Date: Wed, 7 May 2014 00:03:08 +0200 From: exesxes Subject: L'AMOUR ET LA TERRE Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre deux jeunes adultes à la campagne. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion. This story is a fiction about sex in the countryside between two consenting adults. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions. Exes Exes@cledro.net Nifty a besoin de vos dons pour publier mes histoires. Nifty needs your donations to publish my stories. http://donate.nifty.org/donate.html ---------------------- L'AMOUR ET LA TERRE Pour avoir de meilleures conditions de vie et ce, malgré l'éloignement de mon lieu de travail, il y a quelques mois j'ai acheté une maison dans un bourg avec un terrain qui s'arrête où commencent les terres cultivées par les agriculteurs. Juste au bout de mon champ il y a une vieille souche qui ne se désagrège pas. Un jour je décide de la retirer pour poser une nouvelle clôture. Juste à côté il y a un paysan sur son tracteur qui travaille son champ. De loin, nous nous étions fait un signe amical puis chacun a été occupé par ses activités. Ca fait plus de deux heures que je m'échine à creuser et tirer sans arriver à un résultat. Le paysan arrête son tracteur près de moi et en descend. C'est un jeune homme au début de la vingtaine. Il a les cheveux d'un roux lumineux tirant sur le rouge avec des yeux bleu pâle. Il me tend la main en arborant un sourire jovial. - Alors c'est vous qui avez acheté la maison du vieux Gaston ? J'acquiesce et me présente. A son tour il me dit s'appeler Arnaud. Il habite dans la ferme de ses parents de l'autre côté du bourg. Puis il me dit que ça le gêne de me voir peiner sur cette vieille souche et me propose de l'arracher avec son tracteur. Cette idée me soulage et je l'en remercie. Il va chercher des chaînes et me demande de l'aider à les passer entre les racines que j'ai dégagées. Par deux fois, ses doigts frôlent les miens avec insistance, ce qui me laisse perplexe. Fait-il exprès ou est-ce que je prends des coïncidences pour une réalité ? Arnaud monte sur son tracteur et démarre. Les chaînes se tendent, la vieille souche craque, la terre bouge. Puis elle cède d'un coup et d'énormes racines sortent de terre en retournant le terrain sur un large périmètre. Sans l'aide de ce jeune agriculteur, jamais je ne serais venu à bout de cette tâche. Il arrête son tracteur et revient me voir en constatant que le morceau était bien plus gros qu'il l'aurait crû. Pour le remercier, je l'invite à venir prendre un verre, ce qu'il accepte bien volontiers. Il charge la souche sur son tracteur et me suit vers la maison. Comme l'air est frais en ce début de printemps, nous décidons de passer à l'intérieur. Il laisse soigneusement ses bottes toutes crottées à l'entrée et époussète la terre de sa cotte. Une fois dedans, il regarde mes aménagements. Quand il était plus jeune il était venu quelques fois voir l'ancien propriétaire et me complimente sur les changements. Pendant que je prépare deux bières, il regarde un peu partout avec curiosité. J'en profite pour l'observer du coin de l'?il. Malgré la cotte ample qu'il porte, je me rends compte qu'il est très mince. Par contre ses mains terreuses sont étonnamment fortes par rapport à sa stature. Avec un grand sourire amusé, il vient s'asseoir pour trinquer. - Ca me fait plaisir d'avoir un voisin sympa. Dit-il en levant son verre. - Moi de même et j'espère que nous aurons d'autres occasions de trinquer. Après une première gorgée, il dit qu'il a bien chaud. D'un geste rapide, il baisse la fermeture de sa cotte jusqu'à la taille. Ce qui me permet de découvrir un torse à la peau laiteuse décoré d'un épais buisson de poils roux en son milieu. Il voit mon regard et me révèle qu'il est le seul membre de sa famille à être rouquin. Il semble joyeux et parle avec décontraction de son travail et de sa vie à la campagne. Je sens monter ma sympathie pour lui. Sans que je ne m'en rende compte, Arnaud baisse discrètement la fermeture de sa cotte, puis il repousse sa chaise et s'appuie confortablement sur le dossier. C'est là que je me rend compte que sa cotte est ouverte jusqu'en bas car mes yeux tombent sur une épaisse toison pubienne d'un roux flamboyant qui déborde de son slip. Il voit mon trouble car il éclate de rire. - Tu aimes les roux ? me demande-t-il de but en blanc. Un peu confus, je balbutie une réponse complètement à côté de sa question. Alors l'agriculteur se lève et va prendre un magazine qu'il pose sur la table devant moi. Avec trouble je me rends compte que je n'avais pas planqué une revue porno qui ne laisse aucun doute sur mes préférences sexuelles. Arnaud éclate de rire et se rassied en plongeant une main terreuse dans l'ouverture de sa cotte. - Moi aussi j'aime les mecs, me dit-il en tripotant son sexe, et ça me fait plaisir de rencontrer quelqu'un comme moi dans mon bled parce que les gens d'ici sont plutôt fermés de ce côté. Mon stress retombe d'un coup. Je n'aurais jamais imaginé trouver aux portes de la campagne un mec de mon âge qui soit homo. Du coup, je m'intéresse encore plus à cet agriculteur avec qui j'aurais bien volontiers une expérience. Il y a quelques années, j'avais baisé avec un rouquin qui m'avait laissé un souvenir agréable. Arnaud a la mine rêveuse tout en malaxant le contenu de sa braguette. De mon côté, je sens une certaine excitation monter dans mon froc. Soudain Arnaud se lève et s'approche de moi. - Tu veux bien me faire une pipe, demande-t-il en sortant sa bite du slip, ça fait tellement longtemps que j'attends ça ! Je suis à la fois interloqué et heureux de la tournure que prend notre relation. Arnaud a une tige fine mais très longue qui se termine par un gland en forme chapeau de champignon percé d'un trou très large. Tout comme pour le reste de son corps la peau de sa tige est fine et légèrement rosée alors que son n?ud est violacé. Je tombe à genoux pour rendre hommage à ce beau membre. Lentement Arnaud se pousse entre mes lèvres. La taille de son gland est impressionnante. Je le sens entrer de plus en plus profondément dans ma bouche. L'odeur caractéristique des rouquins qui émane de son pubis me rappelle ma précédente baise avec le mec aux poils roux. Depuis quelques minutes, je suce avec application la tige du jeune agriculteur. J'ai sorti ses couilles pour les tripoter entre mes doigts. Ce traitement semble lui plaire car il soupire de plus en plus profondément. La dureté de son paf est inimaginable. Il me semble avoir en bouche un manche enveloppé d'une membrane souple. Sans prévenir, le rouquin pose ses deux mains sur ma nuque et me plaque le visage contre son pubis. Sa bite est passée au-delà de mes amygdales et me fait suffoquer. Je la sens agitée de spasmes pendant qu'il décharge dans mon arrière-gorge. Avec un râle de bien-être Arnaud vide sa prostate dans mon ?sophage tout en pressant mon nez dans ses odorants poils pubiens. - Putain que c'est bon ! s'exclame-t-il en se retirant. Je suis suant et bavant après ce bâillon. Il m'aide à me relever et défait ma ceinture puis baisse mon jeans. Avec un sifflement il constate que je bande autant que lui. Sa grosse main râpeuse et tachée de terre palpe ma bite et mes couilles. - Tu es vachement bien équipé, constate-t-il. Il se glisse derrière moi et commence à me branler. Je vois sa grosse main sale me secouer la tige pendant que de l'autre, il malaxe mes couilles. Je suis déjà tellement excité qu'il ne doit pas me branler longtemps avant que je lâche la sauce dans ses doigts. Je défaille avec un râle étouffé en m'appuyant sur lui jusqu'à ce que je me ressaisisse. Alors le rouquin me lâche et essuie sa main sur sa cuisse en s'excusant : - Je suis désolé mais tu me plais bien et j'avais tellement envie ? - Au contraire, tu me plais aussi et j'ai bien aimé. Nous nous sourions sans trouver les mots justes à nous dire. Soudain Arnaud regarde sa montre et me dit : - Il faut que je rentre, le père doit m'attendre. On se revoit quand ? - Quand tu veux, je suis là tous les soirs et les week-ends. - Alors à ce soir ! C'est un rapide mais il me plait comme ça. Au moment de nous séparer, Arnaud pose un rapide bisou sur mes lèvres et ouvre la porte. En enfilant ses bottes, il met un doigt sur sa bouche pour me recommander le silence, ce qui va de soi. Puis il part en grandes enjambées jusqu'à son tracteur. J'avais à peine rangé mon assiette du dîner que le rouquin frappe à ma porte. Il a changé d'aspect et semble vraiment mince dans son jean serré et son T-shirt moulant. Son visage rayonnant sous sa chevelure de feu fait plaisir à voir. Ses mains toutes propres semblent moins grosses que tout à l'heure. Quand il dépose un rapide bisou sur mes lèvres, je me rends compte qu'il est à peine plus grand que moi. Je sors des boissons et nous nous installons sur la terrasse à l'arrière. L'agriculteur se serre bien à côté de moi et passe sa main par-dessus mes épaules. - Dire que sans cette vieille souche, je ne t'aurais jamais connu ! remarque-t-il - On se serait forcément croisés un jour où l'autre. - Peut-être mais tu ne m'aurais pas invité chez toi. Cette remarque me laisse songeur. Malgré mes nombreuses rencontres en ville, je n'ai jamais trouvé un mec qui me convienne et en arrivant à la campagne je trouve presque tout de suite un agriculteur qui me plaise. En plus, avec ses 25 ans, il est de deux ans mon aîné. Arnaud me parle de son travail de la terre qu'il aime beaucoup, puis de ses parents. Son père est bon vivant et jovial, contrairement à sa mère qui est toujours bougonne et même aigrie depuis que la s?ur d'Arnaud est morte en bas âge. Il me parle de son homosexualité, qu'un valet de ferme de ses voisins lui a fait découvrir quand il avait 14 ans, de sa difficulté de faire des rencontres en milieu rural. Il se livre avec simplicité et confiance. A mon tour je parle de ma jeunesse dans une famille d'ouvrier, mes écoles, la découverte de mes attirances et ma gêne de ne pas pouvoir vivre ma sexualité ouvertement. Mon départ dans une autre ville pour être libre de mes rencontres et enfin, de ce que mes parents appellent ma réussite sociale, depuis que je suis employé de banque derrière un guichet? Soudain Arnaud se lève et me prend par la main pour me faire rentrer. En me caressant le dos il me pousse vers ce qu'il devine être ma chambre au premier étage. Une fois que nous sommes dans l'intimité de la pièce, il me serre contre lui pour m'embrasser avant de me retirer mes habits tout en enlevant les siens. Nous ne nous quittons pas des yeux et nos regards expriment le désir que nous ressentons l'un pour l'autre. Contrairement à beaucoup de mecs avec lesquels j'ai couché, le rouquin se met totalement nu avant de nous rapprocher du lit. Sa bite est dressée le long de son ventre comme une invite à venir s'y accrocher. La mienne pointe à 45 degrés, comme attirée par la sienne. Le corps d'Arnaud est très fin et couvert de petits poils roux sauf sur son torse et son pubis où s'étalent deux épaisses forêts de feu. Bien que finement musclé, mon corps de blond légèrement poilu, à la peau claire, parait bien fade à côté du sien, sur lequel le rouge des poils contraste avec le laiteux de la peau. Sans nous être concertés, nous nous écroulons sur le lit et nous enroulons dans une embrassade sans fin. Nos lèvres collées entre elles nous permettent de goûter à la saveur de nos bouches tandis que nos queues tendues sont comme deux épées prêtes pour une duel. Après avoir exploré nos corps du bout des lèvres et de la langue, nous nous retrouvons en position de soixante-neuf. La teub au bout évasé d'Arnaud me pénètre jusqu'au fond de la gorge tandis que je frémis sous les coups de langue de l'agriculteur. Nous léchons nos couilles en goûtant à la saveur de mecs excités que dégagent nos entre-jambes. Celles du rouquin pendent bien bas tandis que les miennes se sont collées à la base de ma bite. Sans que nous ayons décidé de quoi que ce soit, je me retrouve sur le dos, les jambes relevées contre le torse d'Arnaud. Lubrifié par le gel que je lui ai donné, il fait pénétrer son énorme gland dans l'anneau serré de mon cul. Ses yeux sont plongés dans les miens et nous devinons nos sensations à l'intensité de nos regards. Il n'a pas à pousser beaucoup pour que je m'ouvre et l'accueille avec un soupir de plaisir. Je sens son n?ud m'écarter le boyau tandis qu'il pénètre inexorablement de plus en plus profondément. Après une seconde résistance plus profonde, Arnaud m'embroche jusqu'aux couilles que je sens toucher mes fesses. Il pousse un profond soupir auquel répond le mien. - Ah, c'est super? me dit-il dans un soupir. Mon sourire lui fait comprendre que j'apprécie aussi la teub qui m'embroche. Je sens son n?ud remuer dans mes entrailles tandis que mon anus est sensibilisé par le lent mouvement de va et vient qu'il entame. Appuyé sur ses bras tendus, le rouquin commence à me bourrer de toute la longueur de sa tige. Ce faisant, il regarde ma queue qui laisse perler des gouttes claires. Plus les minutes passent dans cette position, plus je trouve qu'Arnaud correspond au genre de mec que j'ai toujours cherché. Il accélère imperceptiblement le rythme de ses coups de reins jusqu'à ce que ses couilles fassent un bruit mat en venant frapper mes fesses. Des gouttes de sueur perlent sur le visage et le torse d'Arnaud, ce qui accentue l'odeur de rouquin qu'il dégage naturellement. Ces effluves agissent sur moi comme un aphrodisiaque et augmentent mon plaisir. Il est toujours campé sur ses bras tendus, ce qui me permet de toucher ma queue tendue à bloc. Il a un sourire quand il voit que je commence à me branler. - Oui, vas-y? fais toi du bien? me dit-il entre deux soupirs. Tout en fixant ses yeux le plus profondément possible, je me branle à la vitesse de ses coups de queue. Petit à petit, ma prostate se contracte, stimulée par les va et viens de la bite d'Arnaud dans mon cul et ceux de ma main sur ma queue raide. - Tu es prêt ? demande Arnaud en voyant mon sourire se figer. J'ai à peine le temps d'acquiescer qu'un flot de lave en fusion traverse ma bite et vient s'écraser sur mon torse. Avec un dernier coup de reins puissant, le rouquin se bloque au plus profond de mon cul en râlant sans retenue. Je sens tout mon périnée palpiter sous le double effet du plaisir de l'éjaculation et de la stimulation de ma prostate par les spasmes de la queue d'Arnaud. Nous restons dans cette position jusqu'à ce que les contractions de nos sexes se calment puis, avec un grand soupir, Arnaud se laisse tomber sur moi. - Il est vachement bon ton cul ! me déclare-t-il. Je lui répond que j'ai pris autant de plaisir que lui. Il halète comme un sportif après l'effort et nous restons soudés jusqu'à ce que mon cul expulse la bite ramollie d'Arnaud en même temps que le foutre dont il a rempli mon boyau. Mon propre sperme a coulé sur mes côtés et le reste a poissé les poils de nos torses. Le rouquin se laisse glisser à côté de moi et respire calmement. Puis il se redresse sur un coude et tout en jouant avec les poils englués sur ma poitrine, il me demande : - Tu as aimé ? Je ne t'ai pas trop déçu ? - Au contraire, c'était formidable, j'ai beaucoup aimé ! - Alors on pourra recommencer ? Continue-t-il avec un sourcil levé. - Aussi souvent que tu veux. Il se penche et m'embrasse à pleine bouche pendant de longues minutes. Puis, réalisant que la soirée est bien avancée, il se redresse et me dit qu'il est temps pour lui de rentrer. Je lui indique la douche et le laisse se préparer. Quand il est prêt à partir, je l'accompagne à la porte et lui donne un dernier baiser. - Je crois que tu me plais de plus en plus, me déclare-t-il. Pour ne pas brûler les étapes, je ne réponds rien mais il voit à la brillance de mes yeux et la rougeur de mes joues que j'éprouve la même chose que lui. Arnaud passe toutes ses soirées chez moi et à chaque fois que nous faisons l'amour, nous retrouvons le plaisir de la première fois. Il lui arrive même de s'arranger pour venir le samedi travailler dans l'un ou l'autre champ proche de chez moi rien que pour passer en coup de vent. Il débarque dans ses habits de travail maculés de terre et nous nous embrassons goulûment. Comme l'excitation monte, nous nous laissons aller à une petite gâterie. J'apprécie ces moments impromptus qui me permettent de profiter des odeurs fortes de son corps en plein travail. Elles sont devenues comme une drogue pour moi. Rien que le fait de sentir les émanations du jeune cultivateur me fait bander. Un samedi, alors qu'Arnaud avait travaillé dans le champs en face de chez moi, il vient en fin d'après-midi et me demande de le suivre. Il me fait monter sur son tracteur et me dit en riant qu'il m'emmène faire une balade. Nous roulons sur les sentiers entre les champs jusqu'à l'orée d'un bois. Une fois dans les bosquets, le rouquin arrête son tracteur et m'attire à lui. - J'ai envie de toi, là, maintenant ! - Mais? on est en pleine campagne? - Ici il n'y a jamais personne. Allez, enlève ton froc ! Pour me montrer à quel point son désir est brûlant, il baisse la fermeture de sa cotte de laquelle sort sa teub, plus raide que jamais. Son gland est gonflé et cramoisi avec une goutte claire qui perle en son milieu. Naturellement, ça ne me laisse pas indifférent et je me penche pour le prendre en bouche mais le rouquin me repousse. - Non, baisse ton froc et viens t'asseoir. Je suis trop tenté par cette nouvelle expérience pour résister. Je laisse tomber mon pantalon et enjambe les cuisse d'Arnaud. Il crache dans sa main et s'enduit le chybre de salive. Puis il crache une nouvelle fois dans ses doigts pour me lubrifier la rosette. Lentement je me laisse descendre sur cette tige qui m'a déjà pénétré tant de fois. L'opération est lente car la salive ne le fait pas glisser aussi facilement. Peu à peu, je sens le champignon pénétrer dans mon rectum, puis passer dans le colon, ce que ceux qui ont une bite assez longue appellent "la porte du bonheur". Quand enfin mes fesses touchent son ventre, Arnaud lâche un grand soupir de plaisir. Mes couilles et la base de la queue, devenue aussi raide que la sienne, touchent son ventre. Les poils drus de son pubis chatouillent mon anus. Lentement je me soulève, aidé par les mains du rouquin puis je redescend. L'odeur de sa transpiration monte de l'ouverture de sa cotte directement dans mes narines, ce qui m'excite toujours autant. Le plaisir est tel que j'oublie où nous sommes et me concentre sur le bien-être que je ressens à être pénétré si profondément par mon partenaire. Au bout d'un moment, Arnaud me force à accélérer le rythme jusqu'à ce qu'il sente les prémices de la jouissance. - Putain, c'est bon? je vais tout lâcher? Il me pousse deux ou trois fois au plus bas de sa tige avant de s'immobiliser et de me remplir le boyau de son foutre chaud. Je prends ma bite en main et me branle en profitant des spasmes de la teub d'Arnaud contre ma prostate. En peu de temps, je sens mes glandes se contracter. Arnaud, revenu de son plaisir m'encourage : - Vas y, laisse toi aller contre moi. Cette invite vient au moment où je me répands généreusement sur la poitrine du rouquin en engluant copieusement les poils de son torse. Trois, quatre fois, mon foutre jaillit, puis coule en longues traînées jusqu'à ses poils pubiens et sur mes couilles. Nous restons quelques instants à savourer notre plaisir puis Arnaud me soulève pour libérer sa bite mollissante. Il me tend un vieux chiffon pour m'essuyer avant de le prendre pour enlever le plus gros de mon jus resté collé dans ses poils. Il remonte sa fermeture pendant que j'enfile mon pantalon. - Ici il n'y a pas de douche? alors je garderai ton jus sur moi jusqu'à ce soir, dit-il en m'attirant à lui pour un long baiser. Puis avant de remettre le tracteur en route il me demande : - Ca t'a plût de baiser dans la nature ? - Avec toi, ça me plait de baiser n'importe où. Il me ramène au bout du champ près de ma maison et me laisse rentrer en serrant les fesses tandis qu'il va terminer son travail un peu plus loin. Un jour Arnaud m'annonce qu'il veut me faire connaître ses parents à qui il a parlé de moi. Cette idée m'angoisse autant qu'elle me plait mais notre relation est devenue tellement régulière que cette présentation est presque naturelle. Nous tombons d'accord sur le dimanche suivant. A l'heure dite, le rouquin vient me chercher et c'est un peu tendu que je pénètre dans la grande ferme de ses parents. - Voilà celui qui a acheté la maison du Gaston ! dit son père en me serrant la main. Sa mère se contente de me lancer un bonjour depuis le fond de la pièce. Le repas se passe dans le calme et le père d'Arnaud ne cesse d'alimenter la conversation avec jovialité tandis que sa mère parle peu. Après le dessert, le rouquin m'emmène visiter les lieux. C'est grand et nous nous retrouvons seuls dans les remises pour les machines. Arnaud se met devant moi et m'embrasse avec passion. Nous nous frottons l'un contre l'autre en sentant notre excitation monter. - J'ai envie de toi, là tout de suite, murmure-t-il en m'embrassant dans le cou. Moi aussi j'ai envie de lui mais en même temps j'ai trop peur que quelqu'un nous surprenne. Plus je me montre réticent, plus Arnaud insiste. Finalement il me coince derrière une énorme machine et défait ma ceinture. Ma résistance faiblit au fur et à mesure qu'il me met devant le fait accompli. L'excitation fait monter la chaleur de son corps et son odeur m'enivre de plus en plus. Dans un même élan d'excitation, nous nous laissons aller et nos pantalons tombent rapidement. Arnaud se met à genoux pour ma tailler une pipe vorace. L'excitation et la peur d'être surpris ne me permettent pas de me contrôler. En quelques minutes, je sens que je vais tout lâcher. Je préviens mon partenaire qui redouble d'ardeur. Avec un soupir étouffé, je me laisse aller dans la bouche du rouquin qui me tête la queue jusqu'à m'en faire tordre quand il continue à me titiller le gland. A peine je suis remis de mon orgasme, qu'Arnaud se lève et appuie sur mes épaules. A mon tour je lui rend la gâterie qu'il vient de me faire. Les poils autour de son sexe sentent de plus en plus fort et ça double mon ardeur. Sa longue tige vient fourrager dans mon arrière gorge en me faisant suffoquer. Il est tout aussi émoustillé que moi et me rend généreusement le fluide dont je l'ai abreuvé. Remis de nos émotions, nous nous enlaçons quelques instant avent de ressortir un peu en sueur. Arnaud me fait visiter la totalité du domaine entièrement consacré à l'agriculture. Les seuls animaux sont les poules et les lapins élevés par sa mère. Lorsque nous revenons dans la maison, le père du rouquin me questionne sur ce que j'ai vu et si j'ai apprécié. Je m'empresse d'approuver tandis que sa mère me regarde de travers depuis le fauteuil dans lequel elle fait de la couture. Mon copain décide de me ramener chez moi, ce qui provoque un soupir de regret de son père et un ricanement de sa mère : - Maintenant il n'en a plus que pour ce type ! Arnaud me fait un sourire embarrassé auquel je réponds par un haussement d'épaules. Une fois chez moi, nous nous embrassons de nouveau longuement et faisons l'amour avec moins d'empressement que tout à l'heure. Nous nous sentons bien ensemble et nos sentiments deviennent de plus en plus certain. Un samedi, Arnaud me dit de mettre des vieux habits pour faire le tour ses nouvelles cultures dans la vieille jeep de son père. Il me montre des champs de maïs, de blé, de pommes de terre et plein d'autres végétaux dont je sens qu'il est vraiment fier. Pour moi, fils d'ouvrier élevé en ville, tout est nouveau et je me réjouis du plaisir de mon ami. Je sens bien qu'il est amoureux de sa terre et il commence à me transmettre sa passion. Nous continuons à progresser entre les champs et les bosquets pour passer dans un endroit plus boisé. Le rouquin arrête le moteur et descend. Il me fait signe de le suivre dans une zone qui a l'air abandonnée tant les herbes sont hautes et les buissons touffus. - C'est un étang à poissons abandonné depuis une cinquantaine d'années, m'explique-t-il. Nous arrivons au bord d'une sorte d'étendue boueuse dans laquelle rien ne pousse. La pluie de l'avant-veille a bien assoupli ce qui doit être une terre dure sous les rayons du soleil de ce mois d'août. Tout autour, des saules pleureurs forment un écran qui l'isole parfaitement. Arnaud me prend par la taille et regarde cette boue sans dire un mot pendant un certain temps. - On dit que les bains de boue sont bons pour la peau, me dit-il doucement. - Pourquoi tu dis ça ? - On se fait une cure de beauté ? suggère-t-il avec un grand sourire. Je réalise à peine ce que le rouquin me propose. Quand il se déshabille et pose ses vêtements assez loin du bord, j'ai une hésitation. En voyant sa teub en début d'érection, mes doutes deviennent une réalité. Complètement nu en pleine nature, Arnaud commence à me déshabiller. Je suis gêné à l'idée de faire du nudisme sauvage mais le contact de mon partenaire me fait faiblir. Une fois nu, je découvre que l'excitation me gagne et que ma queue aussi se redresse lentement. En me tenant par la main, Arnaud m'entraîne dans le magma boueux. L'impression est bizarre, la terre très fine a un contact presque sensuel. Nous pénétrons jusqu'à mi-mollets et nous nous arrêtons. Le rouquin se penche pour s'asseoir en m'attirant pour faire de même. La boue réchauffée par le soleil nous enveloppe jusqu'à la taille, mon sexe est caressé par la masse visqueux. Arnaud passe sa main entre mes jambes et caresse ma semi-érection. - On dirait que ça te plaît? constate-t-il avec un sourire. - C'est spécial mais c'est surtout toi qui me fais bander. Arnaud se tourne pour m'embrasser et en même temps me pousse en arrière dans la boue. J'en ai jusqu'aux épaules. Puis il passe sur moi et je sens sa bite raide glisser sur mon ventre, ce qui redresse la mienne immédiatement. Puis nous roulons l'un sur l'autre en gardant nos lèvres collées et nos langues enlacées. Arnaud passe une main entre nos ventres et prend nos deux queues ensemble pour les caresser. Cet attouchement m'excite beaucoup, puis il joue avec nos couilles tout en nous faisant rouler dans la boue devenue un lubrifiant enveloppant nos corps. Je suis maintenant aussi excité que lui et nous nous frottons l'un contre l'autre avec passion. Les frottements et le grain de la boue font monter rapidement mon excitation et je me sens proche de l'orgasme. Arnaud n'en est pas loin non plus, alors il se met sur mon côté et pose mes fesses sur une de ses cuisses de façon à ce que juste mon gland dépasse de la boue. Il se met à me branler tout en m'embrassant. Mes couilles se contractent rapidement et mon jus bouillonne dans mon ventre. Comme je grogne, le rouquin observe mon gland et dit : - Regarde, il va y avoir une éruption de foutre ! En quelques secondes, je me laisse aller en râlant. Deux gerbes blanches jaillissent du magma brunâtre et retombent un peu plus loin. Tant qu'Arnaud me masturbe, je sens mon périnée agité de spasmes. Une fois calmé, je me tourne pour lui rendre la pareille. Sauf qu'il n'a pas à reposer ses fesses sur ma cuisse tant sa tige est longue. Je branle avec délice cette teub qui m'embroche régulièrement. Comme je sens mon partenaire très excité, je procède lentement pour que son plaisir n'explose pas trop vite. Arnaud soupire et se tord sous mes caresses puis se raidit d'un coup. Une gerbe blanche jaillit de son gland affleurant la boue, puis trois ou quatre autres qui retombent bruyamment sur la surface boueuse. Pendant un long moment, je sens les spasmes de sa bite dans ma main serrée. Quand il se calme, Arnaud se tiens sur ses coudes. - Putain que ça fait du bien ! s'exclame-t-il. Tu as aimé ? - Oui, mais il faut dire que c'est spécial. - Ca m'excite d'être dans la boue. Avant de te connaître je venais très souvent me branler ici. Arnaud est un vrai fils de la terre et son métier lui va bien. De plus il réussit à y attirer peu à peu le citadin que je suis. En sortant de l'étang boueux, je réalise que nous sommes crottés jusqu'aux cheveux et j'interroge le rouquin sur la manière de nous débarbouiller. Il sourit car il a tout prévu. A l'arrière de la jeep, il a placé deux gros jerricanes d'eau. Il en vide un lentement sur moi pendant que je me débarbouille puis je fais de même pour lui. Ensuite nous nous laissons sécher au soleil avant de nous rhabiller. Sur le chemin du retour, nous évoquons en riant notre dernière relation. Une fois chez moi, nous prenons une douche et nous asseyons devant un verre. Nous sommes devenus de vrais amis et si ce n'était la différence d'habitation, nous formerions un couple. Je suis heureux d'avoir Arnaud dans ma vie et mon seul regret est de ne pas pouvoir partager mes nuits avec lui. Lui-même évoque avec regret la cohabitation avec ses parents mais accepte la situation puisque nous nous voyons tous les soirs et passons une partie de nos week-ends ensemble. A la fin de l'automne, Arnaud débarque un dimanche matin avec l'air bouleversé. Il m'annonce que sa mère vient d'être transportée à l'hôpital à la suite d'une attaque. Je le réconforte avec toute l'affection que je peux avant qu'il ne reparte aux nouvelles. Dans l'après-midi il vient m'annoncer que sa mère est décédée. Ce choc nous rapproche encore plus et je l'accompagne avec discrétion tout au long de ces journées de deuil. Quelques temps après, au cours du moment de détente qui suit l'orgasme, Arnaud me demande de réfléchir à une proposition. Il souhaiterait que je quitte mon travail pour le seconder dans l'exploitation du domaine familial et surtout, il me demande de venir habiter avec lui à la ferme. Mon c?ur bat à se rompre car le choix qu'il me demande est crucial pour mon avenir. Au fond de moi, je sais ce que je désire mais la raison me commande de temporiser. Après consultation d'un conseiller, je demande à mon employeur un congé sabbatique qui me permettra de savoir si notre amour est suffisamment fort et si je suis fait pour ce genre de vie. Arnaud n'a pas attendu ma réponse pour aménager une pièce qui nous permette de vivre ensemble sans pour autant mettre son père dans l'embarras. Celui-ci a bien accepté la décision de son fils et me conseille même dans les tâches que je découvre au fil des jours. Soit il ignore ce qui nous rapproche avec Arnaud, soit il ne veut pas s'en mêler mais il ne dit rien qui puisse nous faire comprendre qu'il est au courant de notre vie sexuelle. Pour nous, c'est un vrai bonheur de pouvoir passer nos nuits ensemble et de nous répartir les divers travaux dans la journée. Ca fait maintenant cinq ans que je suis devenu cultivateur. En me donnant son amour, Arnaud m'a aussi transmis sa passion pour la terre.