Date: Tue, 09 Dec 2014 11:37:01 -0500 From: alako Subject: Premiers jets Retranscription d'un souvenir d'une de mes premières masturbations alors que j'avais à l'époque 11 ans. Il s'agit d'une non-fiction concernant un mineur à l'époque ; s'il s'agit de quelque chose qui, moralement, vous repousse, je vous recommande de cesser la lecture. Pour les autres, il s'agit de ma première histoire érotique. Évidemment, les commentaires sont acceptés et encouragés. Un seul merci serait super, et m'encouragerais à continuer. Bonne lecture! This is a retranscription of a souvenir from one of my first masturbations when I had 11 years old. It's a non-fiction concerning a minor ; if it's something which, morally, is unacceptable, I suggest you to stop reading from here. For the others, it's one of my first erotic story. Evidently, comments are welcome and even encouraged. A thank would be really great and would encourage me to continue. If I'm asked, I would probably translate it, be sure to tell me if you're interested. Good reading! Anti-Copyright! Distribuez et modifiez librement, peu importe la manière désirée, sans même citer la source. Anti-Copyright! Distribute and modify freely, in any manner desired, even without naming the source. -------------------------- Ça faisait déjà un an que j'apprenais à me masturber dans ma chambre, en secret. C'est fou à quel point cette activité là s'était mise a m'habiter, c'était devenu mon petit plaisir secret. Plus fréquent que le Nintendo, que de jouer dehors avec mes amis, ou de faire du vélo. Bon, niveau ami, on repassera. J'étais de ceux qu'on prenait plaisir à écœurer à l'école, à traiter de fif et de tapette sans que je ne comprenne trop pourquoi encore. Ça l'air que j'étais pas cool, que j'n'écoutais pas de punk ou de rap et que j'étais pas dérangeant en classe. En tout cas, malgré la pression des petits cons à l'école, une fois chez moi, après le calvaire des autres sur mon dos, je fuyais dans le sous-sol, dans ma chambre, où l'air était frais, un peu humide, mais possédant quelque chose d'intime, à moi, après le stress qui me faisait transpirer dans les bus scolaires mal climatisées. Ça arrivait souvent que le fait de penser au moment à venir me faisait bander d'avance, dans la bus. Après que mes ennemis du quotidien aillent descendus chez eux (j'étais dans les derniers du trajet de bus), je me mettais à fantasmer à tout ce qui m’attendait comme expérience, à mes mains sur mon pénis, à mon corps presque nu dans les couvertes, portant une paire de boxeur pour garder un petit quelque chose pour me cacher. Les seuls moment où j'étais vraiment nu, c'était dans la douche et quand je changeais de vêtements. Pourquoi serais-je nu quand je me faisais plaisir? C'était d'ailleurs une de ces après-midis chaudes de fin d'année, dans le mois de mai, alors que je descendais les trois marches de la bus, le sac d'école devant moi pour cacher la bosse qui s'était formée dans mes pantalons, qui tirait sur mes jeans et qui rendait humide le fond de ma poche. Je sentais la présence des autres qui descendaient et j'essayais d'être le plus subtil possible. On ne voyait jamais ça des bosses aussi évidentes dans les pantalons des autres, et je ne voulais absolument pas attirer l'attention plus que nécessaire. Je me dépêcha donc à contourner l'autobus, mais sans courir, de peur de perdre la précieuse érection dans mes pantalons ; peut-être avais-je honte d'être aussi excité devant tout le monde, mais j'adorais beaucoup trop la sensation de bourdonnement dans mes pantalons, la pression de ma queue contre ma cuisse, pour prendre le risque de la perdre et de m'intéresser à autre chose. Je rentrais donc chez moi avec presse, mon petit frère suivant plus loin derrière, ma mère étant occupée dans la cuisine. Un bref salut par-dessus le son trop fort de la télévision le temps de délasser mes chaussures que je descendis les marches quatre à quatre. La chaleur tomba de trois degrés tout d'un coup, et je pénétra tout doucement dans la réconfortante noirceur, où la seule source de lumière était celle qui réussissait à se frayer un chemin à travers les stores des fenêtres en hauteur. J’avançai lentement après avoir laissé mon sac en direction de la porte de ma chambre, tout au fond du sous-sol. Ma main gauche dans ma poche, je pouvais toujours sentir mon pénis tout dur qui n'avait pas perdu de son rythme. Je m'étais créé avec le temps un rituel pour mes fin d'après-midi intimes. Après avoir refermé la porte derrière moi et m'avoir assuré qu'elle était bien verrouillée, je marchai lentement vers mes rideaux pour les tirer presque complètement, laissant juste assez de lumière pour que je puisse voir les détails qui m'excitaient tant sur mon corps et pour m'assurer qu'aucun regard indiscret puisse percer le mystère de mon isolation. Après, toujours en lenteur, j'allai vers le lit avec quelque vibrations dans le corps, un doux stress commençant à s'installer en moi.À genoux sur le lit, je retirai lentement mon chandail d'abord, puis, mes pantalons après avoir détaché ma ceinture avec grande délicatesse pour ne pas la faire cliqueter et faire trop de bruits - je pensais bien naïvement que ceci serait suffisant pour attirer l'attention. J'enlevai au final tout sauf mes bas et mes boxers marqués par une tâche liquide un peu collante ; ma curiosité ne s'étanchait jamais, et je finis par les retirer avec un peu de regret, les amenant à mon nez pour ressentir les effluves déjà souvent reniflées. J'adorais l'odeur de mes sous-vêtements légèrement souillés par une journée scolaire bien remplie, surtout lorsque mes érections amenait mon pénis à étendre toute ses humeurs dans le tissu de ceux-ci. Par contre, ce n'était pas le vêtement que je cherchais pour ma branlette ; à quatre pattes maintenant sur le lit que je m'apprêtais à défaire, je glissai ma main sous l'un de mes oreiller pour ressortir une autre paire de boxers que je réservais pour ces occasions. Il s'agissait d'un boxer gris foncé à l'élastique gris pâle, comme je voyais les autres pré-adolescents porter sous toute une palette de couleurs, dont le look avait quelque chose d'attirant. C'était mon seul de son genre, et après avoir vu tant de garçons que je trouvais mignons les porter, j'avais développé une sorte d'attachement pour ceux-ci. Ils étaient miens, et c'était évident : encore une fois, je les amenai à mon nez pour prendre une effluve. Sous mes doigts, je sentais le tissus rigide craquer sous les couches de sperme séché et dans mes narines, l'odeur âcre d'urine, d'humidité et de transpiration. Je fut vite submergé par les souvenirs de mes autres aventures solitaires, et le tout m'étourdit rapidement. C'était mes boxeurs de branlettes, je les revêtis lentement, avec doigté, mon pénis tout raide se repliant vers l'arrière sous le tissu rigide de l'avant du boxer, mes fesses remplissant le derrière. Un sourire aux lèvres, je tourna sur 4 pattes, glissa sous les couvertes et les tira vers moi. Alors commença l'expérience : dans mon nid encore frais mais envahi par une forte odeur d'humidité - j'adorais retarder le nettoyage de mes draps pour l'odeur qui s'y accumulait - je glissa mes mains sur mes bras encore imberbe puis sur mon torse, où quelques poils pâles commençait à pousser sur le pourtour de mes mamelons biens durs et dont les pointes étaient hérissés, réaction que j'appris à reconnaître et à apprécier. Une main descendit le long de mon corps, caressant lentement mon ventre rond, vestige de mon enfance, puis glissa jusqu'à l'élastique de mes boxeurs, pour ensuite toucher lentement le coton raide et rugueux qui frotta sur mon prépuce et mon pubis. Mon index et mon majeur s'introduisirent dans le repli de tissu à l'avant et allèrent trouver ma verge bien écrasée sur mon pubis, pour après la faire sortir lentement par le trou d'où ils venaient, pendant que mon autre main s'affairait sur le reste de mon corps, caressant anches, cuisses, fesses tendues et ventre qui se dressait vers le haut dans mes acrobaties avec ma queue. Ma main droite réussit finalement à faire sortir mon membre, celui-ci se dressant fièrement par l'ouverture de mes boxers, tirant sur les draps de mon lit et faisant apparaître une bosse bien proéminente devant moi. J'étais encore prépubère et pas tant équipé, mais une érection bien forte suffisait à rendre le tout assez grandiose mais surtout excitant. Je commençai donc le va-et-vient familier, qui fut d'ailleurs appris assez instinctivement. En effet, vers 10 ans, après un cours de Formation Personnelle et Sociale en 6e année, on nous avait fait écouter une vidéo nous apprenant plusieurs choses en lien avec le sexe, dont la masturbation. Si celle-ci recommandait de jouer avec le prépuce dans n'importe quel sens, j'arrivai moi-même à la conclusion le soir-même qu'un va-et-vient plus franc du poignet serait nécessaire après un essai infructueux avec mon pénis. Je commençai donc le mouvement de haut en bas, le plus lentement possible, sachant que j'étais déjà excité et que le plaisir serait vite gâché sans précautions. C'était difficile de garder le contrôle sur mes mouvements ; quelque chose en moi semblait prendre le dessus sur ma raison, alors que de temps en temps je plongeais dans mes pensées, des images excitantes de garçons de mon âge jaillissants, d'abord habillées, puis, de plus en plus déshabillées par mes songes. Il y avait Thierry, avec ses cheveux bouclés blonds, tout frêle mais si charmant, dont j'imaginai le corps à la peau ferme, aux courbes gracieuses, et aux boxers rayés rouges que j'ai pu scruter si souvent dos à lui, dans les corridor de l'école. Mon attention aujourd'hui était fixée sur lui, et à l'époque, je comprenais encore mal ce que c'était le sexe : je ne pouvais que l'imaginer presque nu, et l'admirer pour ce qu'il était, avec son petit visage potelé et ses yeux bleu vifs. Sans trop m'en rendre compte, le mouvement de ma main s'accéléra après une minute de masturbation alors que mon autre main alla toucher et frotter le tissu de mes boxers, m'imaginant toucher ceux de Thierry. Je sentais la peau de mon scrotum se raidir malgré la chaleur, alors que ma verge brûlait dans le fond de ma paume, les veines saillantes frottant contre la peau de ma main de plus en plus moite et glissante. J'ouvris les yeux lentement alors que je sentais un picotement envahir mon corps, surtout autour de mon pénis et mes couilles que j'imaginais bien tendues par mon scrotum. L'émotion qui m’envahissait me renvoya plonger dans mes pensées, alors que je perdais le contrôle sur la suite des événements. Ma main droite bougeait toute seule, m'empoignant la verge avec force, mes couilles devenant douloureuses. Tendu sur le matelas, tentant de tirer les couvertes hors de moi avec ma main libre, je finis par éjaculer avec force. Le liquide clair et aqueux, prépubère, gicla d'abord avec force jusque sur mon torse, sur mes mamelons et mon cou, puis fini par tomber moins loin, glissant sur mes doigts jusque sur le tissus redevenu humide et poisseux de mes boxers, ma main s'activant dans une dernier va-et-vient rigoureux. J’arrêtai subitement, ne sachant pas s'il était possible de continuer l'orgasme, déjà bien repu de ce plaisir enivrant. L'esprit dans les brumes, je me laissa bercer par le pouls régulier de mon corps, alors que l'ivresse post-coïtale m'embrassait et me laissa rêveur dans mes couvertes mouillées de ma transpiration et de quelques gouttes rebelles de mon foutre. Quelques minutes plus tard, un frisson parcouru mon corps maintenant refroidi et calmé. Je décida d'enlever ma paire de boxers salie par tant de plaisir, qui me servit de serviette pour essuyer tranquillement mon pubis encore lisse, puis mon ventre et mon torse. Je m'habillai rapidement après avoir caché le morceau de tissu couvert de sperme sous mon oreiller, rebandant presque à l'idée du plaisir à renouveler dès le lendemain, après un voyage en autobus bien bandé.