé par ce qui se passe dans ma bouche, je ne me suis pas aperçu que son doigt s'est enfoncé encore plus profondément dans mon cul. Quand Manuel relâche sa pression et sort sa bite de ma bouche, je respire un bon coup et m'essuie les lèvres d'un revers de main. - T'es pas sympa ! - Pourquoi ? - Tu m'as forcé à tout avaler... - Et alors, c'était pas bon ? - Non, pas trop. - C'est pas si dégueulasse que ça. Et ça te fera venir ton sperme plus vite ! - Et tu m'as fait mal au cul aussi... - Tant que ça ? - Oui, enfin maintenant ça va mieux. Manuel m'aide à me relever. Je suis un peu ankylosé par ma position. Manuel secoue sa bite avant de la rentrer dans son jogging pendant que je m'habille. Nous reprenons rendez-vous pour le lendemain et je sors en marchant moins vite que la veille à cause de mon cul. Je dors toujours aussi mal. Mais cette fois parce que je suis vraiment excité. Ce que nous faisons Manuel et moi me donne des rêves érotiques et je me réveille plusieurs fois dans la nuit avec ma queue toute raide. Dans l'après midi, je retrouve Manuel comme la veille. Tout de suite il m'interroge sur la douleur de mon cul. Je l'avais oubliée. Il m'annonce qu'aujourd'hui il a apporté une crème pour que j'aie moins mal. Je comprends que pour Manuel, le point d'intérêt de ma personne s'est déplacé vers mon cul. A nouveau, nous nous caressons, nous nous branlons et nous nous suçons. Manuel est terriblement excité. Quelques gouttes d'un liquide clair et épais coulent de son trou de bite. Avant de jouir, il veut me mettre le doigt dans le cul. Ayant compris que ça fait partie de nos relations, je me laisse faire. Cette fois-ci, il me met à genoux devant lui, la tête contre le sol et le cul offert. La crème doit faire son effet, car je sens moins le doigt que la veille. Il remue à l'intérieur de mon cul, mais il ne m'a pas fait mal en pénétrant. Manuel entre et sort lentement plusieurs fois. La dernière, je sens de nouveau une douleur se réveiller. Il appuie fortement. J'ai mal, mais je ne dis rien. Je me contracte. Manuel devine que ça se passe moins bien que tout à l'heure. Il passe une main sous mon ventre et me caresse le sexe et les couilles. Je commence à bander. - Là, c'est bien... maintenant pousse comme quand t'es aux chiottes... Je lui obéis pendant qu'il me travaille des deux côtés à la fois. Cette fois, je sens le doigt me pénétrer. Il bouge dans mon cul. Manuel lâche ma queue. Je l'entends qui se touche et se caresse. Son doigt entre et sort lentement de mon cul. La douleur s'estompe. Ca me chatouille un peu. Soudain Manuel enlève rapidement son doigt et je sens les giclées de son sperme sur mon trou du cul. C'est très chaud. Ca me coule contre les couilles. Manuel souffle et suffoque un moment et se redresse. Je me lève à mon tour. Le mec est couvert de sueur. - J't'en ai mis deux cette fois ! - ??? - T'as pris deux doigts dans l'cul... - C'est pour ça qu'ça m'a fait mal à la fin. - Demain ça t'fera déjà moins mal. - Pourquoi tu m'fais ça ? - Tu verras, ça va être super. - Et j'aurai aussi du sperme ? - Ouaih et ça le fera venir plus vite... Nous nous sommes séparés et fixé le rendez-vous désormais journalier. En marchant, j'ai comme l'impression que mon anus est devenu mou. Je serre les fesses pendant un moment, jusqu'à ce que je le sente bien fermé. Mes nuits deviennent de plus en plus difficiles. Je ne rêve plus que de bites, de couilles et de jets de foutre. Cet étroit cabanon, devenu le lieu de nos ébats est pour moi synonyme de plaisir. Le lendemain, comme il en est devenu notre habitude, je me déshabille dès que Manuel a fermé la porte. Il me soulève et m'assied sur la niche. Puis il remonte mes pieds pour les poser à côté de moi sur l'angle. Je me retiens sur mes bras tendus en arrière. Il ôte son tee-shirt et baisse son jogging. Sa queue se dresse toujours aussi fièrement en dessus de ses belles couilles. Il prend le tube de crème et m'en met sur le cul. Il joue avec ses doigts dans mon cul, mais de face. Il me semble tendu. Puis je le vois se passer la crème sur sa queue. Je crois comprendre où il voulait en venir depuis deux jours ! Il presse son gland contre mon cul travaillé. - Vas y pousse fort... Je rougi sous l´effort et je sens mon cul s´ouvrir. Plus souple que ses doigts, le gland pénètre lentement et le reste de la queue commence à suivre. - Putain, c'est bon... t'es vachement étroit..., soupire Manuel. - Doucement, ça m'écarte ! lui dis-je angoissé par sa progression. - Concentre-toi pour détendre ton cul. La douleur augmente au fur et à mesure que la bite pousse. Soudain, il y a comme un craquement et elle rentre un bout de plus. La douleur fulgurante me fait pousser un cri que Manuel étouffe dans sa main. Ca me presse très fort dans le ventre. Manuel fait aller et venir son membre tout doucement. Chaque fois qu'il le rentre, il écarte plus fort l'ouverture de mon boyau. La douleur est quasiment insoutenable mais je serre les dents pour ne pas déplaire à Manuel qui prend ma bite et la caresse pendant qu'il entre et ressort en moi. Il joue aussi avec mes couilles. La douleur dans mon cul est toujours aussi forte mais les mouvements de la queue de Manuel provoquent une sorte de chatouillement ou d'agacement qui se mêle à la souffrance ce qui la rend presque supportable. - Putain qu't'es serré ! s'exclame encore Manuel dont le visage est en sueur. La douleur s'est transformée en une sorte d'irritation et l'écartèlement de mon anus me fait presque du bien maintenant. Plus le temps passe, plus je m'habitue à ce barreau qui entre et sort lentement entre mes fesses. Même la pression devient moins pénible. Manuel sue à grosses gouttes mais il sourit. - Ca va, p'tit Jean ? - Ouaih... j'ai encore... un peu mal... - On continue ? - D'accord mais fais gaffe... - Tu m'serres vachement la queue ! Mon cul s'est un peu assoupli. Je me suis rejeté en arrière sur mes coudes. Je bande dur et fort. Je sens son gland entrer lentement à l'intérieur de mon cul. Il écarte, pénètre, heurte le fond et repart. Une curieuse sensation de picotement prend naissance entre mes cuisses. - Putain qu'il est bon ton cul... mais j'peux presque pas bouger... tellement t'es étroit ! - Ca m'fait des drôles de choses... Sans me répondre, Manuel continue au même rythme lent et profond en souriant. Son corps ne remue pas. Seules ses hanches bougent. Pour calmer mes appréhensions. Il passe sa main sur mon torse et je me laisse aller sur le dos. - T'as les seins qui bandent ! - Ca veut dire quoi ? - Qu't'es vachement excité. - Et toi ? - C'est super mais qu'est-c'qu'tu m'la serre ! Il joue un peu avec les pointes de mes seins, ce qui provoque comme des petites décharges dans tout mon corps. La main de Manuel glisse vers mon sexe raide qui se balance entre nos deux corps. Une goutte claire perle sur mon gland. Manuel y passe un doigt. A peine a-t-il ma queue en main que je sens une pression terrible dans mon bas-ventre. Une irrésistible envie de pisser me prend. J'essaye de me retenir en me contractant. - Ca va pas ? soupire Manuel. - J'dois pisser... j'peux plus tenir ! - Retiens-toi... mais putain... tu m'l'écrases... Manuel remue sa main. A l'intérieur de mon cul le chybre, maintenant immobile, est devenu énorme. Il me distend le boyau et presse terriblement sur mes organes. Une crampe me saisit le ventre et tout l'entrejambes. Malgré mes efforts, je ne peux plus résister à la pression. Une brûlure traverse ma queue. Quelque chose de chaud tombe sur mon ventre. Je retiens mon souffle, ma tête se vide. Je me sens glisser dans un trou noir. Lorsque j´ouvre les yeux, la main de Manuel est immobile sur ma bite. Ses coups de hanches ont repris à un rythme lent et profond. Je ne ressens plus aucune douleur, mon bas-ventre est détendu. Le visage de Manuel se crispe et il pousse un grognement. Il enfonce son dard profondément dans mon cul. Les yeux fermés, mon copain se mord les lèvres. Lui aussi retient son souffle. Puis il se détend, son visage est tout illuminé d'un grand sourire. - Putain, qu'c'est bon !!! - J'me sens tout drôle... - C'est parc'qu't'as jouis... - Moi ??? - Ben oui, regarde... Sa main est humide et ma queue aussi. Il passe ses doigts sous mon nez. Ils sentent le foutre. Puis il les suce un à un avec une sorte de plaisir. - Le premier foutre d'un garçon... c'est génial ! - Il est comme le tien ? - Meilleur... - Et j'peux rejouir quand j'veux ? - Pas tout d'suite, p't être demain ou après demain... - Pourquoi ? - T'es encore jeune... - Et toi aussi t'es venu ? - Oui, rien qu'en te sentant jouir de l'intérieur. Il sort lentement de mon cul dans un bruit de sussion et m'aide à me redresser. Mes jambes flageolent un peu. Je ne sais quelle attitude prendre. Manuel à l'air aux anges. Il me dit que pour la première fois, je vais garder son foutre en moi. Je n'avais pas envisagé cette éventualité. Une angoisse me saisit tout d'un coup. - Et j'vais avoir un enfant avec toi ? Oubliant la prudence, Manuel éclate de rire. - Mais non, gros béta, c'est qu'les femmes qui en font et pas par le même trou ! - Ah ... - C'est des choses pour plus tard. Manuel m'a tendu son mouchoir pour me nettoyer le ventre, la queue et le cul et je me rhabille. Il me recommande de mettre son mouchoir dans mon slip pour recueillir des fuites jusqu'à ce que mon anus soit complètement refermé. La position m'a quelque peu engourdi et la dilatation de mon cul me fait encore souffrir. Je sors du cabanon en boitant. Manuel me rattrape et me propose de m'inviter à boire un pot pour fêter ma première jouissance en même temps que ma première sodomie. Il s'arrête pour acheter deux bières et nous allons dans le jardin public. Nous nous installons sur le même banc où il était quand je l'ai rencontré. Je n'avais encore jamais bu une goutte d'alcool. La bière et la chaleur ont vite fait de me tourner la tête. Je commence à dire n'importe quoi. Manuel tente de me calmer mais je me laisse de plus en plus aller. Je vais jusqu'à essayer de lui toucher le sexe. Pour éviter le scandale, Manuel m'entraîne loin du public. Je titube et ris tout le temps. Il ne sait pas que faire de moi et décide finalement de m'emmener chez lui. Il vit dans une toute petite maison juste à côté de l'immeuble près duquel nous nous rencontrons. A l'intérieur tout est parfaitement rangé et propre. Il me couche sur son lit et je m'endors rapidement. Quelques heures plus tard, je me réveille. Manuel est contre moi. Nous sommes totalement nu tous les deux. Il me caresse et me lèche tout le corps. Je me sens terriblement bien malgré ma bouche pâteuse. Pour la première fois, Manuel me fait l'amour. Je suis une pâte à modeler dans ses doigts. Je vibre et geins au grès des caresses qu'il me prodigue. Il me prend avec une étonnante facilité. Je ne jouis pas mais lui se répand abondamment en moi, plusieurs fois. Toute la nuit il me fait rire, crier, haleter, pleurer et me tordre de plaisir. Au petit jour, je jouis enfin quelques gouttes avant de retomber aussi mou qu'une poupée de chiffon. * * * Pendant trois ans, Manuel a été mon amant. Je suis devenu insatiable, un vrai "drogué du sexe" et mon amant s'est montré à la hauteur. Ensemble, nous avons pu assouvir tous nos désirs. Quand j'ai eu quinze ans, j'ai voulu connaître d'autres hommes. De son côté Manuel a souhaité rencontrer des garçons de l'âge que j'avais au moment de notre rencontre. Nous nous sommes donc séparés pour trouver d'autres plaisirs et nous sommes devenus de vrais amis.