Date: Sun, 30 Aug 2020 21:15:14 +0200 (CEST) From: Bruno BODIN Subject: ETRE VU 4 ETRE VU QUATUOR Depuis notre dernière escapade avec Luke en forêt du Tronçais pour un scénario de dingues (que nous sommes) exhibitionnisme + bondage je me morfonds de lui... en pensant avec délice au ouiquende prochain. En partant il m'avait lâché : -- Bastian, ton scénario et ton amour vont me manquer pendant ces trois semaines, mais à mon retour tu auras juste 14 ans ... tu vois où je veux en venir, non ? Oui je vois très bien effectivement : dans trois semaines j'aurai l'âge de conduire sa voiturette sans permis et alors j'imagine facilement mon Luc à son tour ligoté cul nu sur le siège passager, moi au volant caressant distraitement (en apparence) ses couilles complètement exposées. Ses couilles, ses boules, ses testicules tellement mignonnes... jamais vu de si parfaites, ramassées, fermes, presque rondes, roses, séparées par une ligne en relief légèrement plus foncée, offertes à ma contemplation, pas un poil importun, une œuvre d'art je ne crains pas de le dire... Je me vois main gauche au volant, remontant la main droite de ce chef d'œuvre vers la consistance du liquide « precum » visqueux dégoulinant de sa verge affolée. Une idée m'est venue pour corser cette entrée en matière et il m'a fallu l'aide de mon oncle et parrain pour obtenir les « outils » nécessaires : un gode et un masturbateur. Mon oncle n'a pas moufté à ma demande, que je n'osais formuler à ma chère mère de peur de la gêner... c'est une affaire d'hommes ! Cet oncle est un grand séducteur de femmes mais il est au courant de mon penchant pour les garçons et ça ne le trouble pas, il m'a mis clairement au courant des risques et m'a remis en mains propres avec le plus grand sérieux les petits joujoux que je lui avais demandé de commander pour moi sur internet, son cadeau d'anniversaire. Et il ajoute en souriant : y a pas de mal à se faire du bien... Vendredi je reçois un merveilleux SMS de Luke : mes parents sont d'accord pour la voiturette tout le ouiquende ... si ta mère est ok je passe te prendre samedi vers 9 heures, ça te va ? Je ne vais pas faire la connerie de t'envoyer une foto de moi tout raide en attente de notre escapade... sont vraiment cons ces zozos qui balancent des fotos d'eux cul nu sur internet... Si ça me va ? Et comment... je lui réponds : à samedi mon petit ami de folie et j'ai pas besoin de foto pour imaginer tes délices en représentation... Ce soir séance ciné avec Maman. J'adore ces soirées avec elle depuis que son connard de second mari s'est taillé. On va revoir L'extraterrestre mais avant elle me propose comme toujours quelques minutes de culture littéraire pour m'inciter à lire (merci aussi pour ça ma Mère). C'est un passage d'Apostrophes avec Hervé Guibert et Bernard Pivot. J'ai la surprise d'entendre ce jeune auteur parler de sa relation amoureuse avec le philosophe Michel Foucault, comment cette relation comprenait des séances un peu spéciales qui exigeaient une relation pleine d'attention tendre et précise à l'autre... comment le fait d'immobiliser érotiquement son ou sa partenaire ajoute de la tendresse et non l'inverse... Ça me décontracte ... Je me demandais si mes relations aussi « un peu spéciales » avec mon ami Luke n'étaient pas le comble de la perversité... Mais non. On trouve sur des sites porno des relations de bondage qui montrent que les promoteurs de ces videos n'ont rien compris au plaisir de ligoter ou d'être ligoté dans une relation amoureuse, dans ces videos il y a toujours des passages où l'un des partenaires fait mal, très mal, à l'autre alors que le vrai plaisir du bondage entre partenaires n'a rien à voir avec la douleur et tout à voir avec la délicieuse sensation d'appartenir provisoirement à l'autre sans défense ou de le posséder sans qu'il puisse s'y opposer. J'ai fait visiter à Luke le site « meditative bondage » que j'ai regardé au moins dix fois, c'est le seul site ou le bondage et le self bondage, action de se ligoter soi-même, sont mis en valeur sans qu'il soit question de faire mal ou de se faire mal. Samedi matin, neuf heures j'attends Luke et son engin, mon sac fin prêt avec tous les accessoires de nos séances très spéciales, cordelettes, bouts de ficelle, lanières de laine, et maintenant les joujoux du tonton. J'entends la voiturette pétaradante qui s'arrête juste sous notre porche. Je me précipite, ferme la porte, ma mère est partie depuis longtemps pour un de ses ouiquende à elle. Luke descend et me tient la portière conducteur ouverte en s'inclinant comme un larbin respectueux, contourne l'engin et monte côté passager. Je monte, balance mon sac derrière les sièges après en avoir sorti un petit paquet, prend le volant en main, Luke s'assied à côté, balance son sac derrière lui, en tremblant légèrement. Nos deux shorts laissent voir clairement comme des piquets de tente. -- Tas peur de quoi ? Que je casse ta voiture ou que je te maltraite ? -- Pour la voiture je sais que ça ira, y a pas plus simple quand même, une seule vitesse et une marche arrière, une manette d'accélération qui ne nous poussera pas plus loin que 40 bornes heure... Je tremble d'excitation mon ami... Tu me prépares tout de suite ? -- on va sortir du patelin, mais tu ne perds rien pour attendre... parce que en attendant, tiens attrape ça... J'ouvre le paquet, sort un gode et Je lui tend. -- Oui en attendant, tu baisses short et slip jusqu'aux genoux et tu t'enfonces doucement ce joujou dans le trou... pas de problème c'est la taille mini. Luke ne s'attendait pas à ça... Il me regarde stupéfait en tremblant de plus belle, commence à s'exécuter pendant que je démarre en prenant la route que nous connaissons bien, se soulève pour tirer son short vers le bas. -- Arrêtes Luke, j'ai dit jusqu'aux genoux seulement, je veux jouir de te les enlever complètement tout à l'heure. Luke fait glisser short et slip au-dessus des genoux, dévoilant ses couilles que j'adore et sa verge, verticale et déjà dégoulinante. -- Frotte le gode contre ta verge pour l'imprégner de ton lubrifiant naturel et vas-y ! Luke fait comme je lui dis et commence à s'enfoncer le joujou tout doucement, se soulevant pour faciliter l'opération, pousse jusqu'à ne plus voir que la base du gode... Je jette un coup d'œil pour voir où ça en est... -- Maintenant, remonte ton slip et ton short par-dessus tout ça tu vas voir c'est très goûteux ! Luke remonte slip et short, et on ne voit rien de l'opération sauf son piquet de tente qui étire plus que jamais très visiblement la toile du short. -- Bastian, tu m'attaches même pas ? -- attends tu vas voir... tiens... là, ça va aller. Pendant notre dernière sortie, tout ligoté cul nu que j'étais, J'avais repéré un dégagement herbeux sur le côté droit de la route, comme une petite aire de repos deux ou trois km après la sortie de la ville... Nous y voilà... cerise sur le gâteau, y a deux gamins qui font signe pour du stop, ils peuvent avoir 11 ou 12 ans... Je me gare doucement sur cette aire je descends, et sans faire attention aux deux gamins, j'ouvre le hayon arrière, attrape mon sac et sort deux cordelettes et un bout de ficelle. L'un des garçons me demande où on va et si on peut les avancer un peu. -- vous allez où ? -- Etang du tronçais et vous ? -- c'est juste là qu'on va ! -- ok alors si vous pouvez vous tasser derrière les sièges, mais ça va être serré, hein ? Le hayon étant ouvert ils peuvent examiner l'espace disponible, et vont carrément se faufiler près de nos deux sacs. -- ok très bien mais il faut d'abord que je prépare mon copain... -- préparer pour quoi faire ? Sans répondre j'ouvre la portière côté Luke avec mes cordelettes. -- Tourne toi Luke, mains derrière le dos. Je saisi les poignets de mon ami et commence un ligotage en règle en prenant tout mon temps, rendre ce bondage impossible à défaire mais sans lui faire mal, une affaire que nous connaissons bien Luke et moi. Nos deux passagers nous regardent faire stupéfaits... Coupant court à leurs interrogations je leur propose : -- Vous n'êtes pas forcés de rester, hein... On s'amuse c'est tout et c'est pas fini ... si vous voulez sortir, allez y. Sur ce je sors les jambes de Luke vers l'extérieur et commence à lui retirer son short, complètement, puis je tire son slip dont la bande élastique résiste un peu et balance short et slip derrière sur les genoux des deux garçons entassés derrière qui jettent un regard intéressé sur le sexe érigé bien droit de mon ami qui écarte les jambes pour bien montrer tout son attirail où on voit nettement dépasser la base du gode qu'il s'est enfilé. -- toujours là les gars ? Vous restez ? -- Ben ... si ça vous dérange pas ? -- Au contraire, je suis sûr que Luke est content d'être vu comme çà, pas vrai Luke ? Luke ne moufte pas tout au plaisir de ses jambes écartées sur son viol auto réalisé -- Attendez, y a encore un petit perfectionnement ! Je reprends le petit paquet et j'en sors l'autre jouet que j'approche du sexe de Luke... je pose le haut du masturbateur sur le haut de sa verge et je l'enfonce doucement, doucement, doucement et bien à fond, jusqu'au point où la base touche presque les couilles, puis j'attache un bout de ficelle autour du joujou et j'attache l'autre bout de ficelle à une des transversales du volant, je monte à ma place au volant et démarre... Chaque mouvement nécessaire du volant, virage ou obstacle à contourner, attire puis relâche l'ensemble masturbateur et sexe de Luke... qui dégouline ... Je me précipite pour poser un essuie tout sous son cul pour éviter qu'il salope son siège. Les deux gamins derrière se tordent le cou pour profiter du spectacle... -- vous allez voir quelqu'un à l'étang là-bas ? -- des copains... -- Ruben et Jean-Francois ? -- Mais... comment vous savez ça ? -- Ben, ceux là on les connait bien, on a pas mal joué avec eux il y a trois semaines... -- jouer ? à quoi ? -- comme ça... Je donne un petit coup de volant qui fait vibrer l'attirail de Luke... gémissement de plaisir... je recommence... nouveau gémissement... Bouche bée les deux gamins n'osent d'abord rien dire... puis... -- Et ... vous leur avez fait quoi ? Luke prend la balle au bond : -- c'est plutôt eux qui nous ont fait... -- quoi ? -- écoutez, si vous voulez savoir on peut vous montrer si vous restez un peu avec nous avant de les retrouver... et comment vous vous appellez en fait ? -- lui c'est Paul et moi Bernard. -- Alors Bernard Paul, ça vous dit de passer un moment avec nous pour faire comme vos copains ? -- faut voir... -- bon écoutez, vous nous accompagner jusqu'à l'endroit où on laisse la voiture, c'est à 20 minutes de l'étang... et là vous ferez ce que vous voulez... -- ça marche, répondent-ils en cœur en se déhanchant pour mieux voir Luke qui s'est mis à se tortiller pour tirer la ficelle sans que le volant ne bouge. -- Luke arrête, si tu inondes le siège ça sera de ta faute hein ! -- non ça peut tenir un moment mais c'est trop bon Bastian, je peux pas croire qu'on peut se branler comme ça... t'as des idées de dingue comme d'hab, Bastian... Quand la ficelle tire, le machin monte et descend en même temps, c'est trop bon je te dis... Eclats de rire... Dans cette joyeuse ambiance on continue vers le chemin empierré qui nous mène à l'orée de la forêt au sentier que nous connaissons bien Luke et moi. On stoppe la voiturette, je sors et vais ouvrir le hayon pour laisser sortir nos deux passagers, puis la portière droite et j'aide Luke à sortit, Luke les poignets toujours solidement liés derrière le dos, le gode bien an place et le masturbateur dégoulinant de mouille érotique... Je sors nos sacs et demande de l'aide aux deux nouveaux. -- vous pouvez prendre un sac, vous voyez bien que ce pauvre Luke ne peut pas porter grand-chose... -- mais t'as qu'à le détacher hein ? -- pas pour le moment, ou vous portez un de nos sacs et on continue ensemble jusqu'à notre campement, ou on se quitte ici... Alors ? Les deux garçons se consultent du regard, on voit bien qu'ils ont très envie d'en savoir plus sur nos petits jeux, surtout après ce qu'on leur a dit à propos de leurs copains... Finalement Paul saisit un des sacs et le passe sur ses épaules... -- attendez on va corser un peu la suite... J'attrape mon sac, l'ouvre et en sort une cordelette. -- Bernard, tu vas m'attacher les mains derrière le dos et porter mon sac jusqu'au campement... qu'est-ce que t'en dit ? Mais peut -être que t'es pas capable de me ligoter ? Tout rouge, Bernard m'arrache la cordelette et s'approche de moi, je me retourne et lui tend les mains derrière le dos. Il commence à entourer les poignets, fait quelques tours et s'arrête. Luke regarde et lui indique la suite : -- maintenant passe la corde entre les poignets en serrant bien fort et termine par 3 demi clès... Bernard s'exécute... je pense que finalement il s'en tire pas mal, j'essaie de me libérer mais sans succès. Les deux gamins nous regardent en rigolant. Je tire en arrière sur mon short et le baisse sur mes genoux, puis le slip avec un effort difficile pour faire passer l'élastique à ma bite presque verticale et mes boules... Je plie les genoux pout m'asseoir sans me faire mal sans pouvoir m'aider des bras et je me tortille pour faire passer short et slip par-dessus mes espadrilles. Ainsi entièrement cul nu, je m'assieds en face de Luke toujours ligoté devant moi. -- Luke assieds toi aussi devant moi. Il le fait, je me retourne pour l'atteindre avec les mains dans le dos, tâtonne pour chercher le gode enfilé dans son trou, lui retire l'engin, lui fait face à nouveau... Luke qui a compris ce que je veux faire, se glisse plus prêt de moi et passe ses jambes par-dessus mes épaules. Je me glisse au plus près de lui, mon sexe presque en face de son anus offert après le passage prolongé du gode. -- Bernard et Paul, vous pouvez partir maintenant, hein... pas un spectacle pour vous, ça... mais posez nos sacs près de nous avant de vous en aller... y a mon couteau suisse... j'en aurai besoin pour me libérer... Les deux gamins au lieu de suivre ma recommandation, s'agenouillent pour ne pas rater le spectacle et je vois Paul ouvrir mon sac, farfouiller dedans, trouver le couteau et le mettre dans sa poche. On regarde le garçon qui nous regarde l'air triomphant... -- Allez y hein faites ce que vous voulez nous on va pas tarder et on garde le couteau ! Je pénètre Luke tout doucement, me retire, le consulte du regard... -- Vas y Bastian c'est trop bon, vas y ... Sans plus m'occuper des deux garçons voyeurs, je pénètre Luke à nouveau un peu plus, me retire, recommence plus profondément. On jette un coup d'œil vers nos accompagnateurs dont les shorts sont tendus par des érections parfaitement reconnaissables. Je pénètre à nouveau mon copain, tout doucement, recommence ce va et vient, encore une fois, encore une fois, Luke laisse passer des petits gémissements... Je me retire, me penche vers son sexe couvert par le joujou, attrape le masturbateur entre les dents et le retire brusquement... Luke soubresaute violemment et son sexe laisse échapper une giclée blanche, je m'empresse de le pénétrer à nouveau, va et vient sans discontinuer, suite de giclées blanches de Like pendant que les miennes se répandent en lui. On digère avec délice ces inoubliables pulsations de jouissance, je me retire doucement Luke se laisse aller en arrière, couché sur le tapis de mousse et je m'allonge sur lui, nos lèvres se touchent et se jouent d'amour, nous nous immobilisons et restons collés sans un mot... Les deux gamins s'approchent, me tirent en arrière et me forcent à me relever à genoux, font de même avec Luke. Tous deux baissent leurs shorts et slips jusqu'aux genoux, s'approchent, se baissent pour approcher de nos bouches leurs pénis tout raides. -- Allez au boulot, dit Bernard, c'est bien ça que vous avez fait avec Ruben et Jean-François, hein ? -- pas question dit Luke, faut d'abord enlever complètement shorts et slips ! -- c'est nous qu'on commande, là dit Paul, vous êtes nos prisonniers hein ! Et joignant le geste à la parole il s'agenouille devant moi et saisit mon cou à deux mains pour forcer mes lèvres à toucher sa bite... Je me dérobe et bascule en arrière. Sur ce Bernard, impatient, enlève complètement short et slip et Paul s'apprête à faire de même. Luke et moi on se relève d'un bond et on commence à courir vers le sous bois. -- hé ho, ça va pas se passer comme ça ! Ils se précipitent derrière nous et comme nos démarches sont un peu hésitantes avec nos mains liées derrière le dos, ils ne tardent pas à nous rattraper, à nous forcer à genoux et à nous présenter leurs pénis de plus en plus raides. Il nous reste à nous exécuter... je m'approche de Paul et commence à lisser son sexe du bout des lèvres, Like fait de même avec Bernard qui saisit son cou pour amorcer le mouvement de va et vient. Alors on agit comme pour leurs petits copains il y a 3 semaines. On va leur apprendre à retenir leur plaisir, on suce leurs mignonnes sucettes, on se retire, on revient goûter leurs engins, retrait, regoût, retrait... les deux garçons poussent des gémissements de plaisir et des soupirs d'énervement... On se rapproche encore pour leurs lécher les couilles et en dessous. On se regarde avec Luke... nos sexes ont repris de la vigueur et se dressent devant ceux des deux garçons. -- Bastian, on les finit ou on fout le camp ? -- hé ho dit Paul... d'abord vous ne pouvez pas partir sans qu'on soit d'accord... Et heu... allez y encore, s'il vous plait, allez y c'est génial, on vous rendra le couteau. -- ok on va vous finir mais rendez nous d'abord le couteau ou détachez nous on va vous montrer un truc spécial vous verrez. Paul et Bernard nous regardent interrogatifs... Paul se relève, passe derrière moi et commence à défaire mes liens. Vite fait tellement il veut « voir » la suite. Je m'approche de Luke et le détache lentement. On s'approche des deux gamins culs nus toujours en pleine érection, on les fait gentiment s'asseoir, on s'agenouille. J'écarte les jambes de Paul qui se laisse aller stupéfait, Luke fait de même avec Bernard, va chercher le masturbateur qui traine à quelques mètres, lui enfile doucement sur son pénis, Bernard s'abandonne en arrière. Je m'approche au plus près de Paul, lui ouvre gentiment l'anus d'un doigt caressant, le retire et commence une pénétration bien huilée par le liquide dégoulinant de mon sexe. Luke fait de même avec Bernard tout en agitant le masturbateur qu'il lui a enfilé. Moi je me sers d'une main pour branler Paul en me servant de l'autre pour caresser ses délicieuses petites boules. Nous faisons très attention de moduler notre plaisir de pénétration de leurs jeunes culs sur l'avancée de leur plaisir à eux. Ça dure quelques minutes et quand nous sentons qu'ils vont atteindre l'orgasme, on accélère le rythme de nos pénétrations... une explosion de cris à quatre voix salue les petites giclées blanchâtres aspergeant leurs ventres tandis que nos éjaculations se liquéfient dans leurs intérieurs. Tous les quatre, on se regarde les yeux vitreux, on se retire de nos deux petits nouveaux amis, on s'allonge dans l'herbe immobiles et repus. On se relève sans un mot, on va chercher nos affaires et nos sacs, on se refringue et on se dirige vers la petite clairière où on veut s'installer pour la soirée et la nuit. Bernard et Paul nous regardent s'éloigner, on leur fait un petit signe de la main -- Bon merci pour tout hein, allez retrouver vos amis Ruben et Jean-Francois et dites leur qu'on espère bien les revoir ... peut=être demain ? Sans voix les deux gamins se relèvent vont chercher leurs affaires et avec un grand sourire ... --- Oui pourquoi pas hein ? Un bon rendez vous à suivre !