Date: Fri, 30 Jul 2021 13:24:04 +0200 From: bruno bodin Subject: Balexhib BALEXHIB Depuis que je vis seul avec ma mère, enfin débarrassé de son insupportable deuxième mari, j’ai au moins une chance, c’est d’être quasiment autonome : mes 13 ans, mes bons résultats scolaires, ma tendresse vis-à-vis d’elle, ma gestion active des tâches ménagères quand elle va gagner la vie pour nous deux : tout cela installe entre nous un climat de confiance apaisant, pardon hyper cool ! Aussi quant elle m’annonce qu’elle va s’absenter 4 jours pour un séminaire professionnel, elle me sonde pour la forme… comment tu vas faire… remarques y a de quoi manger dans le congèl… t’ai laissé de l’argent dans le tiroir que tu sais… de toutes façons tu peux me joindre sur mon portable… bref je sais que tu peux très bien te débrouiller sans moi… Je t’embrasse formidable maman ! Et voilà que je suis pour quelques jours seul maître à bord de mes envies, et de mes envies y en a une que je rêve de réaliser depuis longtemps. Pour mon anniversaire un de mes oncles maternels m’a offert tout un ensemble de camping, tente, sac de couchage, lampe torche, trousse de toilette et de secours, car, gamelle et gourde et en plus un magnifique VTT pour véhiculer le tout. Cet oncle est un ange qui veille avec bonhommie sur notre famille éclatée. Le lendemain matin, dès que je me retrouve seul, Je décide de me mettre en route vers la forêt du Tronçais à une trentaine de kilomètres de chez nous. En préparant mon sac à dos sans oublier les cordelettes de nylon blanc, accessoires de mes pires scénarios, je suis tellement excité à l’idée de ce que je vais enfin réaliser que mon bas ventre réclame fermement une action immédiate… Mais non, pas question, je garde ça pour les sous-bois à venir hein ne gâchons pas cette délicieuse attente par une conclusion hâtive. Je ne comprends pas les scènes de sexe qu’on voit dans les films où les partenaires ont l’air de vouloir se débarrasser au plus vite du plaisir qu’ils se donnent. Stupide empressement. Quinze kilomètres de la petite départementale qui dessert notre village et je bifurque sur le chemin vicinal empierré qui mène à la forêt en passant devant quelques fermettes isolées. Au bout d’une dizaine de kilomètres en pleine cambrousse, je repère un petit chemin forestier qui s’enfonce sous les arcs de grands arbres feuillus. Ça faisait un bout de temps que j’avais envie d’explorer ce chemin mousseux. J’y suis ! Pour réaliser mes scénarios il faut me faufiler sous les arbres assez loin tout de même du sentier, trouver une petite clairière où installer mon campement. Une demie heure après je trouve un espace dégagé assez ensoleillé… Je pose ma bécane, plante la tente et range mes affaires de couchage et de toilette, sort les petites terrines de sanglier, rompt un morceau de la boule de pain frais et commence à me rassasier. Je ne peux pas attendre plus longtemps … je me déshabille entièrement laissant mes vêtements teeshirt, short et slip au fond de la tente et je sors complètement nu le sexe dressé déjà humide d’anticipation… Vais-je le satisfaire ? Mais non voyons ça ce sera pour la nuit… J’ai gardé mes espadrilles et comme je ne veux pas emporter de sac à dos (il faut me balader nu sans aucune possibilité de couvrir tout ou partie de ma nudité), J’enroule mon accessoire cordelettes autour de la taille comme une ceinture. Est-ce que j’emporte mon couteau suisse en le glissant entre mon ventre et la ceinture cordelette ? Non ça ne serait pas de jeu pour ce que je veux faire je ne dois pas avoir de recours trop évident… Une première exploration en faisant très attention de repérer les détails du parcours pour retrouver le chemin de ma tente… Je m’éloigne ainsi pendant une dizaine de minutes, stupéfait de mon audace qui s’accomplit… si quelqu’un me voit ainsi totalement nu et le sexe dressé… quelle délectable angoisse … de temps en temps je me le touche, je m’assois jambes bien écartées pour qu’on me voit (qui ?) Sexe couilles et tout jusqu’à la rosace … Je me relève et repars encore plus excité, j’arrive au bord d’un petit étang dont j’ignorais l’existence. Et là je m’allonge au bord de l’eau… A nouveau j’écarte les jambes en les relevant pour exhiber tout l’attirail, je caresse doucement les couilles quasiment en extase de cette exhibition à au moins vingt minutes de mon refuge et de mes habits… Vais-je accomplir maintenant mon scénario catastrophe ? Non il se fait tard ce sera pour demain… rentrons dîner avec mes délicieux sandwichs de terrine …c’est l’automne, la nuit commence à tomber je cherche mon chemin vers ma tente… voyons par où est-ce ? Heu… là une autre sorte d’angoisse me saisit : et si je ne retrouvais pas ma clairière ? Perdu en pleine forêt entièrement nu avec ma ceinture de cordelette… Panique… je me branle un peu pour me décontracter… pas trop non, ah ça y est je reconnais cet arbre mort qui avait failli me faire tomber tout à l’heure. Maintenant que je reconnais mon chemin je me demande pourquoi je ne retournerais pas au bord de l’étang jouer mon scénario cata ? Mais non c’est idiot … ou trop facile… si on n’y voit rien on (qui ?) ne pourra pas me voir or il faut qu’on puisse me voir complètement en pleine lumière même si j’ai drôlement peur qu’on me voie dans la position impossible que je me serai imposée. Bon je me rhabille, commence à faire frais quand même, je déguste avec plaisir ma terrine, mes radis, une pomme entière et un petit pot de mousse au chocolat le tout arrosé d’une pinte de cidre encartonnée. Avant d’aller dormir je vais quand même dégager toute l’excitation de ma première marche exhibée par une masturbation pisseuse, j’adore combiner en prenant mon temps ces deux exutoires… il m’a fallu m’entrainer longuement pour arriver à le faire et je suis fier de la performance. Et au lit en sac, quelle délicieuse impression d’avoir accompli le premier stade de mon envie. Je m’endors à l’écoute des petits bruits de la forêt qui s’éteint. Le réveil « aux aurores » comme disait mon bienfaiteur d’oncle est une merveille de douceur et d’excitation à la pensée de ce que je vais tenter, tenter le diable, cette pensée me fout la trouille et envoie une onde de chaleur en haut des cuisses et dans tout l’entrejambe. D’abord me restaurer, je n’ai pas emporté de camping gaz alors une barquette de lait froid avec 3 de mes 6 croissants ça fera l’affaire. J’attends encore un peu que le jour s’installe vraiment… pourquoi s’exhiber à une heure où je ne trouverai certainement personne sur mon chemin d’infamie… Pas de montre mais je sais lire l’heure au soleil. J’attendrai mon estimation neuf heures. Je me remémore ce que j’ai appris sur un site incroyable « meditative bondage » découvert par hasard en cherchant toutes les significations de ce mot « bondage » lu au passage dans des histoires de ligotage entre amis sur un autre site. Meditative bondage : ce site explique et montre des techniques de « self bondage », activité très spéciale de se ligoter soi-même. J’étais sidéré en découvrant tout ça, j’avais regardé ces courtes videos une bonne dizaine de fois. La principale leçon : il y a le « self bondage » dont on peut sortir tout seul en y mettant le temps, et le self bondage dont on ne peut pas se défaire sans aide extérieure ou sans l’aide d’un bon couteau suisse aisément accessible. J’ai décidé d’exposer ma nudité à travers ces deux options. La première d’abord et le banco après. Encore un yaourt et je me désape entièrement jetant teeshirt short slip au fond de la tente. Je saisis les deux cordelettes de nylon et les enroule comme hier autour de la taille… aucun autre accessoire pas le moindre bout de tissu capable de cacher mon affaire, cette fois je laisse même mes espadrilles ayant expérimenté hier le velouté du revêtement mousseux de cette partie de forêt. Et bien sûr je laisse le couteau suisse en le jetant sans regarder à une dizaine de mètres sous les arbres de telle façon qu’en rentrant, si tout se passe bien, je ne puisse même pas le retrouver immédiatement. Ces dispositions étant prises je pars retrouver le bord de l’étang où j’ai largement exposé mon entrejambe hier en fin d’après-midi. Je trouve que c’était finalement un peu plus éloigné de ma tente que dans mon souvenir… plus près d’une demie heure que de vingt minutes. Tant mieux maintenant que je sais retrouver le chemin grâce aux points de repère identifiés en faisant l’aller-retour. Assis au bord de l’eau jambes écartées sexe tendu je me lance dans le premier scénario de self bondage. Je joins les jambes, dégage les deux cordelettes, en saisit une et commence à ligoter mes chevilles, il y a 4 mètres et je peux le faire de façon à continuer le ligotage au dessus des genoux… Pour finir un nœud bien serré après beaucoup d’autres et me voilà déjà bien immobilisé sur place, de cette façon si j’essaye de me lever c’est déjà difficile et bien sûr impossible de m’échapper en courant, ni même en marchant évidemment. Si quelqu’un (qui ?) se pointait il me faudrait plusieurs minutes pour me rendre la disposition des jambes et me cacher … les premiers buissons sont une vingtaine de mètres derrière. Mon excitation est à son comble, non seulement ma nudité bandante est exposée mais elle l’est sans possibilité immédiate d’échapper à des rencontres de passage. Je donne quelques gages à cette jouissive érection sans aller plus loin. Car il faut maintenant aborder la partie la plus délicate : se lier les mains derrière le dos. Enfin pas tellement délicate je l’ai déjà fait : avec une main il est assez facile d’entourer les poignets une dizaine de fois en serrant un maximum, puis on fait passer le reste de la corde entre les poignets de façon à tendre les enroulements précédents… Là se distingue le self bondage dont on peut se défaire de celui où on ne peut plus, à ce stade je passe cinq fois la cordelette entre les poignets en tirant un maximum… mais je ne fais pas de nœud coulant… ce sera pour l’autre scénario… Me voilà ligoté chevilles, genoux, mains derrière le dos et pour retrouver ma liberté d’action il faudrait d’abord me libérer les mains, possible mais assez long, avant de défaire les jambes. Je suis là immobilisé, sexe dégoulinant de « liquide pré éjaculatoire », cette expression je l’ai découverte dans un manuel d’éducation sexuelle et ça m’avait fait bien rire… il y avait aussi l’expression anglaise « precum » beaucoup plus cool ! La jouissance n’est pas loin d’un paroxysme mais je peux l’accentuer en remontant les cuisses pour frotter le sexe entre elles. Je ne vais pas jusqu’au bout … je me laisse aller allongé sur le côté, guettant avec un plaisir anxieux le moindre bruit signalant que quelqu’un (si ça pouvait être un garçon de mon âge !) approche. Un clapotis : quelqu’un a -t’il lancé un caillou ? Un garçon jouant à faire des ricochets, un pêcheur lançant sa ligne hors de ma vue mais je ne vois pas de fil de pêche sortir de l’eau… le cœur battant j’attends la suite… un deuxième ricochet… je ne sais pas ce que c’est. Soudain je vois apparaître deux petits garçons qui m’étaient cachés par un repli de la rive et qui continuent à balancer des cailloux plats dans le lac sans obtenir le moindre ricochet. Je me redresse brusquement, à la fois inquiet et terriblement excité d’être découvert. Ces gamins peuvent avoir 10 ou 11 ans pour autant que je puisse en juger. Se retournant dans ma direction, ils voient tout de suite ce spectacle incroyable pour eux d’un garçon un peu plus âgé qu’eux, ligoté, entièrement nu et en érection à quelques mètres d’eux. Je réfléchis vite : est-ce qu’ils sont accompagnés à distance par des adultes ? Ne vont-ils pas s’enfuir à toute vitesse pour alerter quelqu’un ? Je prends aussi vite une décision : jouer le rôle d’une victime… Je prends un air suppliant : -- s’il vous plait, venez me détacher les mains, ils m’ont pris mes habits et m’ont laissé là ligoté… -- qui c’est ? -- une bande de potes, un jeu … mais là ça ne va plus… ont voulu me punir de je ne sais quoi … -- bon attendez on va le faire ! Le plus petit des deux s’approche de moi passe derrière le dos et commence à triturer la corde qui tient mes poignets. -- ouh là là c’est drôlement bien fait Ils y sont allés carrément dis donc. Et le garçon commence à défaire consciencieusement les multiples enroulements pendant que l’autre gamin s’approche en regardant, médusé, mais apparemment avec intérêt mon exposition sexuelle qui ne faiblit pas. Je suis aux anges : un garçon me caresse les poignets pendant qu’un autre me mate avec le rouge au front. Deux minutes plus tard mes mains sont libérées, je me précipite sur les nœuds qui retiennent mes genoux, c’est assez long et encore plus pour mes chevilles tellement j’avais fait du bel ouvrage… Puis je me lève et leur fais un grand sourire en les remerciant chaleureusement… -- mais où sont tes vêtements ? -- sans doute près de ma tente, va falloir que je retrouve le chemin mais je me rappelle que c’était pas bien loin… En tous cas merci les mecs vous m’avez tiré d’un mauvais pas. Je leur fais un petit salut, le sexe toujours tout droit, encore plus si c’était possible, les deux garçons regardent avec un demi sourire ce curieux état de fait. Bon je prends les deux cordelettes, les enroulent autour de ma taille, leur fait un petit salut en leur disant : -- Si on se revoit faudra que je vous montre comment on fait des beaux ricochets… Puis je m’enfonce rapidement dans le sous-bois en pensant déjà au scénario suivant. J’essaie d’oublier ces deux gamins qui sans le savoir (vraiment ?) m’on donné bien du plaisir. Je vais donc tenter de réaliser le scénario banco : un self bondage nu et irréversible sans une aide extérieure ou un instrument tranchant. Il faut que je démarre d’ici, je suis maintenant dans les bois à une cinquantaine de mètres du petit étang. Donc je vais accomplir mon forfait avec une distance à parcourir nu et ligoté, à environ une demie heure de ma tente et de mon couteau qui sera un peu difficile à retrouver vu que je l’ai jeté sans regarder sous un arbre derrière la tente. Première opération… il faut que je ralentisse mon allure pour ne pas arriver trop vite à mon campement. Pour cela j’utilise la première cordelette pour me lier solidement les jambes au-dessus des genoux en laissant à peu près 20 centimètres d’espace entre les cuisses. J’essaie avant de m’occuper des poignets : impossible évidemment de courir ainsi entravé et très difficile de marcher mais c’est le but de ce jeu dangereux. J’évalue qu’il me faudra sans doute plus du double du temps, une bonne heure donc, le temps de jouir totalement de mon scénario exhibitionniste. Alors maintenant les mains : même procédé que dans le premier cas, mais cette fois je termine les enroulements entre les poignets en passant à chaque tour la cordelette dans le précédent enroulement, ça fait noeud coulant, demie clé, et à chaque tour je serre ces demie clés en tirant le plus fort possible si bien qu’il est tout à fait impossible de défaire ces nœuds coulants… ce que je vérifie après avoir utilisé toute la longueur de cette deuxième cordelette. Sexe érigé dégoulinant au vu de n’importe qui de passage, je commence à prendre la direction du campement en titubant sur mes jambes à moitié entravées. Je m’aperçois que cette marche sera plus difficile que prévu… En particulier je risque à chaque petite difficulté de trébucher en m’étalant sans pouvoir protéger ma figure puisque je n’ai pas les bras pour me recevoir, ce qui ne manque pas d’arriver au bout de cinq minutes de cette marche chaotique… Avertissement sans frais : je réussis à me recevoir sur le côté m’écorchant légèrement le bras gauche… se relever dans ces conditions n’est pas non plus très simple : à genoux d’abord, chevilles légèrement écartées mais pas trop, on y arrive. A partir de là je m’efforce à la plus grande prudence pour avancer dans les enchevêtrements de branchages… J’arrive à trouver un rythme relativement correct et j’évalue mon allure à un petit kilomètre/heure… Je suis tout d’un coup assez fier (folie !) d’avoir accompli à la perfection (quelle perfection ?) mes deux scénarios d’exhibitionnisme total. Mais tout d’un coup j’entends derrière moi encore assez loin, des froissements de feuilles et de branchages. Ouh là là qu’est-ce que c’est que ça ? Je m’arrête et tend l’oreille (bizarre expression quand on ne peut justement pas toucher ses oreilles…) J’essaie d’avancer un peu plus vite mais non voyons je risque encore de m’étaler, je m’arrête et me retourne pour faire face à un éventuel danger… A vrai dire je n’avais pas pensé à la charge éventuelle d’un sanglier ou autre animal peu conciliant qui me laisserait plutôt démuni dans la position où je me suis mis. Du coup un peu de panique et me voilà en train de m’arroser de pisse sans que je puisse l’arrêter et sans d’ailleurs que mon sexe faiblisse, au contraire je ne suis pas loin d’un orgasme pisseux tels que je les pratique. Pour le moment ça me dégouline sur les jambes ce qui n’est pas désagréable loin de là… Le bruit de branchages cassés se rapproche et au bout de quelques minutes je les vois ! Incroyable : les deux gamins qui m’ont si gentiment délivré se pointent à une vingtaine de mètres avec un air de stupéfaction parfaitement compréhensible : il y a cinq minutes ils me délivrent de mes liens et là ils me retrouvent à nouveau ligoté sans que personne d’autre ait pu réaliser cette opération. Ils sont là bouche bée, hésitant sur la conduite à tenir, se rapprochent de moi craintivement et s’arrêtent pour me contempler à moins d’un mètre, regardent fixement mon érection qui loin de faiblir se trouve au contraire renforcée… Je me retourne pour leur montrer mes mains liées derrière le dos. -- Vous pouvez approcher, regardez, je ne peux pas vous faire de mal. Je leur souris. -- mais enfin qu’est-ce qu’il t’arrive, t’es pas bien, qu’est-ce qu’il se passe, comment tu t’appelles ? -- Bastian, et vous ? -- Lui c’est Paul, moi Jean-François. Tu veux qu’on te délivre encore ? -- Pourquoi vous m’avez suivi ? On joue à cache cache ? -- On voulait savoir si vous alliez retrouver vos affaires et … eh ben je sais pas dit Paul… -- Vous pouvez me laisser, je dois arriver sans aide jusqu’à mon campement… -- On pourrait t’en empêcher hein si on voulait, c’est quand même bizarre tout ça… Je m’avance tout près d’eux et je m’aperçois que leurs shorts à tous les deux sont nettement gonflés au bas ventre… du coup je ne me retiens plus. -- Eh ben écoutez… vous pourriez encore me rendre service, regardez. Je fais un mouvement qui fait vibrer mon sexe vers eux… ils se reculent puis avancent de nouveau. -- Eh on n’est pas des pédés hein ? dit Jean-François. -- Moi si. Mais je ne vous demande rien, hein ! Vous m’en avez fait déjà beaucoup … rien qu’en me regardant vous savez. Je me retourne en direction de mon campement. Alors Paul qui n’a pas dit qu’il n’était pas pédé lui trottine devant et s’interpose entre moi et le passage que j’allais prendre pour m’éloigner. -- Paul arrête laisse le partir on s’en fout, lui lance Jean-François Je vais le provoquer : -- Pas chiche de le toucher ? Paul s’approche et tend la main vers mon pénis dégoulinant d’un mélange visqueux, il le saisit timidement entre le pouce et l’index de la main droite et de sa main gauche il réussit à baisser short et slip jusqu’aux genoux, révélant un joli pénis parfaitement respectable en position presque verticale. Jean-François s’approche à son tour et fait de même. J’ai maintenant deux jeunes garçons en train de se branler devant moi tout en s’occupant de mon sexe à quatre mains… sans que je puisse rien empêcher… Je ne vais pas résister longtemps aussi comme je veux faire durer ce moment inoubliable, je me dégage d’un mouvement brusque en arrière, ce qui me fait tomber en arrière sur les fesses. Les deux garçons se précipitent chacun d’un côté et reprennent leur partition à quatre mains. Je réussis à me dégager encore une fois en agitant mes cuisses à moitié ligotées mais voilà Paul réussit à d’asseoir sur mes genoux, me forçant à m’allonger sans défense. C’est fini là… je ne peux plus me relever ni résister je laisse venir un orgasme fantastique qui asperge à tour de rôle leurs mains et leurs ventres. Puis je regarde émerveillé ces deux petites brutes terminer leur propre masturbation qu’ils mènent à leur terme presqu’en même temps avec une petite sortie de jus qu’ils déposent sur mon ventre à moi. Maintenant quoi ? -- Merci les mecs vous êtes sensationnels ! Maintenant si vous voulez bien me détacher les mains, là je ne peux pas le faire… j’ai un couteau dans ma tente mais sans lui c’est impossible … -- Ah non, dit Paul avec un sourire malicieux, tu te débrouilles faut pas charrier hein ? -- Bon j’ai des bonnes friandises pour vous à mon campement, si vous pouviez au moins défaire la corde autour de mes cuisses on pourrait y arriver beaucoup plus vite ! Bon prince, Jean-François s’approche de mes cuisses à terre et entreprend de défaire ces liens de dingue, ce qui lui prend un certain temps, sous le regard attentif de son copain. Une fois les jambes libérées, je pousse un soupir de soulagement en me relevant lentement. Ils me regardent me relever avec des sourires moqueurs : les mains liées dans le dos je suis toujours à leur merci. Du coup mon pénis se redresse à nouveau ce qui les fait éclater de rire. On arrive à la tente. -- Alors comment tu fais maintenant ? -- Ben je vais chercher mon couteau il doit être là quelque part derrière la tente je l’ai jeté sous un arbre … Je ne sais plus où exactement… Faut que je le trouve sinon vous allez me détacher hein ? -- Pas question dit Paul… -- De toute façon on n’a pas besoin de friandise et faut qu’on rentre en vitesse sinon on va se faire engueuler. Allez chao porte toi bien et merci pour la petite ballade hein ? A ma grande surprise les deux gamins détalent en direction de l’étang où nous nous sommes rencontrés… Me voilà toujours ligoté à la recherche absolument nécessaire de mon couteau suisse dont je pourrai ouvrir du bout des doigts la grande lame et commencer à cisailler la cordelette qui retient encore mes poignets. Mais où est-il ce sacré couteau … j’ai beau regardé partout je ne vois rien … panique… je m’agenouille pour chercher plus près du tapis de feuilles… Ouf ! Il faut simplement de quelques doigts ouvrir la grande lame et cisailler deux ou trois cordons en faisant très attention aux poignets, c’est l’affaire de quelques minutes. Une heure plus tard reposé de mes émotions, rassasié, je verse le reste de ma gourde sur mon bas ventre effaçant les traces de mes fantasmes réalisés, plie mes affaires, charge mon vélo et repart vers mon village avec une ferme résolution : cet épisode ne doit pas rester isolé.