Date: Thu, 31 Dec 2020 20:22:47 +0100 From: bruno bodin Subject: ETRE VU 6 Prologue Ceci est mon sixième récit d'adolescence exhibitionniste. J'ai effectivement pratiqué ce délire sexuel particulier dès l'âge de treize ans. Et voici pourquoi je me suis lancé dans l'écriture de ces histoires : Il y a une dizaine d'années j'étais tombé par hasard dans « nifty archives » sur le récit d'un garçon de 12 ou 13 ans qui partait camper seul en forêt pratiquer le plaisir de se promener complètement nu dans la forêt en prenant le risque délicieux d'être vu exposant sa nudité. J'avais trouvé cette histoire formidablement suggestive et l'avais lue plusieurs fois sans m'en lasser en pensant que je pourrais toujours la retrouver... hélas un jour je ne la retrouvai plus... un peu frustré, je demandai à quelques correspondants de ces archives s'ils la connaissaient... aucun résultat. Alors je me lançai dans l'écriture de ETRE VU. Et je suis arrivé à recréer, pour moi en tous cas, cette merveilleuse ambiance mais j'avais ajouté quelques ingrédients qui me faisaient revivre avec force les émotions de ma pratique adolescente. Puis, encouragé par de sympathiques retours en provenance des sites Nifty Archives et Histoires Taboues, j'ai continué ETRE VU 2 puis 3 puis 4, 5, voici le sixième. Récit Comme le savent ceux qui ont lu ETRE VU 2, moi Bastian 14 ans j'ai eu le coup de foudre pour Luke, même âge, qui me découvrit entièrement nu dans le grenier d'une librairie de notre petite ville, et qui s'empressa de se mettre à nu lui aussi, au sens propre et au sens figuré, m'entrainant dans un tourbillon d'amour fou, partageant mes désirs d'exhibition et de bondage : plaisir d'être ligoté nu dans les bras de l'autre ou de se montrer à d'autres garçons dans ces positions de dépendance. Cette fois je devrai me passer de mon jeune alter ego amant : ses parents l'ont emmené dans un tour du monde aéronautique en partant de Clermont pour joindre Milan, Athènes, Istanbul, New Delhi, Pékin, Nouméa, Los Angeles, Boston, Paris, Clermont enfin, me raconte-t'il les yeux brillants d'excitation, il adore les aéronefs comme il dit... Il va me manquer et je vais lui manquer mais nos retrouvailles dans un mois seront brûlantes. En attendant Luke m'a fait promettre de le « tromper » avec un autre jeune garçon et de noter tous les détails de cette nouvelle aventure pour lui raconter à son retour : la jalousie n'a pas sa place entre nous. Difficile pour moi d'obéir à l'injonction de Luke. Mon inclination exclusive pour les garçons de mon âge ou plus jeunes limite mes moyens d'action et comme je n'ose afficher trop clairement cette inclination, je reste cloîtré dans mes fantasmes et il a fallu cette rencontre insolite avec Luke à la librairie « Le Rêve en Pages » pour trouver chaussure à mon pied comme disent les adultes. Les petites aventures dans les bois m'ont ouvert des perspectives passionnantes mais je ne peux pas prendre rendez vous avec les jeunes antagonistes de ces aventures pour établir des relations suivies. Après notre échappée de la bizarre colonie de vacances de Saint Amand Montrond, je me retrouve donc seul chez moi à bouquiner un livre offert par un oncle bienfaiteur qui ne partage pas mes préférences sexuelles mais les connait et les admet sans problème au nom de notre maxime commune « y a pas de mal à se faire du bien ». Ce roman « Dieu lui-même n'en sait rien » de Didier Denché, met en scène un « garçonnoîde », robot garçon doté d'intelligence artificielle bâti par un génial inventeur japonais sur le modèle très fidèle d'Emilien, personnage principal du roman, un garçon de treize ans absolument craquant. Evidemment ce personnage me rappelle celui du célèbre film A.I. de Stephen Spielberg, un robot garçon acheté pour combler le manque laissé à une mère par la grave maladie de son fils de 12 ans, ce robot est interprété magistralement par le jeune acteur américain Haley Joel Osment et j'ai bien vu ce film dix fois depuis que ma mère m'en a offert le DVD. Bref j'ai de quoi satisfaire au moins mon imagination... J'en étais là de mes rêveries quand ma mère m'appelle d'en bas -- Bastian, les tagliatelles sont prêtes descend déjeuner avec moi tout de suite faut que je parte au boulot dans une heure maxi... et y a une lettre pour toi. -- une lettre de Luke ? Ma mère connait et apprécie ma relation avec Luke, un garçon charmant dit- elle de lui... -- Non c'est pas de Luke... l'expéditeur est un certain Noah Houtrais... Je me précipite vers la salle à manger d'abord parce que j'aime ma mère et sa succulente recette de tagliatelles et aussi parce que j'ai hâte de lire une lettre de ce Noah que je relie tout de suite au petit « gardien » de mon éphémère passage à la colo de Saint Amand... -- tu connais ce Noah ? -- pas sûr... je t'ai raconté comment on s'est enfui avec Luke... et parmi nos connaissances de là-bas y avait bien un garçon nommé Noah mais je ne sais pas son nom de famille. Allez, on déguste je verrai la lettre tranquillement après le déjeuner, pas question de me priver de ta présence ! -- ça c'est gentil merci mon amour de fils... tu me raconteras j'espère. -- promis chère maman ! Une heure plus tard je monte dans ma chambre , j'ouvre l'enveloppe et sort la lettre le cœur battant. Oui c'est mon Noah de la colo. « Mon cher Bastian, J'espère que tu ne m'as pas oublié. Moi je t'ai pas oublié ! Quand je me suis réveillé l'autre jour et que t'étais parti j'ai pleuré trop triste. Je voudrais te revoir s'il te plait, je t'en prie. J'ai trouvé ton adresse dans les fiches du bureau des chefs. Je voudrais venir chez toi parce que chez moi c'est vraiment trop plein avec ma grande sœur et tous ses amis sans arrêt. J'ai demandé à ma mère, elle est d'accord mais elle ne veut pas me laisser prendre le train tout seul et je ne sais pas comment faire. Appelle moi je t'en prie 06 77 67 07 17. Ton copain de chambre qui t'aime beaucoup et qui peut pas t'oublier... Bise Noah ». J'en reste baba... ce petit garçon est tombé amoureux de moi on dirait, malgré ou à cause de ce que je lui ai fait, et malgré la manière dont je lui ai échappé... ce petit mec de dix ans était censé me menotter mains dans le dos avec ou sans l'aide des grands qu'il devait appeler en cas de résistance de ma part ... pour m'empêcher de le malmener au lit. Et je lui ai imposé une séance de sexe plutôt torride, sa première sans doute avant de l'endormir avec un tampon de je ne sais quoi dégotté par mon pote Luke dans le van des moniteurs de la colo. Je me précipite et compose le 06 77 67 07 17. Ça ouvre presque tout de suite, un oui haletant. -- c'est qui ? -- salut Noah, c'est moi Bastian. Je viens de lire ta lettre, c'est magique. Merci, trop sympa. -- Ouf j'avais peur de te mettre en pétard. -- mais non... avant d'aller plus loin je voudrais savoir si tu te souviens de ce que nous avons fait avant que je te quitte pour m'échapper de la colo. -- si je m'en souviens ?! -- oui raconte, raconte, raconte allez n'ai pas peur, à moins que tu ne sois pas tout seul là en ce moment. -- si, je suis tout seul pour une fois. -- vas y -- ben tu m'as demandé de baisser mon pantalon de pyjama... -- après ? -- ben tu me l'as enlevé complètement... -- ensuite ? -- ensuite... tu m'as poussé sur le lit et tu m'as embrassé mon... -- cé tout ? -- Oh non ... tu m'as poussé ton ... dans moi... et tu m'as caressé mon... -- Et ? -- et ça m'a explosé et toi ... -- ok ça me suffit, je voulais vérifier que tu étais bien conscient de tout ça. Et donc si tu veux me revoir tu sais un peu ce qui risque de t'arriver quand on se reverra ? -- Oh génial on va se revoir ? -- Oui j'en ai envie mon petit camarade, donne moi le numéro où je peux joindre ta mère. -- Attends je vais la chercher, je lui ai dit que j'allais t'appeler, attends une minute. Ainsi je commence à discuter avec la maman de Noah, très aimable, très contente apparemment que son petit dernier se soit lié d'amitié avec un garçon de son âge... je lui précise honnêtement : non moi quatorze ans... Oh Noah en a presque onze vous savez, c'est pareil hein. Bon d'accord pour qu'il vienne chez vous ce week end là, mais j'ai pas de voiture en de moment... et ne veux pas qu'il prenne le train tout seul... Je lui propose d'aller moi-même en train à Saint Amand, que je le prenne en charge sur le quai et je vous le ramène pareil lundi prochain. Affaire conclue. Maman rentre du boulot et je lui montre tout de suite la lettre. J'attends qu'elle la lise tranquillement puis je lui raconte mon téléphone avec Noah et sa mère. -- ben dis donc il t'a à la bonne ce petit camarade... si ses parents sont d'accord moi j'y vois pas d'inconvénient... Mais tu vas te taper 2 fois l'aller retour Saint Amand en train ? Et combien de temps il va rester au fait ? -- 2 ou 3 jours on verra... -- Mais vous allez être tout seuls tu sais que je vais passer le week end chez ton oncle à Paris... C'est vrai que tu sais te débrouiller ... Pas de problème. -- Merci ma chère Maman quelle mère extraordinaire tu fais ! -- qu'est-ce que tu veux en échange de ce beau compliment ? -- Un tout petit supplément d'argent de poche pour le train et la bouffe... ok ? -- Mais tu me raconteras ok ? -- Pas tout quand même ! Le voyage aller vers Saint Amand se passe en dégustant le livre de Didier Denché avec son aguichant garçonnoïde qui fait sans cesse penser au robot garçon du film de Spielberg. Train à l'heure j'arrive à destination 40 minutes plus tard comme prévu, je descends sur le quai, cherche la figure de l'angelot de la colo, repère sa tignasse châtain clair à côté d'une jeune femme qui doit être sa mère, me dirige vers eux en me forçant à un calme souriant. Surtout pas de précipitation suspecte. Bisou à la mère - appelez moi Jocelyne - pour répondre au sien. Bisou super chaste à Noah qui ne peut s'empêcher de me serrer dans ses bras. Je me dégage en douceur et prend les billets de train que me tend Jocelyne. Moment d'hésitation, fallait pas, mais si voyons, bon faut que je vous laisse, votre train part dans une demie heure, bon voyage, je vous attends ici lundi midi trente, deux jours et demi çà ira, ok ? Ok merci Jocelyne vous en faites pas je vais bien m'occuper de lui. Elle se retourne et s'éloigne en faisant un signe de la main. Je prends Noah par la main, on se dirige vers le train déjà formé à quai. Une petite gêne s'installe entre nous. Je regarde en arrière, sa mère est sortie de la gare, je prends mon petit copain par les épaules et m'incline légèrement pour un baiser appuyé sur les lèvres, il m'agrippe le cou en serrant de toutes ses forces. Je suis fasciné par sa beauté, cette tignasse châtain toute en mèches qui débordent sur ses oreilles, sa nuque, ses sourcils, ses lèvres en forme de déferlante et surtout ces grands yeux noisette qui me fixent avec une intensité troublante. Toute gêne a disparu et ne subsiste que l'envie de ne pas se détacher l'un de l'autre, on se sépare quand même et on monte dans le premier wagon qui se présente, on choisit une banquette à deux places où on pourra peut-être se toucher voire plus, Noah pose son sac à dos et le range au-dessus des sièges. Assis côte à côte. Attente. -- Noah j'ai envie de te proposer un tas de trucs mais avant il faut qu'on se mette bien d'accord sur une chose : que tu me promettes que si un de ces trucs ne te plait pas tu me dises non et de mon côté je prends l'engagement de ne jamais insister... et aussi faut que tu me dises carrément si un truc te fait envie. -- Promis Bastian ! ça m'étonnerait que je sois pas d'accord avec un de tes trucs comme tu dis mais oui je te promets de dire si ça va pas et de te dire ce qui me passe par la tête et y en a... -- parce que tu sais je suis tellement content de t'avoir avec moi pendant deux jours complets, rien que te regarder hein, pas besoin de trucs et de trucs... Il éclate de rire et : -- si si des trucs et des trucs, plein de trucs siouplai msieur Bon très bien alors... Je me penche à son oreille et lui murmure en souriant : -- dès qu'on sera entré dans ma maison et que j'aurai refermé la porte, je voudrais que tu enlèves tout de suite ton short et ton slip et que tu restes exposé comme ça jusqu'au dîner que je puisse voir et toucher tes boules n'importe quand, avec ton tee-shirt assez court on pourra tout voir... Après on peut discuter tranquillement. Noah rougit en regardant deux garçons un peu plus âgés s'asseoir en face de nous. Il remonte ses genoux vers son ventre et les entoure des ses bras. En me penchant légèrement vers lui je vois nettement se dessiner un renflement dans son short et je comprends qu'il a voulu cacher au regard des nouveaux arrivants cette infirmité suspecte. Mais moi j'étends langoureusement les jambes en ayant l'air de m'assoupir sans cacher mon renflement à moi. Les deux gars en face ne voient rien de spécial ou font semblant de ne rien voir, l'un d'eux sort un smartphone de sa poche, lance un jeu, apparemment, et tous deux se concentrent sur ce jeu. J'introduis une main dans la poche droite du short de Noah et, bien camouflé par son coude replié, je l'avance vers son bas ventre. Je sens à travers le double rempart de la poche et de son slip, le ferme bâtonnet de ses attributs, j'enserre la main autour de cette offrande et la maintient mais sans bouger. Noah sursaute avec un hoquet. Vais-je insister au risque de choquer ces deux garçons en face ? J'hésite mais sans lâcher l'affaire... L'un des garçons se met à parler à son copain en me souriant... à parler en anglais... Alors en tant qu'étrangers ils n'oseraient jamais se lancer dans une intervention contre mon « agression », non ? -- Noah tu n'oublies pas ta promesse hein ? Il répond en haletant quelque peu. -- Mais si je dis rien c'est que tout, heu, hou là, houlàlà, tttout va bien. Bon, me voilà bien décidé à lui mouiller son slip à mon petit copain. Je commence lentement à bouger la main dans sa poche. Son bâtonnet est toujours là bien vivant. Je varie mes mouvements, va et vient avant arrière puis de haut en bas puis avant arrière et encore haut en bas. J'entre ma main dans ma poche droite et attrape mon engin à travers poche et slip, entreprend une double masturbation, la mienne et celle de Noah au même rythme tranquille mais constant... combien de minutes de cette extase à peine camouflée. Les deux british en face nous observent avec... envie ? Stupeur ? Bouche bée en tous cas... Noah, soubresaut haletant et je sens nettement l'écoulement humecter son slip. Je m'empresse d'arriver au même résultat de mon côté avec un grand soupir. Le train entre en gare, je regarde Noah qui me fait un grand sourire et se lève pour attraper son sac à dos. Les deux observateurs se lèvent à leur tour et nous font un signe amical avant de sortir. On se met en marche vers ma maison et je me demande si Noah pense à ce que je lui ai demandé de faire dès qu'on sera entrés. Je jette un œil sur son short et cherche à voir si la tâche mouillée a débordé de son slip pour apparaitre sur le short. Oui on voit ça et aussi que son érection se manifeste à nouveau déjà... Délicieuse anticipation ... Je lui passe un bras sur les épaules, il me regarde et passe un bras autour de ma taille. On approche de la maison. On arrive. Je sors mes clés. J'ouvre la porte et fais signe à Noah de passer devant. Il entre, je le suis et referme la porte. IL se retourne et baisse son short, l'enlève et me le donne. Il tire sur l'élastique de son slip, son érection résiste, il passe son teeshirt par-dessus le slip, débloque le slip tout humide, le descend jusqu'aux chevilles, l'attrape et me le tend découvrant ses boules, le teeshirt cachant le pénis presque vertical. Je me délecte à la contemplation de cette demie nudité. Je suis un contemplatif. Ces petites couilles sont trop jolies, fermes, rose foncé, étirées vers le haut. J'attire Noah vers moi la main gauche sur sa nuque et j'approche la main droite de son entre-jambe, caresse l'intérieur de ses cuisses, caresses douces d'un côté puis de l'autre, qui s'arrêtent juste avant l'attache des boules. J'attire Noah vers la salle de séjour dont la porte est restée ouverte, je le pousse s'asseoir vers le canapé. -- T'es trop beau Noah. On continue ? -- Oui, oui, oui... S'il te plaît Bastian... -- Relève ton teeshirt Noah, écarte les jambes. Tout est dénudé et je peux regarder tous ses attributs. De haut en bas le gland à peine apparu en tête de pénis, la hampe déjà luisante, les boules, la transition de chair délicate puis l'orifice bien dessiné qui attire l'envie. J'enlève à mon tour mon short et mon slip. A genoux je l'attire et j'approche mon érection de son orifice. Je le touche en l'humectant de mon liquide d'anticipation. Je m'arrête. Attente du plaisir. Plaisir de l'attente. Contrôle de la bête. -- Bon Noah t'as pas faim toi ? -- Si mais ... -- Mais quoi ? -- oh rien, rien du tout. -- On va commander une pizza, tu me fais confiance pour laquelle ? -- Avec un œuf dessus ! J'attrape mon portable et compose le numéro de notre Pizzamax où ma mère a ouvert un compte bien alimenté. Je commande deux pizzas regina avec œuf et j'attire Noah vers la table de la salle à manger et commence à l'équiper assiettes, couteaux, fourchettes, verres. Je sors une bouteille de cidre doux du frigo, en sert un verre pour Noah un pour moi et on attend. Je m'assieds près de lui. Je passe une main entre ses cuisses nues, un côté puis l'autre, je frôle ses bourses, redescends, remonte pour attraper la base de sa hampe. Pas de mouvement de va et vient. Simples frôlements, caresses exploratrices. La sonnette annonce le livreur de pizza. -- Vas-y Noah ne crains rien c'est un jeune garçon qui livre je le connais. Il appréciera ta vue toute raide. Y a qu'une signature à donner un gribouillis suffira sur le bon de livraison. -- Mais... -- t'es pas obligé hein... -- J'y cours. J'ai faim ! Il se lève sexe dressé en partie caché par son teeshirt. La porte s'ouvre. J'entends un houps... Je jette un œil, caché par le mur de la salle de séjour. Le jeune livreur tend un crayon à bille à Noah en lui montrant où faire son gribouillis. Noah prend le crayon et s'apprête à « signer » pendant que son teeshirt est soulevé par le garçon qui saisit le pénis offert. Noah lâche le crayon qui tombe, le garçon se baisse pour le ramasser et en profite en se relevant pour toucher le sexe du bout des lèvres. J'entre en scène. -- alors elle vient cette pizza ? -- oh pardon désolé j'avais pas vu qu'il était tout nu, faut que j'y aille on m'attend. Amusez vous bien. Si vous en voulez d'autres ... Noah prend les pizzas et rentre avec moi dans la salle à manger. Je lui propose de déjeuner assis sur mes genoux. -- tu veux bien mon ami ? -- tu vas me ... ? -- bien sûr mais comme j'aurais les mais occupées avec tes cuisses et tout le toutim, c'est toi qui va découper les pizzas et me donner manger ok ? Il pose les pizzas devant une assiette, je m'assieds, le retourne et l'attire vers moi. Tout doucement je l'amène à s'asseoir sur mes genoux et lentement sans forcer mon sexe bien visqueux de plaisir s'introduit en lui. J'entoure son torse de mon bras gauche sous ses bras tandis que ma main droite descend effleurer ses boules puis son sexe. -- J'ai faim Noah, tu me donnes à manger ? -- woah... vais essayer... Il commence en tremblant à découper quelques parts de pizza, en pique une de sa fourchette et la tend vers moi. Je la saisis dans ma bouche tout en enveloppant ses jolies petites couilles de la main droite et en caressant légèrement son pénis qui commence à dégouliner. Il s'appuit contre mon torse en gémissant. -- Eh... j'ai encore faim ! -- Oh c'est trop bon... -- tu veux que j'arrête ? -- que tu ailles au bout je t'en prie Bastian... -- Non on va s'en tenir là mon ami, on reprendra cette position en regardant un film avant d'aller dormir. Je soulève lentement Noah pour qu'il se dégage de mon pénis et le pose assis sur la chaise à côté de la mienne, transfert une pizza dans son assiette et on commence à découper chacun pour soi. En fait, après avoir engouffré chaque bouchée, je dégage la main gauche pour aller caresser la peau tendre du haut de ses cuisses. Rassasiés, je lui propose de voir le film de Spielberg. -- Tu le connais ? -- je te fais confiance... -- çà raconte l'histoire d'un petit garçon robot... -- génial ! Je vais chercher le DVD, l'installe dans le lecteur et lance la projection sur notre magnifique home cinéma. J'attire Noah vers moi, il s'assied sur mes genoux, se laisse aller contre mon torse, j'enserre ses deux bras en croix, j'entre en lui tout doucement, saisit sa hampe à pleine main gauche et la tiens sans bouger. -- Noah, on va essayer de trouver la jouissance finale ensemble ok ? -- Oh ouais ouais ... mais avant j'ai un truc à te demander... -- Ah ? Vas y hein ! -- tu te rappelles que si tu ne m'avais pas violé l'autre jour à colo, enfin pas vraiment violé mais quand même hein... bon, si t'avais pas fait ça, je devais te menotter les mains dans le dos, avec ou sans l'aide des grands et te coucher dans notre lit comme ça à côté de moi, hein ? -- oui et alors ? -- eh ben tu m'as dit de te dire si y a un truc qui me fait envie hein ? -- oui ... et ? -- je voudrais que tu me laisses te ligoter avant de me coucher à côté de toi ! Je lâche son pénis et le serre fort entre mes bras. -- formidable idée mon ami, mais y a un problème quand même là... -- ah oui et cé quoi ? -- moi j'ai pas de menottes ici, seulement des cordelettes et ça m'étonnerait que t'arrives à m'attacher les mains dans le dos si t'as jamais fait ça... -- Et les chevilles aussi pour que tu puisses pas t'échapper monsieur violeur. Oh oui je saurai bien faire ça. Ma grande sœur m'a appris tout ça et même à faire attention de bien bien ligoter sans faire mal, alors t'es d'accord ? -- ooooooooook mon petit ami violeur ! Avec cette perspective affolante, la poussée de jouissance est tellement forte que je ne peux m'empêcher de laisser venir un orgasme total et je me dépêche de provoquer le sien pour réaliser notre truc... je sens ma giclée entrer en lui par secousses paradisiaques et en plein milieu c'est son gland qui éjecte une petite laitance entre une série de spasmes qui le soulève brusquement au-dessus de mes genoux. On arrête le film : la séparation de l'enfant robot d'avec sa mère adoptive est vraiment trop triste et Noah commence à bailler. On se lève, on monte dans ma chambre, toilettes, douche, nettoyage en profondeur. Noah sort de son sac un teeshirt propre j'en sors un de mon placard, pas de slip ni de pyjama. Je cherche mes cordelettes et lui tend. Il me regarde avec un sourire mi timide mi moqueur, je vais m'asseoir sur le lit, il me pousse gentiment en arrière m'aide à me retourner. -- Poignets dans le dos, Bastian... Je m'exécute et commence la sensation délicieuse d'être petit à petit sous la dépendance de ce charmant petit garçon. Bonne leçon de sa grande sœur : une bonne dizaine d'enroulements autour des poignets croisés, bien serrés mais sans plus, puis une autre dizaine d'enroulements entre les poignets terminés par trois demies clés absolument impossibles à rouvrir. Il me retourne, et sans toucher à mon pénis à nouveau totalement raide, attrape l'autre cordelette, même technique autour des chevilles, remontée au-dessus des genoux, mêmes enroulements pour immobiliser complètement les jambes. Me voilà exposé en érection totalement à la merci de mon petit tortionnaire. Il se met à cheval sur mes cuisses et me regarde intensément, caresse mon torse en descendant jusqu'en-dessous de mon sexe, remonte jusqu'au cou recommence et je me tortille en frissonnant. -- T'as froid Bastian ? -- Tu vas me laisser comme ça toute la nuit ? -- Ah ben oui comme ça je suis sûr que tu ne pourras pas me violer au moins. Enfin plutôt si, je suis sûr que je pourrai t'obliger à le faire ! Sur ce, Noah dégage la couette, la fait passer au-dessus de moi, éteint la lumière, se glisse à son tour sous la couette et me fait face. Puis il m'entoure le cou de ses deux bras et se presse contre moi. Sa tête arrive en dessous de la mienne et sa tignasse chatouille mon cou tandis que nos deux verges s'affolent l'une contre l'autre. -- Noah c'est toi le chef là, hein ... mais si je peux me permettre : on ne bouge plus, c'est trop bon, on laisse faire nos engins... savent ce qu'ils ont à faire... Sans répondre Noah s'immobilise et une sorte d'éternité s'installe entre nous. Nous sommes entre les bras de Morphée qui nous entraîne dans le paradis d'un sommeil raide et fleuri. Un mouvement me réveille après un sommeil de bonheur. Je suis un peu ankylosé surtout les jambes qui me font un peu mal. Noah me regarde dans la pénombre d'une petite lumière de jour naissant. Il peut me voir grimacer. -- T'as mal Bastian... Je vais te détacher les jambes. Mais je vais te laisser les mains dans le dos... -- Oui très bien merci Noah, tellement bon de rester ligoté entre tes bras... Il soulève la couette et me libère les chevilles et les genoux. Puis il plie ses jambes en chien de fusil et les fait passer par-dessus les miennes pour offrir son trou à mon pénis qui renait. La connexion se fait genre amarrage soyouz-salyut7, parfaitement ajusté avec une poussée de plaisir partagé, son pénis en position de frottement du gland contre mon ventre. A nouveau on reste quasiment immobiles. On se redonne une session de sommeil raide et fleuri. Nouveau réveil en plein jour maintenant. Mon sexe se réveille aussi dans Noah qui se dégage, allonge les jambes et se tourne vers moi en fourrageant son pénis contre mes bourses. Il saisit le mien et le gratifie de caresses insistantes. Quelques minutes et nous atteignons presque ensemble au paroxysme qui nous inonde de laitances crémeuses. Etreintes et embrassades. Je me sens bien, entravé dans ses bras avec cette jolie incertitude sur ses intentions. Mais j'ai envie de pisser. Je me dégage et m'efforce de l'enjamber pour me lever. Il me regarde faire en baillant sourire. Je me dirige vers la salle de bain mais il m'arrête en accrochant la cordelette entre mes poignets. -- Attends Bastian, je vais te demander un truc dingue là... -- Non mais j'ai trop envie de pisser... -- Non mais justement... Noah me retourne et m'attire en marche arrière vers la salle de bain, ne s'arrête pas à la cuvette des toilettes, me traîne jusqu'à la douche, écarte le rideau, enlève son teeshirt, m'aide à m'asseoir sur le carrelage, s'assied à son tour mais sur mes cuisses, saisit mon sexe pour le réveiller, me regarde... -- Vas y maintenant, Bastian, sur moi, inondes moi, allez ! -- Oh ... Je ne peux empêcher une érection de repartir sous les manipulations de ses deux mains, et en même temps je ne peux empêcher mon urine de gicler sur son ventre jusqu'au cou pendant qu'il continue à me masturber. C'est un délire de jouissance qui m'éclate tandis que je me laisse aller sur le mur de la douche. Noah recueille ma deuxième giclée de sperme en cinq minutes et s'en barbouille la figure. Une sonnerie vient interrompre cet échange de délire. -- c'est pour toi ça Noah ? -- oui zut ... Il se lève s'enroule d'une serviette pour éponger mes liqueurs et se précipite vers son sac à dos pour sortir son portable, prend l'appel. -- oui maman tout va bien, on vient de se lever... -- ... -- Oh, ben on s'amuse bien, mais si faut y aller... -- ... -- Ok vers 2 heures cet après m... Ok à tout à l'heure. Je t'aime aussi. Il range son portable et m'explique : sa mère passe le prendre pour l'emmener à Clermont voir des cousins qui font une fête et me réclament. Ça va raccourcir nos ébats... bon mais il nous reste une bonne demie journée quand même. Il revient vers moi m'aide à me relever et entreprend de me détacher les poignets. J'enlève mon teeshirt et je l'entraîne vers la douche, cette fois pour vraiment nous doucher... On se sèche en silence, déçus de devoir écourter nos échanges de caresses dégoulinantes... -- Ecoutes Noah, j'ai encore un truc à te proposer pour cette fin de matinée... D'abord est-ce que t'es pas contre... sauter un petit déj classique en commandant direct des pizzas pour 10 ou 11 heures ? -- Livrées par le garçon qui avait envie de me violer ? -- exactement oui il s'appelle Maxime ... il voulait seulement goûter ta sucette et je suis intervenu passque t'as laissé tomber le crayon et j'ai cru que ça te faisait trop peur. -- meunon même pas peur, surpris cétou ! -- bon alors on va lui donner une autre occasion avec un nouveau jeu que je vais te proposer : la masturbalance ... -- cé quoi ce truc ? -- tu verras... mais pour l'instant on se sèche, on se rhabille et un peu de repos ! Tiens on va regarder la fin du film de Spielberg ok ? -- okaye ! Tu veux que je me rhabille entièrement ? -- euh... non seulement teeshirt et short... pas de slip... que je puisse glisser la main vers tes cuisses et tes boules si l'envie m'en prend ok ? -- ahhhhhhhhh rien que d'y penser ça me rend encore tout raide. -- eh oh on se repose hein ? On s'installe sur le canapé, je relance le film : le garçon robot a été abandonné, le passage trop triste est passé, et la rencontre avec un autre robot, adulte, se passe plutôt bien. A 9 heures j'appelle Pizzamax. -- Maxime ? -- Bastian ? des pizzas ? Regina avec œuf ? Pour quelle heure ? -- Oui avec œuf, pour dix heures c'est possible ? -- pas de pb. T'as toujours ton petit ami ? -- oui et on va t'offrir un joli spectacle ... -- je meurs d'impatience ... à dix heures ok. On termine tranquillement le film, neuf heures et demi. -- allez Noah, le jeu... enlève ton short, je vais chercher les cordelettes. -- tu vas m'attacher ? Il se lève, baisse son short et son sexe apparaît presque vertical. Je redescends avec le matériel. Je lui attache doucement les mains derrière le dos : je prends tout mon temps pour cette opération qui doit aboutir à une immobilisation sans recours mais sans douleur. Puis j'enroule quelques tours d'une bande Velpeau autour de son pénis bien dressé et je tire le reste de la bande en dessous de ses bourses et dans la raie des fesses puis je remonte la bande autour de la cordelette qui lie ses poignets, redescend le reste de la bande à nouveau dans la raie et sous les bourses pour s'enrouler à nouveau autour de son sexe en terminant par une petite mais ferme demie clé qui assure la permanence du dispositif. -- tu vois : si tu bouges les bras de n'importe quelle façon en tirant les poignets vers le haut ou en les faisant bouger latéralement, tu donnes à ton pénis un mouvement masturbatoire et un délicieux va et vient dans tes fesses : masturbalance. Nouvelle façon de se masturber et comme c'est forcément très lent ça fait durer le plaisir. On va montrer ça à notre jeune livreur... Noah commence à expérimenter le dispositif... tire ses poignets vers le haut, son pénis est attiré vers le bas... il bouge les bras le pénis suit le mouvement, commence à dégouliner un peu. Neuf heures trois quart on sonne. Je vais ouvrir, j'accompagne Maxime dans le salon, prend les pizzas et vais les poser sur la table de la salle à manger, je reviens dans le salon. Maxime regarde bouche bée le spectacle de ce petit garçon tout rouge qui se balance et balance son sexe en pleine érection. -- Alors Maxime, on continue le spectacle, acte 2 ? Si Noah est ok bien sûr... -- ok Bastian, on fait un acte 2 pour Maxime ! Cé quoi l'acte 2 ? Maxime regarde la scène ébahi et apparemment très intéressé, on voit nettement un renflement au bas de son pantalon. Je me déculotte à mon tour et me dirige, sexe érigé, vers Noah qui déambule vers moi en agitant son dispositif de masturbalance. Je le pousse assis sur le canapé, je lui écarte les jambes pour bien voir sa « fleur », j'écarte la bande de la raie et je m'introduis en lui, tout doucement. -- bon, Maxime, ça va là ? -- oups... j'avais jamais vu deux garçons en train de ... -- approche, je crois que t'as besoin d'un ptit coup de main... Je m'approche des lèvres de Noah pour un baiser mouillé pendant que je m'active délicieusement en lui. Maxime s'est approché de nous... De ma main gauche je baisse la fermeture du pantalon de Maxime qui fait sortir son engin. Position main droite je branle Noah, main gauche je branle maxime, et je continue à pénétrer va et vient Noah. Trois minutes pour déclencher les trois orgasmes... Trois minutes d'immobilité à trois. On se regarde. Je détache Noah. Je vais chercher les pizzas pour les réchauffer trois minutes au four. Maxime se rajuste : -- faut qu'j'y aille, ils doivent se demander ce que je fais... Merci pour tout ça... cétai génial... A une autre fois ptet ... On le regarde partir. On va se nettoyer dans la salle de bain, on s'habille. On va tranquillement dévorer nos pizzas en silence et en sourires. Cidre. Pommes. Barres de chocolat. Etreinte. Baisers. Noah prépare son sac. -- Ma mère va pas tarder. Oh Bastian... trop bon. On se reverra hein... -- L'avenir le dira. On fera ptet une petite ballade en forêt avec mon ami Luke... -- Sera pas jaloux ? -- Il m'a fait promettre de le tromper avec un autre garçon... Cé fait. -- tu vas lui raconter ? -- tout ! -- tout ? -- absolument tout mon petit ami !