Date: Tue, 21 Jul 2020 12:12:17 +0200 From: bruno bodin Subject: ETRE VU 3 ETRE VU TROIS C'était une nuit de rêve. Luke emmêlé dans mes cordes dans mes bras dans mes jambes et dans mes lèvres. Un réveil tendre en perspective de scénarios excitants mais qui restent àbâtir. On va encore sommeiller quelques instants en laissant la bride ànos imaginations, quelque chose en sortira. Je me réveille brusquement faisant sursauter mon coup de foudre. -- Hé doucement, qu'est-ce qui te prend Bastian ? -- un souvenir, une idée de scénar ! -- accouche ! -- malheureusement ça ne sera pas possible pour nous, de toute façon ça ne serait qu'une idée de départ, pour commencer ici... mais pas possible. -- allez, ho, je suis prêt àmarcher dans toutes idées de génie, allez accouche. Je lui raconte mon souvenir : la lecture d'un livre interdit aux garçons de mon âge, feuilleté par hasard dans le salon d'un de mes oncles et vite abandonné sous le regard réprobateur des grandes personnes pénétrant dans le salon. Je lui dis l'émoi ressenti àla lecture des deux premières pages que j'ai eu le temps de parcourir. Une jeune femme est emmenée en voiture par son amant, très élégante, elle enlève ses gants après s'être installée. Le livre s'appelle Hisroire d'O, un titre qu'on n'oublie pas. Son amant s'assied àl'arrière avec elle tandis qu'un ami prend le volant et lui dit : « prépare la ». L'amant dit àla jeune femme : « remets tes gants, tourne toi ». Elle remet ses gants. Sortant une cordelette de l'une de ses poches il lui attache les mains derrière le dos. Puis il lui baisse ses bas et lui enlève sa culotte. Elle ne dit mot. « Non ne t'assied pas sur ta combinaison, il faut que tu sois au contact du siège en moleskine. » Elle obéit, elle frissonne au contact froid et lisse de ce matériau sur ses cuisses et ses fesses. -- Ce qui m'a titillé c'est ça, le contact inhabituel d'une partie intime du corps avec une matière indifférente dans une circonstance imprévue... Et je me suis réveillé avec ce souvenir et ... toi, toi Luke, mis dans cette situation insolite les mains dans le dos àcôté de moi au volant, le sexe dressé dépassant de ton teeshirt et peut-être exposé aux regards des passants àun feu rouge... Mais tu vois bien que c'est impossible, on n'a pas de voiture et même si on en avait une... -- On en a une ! On va le faire, c'est too much Bastian !!! -- hein ? -- chez moi on a une Aixam, une voiturette, un auto sans permis si tu veux, autorisée àpartir de 14 ans et je viens de les avoir ! Une vraie voiture, toute petite mais avec deux places assez confortables, vitesse limitée à45, électrique, autonomie 80 bornes, tout ce qu'il nous faut pour ta forêt du Tronçais. -- mais tu peux la prendre comme ça sans autorisation ? Je pense àLuke assis dénudé attaché àcôté de moi en route vers le site de nos exploits et je recommence àbander sec, non, pas sec justement... -- Eh ben... si j'arrive chez moi avant 8 heures, je demande... en expliquant que je me suis fait un nouveau copain àla librairie, un fan de BD tout ce qu'il y a de plus sérieux mais oui, qu'on a envie d'aller camper ce weekend au bord de l'étang du Tronçais et que pour porter tout le matériel de camping que lui a offert son oncle, eh ben l'Aixam ça serait super... Si on me dit non pas question, je reviens en vélo et on part en pédalant... si on me dit oui je reviens aussi mais lày a un gros problème pour ton scénario de départ... -- ah ? quel problème ? -- ben la ptite bagnole faut que ça soit moi qui conduise, Bastian... alors ça serait àtoi de passer àla casserole mon cher, ça fout en l'air ton truc, non ? Je me vois assis nu ligoté assis àcôté de Luke au volant, j'en rougis grave. Il me regarde avec son faux air désolé, le bâtard... -- Mais je ne suis pas contre, mon cher Luke, seulement pour la suite tu le paierais très très cher, hein ! -- bon alors j'y cours faut que j'arrive avant 8 heures, il est 7 h1/4, un petit quart d'heure de marche, ça va le faire. Toi tu me prépares un breakfast d'enfer, t'as le temps de faire le plein de croissants àla boulange... Après si j'ai la bagnole, prépares toi au pire hein ! Je me précipite àla boulangerie tout près de chez moi où je retrouve le jeune fils de la patronne avec qui j'échange quelques sourires innocents et 13 euros contre une palanquée de croissants et deux baguettes tradition. Je cours à la maison et j'entreprends de faire mon sac àdos sans oublier mes chères cordelettes et aussi deux bouts de ficelle et deux lanières de laine découpées dans une paire de socquettes trouées pour une mise en scène surprise à l'intention de mon amour de partenaire. Un gros sac annexe de bouffe pour deux jours... J'attends son retour en préparant une casserole de chocolat chaud, deux mugs, deux jus d'ananas... Je tente de réfréner mon envie de me déshabiller pour libérer mon érection incontrôlable et l'offrir dès maintenant àsa maîtrise d'œuvre... Je résiste en pensant au plaisir qu'il aura et qu'il me donnera en procédant lui-même à cette première et honteuse opération... retrouver l'onde de plaisir qu'il m'a offerte hier après-midi àla douche en tirant sur la bande élastique de mon slip pour me l'enlever complètement et libérer mon envie de pisser raide. J'entends un roulement glissé en approche, je me précipite j'ouvre la porte je lève les bras en voyant s'arrêter juste àdeux mètres de la porte ce ridicule engin, ce magnifique véhicule de nos plaisirs interdits. Il entre, regarde mes préparatifs, waouh dans mes bras ses lèvres pleines de reconnaissance et de promesses indicibles. -- T'es prêt ? -- bravo Luke t'es trop fort... On s'attable sans un mot de plus, on dévore la moitié des croissants on lape et on termine le chocolat chaud. On se regarde, gêne, envie, trac, tendresse. -- I love you Luke Il se lève contourne la table vient derrière moi m'entoure les épaules et m'embrasse le cou. -- J'ai envie de toi, je vais encore te violer Bastian -- ici làtout de suite ? -- non voyons... àl'arrivée au bout de ton petit chemin forestier, juste en descendant de notre carrosse. -- si je veux hein ... -- mon pauvre tu seras encore àma merci àce moment là... Il élève la voix : -- Allez... JEUX INTERDITS ACTE 1 HISTOIRE D'O ! On nettoie les mugs, on nettoie la table, on attrape nos sacs et on descend le perron vers la voiturette. -- dis donc Bastian, et la cordelette ? Je fouille dans mon sac àdos, en sors une et je lui tends, je tremble un peu ... d'appréhension, de joie pure ? On balance nos sacs et la bouffe dans l'espace exigu derrière les sièges. On monte, on s'assied, Luke au volant moi sur le siège passager... Il me regarde... -- tourne toi un peu, tes poignets derrière le dos. Je le fais. Il commence un ligotage en règle et long. J'aime qu'il soit le plus long possible, c'est trop bon de le sentir me manipuler comme ça en plus de lui appartenir progressivement. Il en rajoute ; prolonge la corde au dessus des coudes et les emprisonne, fait un tour sur mon torse par-dessus le teeshirt. J'ai les bras complètement immobilisés -- Maintenant soulève toi un peu je vais te déculotter. Il m'enlève d'abord le short qu'il fait passer par-dessus mes espadrilles pour l'enlever complètement... Puis il s'attaque àla bande élastique de mon slip... qui résiste bloquée par mon sexe tendu et déjàdégoulinant, force le passage en découvrant totalement mon sexe et mes couilles, le fait passer par-dessus les espadrilles, jette short et slip derrière les sièges. Sensation àla Histoire d'O : le contact direct du revêtement de plastique sur mes cuisses et mon cul. Divin. Il me regarde en rigolant remonte le bas de mon teeshirt pour qu'on voit tout de l'extérieur éventuellement, me fais jouir un peu de la main droite tandis qu'il met sa bagnole en route. C'est parti pour la forêt en commençant par la portion de départementale où notre train de sénateur dans cette drôle de carcasse risque de provoquer des regards vers ma position très exposée. On arrive àl'unique feu rouge du trajet au milieu d'un petit hameau... Feu rouge justement, Luke stoppe en dépassant exprès la limite du passage, deux ados un garçon une fille qui attendaient làont le temps d'un coup d'œil à l'intérieur de la voiturette, sur mes liens sur mon attirail cuisses couilles sexe érigé, se penchent stupéfaits... ça dure... le feu passe au vert Luke démarre les deux voyeurs figés sur place. Luke continue en rigolant, puis passe sa main droite entre mes cuisses, je sers les jambes mais ne peut l'empêcher de remonter entourer les couilles, laissant sa main traîner là... cette caresse immobile est pour moi le comble du bonheur. -- Hé, regarde la route Luke ! -- mais je la regarde, t'inquiète, on a cinq sens non, làle toucher ça marche très bien tout seul, je sens tes formes sous mes doigts et c'est divin. Il laisse sa main immobile sur mes formes, jette quand même un petit coup d'œil. -- hé ho tu mouilles un max là, va pas dégueulasser le siège, tiens attrape un mouchoir papier làprès du pare brise et passe un coup de sec ! -- Et comment je fais pour attraper ça, les mains liées dans le dos ? IL éclate de rire, attrape un mouchoir et entreprend d'essuyer doucement longuement mon attirail... quelle sensation ! ... puis attrape un second mouchoir et le glisse juste sous les couilles pour protéger le siège. On arrive àl'embranchement du chemin empierré qui mène àla forêt, je guide Luke au moment d'atteindre le sentier que j'avais repéré. -- C'est là. On peut laisser la voiture ici dans le petit espace dégagé àl'entrée du sentier. -- ok on décharge les sacs, on te décharge et on te viole, depuis une heure que j'y pense ça ne peut plus attendre ! Il attrape les sacs, les pose àcôté de la voiturette, passe de mon côté, ouvre la portière et me tire doucement sous les épaules pour me faire sortir. Ferme la portière, verrouille le tout, m'attire sous les arbres à l'entrée du sentier, me fait gentiment tomber sur le dos, baisse son short son slip les enlève complètement et se met àgenoux devant moi, sexe dressé, passe mes jambes par-dessus ses épaules et approche son sexe de mon intérieur. Mains et bras liés je ne peux rien faire et ça participe de ce plaisir extrême. On se regarde on s'aime il fait durer ce moment vibrant, me caresse les cuisses de ses deux mains, les écarte, me regarde et introduit dans l'orifice le bout de son engin humide et visqueux, reste immobile un temps infini, enfonce un peu plus, nouveau temps, enfonce complètement. Mon sexe s'agite au rythme de ses impulsions... Il l'entoure d'une main, l'autre main sur mes boules -- Ensemble maintenant, Bastian. Maintenant. Une dernière impulsion et tout éclate, je sens ce liquide visqueux se répandre en moi, et le mien se répandre sur ses mains et son ventre. Il m'attrape le cou et on reste goûter ce moment de relâchement... Il se retire, me retourne doucement, me détache les coudes et les poignets en prenant son temps. On roule par terre dans les bras de l'un de l'autre. On se rhabille. -- A toi de jouer Bastian, tu me guides àta clairière ? -- ok on y va On attrape les sacs àdos et on s'enfonce dans la forêt. Je ne mets pas longtemps, un quart d'heure, àretrouver ma petite clairière d'il y a 15 jours. On pose nos affaires. -- Alors c'est quoi l'acte 2, Bastian ? -- Bon on monte la tente d'abord hein, on bouffe un peu, j'ai faim. Après on a le temps de faire un truc marrant auquel j'ai pensé pendant qu'il fait encore jour. -- c'est quoi ton truc ? -- attends un peu. Il s'approche de moi me serre dans ses bras on s'embrasse lèvres mouillées on s'aime c'est trop bon. On monte la tente. Je prends une baguette une petite terrine de sanglier, on se fait deux beaux sandwichs, on se les mâche avec appétit, quelques goulées d'eau encore fraiche. Un quart d'heure. Je sors les deux cordelettes et les lanières de laine découpées avec leurs bouts de ficelle. Luke me regarde sans comprendre. -- Luke, toujours d'accord pour des trucs zarbi genre bondage exhib ? -- On est làpour ça hein Bastian, on a deux jours zarbi à nous faut en profiter. Après on pourra toujours s'aimer tranquillos dans ma chambre ou dans la tienne. -- alors ok voilà. D'abord on se désape complètement, làtout de suite. A toute vitesse on enlève teeshirts shorts slips espadrilles qu'on jette pêlemêle dans la tente, on se regarde en rigolant. -- Allez on y va suis moi, je tiens d'une main les deux cordelettes et mes lanières de laine. Je le guide en direction de l'étang que j'avais découvert la dernière fois. On se balade sous bois, entièrement nus sexes dressés. Excitante appréhension d'une rencontre incontrôlable. A mi chemin àpeu près je m'arrête. -- D'abord je vais te ligoter, les mains dans le dos Luke. Je lui attache solidement les mains dans le dos avec une des cordelettes, plus solidement que la dernière fois, de telle façon que je ne pourrais pas le détacher quand je le serai moi-même. Puis je m'approche et lui enroule une lanière de laine autour du sexe àla base juste au dessus des boules. Je consolide l'enveloppe de laine en la resserrant avec un bout de la ficelle d'un mètre que j'ai apportée. Je tire légèrement pour voir si ça tient bien. Il me regarde ébahi... -- tu vas me branler avec ça ? -- attends ça ne fait que commencer ... Je fais la même opération autour de mon sexe bien dressé, lanière de laine, consolidation avec l'autre bout de la même ficelle. Nous voilàsexuellement attelés àun mètre l'un de l'autre, solidaires, dépendant des mouvements de l'autre.¨Puis j'opère sur moi la technique de self bondage que je connais si bien... mains liées derrière mon dos, ça me prend plusieurs minutes car j'ai choisi le scénario total où je ne pourrais pas me détacher sans l'aide du couteau suisse qui se trouve dans mon sac àun quart d'heure d'ici. Nos deux sexes bien dressés sont reliés solidement par le mètre de ficelle et sans douleur grâce aux lanières de laine. Nus et àla merci de n'importe qui par ici... -- bon on y va ... Je démarre en direction de l'étang et ça tire immédiatement sur son sexe qui vibre du coup. Il suit le mouvement, s'arrête pour voir, ça tire sur le mien... Je lui fais face on se frotte l'un contre l'autre on s'embrasse sur la bouche. On frotte c'est pas loin de l'orgasme. -- Stop ! On a encore du chemin àfaire. Incroyable cette sensation qu'on peut branler son partenaire simplement en faisant quelques pas de côté, sans qu'il puisse réagir autrement qu'en amplifiant le mouvement, ce dont je ne me prive pas quand il me provoque. Le plaisir offert non par une action de succion ou par un va et vient manuel, simplement par un étirement qui fait bouger le sexe dans un sens puis dans l'autre... Ce plaisir est celui que nous préférons tous les deux, le plaisir au bord mais en deçàde l'orgasme, amplifié par l'attente et l'incertitude... En plus, contempler ses couilles assez petites mais bien fermes sans défense àun mètre de moi... Mon oncle me dit souvent « toi, t'es un contemplatif ». Je contemple. Je le contemple. Pour me rassurer sur mon degré de perversité, je me rappelle que j'ai eu le coup de foudre pour Luke avant qu'il se dénude... Nous avançons vers l'étang en faisant gaffe àne pas accrocher la ficelle dans une branche traitresse. Un petit quart d'heure d'errance et de provocations jouissives. On doit se trouver àmi chemin entre la tente et l'étang. Des bruits de feuilles mortes froissées. Panique... est-ce qu'on va payer notre audace désinvolte d'une sacrée punition ? On s'agenouille en silence pour se cacher derrière un petit arbuste touffu. Silence. Le bruit reprend et s'approche. On distingue des silhouettes qui s'approchent, petites silhouettes, des enfants ? Ils ou elles vont nous dépasser sans nous voir ? Non on ne peut pas être entièrement cachés par cet arbuste. Tout d'un coup je les reconnais : Ruben et Jean-Francois les deux diablotins de 10 ou 11 ans dont j'ai fait la « connaissance » mouvementée il y a quinze jours ! Je murmure àLuke « c'est eux » Il comprend en se rappelant mon récit d'hier et m'interroge en marmonnant « on fait quoi ? ». Ils dépassent notre arbuste, on se lève sans bruit, je fais un signe de tête àLuke en direction de l'étang, à l'opposé de celle des deux garçons, on reprend notre marche comme si de rien n'était. Naturellement le bruit des feuilles froissées par nos pieds nus les fait se retourner brusquement. Stupeur et Tremblement, évidemment ils me reconnaissent au premier coup d'œil surtout avec ces mains ligotées. On continue doucement, tranquillement, en faisant semblant de n'accorder aucune importance àcette rencontre... Mais Ruben, le plus entreprenant, se retourne, nous rattrape, nous dépasse et découvre avec stupéfaction la ficelle qui relie nos deux sexes plus raides que jamais. Je l'appostrophe. -- laisse nous Ruben, on va se baigner làbas. -- Non mais c'est pas possible ça, vous ne pouvez pas vous baigner comme vous êtes là! De toute façons y a des gens au bord de l'étang... si ils vous voient comme ça ... On se regarde avec Luke qui voit le gonflement dans les shorts des deux gamins. Luke les apostrophe àson tour en désignant de la tête leur bas ventre. -- Vous avez besoin d'aide on dirait ? Ruben approche et saisit notre ficelle, il l'agite, éclate de rire en voyant nos sexes s'agiter en même temps. Je lui ordonne : -- stop Ruben, stop ou bien... -- ou bien quoi ? Il repasse derrière nous, vérifie les liens de nos poignets, et revient devant en rigolant. -- C'est très bien fait, bravo, on fait ce qu'on veut de vous là hein ! Pendant ce temps Jean-François a pris le relais en agitant la corde ce qui nous envoie des ondes de plaisir de plus en plus difficiles à contrôler... Puis tout d'un coup, Ruben baisse son short et son slip sur ses chevilles, dévoilant un pénis érigé très respectable pour son âge. Il s'approche en titubant, passe son sexe en dessous de la ficelle et la fait bouger par de simples mouvements du pénis. Jean-François l'imite aussitôt et voici quatre sexes en totale érection jouant une sorte de partition pour corde et soupirs. Au bord d'un étrange orgasme, je réagis. -- bon ça suffit maintenant stop stop ! Les deux garçons se regardent et hochent la tête positivement... tendent leurs mains vers nos deux sexes, Ruben sur le mien, Jean-François sur celui de Luke que je vois haleter au point de rupture. Le simple toucher des doigts de ces deux petits diables suffit ànous faire craquer, deux jets blancs s'expulsent de nos engins et inondent les mains de nos « tortionnaires » qui du coup en lâchent la ficelle. Nous nous laissons glisser àgenoux. « Ça tombe bien » fait Ruben ... -- juste la bonne position, allez montrez ce que vous savez faire, après on vous laissera peut-être tranquilles. Ils approchent leurs sexes de nos bouches effectivement en bonne position pour une sucette, pour deux sucettes... que nous dégustons Luke et moi avec entrain. Du coup on leur donne une petite leçon de plaisir en suçant allégrement puis en stoppant le mouvement, en le reprenant, en le stoppant ànouveau... Une bonne vingtaine d'aller retour comme ça pour finalement les faire presque en même temps sursauter, se cambrer et éjecter de petites gouttes de liquide transparent. Ils se reculottent l'air confus se retournent vers l'étang en nous quittant d'un petit signe de main. On se regarde avec Luke, on se relève plutôt étonnés de leur départ pour le moins cavalier... On aurait envie de leur dire merci merci et àla prochaine... Quelle incivilité de leur part ! Bon c'est pas le tout, faut qu'on rentre àla tente maintenant... On s'embrasse àlèvres mouillées, on s'en va toujours entravés les mains dans le dos, mais le double effet des orgasmes accomplis et de leur goujaterie finale nous a fait débander et l'ensemble laine ficelle tombe de nos sexes assagis. On revient àla tente en un petit quart d'heure, je m'assied près de mon sac en marche arrière, farfouille et trouve assez vite mon magnifique couteau suisse, fait sortir la lame principale, commence à cisailler la cordelette qui retient mes poignets... en deux minutes me voici libéré, en deux minutes je libère Luke, on se masse les poignets. On a faim on s'aime on s'étreint on s'embrasse on se prépare un repas copieux on se prépare àune nuit délicieuse dans les bras l'un de l'autre. Luke propose : on va dormir àla belle étoile ensemble dans mon grand sac de couchage. Avant d'aller dormir sous les étoiles, Luke demande : -- et c'est quoi ton acte 3, Bastian ? -- A toi de proposer une affaire de génie Luke -- eh ben j'ai ce qu'il faut figure toi ! Mais ceci est une autre histoitre...